0038-/-ACTUALITÉS Du Mardi 07 février 2017
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الثلاثاء 07 أفريل 2017 م
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Algérie - Prévisions météo du Mardi 07 Février 2017
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أحوال الطقس في الجزائر لي الثلاثاء 07 فيفري 2017 و
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ACTUALITÉ
ACTUALITÉ
Licences d'importation: la liste et les quotas des produits fixés la semaine prochaine
Alerte météo : De la neige et du vent sur le Centre et l'Est du pays
Décès de l'ancien Chef du gouvernement Smail Hamdani, il sera inhumé mercredi
Vers la révision de la tarification de l'eau en fonction des utilisateurs
Figure de l’islamisme radical : La face cachée de Djaballah
Utilisation des moyens de l’état lors de la prochaine campagne électorale : Abdelwahab Derbal avertit les ministres-candidats
Kamel Jendoubi. Ex-président de l’Instance indépendante des élections en Tunisie : «L’autorité du processus électoral vient de la confiance des citoyens»
Célébration de l’officialisation de Tamazight : L’académie attendra la prochaine Assemblée
L’an I de la nouvelle constitution : La démocratie promise différée
Règlement intérieur de l’APN : Le projet de loi reporté
SPORTS
Après sa consécration à la CAN-2017 : Retour triomphal du Cameroun sur la scène africaine
CAN-2017 : Broos, la première histoire belge d’Afrique
JS Kabylie : Face à Sétif sans Hidoussi
MCA : Conforter la position de leader avant le déplacement au Ghana
Ligue des champions : Béchar se prépare à recevoir les Rangers du Nigeria
En bref…
ECONOMIE
Limitation de la production de l’Opep : L’accord sera-t-il renouvelé ?
En raison des ruptures de stocks : L’activité commerciale en baisse
Industrie automobile : Un taux d’intégration de 40% est vital
Indices
L’Algérie compte solliciter la BAD pour financer le programme des énergies renouvelables
4e édition du Salon national de la formation continue : Nécessaire adaptation aux besoins du marché
INTERNATIONAL
Jacob Mundy. Spécialiste du dossier sahraoui et professeur à l’université Colgate (Etats-Unis) : «L’UA pourrait avoir semé les germes de sa propre destruction»
Mohamed Salem Ould Salek, ministre sahraoui des Affaires étrangères : «Nous attendons les Marocains au tournant»
Crise libyenne : Haftar favorable à une alliance avec Moscou et Washington
Après la réintégration du Maroc au sein de l’Union africaine : «Toutes les options restent ouvertes», selon le Front Polisario
États-Unis : Encore un camouflet pour Trump
Initiative algéro-tuniso-égyptienne pour la Libye : Une présidence politique et un gouvernement de technocrates
CULTURE
Mes indépendances, de Kamel Daoud : Chroniques irrévérencieuses d’un pays malmené
Brahim Achir. Artiste-peintre : «L’Algérie envahit toutes mes toiles !»
Adaptation du roman «Sans voile, sans remord» de Leila Aslaoui au théâtre : Retour sur une histoire tragique
Parution. Maghssi de Laâradji Nourredine : Histoire de dire merci tout court
Centre arabe d’archéologie à Tipasa : L’Alecso n’a pas honoré ses engagements financiers envers l’Algérie
Azzedine Mihoubi. Ministre de la Culture : A l’issue de sa visite au chantier du CAA, le ministre de la Culture a bien voulu répondre aux questions d’El Watan
Licences d'importation: la liste et les quotas des produits fixés la semaine prochaine
le 07.02.17 | 15h16
La liste et les quotas des produits soumis au régime des licences d'importation seront définis lundi prochain, a indiqué mardi à Alger le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville et ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune.
"La liste des produits concernés par les licences d'importation et leurs quotas seront définis le 13 février en cours lors d'une réunion interministérielle (commerce, finances, industrie et agriculture) présidée par le Premier ministre", a précisé M. Tebboune à la presse en marge d'une rencontre avec les cadres du secteur du commerce.
"C'est cette réunion qui va définir les quotas et les nouveaux produits concernés" par le dispositif des licences, a-t-il fait savoir.
Pour rappel, jusqu'à présent, ce sont les véhicules, le ciment et le rond à béton qui sont soumis, depuis janvier 2016, au régime des licences d'importation, auxquels se sont ajoutés récemment les agrumes dont les domiciliations bancaires pour importations ont été gelées.
Interrogé par l'APS sur une éventuelle révision du quota d'importation de véhicules, M. Tebboune a répondu: "Je ne peux rien vous dire. Le quota sera arrêté par le Premier ministre. A l'intérieur du quota, il y aura des licences proportionnelles aux capacités d'importation des uns et des autres et à la qualité de l'importation".
En 2016, le contingent quantitatif d'importation de véhicules a été fixé finalement à 98.374 unités. S'agissant du gel récent des domiciliation d'importation de véhicules par les entreprises pour propre compte, M. Tebboune a indiqué que ce type d'importation sera, désormais, comptabilisé dans le quota d'importation des véhicules qui sera arrêté par le Premier ministre.
En 2016, il a été attribué 225 licences d'importations de véhicules, de ciment et de rond à béton par la com
Alerte météo : De la neige et du vent sur le Centre et l'Est du pays
le 07.02.17 | 14h47
Des chutes de neige et des vents forts devront affecter plusieurs wilayas du Centre et de l'Est du pays à partir de mercredi, a annoncé mardi l'Office national de météorologie dans un Bulletin spécial.
Des chutes de neige affecteront les reliefs du Centre et de l'Est dépassant les 900 mètres d'altitude des wilayas de Bouira, Tizi-Ouzou, Boumerdes, Sétif, Bordj Bou Arreridj, Bejaia, Jijel, Batna, Khenchela, Oum El Bouaghi et Tebessa.
L'épaisseur de la neige prévue atteindra ou dépassera 15 à 20 cm, localement 30 cm sur les Babors durant la validité du bulletin qui s'étale du mercredi à 15h00 au jeudi à 12h00, précise la même source.
Selon l'office, des vents forts de l'ordre de 60 km/h pouvant atteindre ou dépasser localement 70 km/h, souffleront sur les régions Centre et Est du pays à partir de mercredi matin. Les wilayas concernées sont: Alger, Boumerdes, Tizi Ouzou, Bouira et M'Sila pour le Centre, et ce de mercredi à 9h00 jusqu'à 18h00 heures.
Pour la région Est il s'agit des wilayas de Bejaia, Jijel, Skikda, Annaba, El Tarf, Bordj Bou Arreridj, Setif, Mila, Constantine, Guelma, Souk Ahras, Oum El Bouaghi, Khenchla, Batna, Tebessa et Biskra, où les vents souffleront du mercredi à 12h00 à jeudi à 18h00, précise le bulletin.
APS
Figure de l’islamisme radical : La face cachée de Djaballah
le 07.02.17 | 10h00
Si, durant ces dernières années, Abdallah Djaballah a expurgé un tant soit peu ses discours des questions essentielles des dogmes qu’il ne souhaite en aucun cas discuter, c’est assurément pour mieux intégrer le jeu politique national.
C’est l’unique homme politique algérien connu par son nom d’emprunt que par son vrai nom. Abdallah Djaballah, le président du parti El Adala, s’appelle en réalité Saâd Guettaf. Il est né d’une famille pauvre le 2 mai 1956 à Zeramma, dans la wilaya de Skikda. Il quitte le lycée adolescent et passe son bac en candidat libre. En 1978, il obtient une licence en droit à Constantine. Abdallah Djaballah ouvrira ses yeux sur l’islamisme politique sur les bancs de l’université de Constantine, une ville où les mouvements religieux proliféraient.
C’est à partir de 1974, à l’âge de 18 ans, que le natif de Skikda fera ses classes au sein du «mouvement du prédicateur Mohamed Salah Abed» qui présidait l’Association de la réforme morale et sociale, dont le siège était dans l’enceinte même de la mosquée Chendli de Constantine, qui servait en 1973 et au début des années 1980 de point de jonction entre tous les prêcheurs de l’islamisme en Algérie(1).
Chikh Abed, l’inspirateur de Abdallah Djaballah, qui était un fervent animateur de la sahwa islamique (renaissance islamique) de l’Algérie post-indépendante, a été incarcéré à plusieurs reprises par les autorités (sans pour autant l’en dissuader), puisqu’il revenait à chaque fois pour prêcher l’islamisme politique et le retour au temps des premiers califes orthodoxes. Abdallah Djaballah, son disciple, suivra son chemin. Abreuvé de la pratique rigoriste de la religion, il deviendra rapidement une figure très en vue des milieux islamistes constantinois et plus tard algérois.
Seulement, ce n’est pas un quelconque savoir pointu ou des capacités exégétiques hors du commun qui l’ont sorti de l’anonymat, mais la virulence de son activisme et de son action militante. L’International Crisis Group le décrivait ainsi dans un rapport qui avait fait parler, en 1999, ses anciens amis : «Réputé modéré, le cheikh Abdallah Djaballah est un intégriste ‘‘pur sucre’’. Il s’est fait connaître dans les campus universitaires par des expéditions punitives, à l’arme blanche, contre les ‘‘laïco-assimilationnistes’’ et les ‘‘femmes occidentalisées’’.»
Il sera emprisonné une première fois de 1982 à 1984, puis de 1985 à 1986 pour avoir prêché des discours religieux violents. Après Octobre 1988, Abdallah Djaballah lance d’abord Ennahda, à l’origine une association religieuse qu’il transformera, une année après, dans la foulée de l’avènement du pluralisme politique et suite à l’adoption d’une nouvelle Constitution, le 23 février 1989, en parti politique, dont les thèses étaient plus proches du wahhabisme du FIS que du programme dit modéré du Hamas de Mahfoudh Nahnah. S’il s’est démarqué de la violence du premier, il dénoncera également l’entrisme politique du second qui avait accepté d’intégrer le gouvernement.
Flirtant avec les idées subversives de l’application de la dawla islamia, et fervent tenant de l’islamisme radical, Abdallah Djaballah se gardera de verser dans la violence politique, qu’il ne dénoncera pas pour autant, allant jusqu’à refuser de prononcer le vocable terrorisme. Le président du parti El Adala — qui avait dénoncé l’arrêt du processus électoral en janvier 1992, et avait même été l’instigateur d’un comité qui avait pour objectif «la défense du choix du peuple» qu’il a dissous rapidement — considérait en effet que la violence islamiste était une violence légitime.
Le jeu caché d’un islamiste radical de pure souche
Acteur du Contrat de Rome et de la plateforme de Sant’ Egidio qui visait à réhabiliter le Fis, Abdallah Djaballah refusa de prendre part à l’élection présidentielle de novembre 1995. Il participera par contre aux élections législatives de 1997, lors desquelles son parti Ennahda avait glané 34 sièges. Islamiste haineux et intolérant, il est allé jusqu’à donner consigne à ses élus de ne pas toucher la main aux «laïcs», synonymes d’impies, pour lui.
Tout comme les membres de la direction du Fis dissous, il cultive une incroyable aversion contre les valeurs démocratiques qu’il considère incompatibles avec les principes de la charia qu’il veut appliquer à la lettre. Si ces dernières années, Abdallah Djaballah a expurgé un tant soit peu ses discours des questions essentielles, des dogmes qu’il ne souhaite en aucun cas discuter, c’est assurément pour mieux intégrer le jeu politique national.
Sa communication ne porte que sur les questions qui font consensus et lesquelles sont largement partagées par la classe politique (corruption, alternance au pouvoir, le rôle de l’armée, le pouvoir d’achat, les inégalités sociales, etc.). Mais dès qu’il s’agit de s’exprimer sur l’école, la femme, sur les questions identitaires, l’homme se montre sous son vrai visage : «Tamazight, en caractères latins, est une menace pour la langue arabe», «la place de la femme est dans la charia».
Au sujet des réformes dans le secteur de l’éducation, Djaballah accuse la ministre du secteur, Nouria Benghabrit, de «franciser» l’école algérienne. Un député très proche de lui la qualifie carrément de «danger pour l’ordre public». Le président de ce qu’on appelle désormais Ennahda historique n’est pas un islamiste modéré, si on admet qu’il en existe, mais un intégriste de pure souche. Sa femme refusa même qu’on publie sa photo dans un journal qui l’avait interviewée, il y a quelques jours.
Fatima Ismaïl, de son vrai nom Fatouma, qui a confirmé sa décision de présenter sa candidature aux prochaines élections législatives, a préféré qu’on mette la photo de son époux à la place de la sienne. Elle qui a accompagné son mari dans le militantisme pour l’instauration d’une république islamique depuis les années 1970, en faisant la prédication pour le port du voile, compte bien, toujours à visage non découvert, «concentrer sa campagne électorale sur la femme algérienne». L’intégrisme est, visiblement, depuis longtemps une affaire de famille.
En reprenant ses anciens partis, Ennahda et El Islah ainsi que Nabni créé par une frange de ses anciens lieutenants, devenus formations minuscules sans aucun ancrage, Abdallah Djaballah voudrait bien retrouver son lustre d’antan. Pourra-t-il le faire, lui qui a préféré hiberné depuis l’élection présidentielle de 2004, en astreignant son activité à la mise en place d’un autre parti politique qui est El Adala ? L’islam orthodoxe des premiers califes qu’il prône trouvera-t-il preneur ? Djaballah, auquel on ne connaît aucun parcours professionnel, n’ayant paraît-il jamais travaillé, n’est pas un enfant de chœur.
Il surfe sur le vent de la contestation qui souffle sur le pays, en voulant se donner une façade d’opposant islamiste fréquentable, en fréquentant une fois la CLTD lors de sa création en 2013 à Mazafran, mais sa vraie nature finit toujours par le trahir. Djaballah reproche à son alter ego tunisien, Rached Ghannouchi, d’avoir abandonné la charia. En réalité, ce qui diffère Djaballah de Ali Benhadj ou de l’autre salafiste Hamadache, c’est la pratique politique. Le premier préfère la sobriété, et les deux autres la politique spectacle.
Said Rabia
Vers la révision de la tarification de l'eau en fonction des utilisateurs
le 07.02.17 | 13h49
Une nouvelle tarification de l'eau est en cours d'étude qui déterminera le barème en fonction de la catégorie des utilisateurs (opérateurs économiques, ménages...), a indiqué mardi le ministre des Ressources en eau et de l'Environnement, Abdelkader Ouali.
Ce futur système de tarification, qui permettra de palier au gaspillage de l'eau qui a atteint des dimension alarmantes, épargnera toutefois les ménages qui ne dépasseront pas une certaine quantité de consommation d'eau, a précisé le ministre sur les ondes de la radio nationale.
"Cette nouvelle tarification sera basée sur deux principes importants: le premier étant ceux qui consomment le plus payent le plus, tandis que le second est que la tarification doit aussi être conforme au niveau de consommation", a expliqué M. Ouali.
Ainsi, les ménages qui ne consomment pas au delà d'un certaine quantité seront épargnés par ce futur dispositif de tarification, permettant ainsi au secteur de cibler le soutien des prix de l'eau par l'Etat, a-t-il avancé.
A ce propos, il a fait valoir qu'il ne serait pas question que l'eau soit cédée aux activités industrielles, touristiques, aux commerçants qui ont des douches ou aux limonaderies au même prix que celui des ménages.
Par ailleurs, il a expliqué que cette mesure contribuera à résoudre le problème du déficit financier de l'Algérienne des eaux (10 milliards de dinars) qui croule également sous le poids des branchement illicites et des fuites d'eau.
APS
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