026-/-ACTUALITÉS Du Mardi 26 Janvier 2016
Mardi 26 Janvier 2016
الثلاثاء 26 جانفي 2016 م
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Médecine parallèle : Ce désespoir qui enrichit les charlatans
le 26.01.16 | 10h00
Les services du ministère du Commerce sont confrontés au vide juridique exploité par certains opérateurs.
Des centaines de magasins de vente de plantes médicinales et produits d’herboristerie ont fait leur apparition ces derniers mois dans les grandes villes. Ces surfaces, qui en apparence n’ont rien à voir avec les locaux poussiéreux des herboristes traditionnels qui conseillent des remèdes de grand-mère aux petits bobos de la vie quotidienne, proposent «des traitement alternatifs» à plusieurs maladies. Derrière les vitres esthétiques, les planchers brillants, les étagères modernes se cache un business qui peut conduire le patient aux urgences. Des flacons, des bocaux et des sachets renfermant des combinaisons de plantes médicinales de la région ou importées promettent la guérison de plusieurs maladies.
Plusieurs enseignes de ces herboristes se sont spécialisées, en effet, dans ce qui est considéré comme des compléments alimentaires, mais auxquels sont attribuées des vertus extraordinaires. Même si les senteurs de plantes très connues des Algériens trahissent les lieux, les emballages et l’apparence soignée de ces boutiques vendent autre chose.
Du miel spécial, cueilli dans des endroits lointains, produits à base de nectar et de plantes spécifiques seraient, selon les vendeurs, le remède tout indiqué contre certaines maladies que la médecine moderne a du mal à traiter, ou nécessitant un suivi assidu en médicaments ou plusieurs séances d’efforts physiques. Selon les indications inscrites sur les boîtes, ces traitements pourraient justement guérir les problèmes du colon, de l’eczéma...
Problèmes d’acné ?
Au niveau de cette boutique située rue Boukella, à Bab El Oud, une multitude d’applications sont proposées pour venir à bout de ces boutons disgracieux qui hantent les jeunes et auxquels les médicaments et les traitements «classiques» ont du mal à remédier. Dans certaines surfaces, les vendeurs proposent des traitements contre des maladies chroniques. «Ceci est le médicament contre le goitre», propose un jeune vendeur, employé au niveau d’un magasin «spécialisé», situé à Belouizdad, au cœur de la capitale.
«Vous devriez en prendre assez souvent pour stabiliser votre goitre», dit-il à une jeune femme qui demande conseil pour réduire les effets secondaires du traitement chimique auquel elle est soumise depuis une année. Apparemment, le vendeur ne semblait pas avoir les connaissances suffisantes pour répondre à «sa patiente» quand cette dernière l’a interrogé sur les interactions avec le traitement à l’iode prescrit pour certaines maladies liées à la thyroïde. «Ah, vous avez subi une ablation ? Il ne fallait pas.
Ce traitement aurait pu vous éviter justement ce genre de chirurgie. Il stabilisera vos hormones», précisera-t-il à sa cliente potentielle qui ne semblait pas très convaincue. «Comment trois herbes peuvent-elles remplacer mon traitement, c’est trop facile», se dit-elle avant de remettre la boîte à sa place et de remercier le vendeur. Dans une boutique située à la place des Martyrs, des traitements sont proposés aux problèmes de l’obésité. Ainsi, des propriétés sont attribuées aux solutions à base d’herbes contenues dans des flacons et dont les noms ne sont pas étrangers à la flore locale.
On vend du rêve à des milliers d’Algériens atteints par des maux dus à certaines maladies chroniques, au changement du mode alimentaire et tout simplement à la génétique. A les en croire, il suffirait de quelques jours de prise de ces sirops pour se débarrasser définitivement des dizaines de kilos en plus. Ces boîtes «magiques», sur lesquelles sont inscrits les noms des plantes, sont cédées à des prix variant entre 300 et 1200 DA pour une utilisation régulière de quelques jours.
Ces traitements offriraient des solutions aux irritations du colon, à l’allergie, à l’ulcère, au diabète, aux dysfonctionnements hormonaux, à tous les problèmes de l’appareil digestif, à la stérilité, aux problèmes de la prostate, à la chute des cheveux, à la chute du poids… Ainsi, le vendeur se transforme souvent en praticien de la santé. Il propose, oriente et parfois recommande des traitements sans en connaître les conséquences
Poudre de perlimpinpin
Des spécialistes de la santé dénoncent le flou qui caractérise ce créneau. Ces surfaces ne relèvent pas des activités commerciales réglementées, affirme-t-on à la direction de la concurrence et des prix. Les médecins mettent en garde contre cette forme de médication et déplorent l’anarchie totale dans la régulation du marché des plantes médicinales et ce qui pourrait être assimilé à de la médecine alternative.
Des spécialistes pointent du doigt des «praticiens qui ont développé un véritable business avec de vrais-faux cabinets de soins, où l’on prescrit des traitements à des patients sans aucune formation ni connaissance de ces traitements». Le docteur Bekkat, du conseil de l’Ordre des médecins, dénonce une régularisation de la pratique de la médecine et de la pharmacie sans aucune compétence ni qualification et les conséquences qui en découlent. Le président du conseil de l’Ordre des médecins révèle que son autorité a saisi à maintes reprises divers services du ministère de la Santé et celui de l’Intérieur, «sans aucun effet à ce jour.
Ces cabinets et ces boutiques continuent à exercer la médecine et font dans la pharmacie informelle sans que cela ne suscite la réaction des autorités sanitaires et sécuritaires du pays», ajoute le Dr Bekkat en soulignant le danger encouru par certains patients qui ne mesurent pas les conséquences dans ces traitements. «C’est le coma assuré», explique le médecin en évoquant les cas des malades diabétiques invités à suivre un traitement «alternatif» à base de plantes et de miel. Et d’ajouter : «Le pire, c’est que le malade consent à abandonner son traitement chimique, d’où l’impossiblité d’établir la responsabilité directe de ces praticiens pour les poursuivre ainsi en justice.»
Le cas d’une prétendue praticienne exerçant il y a quelques années, à Châteauneuf (Alger) a défrayé la chronique. Cette femme, qui ne possède pas les qualifications requises, prétendait depuis des années qu’elle guérissait plusieurs cancers grâce aux vertus thérapeutiques des plantes locales. S’appuyant sur des témoignages de faux clients, elle vendait son produit à des malades désespérés contre des sommes faramineuses.
Le cousin d’une de ces victimes se rappelle encore comment cette fausse praticienne a convaincu la malade d’abandonner ses séances de chimiothérapie et de suivre un traitement à base de plantes. «Ma cousine ne s’en est pas remis, nous n’avons rien pu faire pour elle», déplore notre interlocuteur, toujours inconsolable mais soulagé que cette «guérisseuse» ait été arrêtée.
Pour quelques milliers de dinars
Les services du ministère du Commerce sont confrontés au vide juridique exploité justement par certains opérateurs qui n’hésitent pas à se faufiler pour s’imposer sur le marché local. Rien qu’au niveau de la wilaya d’Alger, ils sont 281 opérateurs à être inscrits au registre du commerce. «Il faut en compter autant au niveau des grandes villes», indique une source dudit ministère. Des herboristes, qui n’ont de cette qualification que le nom, tentent d’exploiter le vide juridique. Après l’établissement El Hachimi dénoncé par plusieurs médecins, un supposé expert égyptien en herboristerie, installé à Ben Omar, à Kouba, à Alger, a été interdit d’exercer.
En effet, les investigations menées par les services de la répression des fraudes ont révélé plusieurs infractions, notamment l’exercice d’une activité autre que celle mentionnée dans le registre du commerce. Cet herboriste pratiquait des consultations sans avoir d’autorisation. Les services de la DCP ont relevé les infractions de publicité mensongère, utilisation de la mention : autorisé par le ministère de la Santé et de ce fait ont procédé à la fermeture du commerce et à l’interdiction d’exercer du mis en cause sommé de se conformer aux textes en vigueur.
Les services de contrôle dépassés
Selon les services de la DCP, «le contrevenant demandait à ses patients des informations concernent leur état de santé motivé par un bilan biologique afin de leur remettre des préparations appropriées à leur maladie. Comme prescrits sur les notices, ces produits sont considérés comme des compléments alimentaires non inscrits à la nomenclature nationale des médicaments, en se justifiant sur le courrier de la direction de la pharmacie sous-direction de l’enregistrement.
Les services du ministère du Commerce sont impuissants devant les pratiques peu orthodoxes de ces «praticiens». Le cadre juridique (la loi n° 08-13 du 20 juillet 2008 modifiant et complétant la loi n° 85-05 du 26 février 1985 relative à la protection et à la promotion de la santé) n’aborde pas les aspects liés à la définition de cette activité, ne prévoit pas de dispositions spécifiques pour réglementer ce commerce en tant qu’activité de santé.
C’est pourquoi le métier n’est pas inclus dans la nomenclature des activités réglementées. Les services du ministère du Commerce ont déjà saisi les plus hautes autorités pour mieux contrôler cette activité «Il est recommandé de l’introduire dans la nomenclature du registre du commerce et d’attribuer un cadre réglementaire spécifique comme celui de la pharmacie», lit-on dans une correspondance adressée au directeur général du contrôle économique et de la répression des fraudes.
Les missions de contrôle actuellement attribuées concernent la vente au détail au niveau des marchés communaux des herbes médicinales, à l’exclusion des préparations ou compositions médicamenteuses, le contrôle de l’étiquetage et de l’emballage et des références du fabricant local ou à l’importateur. Ces services contrôlent aussi les conditions de stockage et de vente.
Fatima Arab
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Propagande djihadiste sur le net
Nécessité d’un cadre réglementaire pour bloquer les sites dangeureux
le 26.01.16 | 10h00
Les sites djihadistes faisant l’apologie du terrorisme et d’autres pornographiques sont de plus en plus répandus sur internet. Ce qui peut représenter un danger pour les utilisateurs, particulièrement les jeunes, la frange la plus exposée à ce phénomène.
Faut-il que l’Etat bloque ces sites qui incitent à la violence, à la consommation de la drogue ou à la vente d’armes ? La question a été posée, hier, à Houda-Imane Feraoun, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (MPTIC), lors de son passage au forum d’Echaâb. «Il faut un cadre réglementaire qui détermine la qualité de site djihadiste. Je suis favorable pour une instance pouvant s’acquitter de cette tâche.
Car ce ne sont pas le rôle ni les prérogatives du MPTIC, le ministère interviendra sur le volet technique», a-t-elle répondu. Selon elle, seule cette instance pourra trancher si tel site est considéré comme djihadiste ou religieux, s’il est pornographique ou culturel. Dans un autre cadre, elle a réduit le retard de l’e-paiement à «une problématique purement technique». «La certification électronique n’est pas encore mise en œuvre pour garantir la sécurité du consommateur.
La priorité est de déployer le réseau d’accès à internet sur tout le territoire national et d’aller graduellement vers l’économie numérique qui sera bénéfique à l’ensemble des secteurs.» Pour la ministre, sans internet, l’Algérie ne pourra pas aller vers la gouvernance électronique, l’administration électronique ou l’enseignement en ligne.
Houda-Imane Feraoun, qui semble maîtriser de plus en plus ses dossiers, fait passer un message politique avec subtilité : il s’agit d’intensifier les efforts pour promouvoir le service public et répondre aux attentes du citoyen. Autre annonce : la loi 2000-03 sur les TIC, quinze ans après sa promulgation, ne répond plus aux exigences du secteur.
Une nouvelle loi est donc nécessaire et dans ce cadre, le ministère est «au stade de recueillir des propositions». Elle rassure aussi qu’il n’y aura pas d’augmentation des tarifs d’internet, insistant sur le fait qu’Algérie Télécom est un opérateur économique qui doit générer des profits.
Elle regrette que «le contenu national reste modeste, ce qui ne permet pas de le vendre. Alors que dans d’autres pays, c’est le cas, ce qui permet une baisse sensible des prix d’accès, voire la gratuité».
Concernant le cahier des charges pour la quatrième génération de téléphonie mobile (4G), elle a affirmé qu’il «a été tenu compte de l’équilibre entre les volets économique et technique. Nous avons exigé une haute qualité de service et de garantir une couverture de 10% de chaque wilaya dans une première étape. Aucun opérateur n’est obligé d’ aller à la 4G s’il pense que cela le désavantage». Une déclaration qui doit être comprise comme une réponse à peine voilée à l’adresse d’Ooredoo, dont son PDG a déclaré récemment à TSA (14 janvier 2016) : «Nous voulons une 4G sans restriction, comme cela a été le cas pour la 2G et contrairement pour ce qui s’est fait pour la 3G.»
Kamel Benelkadi
Probable grève des distributeurs de lait à partir du 1 février
le 26.01.16 | 15h57
Entre mise en garde de la Fédération des distributeurs du lait et assurance de l’Union nationale des commerçants et artisans algériens (Ugcaa), une grève des distributeurs de lait à partir du 1 février reste probable.
Après une première grève de deux jours organisés au début du mois, les distributeurs de lait menacent d'entamer une nouvelle grève, cette fois ci illimitée à travers les 48 wilayas à partir du 1er février prochain. L’ultimatum donné à la tutelle pour prendre en charge les doléances expire à la fin du mois en cours.
Seule mesure qui peut faire surseoir à cet appel au débrayage est la satisfaction par les pouvoirs publics des revendications de ces travailleurs, notamment celle ayant trait à la révision à la hausse de la marge bénéficiaire devenue insignifiante avec la hausse des prix des hydrocarbures.
Tout compte fait la Fédération constate qu’avec une telle marge et toutes charges comprises, le livreur de lait ne gagne que 30 000 à 35 000 DA par mois. Pour sa part, l’Ugcaa appelle les professionnels à ne pas faire grève étant donner que le ministre du Commerce, s’est engagé récemment de porter la valeur de la marge bénéficiaire de 0,75 Da actuellement à 0,90.
Le ministre a, selon l’Ugcaa, répondu positivement à l’ensemble des doléances de ce corps professionnel. Ainsi en plus de l’augmentation de cette marge, le ministre fera en sorte que dorénavant seule l’activité «distributeur de lait » sera inscrite sur le registre de commerce au lieu de « de transports de marchandises et de produits alimentaires » pour laquelle ils étaient doublement imposés. Aussi, pour renouveler le matériel devenu vétuste, le ministre a promit d’intervenir auprès des banques pour que tous ceux veuillent acquérir un nouveau véhicule de transport, puissent obtenir des crédits au taux bonifié de 3%.
Visiblement, ces engagements ne semblent pas rassurer les distributeurs de lait qui attendent du concret. Grève ou pas, réponse le 1 février.
Mina Adel
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