En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d'intéréts.
Par Samira Imadalou Figure emblématique du socialisme, des nationalisations et des contrôles de l’Etat sur l’économie, Hugo Chavez a laissé derrière lui un pays fortement dépendant ...
Hugo Chavez est mort. Celui qui a symbolisé la révolution bolivarienne et la lutte des peuples pour leur émancipation d’un ordre néolibéral injuste, est décédé à Caracas à 58 ans. Accusé de «populisme» par les Occidentaux et leurs redoutables machines médiatiques, Chavez était populaire et pas seulement dans son pays, le Venezuela. Dans un monde arabe où les dirigeants cultivaient la poltronnerie envers Washington et les capitales occidentales, il était «un Homme» selon la formule populaire en Algérie et ailleurs....
Par Bahia Aliouche L’arrêt, pour le dixième jour consécutif, de la production à la cimenterie Lafarge de Hammam Dhalaâ (M’sila), occasionne, selon le président de la ...
De notre envoyé spécial à Hassi Messaoud Smaïl Boughazi La Compagnie d’assurance des hydrocarbures Cash devrait lancer sa filiale assurance personnes avant la fin de l’année ...
Par Ziad Abdelhadi De par le nombre de salons qui se tiennent tout au long de l’année et entièrement consacrés à l’industrie agro alimentaire nationale, on ...
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahmani Deux (02) sacs en plastique soigneusement emballés et contenant 47 kilos de kif traité, ont été découverts il y ...
Par Salah Benreguia L’opérateur public de téléphonie mobile, Mobilis, a affiché, en 2012, un bénéfice net de plus de 12 milliards de dinars (plus de 160 ...
De notre correspondant à Constantine A. Lemili Des élus des partis d’Amara Benyounès et Louisa Hanoune, se sont fendus en date du 2 mars dernier d’un ...
Par Badiâa Amarni L’opérateur de la téléphonie mobile Nedjma a enregistré de bonnes performances en 2012. Les investissements de cette filiale du groupe Qatari Qtel rebaptisé ...
Par Amar Rafa Le président de l’APN, Larbi Ould Khelifa, a souligné hier le rôle de la promotion de la femme dans l’accélération du développement du ...
Par Badiâa Amarni Le bureau pour la promotion des échanges de l’ambassade d’Italie (ICE), en collaboration avec la Chambre de commerce de Brescia – PRO Brixia, ...
Par Reda Cadi L’opérateur Eutelsat Communications a annoncé, hier, la signature de trois contrats de renouvellement à long terme de capacité sur le satellite Eutelsat 5 ...
Par Youcef Salami Le Forum des chefs d’entreprise (FCE) a organisé, hier à Alger, une réunion consacrée aux dispositifs privés de règlement des litiges dans les ...
De notre envoyé spécial à Hassi Messaoud Smail Boughazi La ville de Hassi Messaoud abrite depuis hier, la troisième édition du Salon international des fournisseurs de ...
Le président vénézuélien, Hugo Chavez, est décédé hier
Le symbole de la révolution bolivarienne est mort
06-03-2013
Par Moumene Belghoul
Hugo Chavez est mort. Celui qui a symbolisé la révolution bolivarienne et la lutte des peuples pour leur émancipation d’un ordre néolibéral injuste, est décédé à Caracas à 58 ans. Accusé de «populisme» par les Occidentaux et leurs redoutables machines médiatiques, Chavez était populaire et pas seulement dans son pays, le Venezuela. Dans un monde arabe où les dirigeants cultivaient la poltronnerie envers Washington et les capitales occidentales, il était «un Homme» selon la formule populaire en Algérie et ailleurs. Hugo Chavez était aussi l’ami des Palestiniens dans leur long combat contre l’injustice et l’ordre colonial israélien. En 2009, lors de l’agression israélienne contre Ghaza, le président Chavez décide d’expulser l’ambassadeur de l’Etat hébreu dans son pays. Il ne pouvait, en homme libre, accepter cette agression contre un peuple qui se bat pour son existence. Une attitude digne que l’histoire retiendra à jamais. Dans son pays el présidente était un personnage pas comme les autres. Chavez a fait du Venezuela un des pays où il y a le moins d’inégalités et où le salaire est le plus élevé du
Medhi Lacen n'est pas suspendu Medhi Lacen, le capitaine de l’équipe nationale, pourra prendre normalement part à la prochaine rencontre Algérie-Benin, le 26...
USMA 1 - USMH 0 Le 31 mars 2012, l’USMH avait réussi à éliminer l’USMA en quart de finale de la Coupe d’Algérie.
CRBAF 0 - CRB 1 Les Belouizdadis sont revenus de leur déplacement à Aïn M’lila avec la qualification, après avoir battu la formation de...
dans le silence de la nuit... Orfia fi samt el lil s’attaque ouvertement à la lâcheté sociale qui entoure le drame des filles violées au maquis dans...
quand la mer est jaune Rassi ou rassek («Tête-à-tête») est le titre du nouveau texte écrit par le dramaturge, romancier et journaliste,...
Les mains d’Ennahda sont-elles tachées du sang de Chokri Belaïd ? La Tunisie entière retient son souffle, attendant que la vérité éclate. L’annonce de l’identité des présumés meurtriers affiliés au courant salafiste n’a pas calmé la colère de la rue qui exige de connaître les commanditaires.
;
<img s
+++++++++++++++++++++++++++
+
++++++++++++++++++++++++++
S
TENSIONS SUR LE FRONT SOCIAL
-ILS SONT À LEUR DOUZIÈME JOUR DE GRÈVE DE LA FAIM Les étudiants de l’ISMAS ne désarment pas -LA GRÈVE SE POURSUIT À COLAITAL Tension sur le lait en dépit des mesures de l’Onil -IL COMPTE PARALYSER LES UNIVERSITÉS LES 18 ET 19 MARS Le Cnes maintient son mot d’ordre de grève -ILS ONT TENU DES SIT-IN DEVANT LE MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION Colère des adjoints de l’éducation et des corps communs ...Suite
Abdelaziz Ziari dépose officiellement sa candidature pour le poste de secrétaire général du Front de libération nationale. Selon une source proche du parti, l’actuel ministre de la Santé est, depuis hier mercredi, le troisième candidat à se manifester officiellement pour succéder à Abdelaziz Belkhadem. Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - A vrai dire, cette candidature était déjà dans l’air depuis quelques jours. Ziari, qui est membre du bureau politique, était le premier à afficher ses ambitions avant même la tenue de la dernière session du comité central et la destitution de Abdelaziz Belkhadem, lorsqu’il adressait une correspondance à Bouteflika en personne pour lui demander l’autorisation de se porter candidat. Selon une source très bien informée, Ziari n’a toujours pas reçu la moindre réponse à sa correspondance. L’ancien président de l’Assemblée rejoint en tout cas les deux autres candidats au même poste qui sont l’autre ancien président de l’APN, Amar Saïdani, et l’ancien mouhafedh d’Alger du temps de Houari Boumediène et actuel sénateur, Mohamed Boukhalfa. Ce dernier, certes moins connu du grand public, n’en jouit pas moins de l’estime de nombreux militants et responsables de l’ex-parti unique. Appartenant à la génération des anciens moudjahid, il a fait toute sa carrière au FLN sans, toutefois, exercer des fonctions étatiques. Aussi, majoritairement, les membres des deux ailes contestatrices du FLN, que sont le mouvement des «redresseurs» et celui dit des «centralistes», le soutiennent. Publiquement pour certains, en coulisses pour d’autres. En tout cas, ils le préfèrent aux deux autres concurrents. Beaucoup parmi eux n’admettent pas du tout de voir Amar Saïdani postuler au poste de secrétaire général, avec le soutien des «hommes d’affaires», lui qui, par ailleurs, traînent toujours cette lourde présomption d’avoir été impliqué dans l’affaire du scandale du GCA (l’affaire des concessions agricoles). Cette affaire que la justice avait ouverte du temps où Saïdani était encore président de l’Assemblée n’a jamais été traitée jusqu’au bout. «Le dossier de Saïdani est au niveau de la Cour suprême. Il est accusé d’avoir détourné 3 000 milliards de centimes», nous disait un membre du bureau politique, Abdelhamid Si Affif. Cela, tandis que d’autres évoquent également l’affaire de «l’argent de la campagne de Bouteflika en 2004». La parution dans la presse de ces révélations avaient du reste obligé Amar Saïdani à marquer «une pause» dans sa campagne qui était très dynamique pourtant, y a quelques jours. L’homme préfère désormais la discrétion et le travail en coulisses. Comme cette rencontre qu’il avait sollicitée de Abdelaziz Belkhadem, récemment. Et Ziari dans tout cela ? L’homme qui n’a plus la même cote auprès de Bouteflika comme en 2007 lorsqu’il suppléait, au dernier moment, la mise à l’écart du candidat du pouvoir à l’époque pour le poste de président de l’APN, l’ancien ambassadeur Abdelkrim Ghrieb, n’en reste pas moins plombé par d’autres handicaps dans ce genre de batailles. Ayant été membre du bureau politique avec Belkhadem, il est confronté à une grande opposition, parmi les membres du comité central appartenant aux deux ailes précédemment citées. De même que par l’aile proche de Abdelaziz Belkhadem qui, au lendemain de sa destitution, n’avait pas hésité, pour rappel, à traiter «de traîtres» les quatre ministres qui étaient avec lui au bureau politique : Amar Tou, Rachid Harraoubia, Tayeb Louh et Abdelaziz Ziari. K. A.
Pas de reprise de la production de lait à Colaital. Les travailleurs de la laiterie publique poursuivaient, hier, leur grève pour le septième jour consécutif. La tension sur le lait était toujours perceptible dans l’Algérois en dépit de l’injection par l’Onil de 400 000 litres de lait pour résorber le déficit né de l’arrêt de la production. Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Les travailleurs de Colaital poursuivaient, hier, leur grève entamée jeudi dernier, paralysant la laiterie et causant une véritable tension sur le lait dans plusieurs quartiers de la capitale. Ils continuent de réclamer le départ du secrétaire général du syndicat. Une revendication face à laquelle la direction reste impuissante puisque comme l’avait déjà rappelé le directeur de la laiterie, les affaires syndico-syndicales ne peuvent être réglées que dans ce cadre. Une direction qui considère d’ailleurs la grève comme étant illégale puisque aucun préavis de grève n’avait été déposé. Cela n’a pas empêché les travailleurs de maintenir leur mouvement et de conditionner la reprise par le départ pur et simple du responsable syndical. Une situation de blocage qui n’aura pas été sans conséquence sur l’approvisionnement en lait au niveau d’Alger. Au deuxième jour de la grève déjà, le lait commençait à manquer dans les épiceries. Dans certains quartiers, le lait est introuvable depuis plusieurs jours. Face à cette situation, l’Office national interprofessionnel du lait (Onil) a mis en place un programme d’urgence pour résorber le déficit. Jouant son rôle de régulateur, l’office, en collaboration avec les services du ministère de l’Agriculture et le groupe Giplait, a pris des mesures palliatives pour éviter la pénurie. L’office a décidé de confier la production de 400 000 litres de lait à six laiteries de la capitale pour résorber le manque à gagner de la laiterie de Birkhadem qui est considérée comme la plus importante en terme de capacité de production. N. I.
ILS ONT TENU DES SIT-IN DEVANT LE MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION Colère des adjoints de l’éducation et des corps communsILS SONT À LEUR DOUZIÈME JOUR DE GRÈVE DE LA FAIM Les étudiants de l’ISMAS ne désarment pasIL COMPTE PARALYSER LES UNIVERSITÉS LES 18 ET 19 MARS Le Cnes maintient son mot d’ordre de grève
Suite aux pluies et aux chutes de neige enregistrées au cours des dernières semaines, les 70 barrages répartis sur le territoire national enregistrent un taux de remplissage de 77,96 %, selon le ministère des Ressources en eau. F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) - Alors qu’il y a moins d’un mois, le taux de remplissage des barrages était estimé à 70 %, les dernières précipitations ont permis une reconstitution de la ressource. Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, avait de ce fait estimé la semaine dernière que la ressource disponible était appréciable. Il dira, à ce propos, qu'à l'ouest du pays, le taux de remplissage des barrages a dépassé celui des barrages du Centre, ce qui est une première, sachant que cette région est connue pour avoir subi un stress hydrique au cours des dernières années. Pour cette région du pays, le taux de remplissage des barrages est estimé à 74% pour 13 barrages. Les barrages de la région du Chélif sont à 68,83% de taux de remplissage. Concernant l’est du pays, connu pour ses importantes précipitations, les 23 barrages enregistrent un taux de remplissage de 77,96 % alors qu’au Centre, le taux est de 77,58 % pour 12 barrages. Sur le territoire national, le volume mobilisé est ainsi de 5 331,01 m3 pour 5017,58 m3 pour la même période de l’année passée. Le ministre des Ressources en eau avait aussi annoncé que l'Algérie disposera à la fin de l'année 2014, de 84 barrages d'une capacité globale de 8,9 milliards de mètres cubes. Les capacités de mobilisation actuelles sont de 7 milliards de mètres cubes pour 70 barrages sur le territoire national. F.-Z. B.
Tous les indicateurs de Djezzy sont au vert. L’opérateur de téléphonie mobile a affiché, hier, pour l’exercice 2012, un chiffre d’affaires de 143,3 milliards de dinars contre 135,6 en 2011, réalisant ainsi une progression de 6%. La plus forte croissance de ce chiffre d’affaires a été enregistrée lors du quatrième semestre de l’exercice avec 37 milliards contre 33,9 en 2011, une différence positive de l’ordre de 9%. Cette même tendance s’est répercutée sur l’EBITDA (revenus avant intérêts, impôts, dotations aux amortissements et provisions sur immobilisations) qui s’est situé à hauteur de 85,2 contre 80,4 en 2011, totalisant par conséquent une croissance de 6%. Ces chiffres démontrent, une fois encore, que Djezzy est la société la plus rentable dans le secteur des télécommunications en Algérie. Le rapport Capex/chiffre d’affaires est venu également conforter la tendance de Djezzy dans le maintien d’un fort volume d’investissement directement lié à l’exploitation. Ce rapport a atteint en 2012 le seuil de 11%. Il aurait été beaucoup plus important si les autorités publiques avaient lancé la licence 3G. Quant au nombre d’abonnés, Djezzy continue de défier la concurrence et de progresser dans la fidélisation de sa clientèle. L’opérateur comptait au 31 décembre dernier 17,85 millions contre 16,59 en 2011. Cette croissance, qui a atteint 8% entre les deux exercices, a permis à Djezzy de se maintenir dans sa position de leader avec notamment 55% de parts de marché. Pour sa dixième année d’activité en Algérie, Djezzy a réussi à fidéliser une clientèle ciblée par une concurrence de plus en plus attractive. Car le marché algérien s’approche davantage du seuil de saturation avec 39 millions de lignes GSM pour une population de 37 millions seulement. Il sera désormais très difficile de fidéliser les abonnés. Vers le dénouement Hier, lors de la présentation du bilan annuel du groupe, le patron de Vimpelcom a affirmé que «les négociations avec le gouvernement algérien sont toujours en progression et la société a pour objectif de parvenir à une solution mutuellement bénéfique». Cette déclaration confirme les informations faisant état de l’imminence d’un accord entre Vimpelcom et le gouvernement algérien sur la prise de participation majoritaire dans Djezzy. Contrairement aux bilans annuels précédents à travers lesquels il se plaignait de beaucoup de contraintes, le groupe Vimpelcom a été cette fois-ci très positif dans l’analyse de l’évolution de sa filiale algérienne. D’ailleurs, il la situe parmi les unités les plus rentables du groupe. Néanmoins, la dévaluation du dinar algérien par rapport au dollar américain a considérablement affecté les résultats de Djezzy à l’international. La parité est passée à la clôture de l’exercice à 78,94 en 2012, contre 75,33 au cours de l’année précédente, totalisant une dépréciation de l’ordre de 4,6%. Hier, la Bourse de New York a favorablement accueilli le bilan de Vimpelcom. L’action du groupe, qui affichait une progression de l’ordre de 3%, démontrait la confiance des investisseurs dans ce groupe qui gère, quand même, un portefeuille capitalisé en Bourse de l’ordre de 19 milliards de dollars. F. B.
Le tirage au sort des quarts et demi-finales de la coupe d’Algérie de la catégorie des U21, challenge réservé exclusivement aux clubs des Ligues 1 et 2 a été effectué hier au siège de la LFP(Alger). Plusieurs chocs sont prévus à partir des quarts de finale, à l’instar de la confrontation USMH-ESS.
Aussitôt rentrés du Niger, les Kabyles de la Soummam se sont remis au travail en prévision de leur match comptant pour la 23e journée face au leader, l’ESS, avancé pour demain vendredi à 15h, au stade de l’Unité maghrébine de Béjaïa. Les Béjaouis, qui ont bénéficié d’une seule journée de repos pour pouvoir respirer et reprendre des forces après leur long et harassant voyage en terre nigérienne, ne veulent surtout pas perdre de temps afin de s’assurer une meilleure préparation pour réussir à négocier à leur avantage cette joute contre l’Aigle noir de Sétif et s’éloigner définitivement de la zone rouge. Les hommes de Solinas, qui ont pris des couleurs avec cette belle qualification au prochain tour de la Champions League africaine devant le représentant nigérien, l’Olympique FC de Niamey, restent confiants quant à l’issue de ce rendez- vous sétifien. Une victoire contre le leader du championnat mettra en confiance les Béjaouis pour la suite du parcours en championnat et leur donnera, par la même occasion, un peu plus d’assurance dans la perspective de leur prochain match contre la coriace formation ghanéenne, l’Ashanti Kotoko, le 15 mars en Champions League africaine. Les gars de Yemma Gouraya, qui ont contraint au partage des points, à l’extérieur, la formation d’El-Eulma, la journée précédente, auront à cœur de confirmer ce regain de santé en empochant les trois points de la victoire dès demain vendredi devant une équipe ententiste qui leur réussit plutôt bien. Le driver vert et rouge, Solinas, a minutieusement préparé son plan d’attaque pour réussir cette mission très délicate face aux Noir et Blanc de Sétif. Une formation sétifienne que le coach béjaoui connaît assez bien pour avoir eu à l’entraîner par le passé. L’ambiance joyeuse et bon enfant observée durant les entraînements constitue un bon signe pour les Vert et Rouge qui aborderont ce match face à l’Aigle noir dans de bonnes dispositions mentales. Un seul souci pour le staff technique, la défection de pas moins de trois joueurs-clés à savoir Zerara, Zafour et Megateli. Absent depuis le match face à El-Eulma, Toufik Zerara se trouve actuellement en France au chevet de son père malade. Les deux autres joueurs, Zafour et Megateli, ne prendront pas part à la partie pour cause de blessure. Le technicien italien de la JSMB pourra compter néanmoins pour ce rendezvous face à l’ESS sur les services de sa nouvelle recrue africaine, le Malien Moussa Coulibaly, pour pallier la défection du capitaine béjaoui, Brahim Zafour. S’agissant de la deuxième recrue malienne, Bangoura, ce dernier, qui a écopé d’un carton rouge devant le MCEE, ne sera pas également de la partie. Ces défections ne semblent toutefois pas tellement affecter la sérénité du groupe vert et rouge, déterminé à se surpasser pour garder les trois points à Béjaïa. Le team béjaoui, qui espère compter pour la circonstance sur un retour massif de ses supporters, se dit «mentalement bien préparé» pour cette joute. «On est conscient de l’enjeu. L’équipe n’a pas connu de victoire depuis très longtemps en championnat et il faudra assurer au plus vite notre maintien. La valeur de notre adversaire doit nous stimuler davantage pour se donner à fond sur le terrain pour arracher la victoire. Nous avons besoin de ces trois points pour améliorer notre situation au classement et on est fermement décidés à ne pas se laisser faire», a déclaré le portier international de la JSMB, Cédric Si Mohamed. A. K.
La maison de la culture de Béjaïa est en passe de réaliser une exceptionnelle manifestation culturelle à l’occasion de la Journée mondiale de la femme. Tous les moyens, toutes les bonnes consciences sont à pied d’œuvre pour marquer dignement la date symbole. A partir d’hier, c’est le branle-bas de combat chez les responsables de l’institution, et ce, jusqu’au vendredi. Le chapiteau s’est déjà mis au diapason de la douceur et de la beauté, avec un programme culturel varié et exclusivement en l’honneur de la femme. La grande mallette artistique vouée à faire marquer cet évènement semble être bien établie et conçue aux fins de marquer merveilleusement l’événement. A cet égard, la maison de la culture de Béjaïa a adressé un message de reconnaissance pour la femme avec l’élaboration d’un programme culturel très varié, à savoir des expositions, récitals poétiques, théâtre, défilé de mode, cycle de conférences et témoignages, projection de films et galas artistiques. Au hall des expositions, les invitées auront à revisiter les stands assez diversifiés. Le programme s’étalera jusqu’à clôture, ce qui permettra sans nul doute à des milliers de jeunes filles et de femmes de s’ouvrir des fenêtres sur plusieurs disciplines artistiques, notamment les arts plastiques, la photographie, les arts décoratifs, la poterie, couture et dans tout ce que la femme locale excelle. La mouvance culturelle s’enchaînera les après-midis par des récitals poétiques animés par une pléiade de poétesses algériennes où l’on laisse, selon Salima Gaoua la directrice de l’enceinte, «défiler la parole arrangée au féminin, entr’actés d’un défilé de mode afin de replonger dans les traditions et la modernité de l’habit algérien d’où l’on ressort une balade guidée dans les différentes régions du pays où chacune s’illustre par sa spécificité». De la musique, il y en aura pour tous les goûts ; les organisateurs ont concocté, pour la deuxième journée de la manifestation, de l’andalou. Dans l’après-midi, ce chant charmera les fanes de ce style qui sera donné par la troupe les Andalouses de Béjaïa. Un cycle de conférences, qui a précédé l’événement, a eu lieu hier mercredi 6 mars dans la mesure de combiner la sainteté physique et morale. Ces dernières sont organisées en deux catégories, la première fixant le thème «Les clefs de l’amour conjugal» animée par Mme Aïssou Maâfri Salima, la seconde sur la santé, «Comment la femme peut préserver sa santé», animée par Dr Hamissi. Le fait marquant de ces rencontres et qui reste unique dans les annales des hommages est incontestablement réservé aux anciennes maquisardes dans les rangs de ALN, sciemment celles de la IIIe Région historique qui seront appuyés par des témoignages de ces femmes symboles du courage et de la résistance. Aujourd’hui, les femmes assisteront à la projection du film Rachidade Yamina Chouikh, qui sera suivie d’un gala artistique animé par Asma Djermoune, Hamid Belbèche, Rabah Hayoune, Nourddine Saïdi, Haroun Ben Hadji. Demain vendredi 8 mars, le jour J, le programme sera couronné par un grand gala spécial femmes, qui sera animé par les artistes locaux dont Smaïl Sennani, Hassane Terki et Salim Mokrani entre autres. Joyeuse fête. Kamel Gaci
Abdekka a procédé à des mouvements dans le corps des walis.
Comme c’est vilain !
C’est un vrai tableau abstrait. Peut-être même proche de l’école surréaliste. Certains experts n’hésiteraient sûrement pas à le classer dans le courant dadaïste. Et ma foi, ils auraient raison ! Cette œuvre unique, nous la devons à la justice ! Oui, la justice fait aussi dans l’art, le grand art. Jugez-en : le tribunal vient de déclarer la grève des étudiants de l’ISMAS légale, mais exige d’eux dans le même temps qu’ils évacuent les lieux, leur propre institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l’audiovisuel ! Je pense que c’est une première ! Comment dire ? A côté de cette sentence, le flou artistique, c’est vraiment de la culture de supermarché, de l’art low cost ! Il faut vraiment avoir une âme d’artiste torturé pour pondre une telle décision. On te dit «oui m’sieur ! Ta grève est tout à fait légale !» Et dans le même temps, on t’ordonne de décamper du seul lieu où la tenue de ta grève a un sens, ton institut. Du coup, le défi est lancé aux étudiants ! Eh oui, forcément ! Il leur faut être au moins au niveau fantasmagorique des magistrats ayant statué sur leur mouvement. C’est d’ailleurs un défi magnifique pour un artiste. Imaginer un support de grève légal autre que l’ISMAS ! Suspendu au-dessus de la plage nord de Bordj-El-Kiffan ? Pourquoi pas ! Une sorte de nuage estudiantin, un I-Cloud de la colère artistique qui envelopperait tout le quartier de l’Institut, mais surtout pas l’Institut lui-même, l’enceinte, pour ne pas s’exposer aux foudres de la loi. Ça peut d’ailleurs déboucher sur une rencontre rare, inédite même entre l’art dramatique et la science de la lévitation. Je vois d’ici les têtes éberluées des gendarmes regardant le ciel, impuissants à atteindre les étudiants grévistes de l’ISMAS réfugiés eux sur des nuages. Nuages sur la blancheur desquels seraient tagués des slogans hostiles à la ministresse. Essaie, toi, de menotter des fauteurs de troubles nichés dans un cumulo-nimbus ! En même temps, ça risque de poser problème les jours de ciel sans nuages. Pas de nuages dans le ciel, pas de grève légale ! Comment faire ? Un rassemblement juste en face de l’institut, mais sur l’eau, dans la mer ? Pourquoi pas ! Tant que les étudiants ne franchissent pas le seuil de leur fac, c’est légal ! Oui, d’accord. Mais… et les jours où la mer est démontée ? Ah ben là, ils repartent sur leurs nuages, forcément. Un jour de mer démontée, c’est un jour de nuages. Et même d’orages violents. La foudre peut s’abattre n’importe où. D’ailleurs, les jours de mer démontée, d’orage et de foudre, il vaut mieux fumer du thé pour rester éveillé à ce cauchemar qui continue. H. L.
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres
Inscription au blog
En vous inscrivant vous pourrez si vous le souhaitez être prévenu par email en cas de nouveauté (article, commentaire, sujet sur le forum) et personnaliser votre profil pour participer au blog.