Tour de France victoire pour Petacchi
C'est fini. La victoire pour Petacchi après un final qui a fait des dégâts. D'abord à cause de Cavendish qui a mal négocié un virage et a envoyé avec lui 4 coureurs au tapis. puis une chute collective a bloqué le peloton dans le dernier kilomètre. Petacchi a réglé le sprint d'un peloton d'une trentaine de coureurs.
17h31: Ca chute dans tous les sens. Enorme chute général qui implique le maillot jaune dans le dernier kilomètre. C'est Petacchi qui règle le sprint d'un peloton très réduit.
17h30/ Et c'est Cavendish qui a fait tomber tout le monde. Ca ne va pas arranger sa réput, lui contre qui les coureurs avaient fait grève au tour de Suisse.
17h28: Petacchi est bien placé, dans les 10 premiers. Il reste 4 kilomètres. Et une chute entre 5 coureurs dans un virage en épingle. Freire et Petacchi sont au sol.
17h27: Attention à bien négocoer les dernières grandes courbes. Bert Grabsch, coéquipier de Cavendish, fait le boulot et met le peloton en file indienne.
17h25: Le peloton entre dans Bruxelles.
17h24: Moins de 6 kilomètres, les échappés ont été repris et les grandes manoeuvres commencent à l'avant du peloton.
17h19: Attention à ne pas trop frotter Cavendish. Lors de la 4e étape du Tour de Suisse, l'Anglais de l'ïle de Mann avait provoqué une chute générale impressionnante.
17h19: Le peloton est à 25 secondes et les coéquipiers de Cavendish et de farrar sont déjà au travail.
17h12: L'arrivée à Bruxelles va rappeler des bons souvenirs à Jaja, qui avait gagné sa première étape sur le Tour en 1992 sur l'étape Roubaix-Bruxelles.
17h07: Pendant que les deux échappés font le show 1 minute devant le peloton, Cavendish est bien planqué dans le peloton et attend son heure.
16h57: Le champion de Moldavie, Pliuschin quitte le peloton et rejoint le Belge en tête. Question: combien de ocureurs disputent le championnat de Moldavie?
16h55: Maarteen Wynants prend la pudre d'escampette sur le premier secteur pavé de ce Tour. Pour l'honneur?
16h52: Maarteen Wynants sent le souffle du peloton et attaque. Histoire de se montrer pour le grand prix de la combativité.
16h51: 32 kilomètres de l'arrivée et les trois échappés sont à 45 secondes.
16h43: Pendant ce temps-là, Nadal remporte le deuxième set 7-5. morne plaine le sport ce dimanche après-midi.
16h39: Vu le rythme de cette première étape, ça ressemble plus à des départs en vacances qu'à une course.
16h36: Le belge Pauwels de l'équipe Sky part tout seul debvant. Une attaaaaaque!!!!!!!!.... Non, im va sans doute saluer la famille.
16h24: Le plus combatif du jour, plus on est réfléchit, plus c'est le chien qui s'est jeté dans les roues du peloton.
16h17: Le peloton passe par la ville d'Anvers. Les échappés ont moins de deux minutes d'avance. Ca sent déjà le roussi. le jeu est de ne pas fondre trop vite sur les hommes devant pour ne pas laisser une nouvelle opportunité à des Jacky Durand en herbe de prendre la poudre d'escampette.
16h02: Il y a énormément de monde sur le bord de la route. Toute la Belgique est sur le bord des routes.
16h01: On a beaucoup vu Andy Schleck aux avant-postes aujourd'hui. Le cadet des frangins est prudent.
15h53: L'humour façon Gérard Holtz au micro de France TV alors que le peloton passe dans le village belge de Putte. "Jamais vu autant de fils de Putte". Une certaine idée de la blague.
15h50: Pendant ce temps-là à Wimbledon, Nadal remporte le premier sert 6-3 face à Berdych.
15h44: Les coureurs sont en train de passer la frontière entre les pays-Nas et la Belgique. Les routes vont être un peu plus sineuses.
15h27: Toujours énormément de monde sur les routes hollandaises. Le long des digues, le vent n'a pas fait exploser le peloton.
15h21: Bradley Wigins, leader de l'équipe Sky, est victime d'un petit accident mécanique. Un équipier l'attend.
15h19: Le peloton continue à faire mumuse avec les échappés. L'écart remonte à 5 minutes. Et Fabian Cancellara, maillot jaune, se dégourdit les jambes.
15h14: Les roues tournent, les ailes des moulins aussi et les chiens hollandais font n'importe quoi. L'un d'entre eux s'est jeté dans le peloton provoquant la chute de Basso et Millar.
15h00: Bonjour à tous. Trois hommes sont échappés. le Néerlandais Boom, le Belge Wynants et l'Espagnol Perez Lezaun. Avec moins de 4 minutes, ces trois-là n'ont aucun espoir et se battent pour le maillot du combatif.
Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins, à bicyclette...
Le maillot jaune: Fabian Cancellara
Le maillot vert: Fabian Cancellara
Meilleur jeune: Tony Martin
>> le classement est à retrouver ici
Etape 1: Rotterdam-Bruxelles (223,5 km)
Une petite balade le long des canaux de Hollande? Pas vraiment. Entre Rotterdam et Bruxelles, les coureurs vont longer la mer et si le vent se met de la partie, la course peut être agitée tant les adversaires de Contador veulent le mettre en difficulté dans ces premiers jours de course aux faux-airs de classiques. A noter, le passage sur des ponts de plusieurs kilomètres de long.
>> Une course à suivre sur 20minutes.fr à partir de 15 heures
Le parcours entre Rotterdam et Bruxelles:
Le résumé anticipé du jour
Une belle petite échappée constituée de cinq Français emmenés par le vétéran et Christophe Moreau, 4 Hollandais et un équipier de RadioSchack et Astana se constitue dès le kilomètre 10. Le peloton musarde. Sur le premier pont, Vinokourov profite d’un léger faux plat montant pour attaquer. Contador est obligé de revenir sur son coéquipier et lui demande de rentrer dans le rang. «Pas besoin d’être dopé pour avoir du panache», marmonne Vino. Km 130. A l’arrière du peloton, Armstrong est lancé dans une grande conversation avec les frères Schleck et ne remarque pas ce petit vent de côté. Astana se met à rouler. La bordure est inévitable. Les échappés sont croquées («Avec 12 minutes d’avance au kilomètre 100, j’ai commencé à y croire», analysera Moreau). Malgré tous les boys à la planche, le groupe Armstrong termine à 30 secondes du groupe Contador. «Pas besoin d’avoir fait l’Ena pour savoir que quand il y a la mer, il y a du vent», lâche Contador à l’arrivée. L’étape est remportée au sprint par Cavendish.
La vidéo Ina du jour
Tour de France, tour de souffrance. Pour cette première étape, hommage aux gladiateurs des routes.
L’expression du jour: Saler la soupe
Une expression qui vient d’un temps où les vélos électriques n’existaient pas, l’EPO non plus. Mais le doping, oui. Saler la soupe se disait donc d’un coureur qui avait pris un peu trop de vitamines, comme on appelait poliment certaines substances illicites de l’époque. Et apparemment, certains n‘aimaient pas les soupes trop fades. «Il faut être un imbécile ou un faux-jeton pour s’imaginer qu’un cycliste professionnel qui court 235 jours par an peut tenir le coup sans stimulants», déclare à L’Équipe, Jacques Anquetil en 1967. Victime la plus connue de ce dopage des débuts, Tom Simpson, tombé sur les pentes surchauffées du Ventoux. En espérant que les coureurs n’abusent pas de la salière cette année.
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