0067-/-ACTUALITÉS Du Mercredi 08 Mars 2017
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Mercredi 08 Mars 2017
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ACTUALITÉ
Condition de la femme : Le poids des archaïsmes
Une lecture de la transition démographique dans le monde arabe : Entre «fécondité politique» et résistance au wahhabisme
Me Anissa Belahcen Smati. Juriste auprès du réseau Wassila de défense des droits de la femme : «Maintenir la femme dans l’infériorité fragilise la famille»
Nadia Aït Zaï. Directrice du Centre d’information et de documentation sur les droits de l’enfant et de la femme : «Il faut nettoyer le code de la famille»
Elles ont dit
Mariage ‘orfi ou par la Fatiha : Quand les imams n’en font qu’à leur tête !
Dépôt des dossiers de candidatures à la députation : Des listes et des interrogations
Plaidoyer en faveur des droits des femmes autour du «serment de Paris» : Des féministes confrontent leurs expériences
L’étonnant «ratissage» du TAJ à travers le pays
Législatives : 18 listes et des surprises à Béjaïa
SPORTS
AGE-FAF : Vers le report des élections
CFA : Fin de mission pour Hammoum
CAF: La fièvre monte
USM Bel Abbès : D’anciens dirigeants convoqués par le juge d’instruction
MC Oran : Décès de l’ancien joueur Hammel
Annoncé mort lundi soir : Youcef Touati toujours vivant
ECONOMIE
Les niveaux de 2015-2016 sont alarmants : L’Algérie rattrapée par les déficits
Annonçant un déclin de l’offre de pétrole en 2020 : L’AIE craint un nouveau choc pétrolier
Industrie : Gomi diversifie ses activités
Travaux de la 20e réunion tripartite : Des intentions, en attendant les actes
Sellal assiste au redémarrage du haut fourneau de l’usine d’El Hadjar
Gestion hôtelière : Des Suisses en démarcheurs à Alger
INTERNATIONAL
Maroc : Un député marocain tué par balles à Casablanca
Péninsule coréenne : Nouvelles tensions entre Pyongyang et Séoul
Repère : Une péninsule sous tension
Luciano Ardesi. Expert italien de géopolitique du Maghreb : «Concernant la Libye, les préoccupations de l’Algérie sont légitimes et réalistes»
Six ans après la révolution en Tunisie : Quatre ministres de Ben Ali condamnés à six ans de prison ferme
Présidentielle en France : Alain Juppé se refuse à être le plan B pour la droite
CULTURE
Le cinéma algérien dans le marasme : Écran de fumée .........(2e partie et fin)
Et pour cause ! Les salles de cinéma sont vraiment, sans forcer le trait du pléonasme, obscures.
Ils en parlent....
Ammar Kessab. Expert en politiques culturelles : «Le financement du cinéma en Algérie reste complètement opaque»
2ème Journées internationales de philosophie d’Alger : « Le beau » en débat
Colloque international sur l’œuvre de l’artiste à l’université de Tizi Ouzou : Le doctorat honoris causa à Lounis Aït Menguellet
Le cinéma algérien dans le marasme : Cherche désespérément public (1re partie)
Mariage ‘orfi ou par la Fatiha
Quand les imams n’en font qu’à leur tête !
le 08.03.17 | 12h00
Contrairement au mariage officiel, les futurs époux n’ont besoin que de deux témoins et de l’imam pour être déclarés mari et femme.
Même si le contrat de mariage le plus répandu en Algérie reste celui officialisé par les autorités civiles, plusieurs autres types sont monnaie courante. Parmi les plus connus, le mariage par la Fatiha dit également «‘orfi». Contrairement au mariage officiel, les futurs époux n’ont besoin que de deux témoins et de l’imam pour être déclarés mari et femme. Cette union, justifiée par certaines convictions religieuses, reste souvent placée secrète ou utilisée comme un moyen pour contourner la loi.
Les cas se comptent par milliers et finissent toujours devant les tribunaux, soit pour officialiser cette union, soit pour protéger les droits de l’épouse et probablement ses enfants, fruit de cette union non reconnue par la loi. Pourquoi se marie-t-on ‘orfi ? Les réponses sont diverses, mais démontrent toutes des malaises sociaux.
Parmi les plus courantes, l’inconscience des jeunes filles victimes de leurs sentiments et croyant réellement en la bonne foi du futur époux. Dans les plus malheureux des cas, ce dernier se soustrait à ses responsabilités souvent dès les premiers mois de mariage, si une grossesse est confirmée. La jeune fille se retrouve ainsi face à un destin obscur avec une nouvelle vie à charge. Avec ces cas les plus courants, s’ajoute celui des jeunes filles encore mineures et mariées souvent par force sans consentement de leurs tuteurs.
Pressés de placer cette jeune mineure dans le foyer conjugal, ils recourent à ce type de mariage coutumier et attendent jusqu’à ce qu’elle atteigne l’âge de maturité légal, soit 19 ans, pour demander l’officialisation du contrat de mariage. Le mariage ‘orfi est également considéré comme une manière pour contourner la loi cadrant la polygamie. «Avec une législation imposant à l’époux d’avoir une autorisation de sa première épouse, ce dernier préfère avoir recours à la Fatiha pour aller au bout de son projet, celui d’avoir une seconde épouse.
Après quelques mois, et surtout si cette deuxième épouse est enceinte, le couple présente au tribunal compétent une demande d’officialisation de ce mariage religieux. Le juge, devant le fait accompli et dans le souci de protéger la femme et l’enfant, se plie à la volonté de ce couple et officialise cette union», déclare maître Ghofrane Kebaïli Mahboub, avocat près la cour de Blida. Selon ses propos, la femme est la première victime de ce type de mariage. En cas de grossesse, elle est considérée comme une mère célibataire, surtout en l’absence de documents juridiques officiels. Il lui est difficile de prouver la filiation (mère-enfant) et d’obtenir des documents d’état civil pour sa progéniture.
Le mariage ‘orfi, interdit par la loi
Si le mariage coutumier est une situation complexe pour le législateur qui ne va vers l’officialisation que devant le fait accompli, le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs est formel. Pour cette institution, le mariage ‘orfi est déclaré nul par les trois des quatre écoles connues en islam. La cause est l’absence de deux éléments phares dans le contrat de mariage religieusement officiel, à savoir la présence du tuteur et l’annonce publique du mariage.
Pour le directeur de l’orientation religieuse et de l’activité de la mosquée, Khaled Younsi, la position du ministère est connue et a instruit dans ce sens tous les imams à refuser toute sorte de contrat de mariage en l’absence du livret de famille. «Notre but est de protéger la femme et lui garantir ses droits et ceux de ses enfants en cas de divorce. Toutefois, nous relevons toujours des cas de mariage par la Fatiha. Il s’agit souvent de personnes qui ne font pas appel à des imams, mais plutôt à des personnes honorables connues pour leur honnêteté pour contracter cette union. Une action qui ne garantit point les droits de la femme vis-à-vis de la loi.
Dans d’autres cas, des imams sont mis dans la gêne et sont presque forcés à être les garants de ce type de contrat de mariage prenant pour gage les assurances des familles du couple», explique notre interlocuteur qui signale que les imams sont tous introduits face à la justice, s’ils enfreignent la loi et l’instruction du ministère quant à l’obligation de la présentation d’un contrat de mariage officiel avant tout contrat religieux.
Asma Bersali
Message de Bouteflika à l’occasion du 8 mars
«Le terrorisme menace encore notre pays»
le 09.03.17 | 12h00
Le chef de l’Etat a rendu hommage aux sacrifices des militaires de l’Armée nationale populaire dans la lutte contre le terrorisme.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a, à travers un message lu, hier, par la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Imane Houda Feraoun, rendu hommage aux sacrifices des militaires de l’Armée nationale populaire (ANP).
La cérémonie, présidée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, organisée hier à Alger et coïncidant avec la Journée mondiale de la femme, a été l’occasion pour le chef de l’Etat de souligner que «la victoire finale sur les menaces du terrorisme et du crime transfrontalier en appelle impérativement à la mobilisation et à la vigilance de tous les citoyens et citoyennes à assumer ce rôle préventif pour préserver la vie de leurs enfants et de leur patrie (...). Les foyers de tension et l’instabilité que connaît notre voisinage et où ont foisonné le terrorisme et le crime transfrontalier représentent un défi sécuritaire menaçant encore notre pays», souligne le président de la République.
A travers le même message, le Président «salue la bravoure et les sacrifices de l’Armée nationale populaire (ANP) et les forces de sécurité de notre pays dans leur lutte contre ces criminels ainsi que leur victoire dans cette bataille». S’adressant aux femmes, le chef de l’Etat souligne que «les défis qui se posent, aujourd’hui, à l’Algérie dictent en premier lieu la nécessité de libérer notre pays de sa dépendance aux hydrocarbures».
M. Bouteflika a rappelé les effets des stupéfiants et autres fléaux sociaux sur les jeunes et la société, ce qui, a-t-il encore précisé, «nous dicte et, aux mères en particulier, de redoubler d’efforts pour prémunir nos enfants, garçons et filles, de ces dangers et participer, aux côtés des autres composantes de la société, à la réhabilitation du sens civique en s’écartant de la violence et en rétablissant la fraternité, l’entraide et la quiétude dans nos quartiers et à travers le pays».
Tout en rappelant le rôle de la femme dans la libération, puis la reconstruction du pays après l’indépendance, le chef de l’Etat appelle les femmes à réaliser d’autres progrès dans le domaine politique. Avec une représentation de 32% dans les assemblées élues, les femmes sont appelées «à réaliser d’autres progrès aux prochaines législatives».
M. Bouteflika, se référant au dernier amendement constitutionnel, rappelle l’engagement de l’Etat à garantir l’égalité homme-femme sur le marché de l’emploi, se félicite de l’entrée de la femme dans le domaine de l’investissement et de sa présence à la tête de plus de 10% des entreprises privées créées ces dernières années, lit-on dans le même discours.
Ramtane Lamamra à propos de la visite de Rohani : Le report s’est fait à la demande des Iraniens
Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a révélé hier que la visite que devait effectuer en Algérie le président iranien, Hassan Rohani, le 12 mars a été reportée «à la demande de la partie iranienne».
Le ministre des Affaires étrangères, dans une déclaration à la presse, en marge de la cérémonie officielle organisée hier, à l’occasion de la Journée mondiale de la femme, indique que ce report est dicté par la volonté des Iraniens d’organiser une visite «de plus grande envergure en Afrique».
«J’ai eu hier au téléphone (avant-hier, ndlr) mon homologue Mohamed Djaouad Darif qui, tout en s’excusant du report, pour des raisons internes à son pays, explique que l’Iran prépare une visite de plus grande envergure en Afrique, nécessitant plus de préparation et pour une plus longue durée», souligne M. Lamamra, en rappelant que «l’Iran s’apprête à organiser son élection présidentielle le 19 mai prochain». F. A. K.-Arab
Fatima Arab
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لاثنين 07 جمادى الآخرة 1438 ه
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Mohamed Seghir Babès enterré hier à Alger
Une longue carrière dans l’administration publique
le 09.03.17 | 12h00
Le président du Conseil national économique et social (CNES), Mohamed Seghir Babès, est décédé, avant-hier, à l’hôpital militaire Mohamed Seghir Nekkache, Aïn Naadja (Alger), des suites d’une maladie, a appris l’APS auprès du CNES.
Mohamed Seghir Babès, né le 10 mars 1943, a eu une longue carrière dans l’administration publique, comme il a eu à occuper des fonctions gouvernementales en qualité de ministre de la Santé et de la Population. Il a été par la suite conseiller auprès du président de la République avant d’être désigné, en 2005, en qualité de président du CNES.
L’enterrement du président du Conseil national économique et social a eu lieu hier après-midi au cimetière Sidi Yahia à Alger, a-t-on appris de même source. Politologue, économiste de formation, Mohamed Seghir Babès a eu, selon sa biographie officielle publiée sur le site du CNES, «une longue carrière dans la haute administration publique algérienne, successivement au ministère de l’Intérieur, au secrétariat d’Etat à l’Hydraulique, au ministère de la Santé (Sécurité sociale), au secrétariat d’Etat aux Affaires sociales, puis président du CA de la première fiduciaire chargée du secteur des Services, avant d’être nommé au poste de délégué aux réformes économiques auprès du chef du gouvernement».
Il a eu, par ailleurs, indique la même source, «à occuper des fonctions gouvernementales en qualité de ministre de la Santé et de la Population dans deux gouvernements successifs, et a, par la suite, il a été conseiller auprès du président de la République, avant d’être président du Conseil national économique et social». Mohamed Seghir Babès a également «fait partie du panel des éminentes personnalités mis en place par les chefs d’Etat africains pour administrer le Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP) durant deux mandats (dont le dernier à titre de président), mécanisme dédié aux systèmes de gouvernance en Afrique».
«Sur le plan académique, il a eu à professer à l’université Laval (Québec), ainsi qu’à l’université de Montréal, tout en y assurant les fonctions de chercheur associé auprès du département d’économie de la santé et d’expert-consultant auprès de l’Institut national de santé publique et de l’Institut de l’environnement et de l’énergie dépendant de l’OIF».
R. P.
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