040-/-ACTUALITÉS Du Mardi 09 février 2016
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547 SUJETS MAROCAINS ONT ÉTÉ INTERCEPTÉS À ALGER Cinq cent quarante-sept ressortissants marocains suspects et voulant transiter par Alger pour se rendre à Tripoli en Libye durant l’année 2015 ont été bloqués et reconduits dans leur pays. C’est ce qu’a indiqué hier le directeur de la police des frontières, M. Youcef Goucem, lors d’une Suite... |
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Ouverture ou énième duperie ? La télévision publique, contrairement à ses vieilles habitudes, consacre ces derniers temps des plateaux au débat politique... |
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الثلاثاء 09 فيفري 2016 م
الثلاثاء 30 ربيع الثاني 1437 ه
Débat contradictoire sur les plateaux de l’ENTV
Ouverture ou énième duperie ?
le 09.02.16 | 10h00
La télévision publique, contrairement à ses vieilles habitudes, consacre ces derniers temps des plateaux au débat politique contradictoire. La conjoncture marquée par la révision de la Constitution serait derrière cette initiative, estiment plusieurs acteurs politiques, même si d’autres se laissent convaincre que certaines options prônées par la nouvelle mouture de la Loi fondamentale ne laissent pas trop le choix aux promoteurs de la pensée unique.
Dans le sillage de l’adoption de la nouvelle Constitution, le pouvoir a voulu donner des «gages» de ses bonnes intentions. Les médias publics, notamment la télévision, qui sont restés fermés à l’opposition, s’ouvrent brusquement et donnent l’impression de redevenir les médias du service public qu’ils sont censés être.
Pendant que tous les représentants du pouvoir politique se relaient dans les espaces médiatiques pour louer le «caractère historique» de l’adoption de la nouvelle Loi fondamentale, la télévision publique, restée hermétique à tout changement, organise un débat contradictoire. Les Algériens ont en effet assisté, dimanche soir, à un des rares moments d’échanges démocratiques entre des représentants de l’opposition et des représentants des partis qui soutiennent le chef de l’Etat. «Vous avez commencé l’application de la Constitution», fait remarquer Belkacem Sahli, secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), un des soutiens zélés du pouvoir.
L’ancien ministre fait référence à l’article 42 bis de la nouvelle Constitution qui stipule : «Un temps d’antenne dans les médias publics, proportionnel à leur représentativité au niveau national.» «Nous espérons que ce n’est pas la dernière fois que nous serons invités», réplique, souriant, Ahmed Betatache, député du Front des forces socialistes (FFS), rejoint par Djamel Benabdesselam et Ramdane Taâzibt du Parti des travailleurs. Ces opposants remettent également en cause le mode d’appréciation de la représentativité des partis politiques parce que les élections «n’ont jamais été transparentes».
La séquence rappelle en effet les mémorables débats organisés par l’ENTV au début des années 1990. Vont-ils durer ou est-ce une parenthèse qui se refermera aussi vite que les précédentes tentatives ? Pour les partis politiques de l’opposition, la réaction est plutôt mitigée. «L’énoncé de l’article est beau. Mais nous attendons du concret et surtout les mécanismes de son application sur le terrain», estime Bouabdallah Benadjaïmia, chargé de communication du Mouvement de la société pour la paix (MSP). «C’est comme le concept de l’indépendance de la justice.
Il est bel et bien mentionné dans la Constitution. Mais il n’a aucun prolongement sur le terrain», estime l’homme politique qui veut juger de visu. Un sentiment partagé par le chargé de communication du FFS, Youcef Aouchiche. Ce dernier estime que les seuls débats auxquels l’opposition a été conviée sont liés à la nouvelle Constitution. «Il est trop tôt pour parler d’une véritable ouverture», indique-t-il. Pour lui, il n’y a aucun signe qui prouve que les responsables veulent ouvrir l’antenne aux partis de l’opposition.
Mouvement associatif et intellectuels exclus
Derrière cette nouvelle «belle promesse», se cache, pourtant, une autre réalité : la société civile, les intellectuels et d’autres formes d’opposition sont occultés. Pour Abdelaziz Rahabi, il ne faut pas «croire» les promesses du pouvoir. Il estime que la fermeture des médias publics constitue «un recul» par rapport à la période qui a précédé l’arrivée de Abdelaziz Bouteflika au pouvoir.
Pis, l’ancien ministre rappelle que «concrètement, le FLN et le RND dominent les assemblées élues. Ils seront donc favorisés dans les médias». Plus que cela, l’homme relève que «le pouvoir veut politiser la société. Car, le mouvement associatif, les intellectuels et d’autres formes d’expression citoyenne sont exclus des médias publics». Pour connaître la version de la Télévision nationale, nous avons tenté de contacter son directeur général, Toufik Khelladi, et le directeur de l’information de la chaîne, Nadir Boukabès. Sans succès.
S’il est difficile de pronostiquer sur les réelles motivations des autorités, les pratiques d’un passé pas si lointain prouvent qu’il n’est pas aisé de croire sur parole. Interrogé par un média, M. Khelladi avait même indiqué qu’il ne «va pas ouvrir la télévision à ceux qui critiquent Bouteflika». Pourtant, «c’est avec notre argent que la télévision est financée», rappelle Benadjaïmia. En tout cas, les médias publics seront la vitrine qui reflétera la réalité de la volonté politique des autorités d’ouvrir «une nouvelle ère».
Ali Boukhlef
LPP: Remise des décisions de pré-affectation aux souscripteurs dès mars 2016
le 09.02.16 | 14h08
L'entreprise nationale de la promotion immobilière (ENPI) entamera la remise des décisions de pré-affectation aux souscripteurs du programme du Logement promotionnel public (LPP) en mars prochain, a indiqué, mardi, le ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de la ville, Abdelmadjid Tebboune.
"Pour le programme LPP, nous sommes en train de préparer les pré-affectations (...) qui seront remises à partir de mars en fonction de l'état d'avancement des différents chantiers", a souligné M. Tebboune sur les ondes de la radio nationale.
Selon les précisions du ministre, cette étape a été décalée d'un mois, le temps de mieux avancer dans les projets en cours qui doivent atteindre 70% de leur taux de réalisation avant leur pré-affectation.
"Nous avons quelques 1.500 logements qui sont immédiatement prêts à être pré-affectés à leurs bénéficiaires à l'exemple des projets de Bousmaïl, Koléa et de Sidi Abdallah. Mais nous attendons un nombre un peu plus important avec 3.000 ou 4.000 logements avant de commencer l'opération", a-t-il dit.
Concernant la remise des décisions de pré-affectation aux souscripteurs du programme de location-vente de l'Agence nationale d'amélioration et de développement du logement (AADL) pour 2001 et 2002, entamée lundi dernier, le ministre a affirmé que tous les souscripteurs auront leur pré-affectation avant le fin du 1er semestre 2016.
"Nous avons commencé l'opération avec un rythme assez lent pour des raisons techniques avec 300 décisions par jour à Alger, mais nous allons l'augmenter pour atteindre 4.000 décisions par semaine", a-t-il assuré, sachant que cette opération concerne 83.000 souscripteurs dont 61.000 à Alger.
Pour le programme AADL 2, le paiement de la deuxième tranche du prix du logement ne sera fera qu'après la finalisation de la pré-affectation et les versements de la troisième tranche pour le programme 2001 et 2002, sauf pour certaines wilayas ne possédant pas des souscripteurs 2001-2002 comme Annaba, Khenchela, Guelma et Bechar.
APS
L’adoption de l’article 51 compliquera la tâche aux autorités
Pas de retour des compétences algériennes dans l’immédiat
le 09.02.16 | 10h00
L’article 51 de la Constitution, adoptée avant-hier, a provoqué de vives réactions. Des binationaux, parmi lesquels de nombreuses compétences installées à l’étranger, rejettent «une disposition qui instaure un deuxième collège». Organisées en collectif, une douzaine d’associations ont adressé un manifeste aux députés pour leur demander de rejeter l’avant-projet soumis au Parlement pour adoption.
Réunis en congrès, les députés ont préféré adopter à la majorité absolue les amendements apportés à la Constitution de 1996. Selon une étude du Cread coordonnée par le sociologue Mohamed Saïb Musette — voir encadré concernant le nouveau rapport coordonné par le Centre avec l’OIT —, l’effectif des migrants algériens qualifiés dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), des pays développés pour la plupart, est de 267 799 personnes.
Selon l’étude portant sur «La fuite des cerveaux et le développement dans l’espace de l’UMA : le cas Algérie», sur les 267 799 Algériens de niveau supérieur en Europe, 1,2% sont titulaires d’un PhD (plus haut niveau d’études). Autre donnée : 75% des immigrés algériens qualifiés possèdent la nationalité du pays d’accueil, dont 48% l’avaient déjà à la naissance. Les pouvoirs successifs avaient une posture distante à l’égard des compétences à l’étranger : absence d’initiatives sérieuses ou même l’immobilisme.
«La question des migrations n’a jamais été au sommet des préoccupations des autorités publiques en Algérie, et ce, bien avant la situation actuelle de l’exode massif des compétences», constate Abdelkader Djeflat, dans son article sur les compétences algériennes à l’étranger publié dans la revue Hommes et immigration (2012, 36-50). Selon l’auteur, l’absence de politique et de stratégie sérieuses au niveau des instances de l’Etat a donné lieu à des actions ponctuelles ne s’inscrivant parfois dans aucune logique. «L’immobilisme constaté au niveau des politiques publiques jusqu’à une date récente est un autre fait notoire», ajoute-t-il.
Pas de «brain gain» dans l’immédiat
Selon M. Djeflat, il y a deux façons de réaliser le «brain gain» : soit à travers le retour des expatriés dans leur pays d’origine (option retour), soit à travers une mobilité active permettant de recycler dans les économies d’origine des savoirs et des savoir-faire allant dans le sens du capital humain disponible. Des initiatives ont été annoncées ces dernières années pour permettre aux compétences de s’impliquer dans l’effort de développement du pays : création par décret présidentiel (n°09-297) du Conseil consultatif de la communauté nationale à l’étranger, lancement d’un site internet, organisation de rencontres et forums, etc.
Le flux ne s’inverse pas, puisque les autorités n’ont rien engagé de concret. «La crise aiguë dans la médiation politique, qui s’est accentuée par l’instauration de l’idéologie unanimiste après l’indépendance et la domestication des champs universitaires et professionnels, vont approfondir systématiquement le volume de la formation des foyers migratoires», regrette Karim Khaled, chercheur au Cread, dans un article publié dans l’ouvrage coordonné par M. Musette qui sera présenté demain matin. L’adoption de l’article 51 sur l’exclusion des binationaux des fonctions publiques par le Parlement risque de compliquer ces «efforts» annoncés à cor et à cri par les pouvoirs publics.
L’une des conséquences immédiates de la politique hostile à l’égard de la communauté est le refus de s’impliquer dans des actions de solidarité. «Nous n’allons plus envoyer des aides, car la plupart des donateurs sont des binationaux. Nous n’allons pas avoir ce financement des donateurs, nous dépendons d’eux», tranche Yougourthen Ayad, président de l’association Algériens des deux rives et leurs amis (ADRA), qui figure dans le collectif qui s’est opposé, vainement, à l’amendement constitutionnel.
Présentation d’un ouvrage collectif : Conférence au Cread sur la fuite des cerveaux au Maghreb
Le Cread et le bureau de l’OIT à Alger organiseront, aujourd’hui, au campus de Bouzaréah (Alger), une conférence pour présenter un ouvrage qui propose une vision maghrébine sur l’une des questions brûlantes de l’actualité des migrations internationales, à savoir «La fuite des cerveaux».
Selon le Cread, l’ouvrage, coordonné par le sociologue Mohamed Saïb Musette, est le fruit d’une collaboration entre le Centre de recherche et le bureau de l’OIT à Alger pour «cerner ce phénomène dans son évolution et son mode de traitement dans les pays de l’UMA, avec un focus sur l’expérience algérienne, mais aussi avec la contribution d’experts du Maghreb (Maroc, Mauritanie et Tunisie)».
Les auteurs ont différents profils : sociologue, économiste, politologue, statisticien et géographe. La complémentarité entre les différentes approches a permis de cerner les trois dimensions classiques du «brain drain», du «brain gain» et du «brain waste», précise-t-on.
Ce renouvellement de la lecture de ce phénomène dans les pays de l’UMA offre une vision plurielle qui s’adresse à tous les spécialistes des migrations internationales, qu’ils soient chercheurs, enseignants, étudiants ou gestionnaires des politiques migratoires, indique-t-on. N. Id.
Nadir Iddir
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Liberté de la presse : RSF appelle à la mise en conformité de la législation nationale
le 09.02.16 | 10h00
Reporters sans frontières (RSF) salue l’adoption du projet de révision de la Constitution. Il relève que pour la première fois, la liberté de la presse y est inscrite et garantie sans aucune forme de censure préalable.
Une «avancée qui en appelle une autre», estime RSF, qui demande à ce qu’elle soit mise en pratique mais aussi à harmoniser la législation actuelle avec la nouvelle Constitution, dans le respect des Conventions internationales ratifiées par l’Algérie. «Le 7 février 2016, l’Assemblée populaire nationale a adopté le projet de réforme constitutionnelle. L’article 41 ter y prévoit la garantie de la liberté de la presse et annule toute peine privative de liberté à l’encontre des journalistes “dans le cadre de la loi et du respect des constantes et des valeurs religieuses, morales et culturelles de la nation”.
L’article 41 quater dispose, quant à lui, le droit à l’information, en le limitant “aux droits d’autrui, aux intérêts légitimes des entreprises et aux exigences de la sécurité nationale’’», écrit cette ONG internationale dédiée à la défense de la presse. Pour Yasmine Kacha, responsable du bureau Afrique du Nord de RSF, «ces garanties constitutionnelles marquent une avancée importante pour le droit et la liberté d’informer en Algérie».
Mais pour que cette avancée se concrétise sur le terrain, il faudra que la législation nationale actuelle et notamment le code pénal soient mis en conformité avec cette nouvelle Constitution et avec les engagements internationaux de l’Algérie en matière de liberté d’information et de presse. RSF rappelle dans ce sillage que «les limites légales telles que l’atteinte au chef de l’Etat, à la sécurité nationale ou encore aux valeurs morales de la nation sont extrêmement inquiétantes du fait de leur imprécision».
Au regard du droit international, «l’interprétation du Comité des droits de l’homme dans son observation générale n°34 souligne que l’article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), ratifié par l’Algérie en 1989, prévoit qu’aucun organe d’information ne peut être pénalisé au motif qu’il est critique d’un système politique et social», ajoute cette ONG dans sa déclaration, tout en soulignant que la notion d’«intérêts légitimes des entreprises» mentionnée dans la réforme n’est pas reconnue en tant que limite de la liberté d’expression dans le droit international et fait peser un risque réel sur le droit à informer sur les questions économiques.
Pour RSF, si les «exigences de la sécurité nationale» sont considérées comme légitimes selon les normes internationales, celles-ci doivent être compatibles avec l’article 19 du Pacte, et donc être expressément fixées par la loi, nécessaire, et proportionnelle à l’objectif légitime poursuivi. RSF rappelle enfin que l’Algérie figure à la 119e place du classement mondial de la liberté de la presse.
Mokrane Ait Ouarabi
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