0022/-ACTUALITES Du Dimanche 22 janvier 2017
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Dimanche 22 Janvier 2017
الاحد 22 جانفي 2017 م الأحد 24 ربيع الثاني 1438 ه
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ACTUALITÉ
Education: 2.689 établissements scolaires fermés à cause des intempéries
Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale Française : «Les pays du Maghreb sont au cœur d’une instabilité politique et sécuritaire»
Les Algériens et la CAN-2017 : Le racisme déferle sur les réseaux sociaux
Abdelmalek Bouchafa (FFS) à Tizi Ouzou : «Le pouvoir veut diviser la société»
À quelques mois des législatives : Le FLN avance dans le flou
L’instance de surveillance des élections entamera son travail aujourd’hui : Abdelwahab Derbal chassera- t-il le spectre de la fraude ?
Leurs demandes d’audience n’ont pas été satisfaites : Les étudiants en pharmacie durcissent leur action de protestation
Rencontre internationale sur la médecine d’urgence : Une occasion pour appuyer l’expérience du SMUR nouvellement initiée à l’EHU d’Oran
Fonctionnaires de l’orientation scolaire : Rassemblements le 24 janvier devant les directions de l’éducation
Journaliste d’El Watan «malmené» à Boumerdès : Naftal enquête et présente ses excuses
SPORTS
CAN-2017. Algérie - Sénégal, J-1 : Des changements s’imposent
Équipe nationale : Georges Leekens sur la sellette
Djamel Mesbah : «Nos chances sont minimes»
Sadio Mané. Attaquant du Sénégal : «Même malade, l’Algérie impose le respect»
Echos du Groupe B
MO Béjaïa : Les Crabes face à l’ESM en amical
ECONOMIE
Céréaliculture : L’OAIC se lance dans la production de blé
Application des accords de l’Opep : La Russie réduit sa production de 100 000 barils par jour
Secteur des hydrocarbures : Une croissance de 7,7% au 3e trimestre 2016
L’OAIC demande des terres pour la production de blé dur
Accusé d’avoir suspendu ses livraisons de gaz à la France : Les arguments de Sonatrach
Énergies renouvelables : Les conditions de l’appel d’offres adoptées
INTERNATIONAL
Donald Trump investi, vendredi, 45e président des États-Unis : Les hommes-clés de la nouvelle Administration américaine
L’UGTT entame aujourd’hui les travaux de son 23e congrès : Les syndicalistes tunisiens à la croisée des chemins
Affaire du bateau Key Bay : Le Front Polisario porte plainte auprès des Douanes françaises
Investiture hier du nouveau président américain Donald Trump : Les promesses électorales à l’épreuve du pouvoir
Discours d’investiture du 45e président des États-Unis : À partir de maintenant, ce sera «l'Amérique d'abord»
Hostilité à l’égard de l’accord sur le nucléaire iranien
CULTURE
Ahmed Madi. Président du Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) : «Rien de concret n’a été entrepris ou appliqué par les décideurs»
Netherworld, de la troupe tunisienne Clandestino : Démasquer les mascarades
Clôture du festival du théâtre arabe : Hommage à Ould Abderrahmane Kaki et Fethelnour Benbrahim
Portrait . Mohamed Kadri. jeune comédien : «Mon maître à jouer demeure Athmane Ariouet»
Clôture du 9e Festival du théâtre arabe : La pièce marocaine Kharif décroche le Grand prix
Hanane Bourai. Enseignante et auteure : «L’écriture est une thérapie pour moi»
Education: 2.689 établissements scolaires fermés à cause des intempéries
le 22.01.17 | 12h39
Plus de 2.600 établissements scolaires ont été touchés par les intempéries dans 13 wilayas du pays, entraînant une suspension des cours, a indiqué dimanche le directeur de l'enseignement fondamental au ministère de l'Education nationale, Nabil Bendeddouche.
Intervenant sur les ondes de la chaîne III de la Radio algérienne, M.Bendeddouche a fait état de 2.689 établissements scolaires touchés par les dernières intempéries et concernent les trois paliers de l'enseignement (1.822 écoles primaires, 164 établissements du cycle moyen et 303 lycées).
Le même responsable a précisé que la durée des arrêts de cours variait d'une wilaya à une autre, citant plus particulièrement celles de Tizi-Ouzou et Bejaia qui ont enregistré un retard de cinq jours.
Le rattrapage des cours se fera durant les journées de samedi et mardi après-midi, a-t-il indiqué, ajoutant que les inspecteurs de l'éducation seront mobilisés dans cette opération pour éviter qu'il y ait une "surcharge supplémentaire" des cours au niveau des établissements concernés.
La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, avait fait part, jeudi dernier, de l'élaboration d'un programme de rattrapage des cours non dispensés en raison de la fermeture de certains établissements scolaires suite aux intempéries qui ont touché plusieurs wilayas du pays.
Elle avait précisé que le rattrapage des cours "ne représente aucun problème" pour le secteur, soulignant qu'il a été convenu, lors de sa rencontre avec l'instance d'inspection, de l'élaboration d'un programme permettant de mettre l'accent, au cours du deuxième trimestre, sur l'accompagnement des enseignants pour le rattrapage des cours non dispensés.
La ministre qui a souligné que le retard accusé diffère d'une wilaya à une autre et d'un établissement à un autre, a affirmé que son département "prendra les mesures nécessaires dans l'intérêt des élèves".
APS
Rencontre internationale sur la médecine d’urgence
Une occasion pour appuyer l’expérience du SMUR nouvellement initiée à l’EHU d’Oran
le 22.01.17 | 10h00
Première du genre, une rencontre internationale de deux jours sur la médecine d’urgence se tient depuis hier au bloc pédagogique de l’EHU d’Oran.
Des spécialistes exerçant dans des établissements hospitaliers locaux et étrangers (principalement français) participent à cette manifestation, qui compte plusieurs sessions de conférences, des présentations sous forme de posters et des ateliers pratiques pour permettre au personnel impliqué dans les urgences d’acquérir un maximum de connaissances. Les aspects organisationnels nécessaires pour le bon fonctionnement des services d’urgence sont également pris en considération.
La problématique des urgences se pose de manière générale, mais cette rencontre vient, en quelque sorte, appuyer l’initiative du SMUR, une nouveauté en Algérie lancée à Oran par l’EHU et qui vient juste de commencer (le 5 janvier) à intervenir sur le terrain. «Lorsque nous recevons un appel pour une urgence, nous n’allons pas chez le malade pour le ramener à l’hôpital, mais pour intervenir sur place», explique le Dr Badsi, mettant en avant le gain de temps que permet la notion du «pré-hospitalier», jusque-là inexistant chez nous. Le service dispose d’une ambulance médicalisée et en attend deux autres mais, ajoute la neurologue, «ce qui fait la différence, c’est la formation du personnel».
Depuis le lancement du projet, en septembre dernier, à l’initiative du directeur général de cet établissement qui a bénéficié du soutien de sa hiérarchie et de sa tutelle, des médecins ont été formés sur tous les aspects, y compris la coordination, ce qui a abouti au recrutement de 16 urgentistes formés dans plusieurs spécialités : neurovasculaire, réanimation, cardiologie, etc. La formation concerne également les paramédicaux et les ambulanciers.
C’est l’expérience du SMUR parisien qui a été adaptée au contexte local et toute une équipe de ce service, qui a fait ses preuves, qui s’est déplacée à Oran pour assurer les formations nécessaires. En plus d’une série de stages pratiques, des séances de simulation ont été organisées, car il s’agit aussi de coordonner avec l’hôpital la prise en charge optimale après l’intervention en amont. Les urgentistes du SMUR doivent par exemple être capables de traiter sur place un arrêt cardiaque et donc intuber, déchoquer une hémorragie digestive ou prendre en charge très rapidement un AVC en assurant le conditionnement et la communication avec le service. «Il faut intervenir en amont au lieu d’essayer de ramener le malade à l’hôpital pour ensuite, en désespoir de cause, constater son décès», conclut le Dr Badsi, qui espère par ailleurs que la spécialité «urgentiste» demandée par les médecins soit prise en considération par le ministère de tutelle en instaurant un DEMS (examen de spécialité).
C’est l’autre objectif de ces journées. De manière générale, «il faut que les urgences soient performantes et fonctionnent en continu», a estimé le professeur Boubekeur Mohamed, chef de service chirurgie à l’EHU, qui rappelle que l’intérêt accordé aux urgences répond à un souci exprimé à Oran autant par les citoyens que par les responsables du secteur, car l’hôpital de la ville accueille au-delà des limites de la wilaya. Il indique que le fonds des urgences dégagé grâce à une volonté présidentielle est une aubaine pour l’acquisition d’équipements mais aussi pour une meilleure prise en charge des malades en renforçant la chaîne de formation. «Nous avons le SMUR mais aussi le Samu et la Protection civile, mais toutes ces instances doivent coordonner leurs actions», estime-t-il. La coordination est enclenchée, mais les résultats concrets ne seront pas visibles tout de suite. Rendez-vous est donné dans deux mois pour évaluer cette nouvelle expérience.
Djamel Benachour
L’instance de surveillance des élections entamera son travail aujourd’hui
Abdelwahab Derbal chassera- t-il le spectre de la fraude ?
le 22.01.17 | 10h00
La Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE) tiendra, aujourd’hui, sa première réunion en prévision des législatives et des locales de 2017.
Il s’agit d’un premier contact entre les 410 membres de l’instance que préside Abdelwahab Derbal qui aura à assumer une lourde et complexe tâche : mettre un terme aux élections à la Naegelen en Algérie. Institué à la faveur de la révision constitutionnelle de 2016, cet organisme a, de l’avis de tous les acteurs et les observateurs de la scène politique nationale, du pain sur la planche. Critiquée par l’ensemble des partis d’opposition, dont une majorité réclame une instance indépendante de gestion du processus électoral, la HIISE est appelée d’abord à dissiper les doutes de la classe politique qui ne croit plus à la neutralité de l’administration.
Pour les partis de l’opposition, la surveillance des élections «n’est plus possible si l’administration chargée de l’organisation refuse de se soumettre à la loi et respecter le choix des électeurs».
Les différentes formations politiques qui prendront part aux prochains scrutins ne s’attaquent pas d’ailleurs à la personne de Abdelwahab Derbal, mais pointent du doigt le pouvoir qui, «tout en manquant de volonté politique d’organiser des joutes propres, veut se servir des personnalités nationales pour légitimer les élections».
C’est l’argument mis en avant par l’Instance de coordination et de suivi de l’opposition (ICSO). Cette coalition partisane appelle à la création d’une instance indépendante permanente d’organisation des élections, similaire à celle de la Tunisie qui a réussi à briller par son travail depuis 2011 dans ce pays, à arracher un prix Nobel de la paix. Mais leur demande ne sera pas satisfaite cette fois-ci. Le pouvoir refuse de lâcher sur ce point et qualifie cette exigence d’«irraisonnable».
Ce qui est déjà un facteur qui aggrave le scepticisme de la classe politique, qui croit que «les artisans des fraudes successives depuis l’indépendance ne tiendront jamais la promesse d’organiser des joutes nettes». Les partis de l’opposition se réfèrent, pour justifier leurs craintes, au scénario des législatives de mai 2012 où, malgré l’engagement y compris du chef de l’Etat à mettre fin aux élections à la Naegelen, les résultats du scrutin ont suscité des critiques acerbes de la classe politique.
Le fichier électoral : la boîte de pandore
Les membres de la HIISE sont certainement conscients de cette réalité et des défis qui les attendent. Mais comment comptent-ils procéder pour dissiper les doutes qui pèsent, à chaque fois, sur les élections ? Ils devront, en tout cas, redoubler d’effort pour offrir à tous les acteurs des gages et des garanties de respect de la volonté des électeurs.
Et parmi ces garanties, il y a sans doute l’ouverture de la boîte de Pandore qu’est le fichier électoral national. Ce dernier a été la source de toutes les polémiques à chaque rendez-vous électoral. Les partis et les différentes commissions de surveillance des élections installées par le passé ont réclamé l’assainissement de ce fichier, qui compterait près de quatre millions d’électeurs fictifs. Estimant que la taille du corps électoral (près de 23 millions d’électeurs) est exagérée, les responsables des différents partis affirment que «les artisans des fraudes électorales puisent de ce réservoir pour peser sur l’issue des scrutins». Abdelwahab Derbal et ses collègues de la HIISE pourront-ils prendre en charge cette problématique ?
Madjid Makedhi
Les Algériens et la CAN-2017
Le racisme déferle sur les réseaux sociaux
le 22.01.17 | 10h00
Alors que la Coupe d’Afrique des nations de football se déroule actuellement au Gabon, le racisme anti-Noir s’exprime sur un autre terrain : les réseaux sociaux.
Des supporters, notamment du Maroc et d’Algérie, ont lancé de nombreuses insultes racistes sur Facebook et Twitter surtout après leurs contre-performances au premier match face au Zimbabwe pour l’Algérie (2-2) et à la République démocratique du Congo pour le Maroc (0-1). Des attitudes largement dénoncées par plusieurs médias en ligne. «Les joueurs du Zimbabwe recevront leur prime de match en ticket resto», n’a pas hésité à écrire un internaute.
D’autres les qualifient de «singes». «Ils sont en train de perdre contre une équipe dont la moitié des joueurs sont séropositifs», provoque un autre internaute.
La CAN est censée réunir les nations africaines autour d’un challenge : être champion dans la sportivité, mais Twitter a été un moyen pour certains jeunes d’exprimer un racisme incompréhensible.
Des analystes qualifient ce phénomène de «négrophobe». Simple épiphénomène ou mal sociologique très profond ? Il faut dire que ce n’est pas la première fois qu’on assiste à ce déferlement de violence verbale, particulièrement lors de confrontations footballistiques. Les mots utilisés sont virulents. Les comportements hostiles deviennent plus visibles lors des crises. L’exemple le plus édifiant a été la crise diplomatique entre l’Algérie et l’Egypte suite au match de qualification à la Coupe du monde.
«Le fait est que les Algériens ont une attitude hostile, au point que certains comportements sont à la limite du racisme : les Chinois sont des mangeurs de chats, les Egyptiens sont des amateurs de fèves, les Marocains sont adeptes de la sorcellerie, etc. Ils adoptent ainsi un comportement distancié en collant des étiquettes», a observé Hocine Abdellaoui, sociologue, lors d’une enquête publiée par El Watan il y a quelques années. L’hostilité est devenue palpable ces dernières années car les jeunes n’ont plus peur de dire tout haut ce qu’ils pensent ; ceux des anciennes générations refoulaient leur violence, les jeunes d’aujourd’hui l’affichent sans crainte.
D’autres experts en réseaux sociaux ont une autre explication : il s’agit d’un simple plaisir de provocation et probablement que nombre d’internautes le font parce que les réseaux sociaux sont propices à l’anonymat. Avant, on réfléchissait avant de parler mais aujourd’hui on se sent tellement protégé et intouchable derrière son écran que l’on n’a plus vraiment conscience de ce que l’on dit et des réactions que cela peut provoquer. Pour certaines personnes, l’insulte peut être vécue comme un exutoire.
Ces réactions hostiles posent deux problèmes : le premier, c’est que ces commentaires postés sur internet ou les réseaux sociaux font boule de neige, alimentent un débat, créent un engrenage et deviennent impossibles à maîtriser ; le second, c’est que ce phénomène ne se limite pas seulement à un ensemble de réactions formulées sous le coup de l’émotion. Le caractère instantané de la transmission peut également expliquer l’absence de recul critique par rapport à un écrit.
Kamel Benelkadi
CAN-2017. Algérie - Sénégal, J-1 : Des changements s’imposent
le 22.01.17 | 10h00
La sélection nationale, qui a raté ses deux premiers matchs de la CAN-2017, se rapproche sérieusement d’une sortie précoce de la compétition, après le nul concédé face au Zimbabwe et la défaite enregistrée face à la Tunisie, jeudi dernier.
N’ayant plus leur destin entre les mains à la veille d’affronter le leader du groupe B et premier qualifié pour les quarts de finale, le Sénégal, demain à Franceville, les Verts devront s’imposer en espérant un faux-pas de la Tunisie, le soir même face au Zimbabwe dans l’autre match du groupe programmé à Libreville, pour espérer déjouer les pronostics et éviter le scénario cauchemardesque qui est déjà en marche. Une victoire est impérative et sans le moindre calcul pour l’équipe d’Algérie.
Cela passe inévitablement par plusieurs changements, pour ne pas dire une révolution au sein du onze rentrant. L’EN est loin d’être un foudre de guerre dans ce tournoi africain, pour ne pas dire depuis quelques mois déjà. Le réveil des Verts est désormais une nécessité.
D’ailleurs, il faut dire que si la sélection en est à se débattre pour une qualification plus qu’improbable avec un destin qui n’est plus entre ses mains, c’est tout à fait mérité au vu de la prestation générale de l’équipe lors de ses deux premiers matchs, et surtout l’incorporation de certains éléments qui ne devaient pas être alignés d’entrée.
C’est d’ailleurs, en grande partie, le choix de joueurs dicté par le technicien belge Leekens qui a mené à cette déroute des Verts. Des choix contestables qu’il faudra revoir en urgence face au Sénégal, où la volonté et la combativité d’un capé doivent être les critères de titularisation et non le nom, comme cela était le cas pour certains. Il suffit de se pencher sur les prestations des Ghoulam, Bentaleb, Mahrez et Ghezzal lors du dernier match pour se demander ce qu’a fait le Belge pour remédier à cette inertie déconcertante des Verts. Pourtant, des alternatives existent, aussi bien dans l’entrejeu qu’en attaque, et l’entrée gagnante d’un Sofiane Hanni — pratiquement marginalisé, non seulement depuis le début de cette CAN, mais depuis sa 1re convocation chez les Verts — est la parfaite illustration de cette «hogra» que subissent certains capés, titulaires indiscutables au sein de leur formation et marginalisés au sein de la sélection.
Oser pour éviter l’humiliation
Beaucoup plus proches d’une élimination que d’une hypothétique qualification miracle en quarts de finale, il sera surtout question pour Leekens et ses capés de ne pas subir une autre humiliation demain face au Sénégal. Très déçus par le parcours des Verts dans cette CAN-2017 au Gabon et surtout par ses prestations, les millions de fans espèrent un sursaut d’orgueil et veulent voir des joueurs combatifs sur le terrain et un coach qui ose aussi bien tactiquement que dans ses choix des joueurs. Quasi éliminés dès le 1er tour comme c’était le cas en 2013 en Afrique du Sud, il reste aux Verts à sauver l’honneur et éviter une autre humiliation en sortant un match d’hommes face au Sénégal. Les Fennecs ont-ils les moyens de se révolter ? C’est possible, si Leekens ose révolutionner son jeu et booster ses joueurs.
Tarek Aït Sellamet
NOUVELLES RELATIONS DE TRAVAIL C’est un rapport détaillé et qualifié d’«important» que le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale remettra au Premier ministre avant la fin de la semaine en cours, a-t-on appris. Un rapport qui tracera, ajoute-t-on, les contours de la nouvelle approche gouvernementale vis-à-vis du Suite... |
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