Mercredi 26 Août 2015
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الأربعاء 11 ذو القعدة 1436 ه
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Constantine sous le chaos des eaux : Négligence coupable !
le 26.08.15 | 10h00
La wilaya a tenté de trouver la solution en créant un organisme chargé de prendre en charge la nouvelle ville Ali Mendjeli, mais cette structure n’a jamais été visible.
L’espoir s’était alors porté sur le nouveau découpage administratif, espérant au moins un statut de commune pour Ali Mendjeli, mais le gouvernement en a décidé autrement.
Quand un orage fait l’effet d’un cataclysme, cela appelle immanquablement le questionnement. Les intempéries qui ont frappé mortellement à Constantine, lundi dernier, ont jeté le deuil et la stupeur parmi la population prise de court.
Deux heures de précipitations ont produit l’irréparable : des morts, des blessés, des familles sinistrées et un bilan cauchemardesque, qu’on estime disproportionné face à un orage qui a été certes long et violent, mais n’avait rien d’exceptionnel.
Comment est-ce possible ? L’orage a touché essentiellement la ville nouvelle Ali Mendjeli et, à un degré moindre, El Khroub dont elle dépend administrativement. Les nombreuses images de catastrophe prises par des citoyens et relayées sur les réseaux sociaux montrent une ville dévastée.
Pourtant, Ali Mendjeli est une ville nouvelle et son système d’évacuation ne peut être usé puisqu’il n’a que quinze ans d’âge. Sauf si ce système souffre de «malformation congénitale» ou de malheureux défauts de fabrication.
Dans l’UV9, l’on a déploré le décès d’une jeune femme, alors qu’au niveau de l’accès principal, le carrefour a été noyé par les eaux qui sont montées jusqu’à engloutir des véhicules de conducteurs effrayés et fuyant désespérément.
Pourquoi les systèmes d’assainissement n’ont pas fonctionné ? Tout simplement parce qu’ils n’existent pas, alerte Noureddine Khelfi, architecte et ancien cadre à l’Urbaco. «Tout ce qui est assainissement des eaux pluviales et drainage est absent dans de nombreuses unités de voisinage et sur le boulevard principal.
Cette nouvelle ville ne répond à aucun critère, elle ne possède même pas un plan Orsec», s’indigne le spécialiste, qui confirme une vérité devenue une lapalissade depuis que le Premier ministre a reconnu l’erreur de conception de Ali Mendjeli.
Laxisme
Sauf que pour faire sérieux, il ne suffit pas de reconnaître l’erreur, mais surtout de cerner les failles, désigner les responsables pour les exclure des projets et, enfin, établir un plan de redressement.
A ce sujet, N. Khelfi rappelle ce qui s’est passé lorsqu’il était question d’exécuter le plan d’urbanisme de Ali Mendjeli : «L’Urbaco a conçu la planimétrie, soit la projection générale de la nouvelle ville, mais au moment de l’exécution, l’administration a fait appel à un bureau d’études local pour exécuter l’altimétrie et ce bureau est responsable de tous les défauts de conception.» En effet, il est curieux de constater l’absence d’avaloirs à travers des pans entiers de cette ville. A défaut, l’eau de pluie se débrouille en surface...
Et pourquoi n’a-t-on pas procédé à la réparation de ce grave défaut dans l’infrastructure de base ? Faut-il que des morts soient enregistrés pour y remédier ? Le fait est que le statut administratif, l’autre défaut de Ali Mendjeli, fait obstacle.
En effet, cette ville de 300 000 habitants a le statut d’une simple cité et dépend administrativement de la commune d’El Khroub, qu’elle a pourtant dépassé aussi bien en termes de population qu’en taille géographique.
Elle devient par conséquent une charge impossible à supporter pour la commune de Khroub qui est loin d’avoir les moyens d’assurer les tâches simples liées à l’entretien de la ville. La wilaya a tenté de trouver une solution en créant un organisme chargé de prendre en charge Ali Mendjeli, mais cette structure n’a jamais été visible.
L’espoir s’était alors porté sur le nouveau découpage administratif, espérant au moins un statut de commune pour Ali Mendjeli, mais le gouvernement en a décidé autrement.
Nouri Nesrouche
La crise pétrolière risque de s’aggraver : Le salut ne viendra pas de Chine
le 27.08.15 | 10h00
L’essoufflement de l’économie chinoise, principale locomotive de la croissance mondiale aux côtés de l’économie américaine, compromet définitivement les chances d’une remontée des prix du brut à court et même à moyen termes.
Au-delà de la déroute boursière des places chinoises et des risques de contagion pour le reste de l’Asie, ce sont, en effet, les signes du ralentissement de l’économie réelle en Chine qui font prédire à la plupart des analystes que le pétrole continuera pendant encore longtemps à être de moins en moins cher.
Et non, le salut ne viendrait plus de la Chine qui continuait, jusque-là, à être l’un des principaux moteurs de la croissance économique dans le monde, alors que l’Europe peine encore à sortir la tête de l’eau et risque même de retomber dans une nouvelle phase de récession.
L’économie chinoise, expliquent les analystes, aura désormais du mal à maintenir sa cible de 7% de croissance annuelle, ce qui ne va pas sans alimenter les inquiétudes sur la reprise de l’activité mondiale et tirer par conséquent les cours pétroliers de plus en plus vers le bas. Le marché pétrolier souffrirait de façon «énorme», si le ralentissement chinois se confirmait, avertissait en ce sens Fred Lawrence, de l’Independant Petroleum Association of America, une organisation de producteurs américains de pétrole et de gaz, cité par l’AFP.
D’ores et déjà, certains experts n’hésitent plus à évoquer l’hypothèse de voir les prix du brut baisser jusqu’au niveau des 20 dollars, sous l’effet surtout des évolutions économiques en Chine, qui, faut-il le rappeler, pèse à elle seule pour 13% de l’activité mondiale, tout en étant le premier acteur de la planète pour le commerce des biens.
«La frousse à propos de la Chine, c’est mauvais pour la Bourse, mais c’est encore pire pour le marché pétrolier mondial», explique en ce sens John Kilduff, du cabinet Again Capital, cité par l’AFP.
Selon cet analyste, qui n’hésite pas à évoquer une nouvelle perte d’une bonne dizaine de dollars sur la valeur du baril, l’essoufflement de l’économie en Chine, deuxième consommateur de brut derrière les Etats-Unis, est même «le cœur du problème en ce qui concerne le pétrole et d’autres matières premières, dans le sens où le pays le plus important pour la demande montre de réels signes de faiblesse».
Et au moment où le marché pétrolier continue à faire face à un déséquilibre structurel entre l’offre et la demande, les difficultés de l’économie chinoise viennent ainsi assombrir davantage les perspectives de son redressement, d’autant que l’Iran s’apprêterait à y injecter un surplus d’offre de brut et que l’activité de forage s’accroît aux Etats-Unis.
Akli Rezouali
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Pénurie de Médicaments : Les distributeurs se défendent
le 26.08.15 | 10h00
Face aux accusations de rétention et d’être à l’origine des pénuries cycliques qui frappent le marché du médicament, l’Association des distributeurs pharmaceutiques algériens (Adpha) a décidé de réagir à travers un communiqué de presse.
Elle refuse toute forme de stigmatisation des distributeurs qui «assument un rôle majeur dans la livraison de produits essentiels sur un territoire immense, à un coût économique minimal fixé par la puissance publique».
Toutes les attaques enregistrées ces derniers temps sont assimilées à «une campagne de stigmatisation de l’ensemble de la profession». Selon eux, il s’agit de dépasser «les intérêts immédiats des uns et des autres, car le problème frappe d’abord des patients algériens en attente de produits de soins».
L’association ne se contente pas de se défendre. Elle va plus loin en décryptant les mécanismes de ce marché et les causes des perturbations et qui trouvent leur explication «dans la rupture de la chaîne d’approvisionnement en amont, faute de délivrance dans les temps voulus des autorisations d’importation correspondantes». Il est mentionné dans le document : «Que ces retards aient été justifiés par le souci légitime des autorités publiques de procéder à des renégociations de prix à l’importation avec les fournisseurs concernés ne change rien à l’essentiel qui est que la chaîne physique des produits a été perturbée, ce qui a fini en bout de course par affecter la disponibilité des produits au niveau des utilisateurs finaux.»
Le communiqué va plus loin dans l’analyse, mettant en évidence que «les professionnels savent que les effets d’une rupture touchant un médicament ne se résorbent pas immédiatement par le simple fait de mettre sur le marché une quantité suffisante de produits. Ce genre de rupture équivaut à un choc profond qui se diffuse dans tout le circuit et qui génère un phénomène bien connu d’aspiration des stocks à l’échelle de tous les acteurs, y compris des patients eux-mêmes qui étant échaudés par ces mésaventures et par un sentiment d’insécurité bien compréhensible procèdent à des réserves par précaution».
Autrement dit, l’association défend la thèse qui consiste à dire qu’il y a « toujours un temps de latence avant que ce sentiment se résorbe et que la situation revienne à la normale».
Elle distingue entre les ruptures absolue et des ruptures touchant notamment des produits de marque que les pouvoirs publics ont choisis délibérément de ne plus importer et qui se trouvent avantageusement remplacés par des produits génériques fabriqués localement, moins coûteux et d’une qualité thérapeutique similaire et reconnue.
Kamel Benelkadi
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