030-/-Vendredi 16 Janvier 2015
Vendredi 30 Janvier 2015
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الجمعة 30 جانفي 2015 م
الجمعة 9 شهر ربيع الثاني 1436 ه
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CAN-2015 : La Guinée qualifiée, le programme des quarts de finale connu
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ACTUALITÉ
In Salah : La population intercepte un convoi destiné à la fracturation hydraulique
Tizi Ouzou : 6 blessés dans une explosion de gaz à Oued Aïssi
Pourquoi l’Algérie est le premier importateur africain d’armes
Alger et Rabat boostent leur coopération sécuritaire
Emploi : Commission FCE-ministère du Travail pour élaborer une nouvelle loi
Louh : Commission rogatoire après l’arrestation au Maroc d’un algérien pour «terrorisme»
Le projet de loi sur la prévention du blanchiment d’argent et le financement du terrorisme adopté
Trois contrebandiers arrêtés à Bordj Badji Mokhtar et In Guezzam
Conférence du consensus : Le FLN dit oui au FFS et impose ses «lignes rouges»
Choc et émotion dans le fief de Hocine Aït Ahmed
SPORTS
Les Verts retrouvent les Eléphants et Renard
Leekens défend Giresse et Finke
Herve Renard. Entraîneur de la Côte d’Ivoire : Les choses sérieuses vont commencer dès ce tour
CAN-2015 : La vraie compétition commencera demain !
Neymar et le Barça renversent l’Atletico
Blatter a déposé sa candidature à la FIFA
ECONOMIE
Parlement : le FCE sollicite l'appui au privé
Sonatrach maintient ses investissements malgré la baisse des cours pétroliers
Air Méditerranée renforce ses vols entre l’Algérie et la France à des prix compétitifs
Prix du pétrole : Moments d’accalmie sur les marchés
Chute des prix du pétrole : Les producteurs africains inquiets
Budget de l’état et subvention des services publics : Le gouvernement s’embrouille
INTERNATIONAL
Révolution An iv : L’Egypte en perpétuel échec
Somalie
Les violations des droits de l’homme derrière la propagation de l’Etat islamique
En bref
Faute d’argent, elle suspend son aide pour la reconstruction : L’UNRWA lance un appel d’urgence depuis Ghaza
70 ans après la libération du camp d’Auschwitz : «Plus jamais l’idéologie nazie»
CULTURE
Abalessa : Nouvelles fouilles autour du monument de Tin Hinan
Expo photo : Lumière des abysses
Mille ans de l’histoire d’Alger à la place des Martyrs
Houcine Zaourar revient de loin
Syndicat national des éditeurs du livre(SNEL) : «Semaines du livre algérien» à l’étranger
Presse économique : L’éclairage de DZ Entreprise
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Pourquoi l’Algérie est le premier importateur africain d’armes
le 30.01.15 | 10h00
AQMI, prolifération des armes, frontières poreuses… Dans un contexte régional fragilisé par les crises malienne et libyenne, l’Algérie consacre des milliards à son armée. El Watan Week-end décrypte cette course à l’armement.
Si l’effort de comptabilité n’a jamais été fait, les experts estiment que l’Algérie a importé plus de 100 milliards de dollars d’armement depuis 1962 et entre le tiers et la moitié ces dix dernières années. L’embellie financière et la manne pétrolière ont beaucoup aidé à l’explosion des acquisitions, au point où Alger s’est vue propulsée, alors que l’économie mondiale était en berne, dans le carré très fermé des pays grands importateurs d’armes. En 2013, notre pays a figuré, pour la première fois, dans le top 10 des pays importateurs d’armes, aux côtés de l’Inde, de l’Arabie Saoudite et de la Chine, traditionnels barons du commerce.
Mieux, l’Algérie est non seulement le premier importateur d’armes en Afrique, mais elle représente, à elle seule, 36% des flux entrants vers le continent noir, loin devant le Maroc qui, faute de moyens, a abandonné la course à l’armement, au profit de stratégies d’équipement transverses lui permettant de répondre aux enjeux du moment. Parle-t-on d’une modernisation effrénée ? D’un gaspillage de deniers publics ? D’achats immodérés liés au caractère Comprador de l’Algérie des années 2000 ?
Ou bien il existe des raisons valables pour justifier ces achats ? Puis concrètement quelles ont été ces acquisitions ? Petit rappel historique à propos de l’armée et des troubles qu’a connus le pays : l’ANP, à l’indépendance de l’Algérie le 5 juillet 1962, s’est construite sur le socle d’une force essentiellement terrestre, très peu mécanisée mais rompue au feu et bien disciplinée, à laquelle a été adjoint une armée des frontières, mieux structurée et hiérarchisée, et quelques pilotes et deux demi-douzaines d’avions de chasse et d’hélicoptères. Très vite l’ANP a fait le choix de la Russie comme principal fournisseur, ce pays mettant en vente une gamme d’armement très complète, peu coûteuse, très robuste et suffisante aux besoins de l’armée algérienne.
Doctrine
Deux guerres israélo-arabes, une guerre froide algéro-marocaine et une crise financière plus tard amèneront l’ANP aux portes des années 1990 avec de bons équipements pour l’époque, mais beaucoup d’incertitudes. S’en suivront dix années où les livraisons d’armes sont complètement stoppées à cause d’un embargo de fait dicté par les pays occidentaux et l’effondrement de l’appareil militaro-industriel soviétique.
Résultat des courses, au début des années 2000, l’ANP accusait un retard d’au moins une génération avec un taux d’attrition très important de ses équipements stratégiques. Le focus étant à l’époque la lutte contre le terrorisme. Trois défis majeurs sont à relever : premièrement, rattraper le retard accumulé et revenir aux nombres de la fin des années 80. Ensuite, faire face aux nouveaux défis et aux menaces et enfin faire évoluer la doctrine militaire d’une doctrine de défense en une stratégie de résilience. Il fallait en urgence donc mettre au rebus les équipements obsolètes.
A la fin des années 90, ce sont plus de 200 appareils de types Mig 21 et 23 qui sont mis à la réforme, les T34 d’entrainement et les transporteurs Antonov 12 subiront le même sort. Des sous-marins Roméo, de première génération, des navires de débarquement Polnochny et les patrouilleurs lance-missiles OSA 1 et 2 ont aussi été rayés des listes de l’ANP entre 1992 et 2002. Les divisions blindées perdront aussi presque un millier de chars, les T62, déclassés et les T55 modernisés et réaffectés aux brigades d’infanterie mécanisée.
Rééquiper
La défense aérienne du territoire a aussi vu déclasser son épine dorsale, le Sam 2, devenu complètement obsolète et toute une gamme de radars d’ancienne génération, comme les P14 et P15. Ajouter à cela des milliers d’armes personnelles et de véhicules désuets à remplacer et c’est une armée entière à rééquiper. En 2007 le déclic a lieu, à la faveur d’une visite historique du président russe, Vladimir Poutine, à Alger, un accord sur la conversion d’une dette de 4,7 milliards de dollars en une commande de 7 milliards de dollars d’armes de pointe. Des avions de chasse, des sous-marins et le nec plus ultra de la défense anti-aérienne sont dans le lot.
La Chine se met au diapason et propose, elle aussi, un accès à son catalogue d’armement, mais c’est l’Allemagne, qui brise le cycle de méfiance des pays occidentaux envers l’Algérie. En 2011, un méga contrat de 10 milliards d’euros est signé entre les deux pays. A la clé, des blindés, des frégates et des équipements électroniques sont vendus à l’ANP. Cerise sur le gâteau est qu’un programme industriel est mis en place, il prévoit le montage de blindés Fuch 2, de véhicules de transport Mercedes et d’équipements électroniques. L’Italie aussi devenue un fournisseur majeur de l’ANP, la marine et l’aviation en sont de gros clients.
Même les Etats-Unis ont eu leur part du gâteau en vendant à l’Algérie des radars ANTPS78 et des avions. Plus que le besoin de se rééquiper, l’ANP a dû faire face à de nouvelles donnes régionales et même nationale. Avec la multiplication des conflits à ses frontières, comme en Libye et au Mali et la transformation de la région du Sahel et même d’une partie du Sud algérien en zone de guerre contre le terrorisme, l’ANP a redécouvert l’étendue du plus grand pays d’Afrique.
Numérisation
Limitée pendant près de quarante ans à la protection de la bande côtière et à la frontière ouest, l’armée algérienne a été obligée de se redéployer dans l’immensité du désert et donc compenser le manque d’hommes par un saut qualitatif en termes de technologie. Un gros effort sera fourni dans l’augmentation des moyens de reconnaissance et de mobilité des troupes avec l’acquisition d’hélicoptères, de drones et d’avions à la fois pour le transport et la reconnaissance. Le choix des équipements a été très influencé par les conflits qui ont eu lieu ces 20 dernières années. L’Irak, le Kosovo, la Géorgie et la Libye ont tous fait face à des guerres totalement asymétriques face à des ennemis beaucoup mieux équipés et plus nombreux.
Ceci a fini de convaincre les responsables militaires de la nécessité de se doter d’équipement de pointe, ne permettant pas de gagner des guerres, mais qui offriraient l’opportunité à l’armée qui se défend d’infliger des pertes trop importantes à l’ennemi pour qu’il puisse poursuivre son offensive. L’achat d’avions, de frégates avec de véritables capacités anti-aériennes, de sous-marins, de chasseurs Su 30 et la modernisation de la défense anti-aérienne avec les S300 PMU2 et les Pantsir S1 est clairement orienté dans ce sens.
L’accent a aussi été mis sur la numérisation du champ de bataille et l’utilisation effective des moyens de reconnaissance. Il reste que cette modernisation est loin d’être achevée, des manques sont encore ressentis dans les différents corps d’armée. L’arrivée en fin de vie de plusieurs équipements indispensables comme les hélicoptères d’attaque Mi-24, les bombardiers Su24, les intercepteurs Mig-25 et les Mig-29, accentue l’urgence de leur remplacement par des Mi28 des Su 34 et des Su 35. Le vieillissement et l’attrition de la flotte de transport appellent aussi à d’autres investissements.
Le besoin flagrant en drones d’attaque et en satellites de communication se fait sentir, de même pour l’équipement individuel du combattant qui est complètement désuet. Tout cela fait que le rythme des dépenses de l’ANP risque de se poursuivre encore pendant un quinquennat, afin de combler l’ensemble des lacunes matérielles. Restera le challenge le plus important à réaliser par le ministère de la Défense nationale, celui de la mise à niveau des personnels et la modernisation structurelle de l’ANP.
Akram Kharief
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In Salah : La population intercepte un convoi destiné à la fracturation hydraulique
le 30.01.15 | 21h48
Alors que de nouveaux pourparlers sont prévus au courant de la semaine prochaine entre une délégation d’habitants d’In Salah et un représentant du Président de la République à Alger, une dizaine de jeunes de la ville auraient mis au jour, vendredi, vers 17h, l’arrivée d’équipements destinés à la fracturation hydraulique au niveau du puits de gaz de schiste TP214 à Dar Lahmar, à quelque 28 Km d’In Salah.
Selon nos informations, le convoi de camions banalisés, ne portait pas le sigle de la multinationale chargée de la fracturation hydraulique, seconde étape du 2eme forage prévu dans la région. Un des chauffeurs ayant été sommé de s’arrêter a affirmé que les camions appartenaient bien à Halliburton, qu’ils venaient d’Aqebli située à 140 Km d’In Salah, territorialement dépendante de la wilaya d’Adrar et qu’ils se rendaient à In Salah.
En fait, comme le convoi empruntait l’évitement des poids lourds et se dirigeait vers le site des puits de gaz de schiste, les jeunes n’ont pas trop cru à la version du chauffeur et lui ont demandé de prendre la route de la base de vie de Halliburton, située elle à 9 km d’In Salah. Les jeunes, qui ont suivi le camion jusqu’à destination ont été reçu par le responsable de la base qui leur a répondu « khatina taksir hydrauliki » « nous ne sommes pas concernés par la fracturation hydraulique ».
A In Salah, ou le rituel du vendredi vient d’être achevé à la place Somoud, l’information a fait le tour de la ville en quelques minutes. Les représentants de la société civile dénoncent une nouvelle entourloupe, ils appellent la population à plus de vigilance et convient les protestataires à un meeting demain matin pour prendre les décisions qui s’imposent apprend-on auprès du comité.
Houria Alioua
In Salah à l’épreuve de l’usure
le 30.01.15 | 10h00
Et un cran de plus dans la contestation, en cette fin de semaine et de mois de janvier décidément plein de surprises. In Salah réitère son «niet à la fracturation hydraulique». 700 km plus au nord, Ouargla décrète «l’annulation populaire de la décision de l’exploitation du gaz de schiste».
La volonté du peuple veut se substituer à celle du président de la République qui, au-delà de tous les aspects techniques relatifs à la dangerosité du gaz de schiste, son opportunité économique et son timing, n’a pas donné, mardi soir, la réponse à même d’apaiser la peur des opposants à ce projet. Le décalage entre In Salah et El Mouradia s’est creusé.
Le président Bouteflika a parlé. Ce président qu’In Salah appelait de ses vœux depuis bientôt un mois sous le froid, le vent, le soleil, a omis de donner la seule parole qui aurait pu convaincre les protestataires de lever le camp et regagner leurs domiciles : un moratoire sur le gaz de schiste. C’est pourquoi ni la wilaya déléguée ni les projets de développement n’ont suscité la joie qu’aurait pu vivre cette ville de l’extrême Sud dans d’autres circonstances.
Dans le discours même des membres du «groupe des 22» transparaissait un espoir en la fibre «sudiste» du Président. Au moment où ils affrontaient pêle-mêle les autorités locales, la délégation d’experts, le wali de Tamanrasset, le ministre de l’Energie et même le patron de la police, ce petit groupe croyait encore en une décision providentielle de la Présidence, nourrie par des coups de fil secrets et des émissaires proches des arcanes du pouvoir.
Manif’ permanente
Maintenant que le silence est brisé, que l’omerta est bravée, que les plus hauts responsables de l’Etat, dans un excès de zèle suspect, se succèdent aux tribunes pour expliquer, selon l’ordre du président de la République, que «la fracturation hydraulique se fait depuis plus d’une décennie» et que «In Salah se réveille en retard, en réaction à un puits de gaz de schiste qui l’alimente en électricité via une centrale à 50 km».
Le dernier communiqué du comité de pilotage de Sahat Somoud parle d’«un rejet catégorique de la poursuite du second forage de Dar Lahmar dont les conséquences incomberont entièrement aux autorités du pays». Le comité insiste également sur le fait que les décisions du président Bouteflika, «mahomch mzya, hada hak» (ce ne sont pas des privilèges mais des droits) qui relèvent du fonctionnement normal d’un pays qui se respecte. Même son de cloche, hier à Ouargla, qui a brassé plus de 500 manifestants et autant de spectateurs.
Le comité populaire anti-gaz de schiste relève «plutôt du bakchich politique incompatible avec les revendications du peuple que de décisions présidentielles». Les grandes interrogations de l’heure concernent la souveraineté du pays, «attendu que la longue hésitation du pouvoir penche vers une lecture pessimiste qui met en avant des pressions étrangères», relève Tahar Belabès, figure du mouvement des chômeurs. Le meeting de Ouargla a également posé la question des accords secrets du Traité d’Evian, «des engagements économiques envers la France qui ne laissent pas les coudées franches à nos décideurs».
A In Salah et Ouargla, les manifestants ont fait appel à la solidarité de la communauté nationale : «Nous voulons que le peuple algérien unifie ses rangs et décide de son sort, loin des pressions du pouvoir.» Les uns et les autres ont fustigé les élus, «ceux qui ont offert notre sous-sol en pâture à ces explorations toxiques». Rendez-vous est pris pour demain, samedi 31 janvier, date choisie pour des manifestations simultanées à travers le pays.
Houria Alioua
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Alger et Rabat boostent leur coopération sécuritaire
le 30.01.15 | 10h00
Les services de renseignements algériens et marocains se réunissent une fois par mois, en Algérie et au royaume chérifien par alternance, depuis septembre 2014 pour dynamiser l’échange des informations concernant les menaces terroristes.
Le DRS algérien et la Direction générale des études et de la documentation marocaine, après une période de froid, ont décidé depuis l’année écoulée de renforcer leur coopération pour faire face aux tentatives de l’organisation de l’Etat islamique de s’implanter dans le Maghreb et de monter des cellules de recrutement, et aussi pour faire face à la situation alarmante en Libye.
Ces réunions mensuelles renforcent deux autres canaux de coopération sécuritaire entre les deux pays qui n’ont jamais cessé, malgré les tensions entre Alger et Rabat : les antennes militaires des ambassades dans les deux pays et les relations dans le cadre des organisations internationales (OTAN, Africom, 5 5, etc.). Cette coopération a permis de réaliser plusieurs «coups» opérationnels, dont la récente l’arrestation à Oujda (Maroc) d’un élément de Jund Al Khilafah et le démantèlement de plusieurs cellules de recrutement de terroristes pour la Syrie, l’Irak, la Libye, et le nord du Mali.
Les services marocains sont très intéressés, selon nos sources, par les investigations algériennes ciblant des sujets du royaume actifs dans AQMI (au moins 4 d’entre eux ont été identifiés dans des vidéo de l’organisation entre 2007 et 2010) ou dans les groupes armés en Libye et au nord du Mali. De son côté, le DRS compte sur son homologue marocain pour approfondir les enquêtes sur les réseaux de financements et le recrutement de terroristes en Europe.
Aziz M.
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SPORTS
Les Verts retrouvent les Eléphants et Renard
Leekens défend Giresse et Finke
Herve Renard. Entraîneur de la Côte d’Ivoire : Les choses sérieuses vont commencer dès ce tour
CAN-2015 : La vraie compétition commencera demain !
Neymar et le Barça renversent l’Atletico
Blatter a déposé sa candidature à la FIFA
Les Verts retrouvent les Eléphants et Renard
le 30.01.15 | 10h00
L’Algérie affrontera la Côte d’Ivoire en quart de finale de la CAN-2015 dans un match explosif, dimanche à Malabo (20h30).
Les Eléphants ont terminé premiers de leur groupe (D) après leur victoire, mercredi soir, sur le Cameroun (1-0). Les retrouvailles entre Algériens et Ivoiriens s’apparentent à une finale avant la lettre. L’entraîneur Chrisitian Gourcuff, qui a assisté à la rencontre Côte d’Ivoire-Cameroun, a promis une belle soirée footballistique entre deux bonnes équipes.
De son côté, le coach ivoirien, Hervé Renard estime que la compétition commencera dès le prochain tour. Il a déclaré en conférence de presse : «Pour une équipe du calibre de la Côte d’Ivoire, la compétition commence en quarts de finale. Avant, c’est un échec. On est en quart de finale contre l’Algérie, une très belle équipe avec beaucoup de talents offensifs.» L’équipe de Côte d’Ivoire, version Renard, affiche plus de sérénité et de rigueur dans le jeu.
L’ancien coach de l’USM Alger a su inculquer à ses joueurs l’esprit de combativité et de sacrifice : «L’équipe a démontré aujourd’hui l’esprit de combativité, de sacrifice et tout ce qu’il faut pour gagner une compétition.» Ce sont les éléments qui manquaient à cette équipe de Côte d’Ivoire, durant la décennie passée, pour gagner un trophée. Le capitaine de l’équipe du Cameroun, Stéphane Mbia, a bien résumé ce changement dans le comportement de l’équipe ivoirienne : «Nous les avons affrontés en qualifications (victoire 4-1, 0-0) mais là c’était un autre contexte. Il faut être fair-play. Ils ont mérité, ils sont passés. Bonne chance à la Côte d’Ivoire.»
Gervinho
A l’occasion du quart de finale contre l’Algérie, la Côte d’Ivoire enregistre le retour de son attaquant Gervinho, qui a purgé sa suspension de deux matches après son expulsion face à la Guinée en match d’ouverture du groupe D. Le joueur de l’AS Rome sera un atout important dans le compartiment offensif de l’équipe. «Gervinho est un élément important dans le groupe», a résumé le sélectionneur Hervé Renard.
Concernant la blessure de Yaya Touré qui a dû quitter le terrain en fin de partie, le coach ivoirien rassure : «Ce n’est pas grave, il sera présent pour le prochain match face à l’Algérie.» Tout comme le milieu de terrain Salomon Kalou, qui a été laissé sur le banc de touche face au Cameroun. Même sur le plan physique, Renard estime que trois jours sont suffisants pour que les joueurs récupèrent de leurs efforts afin d’affronter l’Algérie qui dispose d’un jour de repos supplémentaire.
Quinzième
L’Algérie et la Côte d’Ivoire se sont affrontées 14 fois dans l’histoire des deux pays, dont la plus spectaculaire est sans doute le quart de finale de la CAN-2010, en Angola, qui est revenue aux Verts sur le score de 3-2 après prolongations. La dernière confrontation entre les deux sélections a eu lieu au premier tour de la CAN-2013, en Afrique du sud et s’était soldée par un nul (2-2). Cependant, c’est la Côte d’Ivoire qui a remporté le plus grand nombre de succès avec 6 victoires (contre 4 pour l’Algérie) et 4 matches nuls.
A qui reviendra la quinzième ?
Slimane Mekhaldi
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http://lesamisdurichelieu.blogspot.com/2015/01/important-seisme-cause-par-le-fracking.html
FRIDAY, JANUARY 30, 2015
Important séisme causé par le fracking en Alberta
Important séisme causé par le fracking en Alberta
Ma traduction libre d'un reportage d'Andrew Nikiforuk publié dans le quotidien The Tyee
Est-ce que l'Alberta vient de battre le record mondial d'un séisme causé par la fracturation hydraulique?
L'agence de réglementation dit que les forages ont probablement déclenché la secousse de 4,4.
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