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Actualités : PATRONS ET BANQUIERS ALGÉRIENS La colère monte
Dossier réalisé par Chérif Bennaceur L’inquiétude et la perplexité minent de plus en plus l’esprit des opérateurs économiques, des analystes et autres agents économiques. Monté récemment au créneau, le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a déploré l’illisibilité de la démarche économique actuelle. Dans le désarroi, les opérateurs économiques s’estiment lésés, bridés par les changements de la réglementation régissant le commerce extérieur et l’investissement. Selon cette organisation patronale, très réactive, le retour vers des pratiques centrées sur la restriction administrative de l’acte de commerce comme de l’acte d’investir est une fausse solution. Voire, les entrepreneurs condamnent la démarche économique du gouvernement, en manque de cohérence, de logique, de concertation avec les acteurs. Et dans la mesure où la rente pétrolière, l’injection massive de fonds publics dans l’équipement infrastructurel, l’expansion non jugulée des importations de biens et de services constituent autant de leurres. Et au regard de la contestation récurrente de la mauvaise qualité du climat d’affaires actuel, marqué notamment par les lourdeurs, la gestion hasardeuse, la bureaucratie, le déficit d’éthique, d’équité, voire la corruption de plus en plus prégnante. Cela même si un officiel, le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, a reconnu l’existence d’un mauvais climat qui contrarie la venue des investisseurs et complique la tâche des opérateurs privés nationaux. Certes, des actions sont initiées, visant notamment la réhabilitation du secteur industriel la relance de l’appareil productif. Pour autant, l’amélioration de la croissance économique reste encore utopique, tirée essentiellement par la dépense publique, favorisée par la donne pétrolière, soumise elle à la volatilité. Comme les incitations économiques tant globales que microéconomiques et institutionnelles sont en panne. Dans ce contexte, le risque de clash plane sur la maison économie algérienne. C’est le constat que posent des économistes, un consultant, des chefs d’entreprise, du secteur public et privé, ainsi qu’un banquier. Dénominateur commun de leurs propos, l’absence patente de projet de société, de vision stratégique sur le plan économique.
ALI HARBI, CONSULTANT ET ÉCONOMISTE : «La vision stratégique fait défaut»
Est-ce qu’il y a une vision stratégique sur le plan économique ? C’est l’une des interrogations à laquelle le consultant et économiste Ali Harbi répond par la négative, appelant à clarifier les objectifs, les choix de développement.
Le Soir d’Algérie : La situation économique actuelle est grave, bloquée, selon la plupart des opérateurs économiques qui ne cessent de monter au créneau. Est-ce réellement le cas ? Pourquoi cette impression de blocage ? Ali Harbi : La réponse est à double niveau. D’un point de vue technique, un certain nombre de difficultés se posent pour l’entreprise. Foncier, financement… Et pour chaque problème technique, il y a une solution. Mais est-ce qu’il y a une vision stratégique ? Pour le moment, ce n’est pas clair. Mais la vision, c’est le politique qui la définit. Oui, cela relève du politique. Mais y a-t-il une volonté de continuer sur le chemin de l’économie de marché ? Constatez les mesures prises dans le cadre de la loi de finances complémentaire pour 2009 et leur impact sur l’entreprise. Des interrogations lourdes pèsent sur les choix pris. C’est flou. A ce problème, la réponse est du politique. Or, le constat démontre l’absence de vision stratégique. Que veut-on ? On ne le sait pas. Il y a besoin de clarification. Comme l’ont démontré les récentes rencontres comme celles du Forum des chefs d’entreprises (FCE). Vous évoquez des difficultés techniques. Lesquelles ? Sont-elles irrémédiables ? Je le réaffirme, les solutions techniques existent. Il faut lever les obstacles, agir concrètement. Prenons le problème du financement. Il n’est pas lié à la question des ressources mais perdurera dans la mesure où les procédures d’octroi de crédit n’ont pas changé. Or, le système fonctionne dans une culture de pénurie financière. Les banques demandent davantage de garanties que la norme. L’on estime que la demande de garantie représente trois fois la valeur du crédit ! En outre, les banques ne recourent pas aux fonds de garantie. Quelle solution alors ? Mais ce fardeau incombe-t-il seulement aux banques ? Les outils existent. Comme il s’avère important de développer un code de bonne conduite entrepreneuriale, améliorer la transparence. Effectivement, les entreprises doivent améliorer leur gouvernance, voire la qualité des dossiers de demande de crédit qu’elles soumettent. Et de leur part, les banques doivent assouplir les procédures. Il faut continuer à agréer des banques, hors le ralentissement que l’on constate. Il faut diversifier l’offre de financement, libérer le marché du financement. Comme il faudrait revenir à l’octroi des crédits à la consommation. En somme, réformer les procédures, développer le recours à la garantie, développer de nouveaux instruments financiers. Des réformes économiques ont été lancées. Une stratégie industrielle a été impulsée, pourtant... Mais le rythme des réformes économiques lancées connaît un ralentissement. Y a-t-il une remise en cause implicite de la réforme ? L’on s’interroge. Prenons le cas du tissu industriel de biens et services. Certes, nous pouvons exporter des services. Même se développer à l’international. Mais le problème de la compétitivité se pose, au regard des coûts, du fait que le produit fabriqué en Algérie est en bout de chaîne de valeur. Des filières industrielles ont été déstructurées. L’on parle de la stratégie industrielle. Annoncée, elle n’est pourtant pas mise en œuvre. Or, il y a une illusion sur la question des coûts. A contrario de l’idée reçue, l’énergie est chère en Algérie. Comme la productivité est faible. Ce qui est lié aux défaillances en matière d’organisation, de management, à la question de la rémunération, à la motivation des travailleurs. Ainsi, la machine économique est en panne. Le problème est structurel. Il faut un sursaut. Se donner des objectifs, des ambitions, des horizons. D’autant que l’expansion démographique allant, nous serons 50 millions d’habitants dans quelques décennies. Le rythme d’importation ne doit pas être bloqué mais il faut développer une industrie locale de substitution, développer l’exportation de biens. Soyons intelligents. Le contexte économique actuel est une aubaine. À nous de savoir la transformer en dynamique. La question reste posée... Les équilibres macroéconomiques sont favorables. L’objectif de création de 200 000 nouvelles PME par an est appréciable. Mais le besoin de ressources financières, humaines et matérielles reste toujours prégnant, conditionnant les investissements. Il faut relever le défi de la qualité. Moderniser les méthodes. Savoir se reconnecter à l’international, mobiliser les compétences nationales à l’étranger… Il y a un besoin crucial de clarifier nos objectifs, de donner une nouvelle impulsion au rythme de développement. Propos recueillis par C.B.
UN BANQUIER S’EXPRIME Ne pas continuer à générer des occasions perdues
Actualités
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PATRONS ET BANQUIERS ALGÉRIENS La colère monte |
Dossier réalisé par Chérif Bennaceur L’inquiétude et la perplexité minent de plus en plus l’esprit des opérateurs économiques, des analystes et autres agents économiques. Monté récemment au créneau, le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a déploré l’illisibilité de la démarche économique actuelle. Dans le désarroi, les opérateurs économiques s’estiment lésés, bridés par les changements de la réglementation régissant le commerce extérieur et l’investissement. Suite... |
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FONCTIONNAIRES MUNICIPAUX Le débrayage peu suivi |
Le Conseil national du secteur des communes (CNSC), affilié au Snapap, qui a entamé son premier jour de grève hier, comptait mobiliser les 500 000 fonctionnaires communaux autour de ce mouvement de protestation. Or, plusieurs communes d’Alger ont assuré normalement leur travail. La grève, reconnaissent ses initiateurs, a été différemment suivie à travers les villes du pays. Suite... |
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ASSASSINAT DE ALI TOUNSI Le professeur Boudef désigné pour l’expertise psychiatrique d’Oultache |
Le juge d’instruction de la première chambre du tribunal de Bab-El-Oued (Alger) a requis une expertise psychiatrique du colonel Chouaïb Oultache, assassin présumé du colonel Ali Tounsi, directeur général de la Sûreté nationale (DGSN) au moment des faits. Le professeur Mohamed Boudef, chef du service psychiatrique de l’Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) Er Razi de Annaba, assisté des docteurs Azzedine Ratiba, du service psychiatrique du CHU d’Oran, et Frarha Mahmoud, psychiatre dont le cabinet est situé à Bouira, ont été désignés pour effectuer cette expertise, a-t-on appris de source judiciaire. Suite... |
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SES AMIS SE SONT RECUEILLIS À SA MÉMOIRE Hommage à Baya Gacemi |
Les amis et confrères de Baya Gacemi se sont recueillis à sa mémoire lors d’une cérémonie organisée, hier, à la Maison de la presse Tahar-Djaout. Bachir Chérif Hassan, El-Kadi Ihsan, Dalila Hadjadj et Nadhir Bensebâa lui ont rendu un vibrant hommage. «Baya était une battante et elle a lutté avec courage contre la maladie. Nous devons continuer à défendre son idéal car son combat est le nôtre», a déclaré, émue, Dalila Hadjadj, son amie de toujours. Suite... |
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ROUTE TRANSSAHARIENNE L’Algérie achève à 100 % son tronçon |
Les 2 400 kilomètres du tronçon Alger- Tamanrasset entrant dans le projet de la Transsaharienne ont été totalement achevés. L’Algérie s’attelle à transformer le projet en «autoroute transsaharienne» et pense à voler au secours du Niger qui peine à terminer son tronçon (223 kilomètres), afin que l’ensemble du projet soit enfin parachevé. C’est en inaugurant la 52e session du comité de liaison de la route transsaharienne que le ministre des Travaux publics a fait cette annonce. Suite... |
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BÉJAÏA Un industriel échappe à un enlèvement à Ouzellaguen |
Un industriel originaire d’Ouzellaguen (Béjaïa) a échappé à une tentative d'enlèvement, vendredi dernier, a-t-on appris d’une source locale. L’industriel en question a été surpris par un groupe de quatre individus au moment où il accomplissait sa prière à l’intérieur de son usine en construction dans la zone d’activités commerciales (ZAC) de Hellouane relevant de la même municipalité, précise notre source. Suite... | |
Le juge d’instruction de la première chambre du tribunal de Bab-El-Oued (Alger) a requis une expertise psychiatrique du colonel Chouaïb Oultache, assassin présumé du colonel Ali Tounsi, directeur général de la Sûreté nationale (DGSN) au moment des faits. Le professeur Mohamed Boudef, chef du service psychiatrique de l’Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) Er Razi de Annaba, assisté des docteurs Azzedine Ratiba, du service psychiatrique du CHU d’Oran, et Frarha Mahmoud, psychiatre dont le cabinet est situé à Bouira, ont été désignés pour effectuer cette expertise, a-t-on appris de source judiciaire. Selon la même source, le colonel Oultache est accusé d’homicide volontaire avec préméditation et port d’arme de catégorie 4 sans autorisation. L’équipe médicale doit se rendre à l’établissement de rééducation de Serkadji pour entamer l’expertise et se prononcer sur l’état mental et psychologique du mis en cause, lors de son acte ayant visé le défunt Tounsi. Les trois médecins sont tenus d’établir un rapport détaillé dans ce sens, et le remettre à la justice dans les meilleurs délais. Pour rappel, Ali Tounsi a été tué dans son bureau de deux balles dans la tête, tirées à bout portant par celui-ci, selon l’acte d’accusation. Au moment du drame, la victime était en compagnie du colonel Oultache avec lequel elle aurait eu une altercation sur une transaction douteuse portant fourniture d’équipements pour la division héliportée, relevant de la DGSN, dont le prévenu avait la charge. A. Bouacha
Culture
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TIZI-OUZOU Les fêtes de la poterie et du tapis érigées en festivals |
C’est désormais officiel, deux des plus importantes manifestations culturelles de la wilaya de Tizi-Ouzou sont érigées en festivals culturels. Il s’agit ainsi de la fête nationale de la poterie de Maâtkas et la fête du tapis d’Ath-Hichem, dans la commune d’Aït-Yahia à Aïn-El-Hammam. C’est une consécration ô combien méritée après tant d’années d’expérience et surtout de revendications artisanes. Suite... |
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Actucult |
RENCONTRE LITTÉRAIRE - Salah Benlabed présentera son roman Notes d’une musique ancienne, aujourd'hui à 14h30 à la librairie Chihab internationale, paru aux éditions Apic 2010 Suite...
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Actualités : NON APPLICATION DE LA LOI RELATIVE AU RECLASSEMENT PROFESSIONNEL DES AYANTS DROIT DE CHAHID ET DE MOUDJAHID La Fonction publique mise en cause
La disposition relative à la loi du chahid et du moudjahid en vertu de laquelle certains fonctionnaires ayant la qualité d’ayants droit, et qui leur permet de bénéficier d’une promotion spéciale sans être assujettis au passage du concours professionnel, ne trouve pas encore d’application sur le terrain. C’est ce qui ressort de l’interpellation écrite dont une copie a été remise à notre journal et qui a été adressée au Premier ministre par le Dr Boudarène, député RCD de la circonscription de Tizi-Ouzou. Le parlementaire met ouvertement en cause les services de la Fonction publique dans le blocage de l’article 39 de la loi 99- 07 du 05 avril 1999 relative au chahid et au moudjahid qui stipule que «les moudjahidine, les veuves et enfants de chouhada et qui sont encore en activité bénéficient, une fois dans leur carrière, du droit à une promotion spéciale par l’ajout de deux catégories dans leur classement, et de la dispense des concours professionnels au sein des organismes publics où ils exercent lorsqu’ils remplissent les conditions requises». Le parlementaire s’étonne que l’article, qui ne souffre pourtant aucune équivoque, peine à trouver son application au sein de certaines institutions de la Fonction publique, telle l’éducation. L’auteur de l’interpellation s’interroge sur les raisons qui sont derrière ce blocage depuis 9 ans, de l’application d’une loi de la République, et cela, en dépit même de l’avènement de la circulaire interministérielle du 28 avril 2008, tout en se demandant, par ailleurs, pourquoi ladite circulaire n’a pas été publiée dans le Journal officiel. «Si en exigeant un texte d’application réglementaire qui précise les modalités de mise en œuvre de l’ajout — conformément à l’article 39 de la loi 99-07 — des deux catégories attribuées aux enfants de chouhada, la Fonction publique étant dans son rôle, pourquoi la circulaire interministérielle du 29 avril 2008 n’a pas apporté de réponse à cette question ?», ajoute le député qui émet une série d’autres interrogations : «Pourquoi celle-ci n’a pas précisé avec clarté la date d’effet de la loi 99-07, c'est-à-dire sa date d’adoption ou de publication dans le Journal officiel ? Qu’en sera-t-il de l’effet rétroactif de la loi ? Quelle grille de salaires va être utilisée pour le calcul de ses retombées financières ? Est-ce celle en vigueur au moment de la promulgation de la loi ou la nouvelle, c'est-à-dire celle qui prend effet à partir du premier janvier 2008 ? Toutes ces questions sont fondées et mettent en lumière la difficulté de la mise en application de cette loi. Est-ce que cela justifie pour autant le télex n°08/1225 du 3 octobre 2008 du directeur général de la Fonction publique qui fixe le premier janvier 2008 comme date d’effet de l’ajout de ces deux catégories ou est-ce une instruction de vos services ? Autrement dit, est-ce que vous êtes à l’origine du choix de la date de la mise en application de cette loi ? Si c’est le cas, que deviennent alors les droits des enfants de chouhada qui étaient en activité à la date de la promulgation de la loi, qu’ils soient encore en activité ou qu’ils soient aujourd’hui à la retraite ?», dira en substance le parlementaire qui, en conclusion, fait remarquer que si la loi est appliquée telle que préconisé par le télex du directeur général de la Fonction publique, l’Etat algérien commettra sans doute, à l’encontre des filles et fils de chouhada, une grave injustice. Il les aura spoliés de onze années de travail. Années durant lesquelles ils n’ont pas arrêté de réclamer ce que la loi leur a légitimement attribué. Une autre question relative à l’octroi des pensions complémentaire et de compensation aux filles aux fils de chouhada en cas de décès de la mère a été adressée au ministre des Moudjahiddines reprochant aux services du département de M. Chérif Abbas de faire dans l’obstruction à l’application des dispositions de cette loi. S. A. M.
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Sports
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FOOTBALL DIVISION NATIONALE 1 (MISE À JOUR), CE SOIR (19H) AU STADE DU 8-MAI-45, ESS-CABBA Sétif pour entretenir l’espoir, le CABBA pour l’honneur |
Le dauphin de la division une de football, l’ES Sétif, sera mis à rude épreuve ce soir (19h), en accueillant dans un chaud derby des Hauts-Plateaux, son voisin du CA Bordj-Bou-Arréridj, qui n’a plus rien à espérer du championnat, à l’occasion de la mise à jour du calendrier de la D1. Les Sétifiens, qui courent trois lièvres à la fois (Championnat, Coupe et Ligue des champions), seront dans l’obligation de gagner sur leur stade fétiche du 8-Mai- 1945 pour réduire l’écart de 10 points qui les sépare du leader, le MC Alger. Suite... |
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CR TEMOUCHENT L’accession s’envole |
Ayant été forcée au partage des points face au leader saïdi dans son stade fétiche Omar- Sikki (1-1) vendredi dernier, l’équipe du CRT a définitivement grillé sa dernière carte pour accéder en division 1. Le CRT est devancé par le leader de 5 points et les équipes de l’ASMO et l’ESM par respectivement quatre et trois points. Suite... |
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MC ALGER Nessma nouvel allié du Doyen |
Le contrat de partenariat entre le Doyen et la chaîne satellitaire maghrébine Nessma sera paraphé ce mercredi 28 avril, à l’hôtel Sofitel. Après plusieurs rounds de négociations, les deux parties ont trouvé un accord consistant en un contrat de sponsoring. Suite... |
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FINALE DE LA COUPE D'ALGÉRIE Le prix du billet fixé à 300 DA |
Le prix du billet de la finale de la Coupe d'Algérie de football, prévue samedi 1er mai entre l'ES Sétif et le CA Batna au stade du 5-Juillet, a été fixé à 300 dinars, a indiqué le directeur général du complexe olympique Mohamed- Boudiaf (OCO), M. Noureddine Benmihoub. Suite... |
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VOLLEY-BALL 29e CHAMPIONNAT D'AFRIQUE DES CLUBS (4e JOURNÉE) Défaite du PO Chlef |
La défaite subie, avant-hier à Sfax, par le PO Chlef devant le CS Sfax par 3 sets à 0 (14-25, 24-26, 17-25), en match comptant pour la 4e journée du présent 29e Championnat d'Afrique des clubs champions de volley-ball, en Tunisie, a jeté un froid sur le volley-ball algérien, euphorisé après la série de bons résultats obtenus par les équipes du NRB Bordj-Bou-Arréridj et l’ensemble de Chlef. Suite... |
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LNF La fin de saison le 1er juin |
La 34e et dernière journée du Championnat d'Algérie de première division de football se déroulera mardi 1er juin 2010, a annoncé dimanche la Ligue nationale de football (LNF). La LNF a également fixé les dates des matchs retard pour le compte des 25e, 26e et 28e journées. Suite... | |
Sports : FOOTBALL COUPES AFRICAINES DES CLUBS (8es DE FINALE) La JSK croit aux poules, l’ESS et le CRB dans le doute
La JS Kabylie a pris une option pour la qualification à la phase de poules de la Ligue des champions africaine, tandis que le champion d'Algérie, l'ES Sétif, dans la même compétition, et le CR Belouizdad, en Coupe de la CAF, devront cravacher dur lors des matches retour pour espérer continuer le rêve africain.
Les Lions du Djurdjura ont réussi, dimanche à Tizi- Ouzou, à battre les Angolais de Petro Atletico sur le score de 2-0. Une victoire rassurante car il faudra à l’adversaire inscrire pas moins de trois buts au match retour à Luanda pour espérer renverser la vapeur et évincer les Canaris de l’aventure africaine. Farès Hamiti (51’) et Mohamed Amine Aoudia (89’) ont permis à la JSK de prendre ainsi une sérieuse option pour la qualification au prochain tour et effectuer le voyage en Angola, dans 15 jours, avec une confortable avance et un moral au beau fixe, surtout que cette coupe reste le dernier objectif des hommes d'Alain Geiger cette saison et pour laquelle ils sont décidés à se consacrer entièrement pour se racheter aux yeux de leurs inconditionnels supporters. Cet objectif est tout à fait à leur portée, maintenant qu’ils ne courent qu’un seul lièvre et qu’ils n’entendent nullement lâcher prise pour aller vers la phase de poules, et, pourquoi pas, gagner un septième trophée continental. L'autre club algérien engagé dans cette compétition, l'ESS, n'a réussi à s'imposer que petitement, samedi, sur son terrain du 8-Mai-1945, devant la formation zambienne de Zanaco (1-0). Un résultat qui n’arrange pas forcément les affaires de l’Entente, qui devra faire face, au retour, à des Zambiens très accrocheurs. Mais cela ne condamne pas non plus les camarades de Slimane Raho qui n'ont pas eu beaucoup de chance tout au long du match aller, se permettant même le luxe de rater un penalty par Nabil Hemani à cinq minutes de la fin de la rencontre. Il était dit que la «guigne» pourchasserait les Sétifiens pendant toute cette rencontre puisque le poteau droit du gardien Rasha Kola a repoussé un joli heading de Metref (59’), puis Delhoum, sur la même action, rate lamentablement devant la cage vide. Le joueur a réussi à se faire pardonner de son incroyable ratage à la 74e minute en profitant d’un service de Metref pour fusiller Rasha Kola des 20m. L’ESS devra, pour espérer se qualifier à la phase de poules, «batailler» dur dans une quinzaine de jours à Lusaka, même si le coach, Noureddine Zekri, reste optimiste et affirme que l’Entente «n’a pas dit son dernier mot». Enfin, l'unique représentant algérien en Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), le CRB, a essuyé son premier revers dans cette compétition après sa défaite, vendredi à Atbara, face à la formation soudanaise d'Amal Atbara sur la plus petite des marges (1-0) pour le compte des huitièmes de finale aller. Les Belouizdadis auraient pu prétendre au nul si les Bey, Slimani et autre Younès avaient concrétisé les nombreuses occasions qu'ils ont eues tout au long de la rencontre disputée sur une pelouse en piteux état. Avec ce score piège, les Algérois devront remonter dans 15 jours leur retard dès l'entame du match et surtout ne pas encaisser de but s'ils veulent éviter une mauvaise surprise face à une formation d'Atbara, loin d'être un foudre de guerre.
RÉSULTATS DES 8ES DE FINALE (ALLER)
LIGUE DES CHAMPIONS - Djoliba (Mali) - TP Mazembe (République du Congo) 0 - 1 - AL-Hilal (Soudan) - Ismailia (Égypte) 0 - 1 - JS Kabylie - Petro Atletico (Angola) 2 - 0 - ES Tunis (Tunisie) - Al-Merreikh (Soudan) 3 - 0 - Dynamos (Zimbabwe) - Gaborone (Botsawana) 4 - 1 - Al-Ittihad (Lybie) - Al-Ahly (Égypte) 2 - 0 - ES SETIF - Zanaco (Zimbabwé) 1 - 0 - Supersport UTD (Afrique du Sud) - Heartland (Nigeria) 1 - 1 * Matchs retour : les 7, 8 et 9 mai. COUPE DE LA CONFÉDÉRATION - Warri Wolves (Nigeria) - Caps UTD (Zimbabwé) 2 - 1 - Al-Amal Abtara (Soudan) - CR Belouizdad 1 - 0 - Petrojet (Égypte) - CS Sfaxien (Tunisie) 1 - 1 - Fus Rabat (Maroc)- Stade Malien (Mali) 2-0 - Vita Club (RD Congo) - Enyimba (Nigeria) 3 - 0 - Coton sport (Cameroun) - Primeiro Agosto (Angola) 1 - 2 - Simba (Tanzanie) - Harras Al-Houdoud (Égypte) 2 - 1 -AS Fan (Niger) - DC Motemba (RD Congo) 1 - 0 * Matchs Retour : les 7, 8 et 9 mai.
Le prix du billet de la finale de la Coupe d'Algérie de football, prévue samedi 1er mai entre l'ES Sétif et le CA Batna au stade du 5-Juillet, a été fixé à 300 dinars, a indiqué le directeur général du complexe olympique Mohamed- Boudiaf (OCO), M. Noureddine Benmihoub. «Après une réunion avec les responsables de la FAF et de la Ligue nationale, nous nous sommes entendus sur le prix du billet de la finale qui a été fixé à 300 dinars», a déclaré à l'APS le responsable de l'OCO. Pour ce qui est du quota accordé aux deux équipes finalistes, Noureddine Benmihoub a ajouté que chaque galerie aura droit à 20 000 billets. «Nous avons convenu que chaque équipe aura droit à 20 000 billets, qui seront mis en vente à Sétif et à Batna. Les responsables des deux clubs se chargeront de l'achat des billets sur présentation d'un bon de commande», a-t-il ajouté. Le premier responsable de l'OCO a affirmé que 10 000 billets seront réservés au reste du public qui souhaite assister à cette finale. «10 000 billets seront mis en vente vendredi dès la première heure au niveau du stade du 5-Juillet, et seront réservés aux autres supporters désirant venir assister à cette rencontre, je parle notamment de ceux qui habitent Alger. La finale de samedi se jouera à guichets fermés »,
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