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L’Algérie a enregistré un excédent commercial de près de 968 millions de dollars dans ses échanges commerciaux avec les pays arabes, qui se sont chiffrés à 5,41 milliards de dollars en 2012, a appris hier l’APS auprès des Douanes algériennes....
Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Chérif Rahmani, a indiqué, hier, qu’un comité sera installé prochainement afin de se pencher sur la question de l’environnement des affaires en Algérie. ...
Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a instruit les 48 directeurs de wilaya de son secteur à traiter équitablement les familles expropriées de leur terrain pour utilité publique. Pour les besoins de l’autoroute Est-Ouest, pas moins de 20 000 familles ont été expropriées et seuls 3% se sont opposées et ont fait appel à la justice, a expliqué le ministre en marge des travaux de la réunion des directeurs et responsables de son secteur, ouvert hier à l’hôtel Riad à Sidi Fredj....
De notre correspondant à Annaba Mohamed Rahmani Le port de pêche d’Annaba est en ébullition, 4 400 marins pêcheurs sont en grève depuis 20 jours, petits bateaux ...
Nette amélioration dans la relation, autrefois tendue, entre le ministère de la Santé et le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (Snpssp). ...
Des études de faisabilité pour trois projets de sous-traitance mécanique, menées par le ministère de l’Industrie et de la PME ont révélé l’existence d’un marché ...
Le 2e Salon international de l’aménagement et de la décoration, «Al Manzel» a ouvert ses portes hier au Palais des expositions des Pins maritimes (Alger)....
Le flux économique entre l’Algérie et l’Espagne est «de plus en plus important», a déclaré, hier à Oran, le consul général d’Espagne, José Manuel Rodriguez Martinez. ...
La nécessité d’établir des passerelles entre l’université et la société a été préconisée, hier, lors d’une rencontre ayant regroupé les membres de l’Assemblée populaire de ...
Le redémarrage de l’Usine de Tiguentourine (Illizi) devrait avoir lieu dans peu de temps, soit avant le 24 février, date anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures. ...
Le président Abdelaziz Bouteflika, a rendu hommage aux éléments de l’ANP, en mettant l’accent sur «leur efficacité, leur précision, leur professionnalisme et leur triomphe», qui sont les preuves qu’«ils sont les dignes héritiers de l’Armée de libération nationale (ALN)». «Il n’est point exagéré de dire que la volonté qui a animé nos braves soldats dans la grande bataille d’In Amenas contre les forces du mal et de la destruction est l’illustration même du legs hérité des chouhada»...
Amar Ghoul l’a annoncé à la réunion des 48 directeurs de wilayas de son secteur
1 000 milliards de dinars pour lancer les 11 nouvelles autoroutes
19-02-2013
Photo : S. Zoheir
Par Badiâa Amarni
Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a instruit les 48 directeurs de wilaya de son secteur à traiter équitablement les familles expropriées de leur terrain pour utilité publique.
Pour les besoins de l’autoroute Est-Ouest, pas moins de 20 000 familles ont été expropriées et seuls 3% se sont opposées et ont fait appel à la justice, a expliqué le ministre en marge des travaux de la réunion des directeurs et responsables de son secteur, ouvert hier à l’hôtel Riad à Sidi Fredj.
Le premier responsable du secteur a donné des orientations fermes concernant ce dossier et invité ses directeurs à exproprier les propriétaires des terrains de manière juste, équitable et à l’amiable. Et d’appeler les populations à faire preuve de compréhension et de profiter de l’occasion qui se présente à l’Algérie de réaliser tous ces projets d’utilité publique. «Ce sont des budgets colossaux qui sont engagés et ce sont des projets d’utilité nationale, et pour cela tout le monde doit s’y mettre pour qu’ils puissent être réalisés dans les règles de l’art», a confié M. Ghoul. Ce dernier a souligné l’importance d’avancer dans cette opération pour pouvoir lancer tous les projets programmés et les achever dans les délais impartis. Il donnera pour exemple le projet de la pénétrante de Béjaïa dont l’enveloppe budgétaire pour l’expropriation est déjà prête et dont les travaux seront lancés incessamment.
Plus facile à dire qu’à faire. A l’ouvrage, le Premier ministre tunisien, Hamadi Jebali, a réalisé, certainement dépité, toute la difficulté de l’entreprise. Les interactions politiques et les intérêts qui les sous-tendent sont en passe d’avoir raison de son projet de substituer un cabinet de technocrates au gouvernement de coalition partisane. Conséquence : la Tunisie se retrouve au beau milieu de l’impasse politique. Suite...
Plus facile à dire qu’à faire. A l’ouvrage, le Premier ministre tunisien, Hamadi Jebali, a réalisé, certainement dépité, toute la difficulté de l’entreprise. Les interactions politiques et les intérêts qui les sous-tendent sont en passe d’avoir raison de son projet de substituer un cabinet de technocrates au gouvernement de coalition partisane. Conséquence : la Tunisie se retrouve au beau milieu de l’impasse politique. Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Désavoué par son propre camp, le Premier ministre tunisien a fondé grand espoir sur le consensus partisan qui lui sauverait la face et qui, par conséquent, éviterait au pays de sombrer dans le chaos politique déjà menaçant. Hamadi Jebali semble perdre sur les deux fronts : son parti, Ennahda, s’oppose fermement à son projet et le reste de la classe politique tunisienne refuse de cautionner son initiative. Lundi, à l’issue d’un ultime round de consultations avec la classe politique, Hemadi Jebali a compris sa douleur. Aussi a-t-il fait l’aveu de ce que son projet de nommer un cabinet de technocrates en remplacement de l’équipe gouvernementale actuelle a échoué. En désespoir de cause, Jebali se rabat sur un hypothétique compromis avec le président Marzouki. Les deux hommes devaient se réunir hier après-midi pour discuter d’une possible solution de compromis. Pas évident, cependant, que la démarche du Premier ministre connaisse un aboutissement heureux. Le parti islamiste Ennahda, dont Jebali fait figure de numéro 2, semble avoir acquis considérablement de notoriété sur la vie politique tunisienne. Au point d’ailleurs de convaincre in extremis le président Marzouki de bloquer la décision de son parti de faire ses adieux au gouvernement. Le président Marzouki est, en effet, intervenu pour que la coalition gouvernementale ne vole en éclats. Son parti, le Congrès pour la République, a dû surseoir en dernière minute à sa décision de retirer ses ministres du gouvernement Jebali. Le Congrès pour la République n’a de cesse de réclamer le sevrage d’Ennahda des deux ministères régaliens que sont les Affaires étrangères et l’Intérieur. Ennahda, dont les équilibres internes sont vraisemblablement en défaveur des modérés, représentés par Jebali, n’entend pas se laisser faire. Quitte à élargir la lézarde qui est déjà assez visible en son sein. Pour les islamistes d’Ennahda, souscrire au projet de Jebali c’est se faire hara-kiri. Ils prennent le risque du pourrissement car ils ne sont pas sûrs de tirer de bons profits de l’apaisement préconisé par leur numéro 2. L’assassinat de l’opposant politique Chokri Belaïd a renforcé le sentiment antiislamiste, anti-Ennahda principalement, que les proches du défunt ont accusé ouvertement d’avoir une responsabilité dans le crime politique du 6 février dernier ayant bouleversé la Tunisie. Ennahda fait le choix des dissensions internes et ne lâche pas le pouvoir. Surtout pas les ministères régaliens. Le président Marzouki, qui cède facilement aux pressions d’Ennahda, a pris, lui aussi, le risque de faire imploser son parti. Des démissions en série, notamment de députés, y ont été enregistrées. Trois ministres du parti ont réitéré hier mardi qu’ils refusaient de travailler sous tout gouvernement dirigé par Jebali. Ces tiraillements paralysent le gouvernement à un moment où le pays est gangrené par une crise économique aiguë et plongé dans une situation sécuritaire si préoccupante. En fait, la Tunisie est en plein dans l’impasse. S. A.
Par Maâmar Farah Lundi dernier, et alors que le brouhaha montait des tables occupées à commenter le brûlot «tout le monde parle de la lettre de Malti ! Tu sembles si détaché... Qu'en penses-tu ? - C'est un titre en “Une” d' El Watan. Voilà tout ! Demain, il y aura un autre titre sur le football, la Tunisie ou la Syrie...» Non, je ne cherche pas à disqualifier l'acte courageux de nos confrères d' El Watan. Je dis simplement qu'il n'y aura rien après cette lettre. Rien. Le silence. Le néant. Le vide absolu. Ça ne dérange personne, ça n'inquiète personne... La presse a joué son rôle. Mais les relais sont cassés : ni les partis, ni les élus, ni la société civile, ni la justice, ne se sentent concernés par un article qui aurait provoqué un tsunami politique dans d'autres pays... Tiens, aujourd'hui, je vois la Tunisie à la «Une» d' El Watan. La vie continue... Nos confrères font correctement et courageusement leur boulot mais la presse n'est pas un pilier du pouvoir. Ni le quatrième, ni le cinquante-deuxième... maamarfarah20@yahoo.fr «Hummmmm... Je la sens d'ici l'odeur du cuir qui revient dans les tanneries de l'ex- Sonipec ! Je le sens d'ici le parfum de la laine filée et transformée en tissu dans les ateliers de l'ex-Sonitex ! L'industrie nationale renaît de ses cendres... Oui, cette fois-ci, c'est sûr : Temmar est parti pour de bon !» (Tata Aldjia)
La nouvelle aérogare internationale d’Alger sera réceptionnée en 2018. Elle sera financée sur fonds propres par la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA). L’information a été rendue publique hier par M. Tahar Allache, P-DG de cette entreprise lors de son intervention au forum du journal DK News . Abder Bettache - Alger Le Soir) - Le projet en question, rentre dans le cadre du schéma directeur d’aménagement de l’aéroport d’Alger, «dont les études de réalisation ont été lancées en janvier dernier». Selon M. Allache, «ce projet, qui sera réceptionné en 2018, comprend la réalisation d’une aérogare pour les passagers, d’un parking pour avions et d’un parc de stationnement pour automobiles d’une capacité de 4 000 places». Cette infrastructure publique sera construite conformément aux normes internationales, sur un terrain de 65 hectares, situé entre l'actuelle aérogare internationale et le nouveau salon d'honneur de l'aéroport. La même source a ajouté par ailleurs que la réalisation de cette nouvelle aérogare drainera la «réalisation d’autres projets dont une nouvelle zone fret appelée «village cargo», le réaménagement des parcs de stationnement qui va générer la mise en place d’un nouveau système de paiement en sortie des parcs et d’une nouvelle ligne ferroviaire reliant la gare de Bab Ezzouar à l’aéroport d’Alger sur une distance de 2,8 km». «Cet important projet qui a été déjà lancé en décembre 2012 aura à améliorer l’accessibilité à l’aéroport d’Alger», a-t-il ajouté. Cela dit, cette rencontre avec la presse a permis au P-DG de la SGSIA de mettre en exergue l’importance de l’infrastructure qu’il gère depuis plusieurs années. A ce propos, il dira que l’aéroport international d’Alger d’une capacité globale avoisinant les 12 millions de passagers par an, est composé d'une aérogare pour les vols internationaux, d'une autre pour les vols intérieurs, et d'une troisième pour les vols charters. Inaugurée le 5 juillet 2006, l'actuelle aérogare internationale de l'aéroport a une capacité de 6 millions de passagers par an. Il fera savoir aussi que cet aéroport a enregistré le transit de près de 4,5 millions de passagers, durant les onze premiers mois de l'année 2012. «4,480 millions de passagers ont transité, depuis le début de l'année à ce jour, par l'aéroport international d'Alger, ce qui est un très bon niveau», s'est félicité Tahar Allache, qui compte terminer l'année avec un niveau oscillant entre 4,7 et 4,8 millions de passagers. Selon lui, le trafic des passagers au niveau de l'aéroport d'Alger, connaît, depuis 2006, une progression globale annuelle de l'ordre de 8%. Mais il n’en demeure pas moins aux yeux de l’invité de DK News, que le nouveau schéma directeur a notamment pour objectifs de «s’assurer de la conformité des caractéristiques de l’aéroport avec les réglementations nationale et internationale, notamment en matière de sécurité, de qualité et d‘environnement, établir des liens entre le développement de l’aéroport et les fonctions extérieures, prévoir la poursuite du développement de l’aéroport à court (5 ans), moyen (10 ans) et long terme (15 ans) en fonction de l’évolution prévisionnelle du trafic aérien, … Enfin, M. Tahar Allache a tenu à signaler que 19 compagnies aériennes opèrent des vols réguliers au départ de l’aéroport d’Alger et deux compagnies d’aviation générale d’affaires, tout en indiquant que «prochainement trois compagnies aériennes supplémentaires interviendront à partir d’Alger. Il s’agit de Emirates prévue pour le 1er mars prochain, la Royal Jordanian pour le 25 février 2013, Airlines et Vueling pour le 2 avril 2013. A. B.
Si le premier véhicule de chez «nous», Symbol, sortira de l’usine Renault de Oued Tlelat, dans la banlieue oranaise, le 20 novembre 2014, et au prix des concessionnaires, il faudra faire preuve de patience, voire de beaucoup de patience avant sa substantielle «algérianisation». Mohamed Kebci - Alger (Le Soir) - L’aveu «indirect» est du directeur des achats au projet Renault. Intervenant hier, lors d’une journée consacrée à la restitution des études de projets de sous-traitance industrielle dans la filière automobile, projet piloté par le programme d’appui aux PME/PMI et à la maîtrise des technologies d’information et de communication, Patrick Leclerc dira qu’il s‘agira dans une première phase, celle du démarrage, de simple montage de pièces en SKD, excluant, de ce fait, l’intégration de pièces locales, ne pouvant être de ce rendez-vous». Ceci dit, l’orateur n'exclura pas l’intégration progressive de certains éléments non visibles, relevant de tout ce qui a trait au câblage, plastique et autre vitrage. Il y a aussi la batterie, «ce produit frais dont nous avons intérêt à produire localement car ne supportant pas d’être transporté sur de longues distances», poursuivra Leclerc. Aussi, Leclerc ne fera-t-il pas un autre aveu, celui ayant trait au prix de ce tant attendu véhicule de chez nous, en affirmant que la Symbol oranaise sera écoulée aux tarifs des concessionnaires, excluant indirectement toute réduction notable du fait de sa production locale. Ce qui poussera le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, qui a présidé ce séminaire, à préciser que ce projet, de par son caractère structurant, aura plus d’impact en matière de postes d’emploi, de fixation des populations dans leurs lieux de résidence, la création progressive de tout un réseau de sous-traitants auxquels d’ailleurs, une superficie de 20 ha est consacrée sur le site-même de l’usine. «Toute une culture qui nous fera aussi sortir du spectre infernal de l’informel», ajoutera Chérif Rahmani. Cette intégration qui de ce fait, tardera à intervenir, est le fait, comme le signifiera Rédha Hamiani, patron du FCE, d’un climat des affaires pas du tout prêt pour ce genre de challenge. Préoccupation dont les pouvoirs publics semblent avoir pris conscience puisque le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, a fait part de la mise sur pied prochainement d’un comité à l’effet d’améliorer justement ce climat. Et à Rahmani de se vouloir plus explicite en affirmant que la feuille de route de ce comité est tracée, avouant au passage «qu’il existe, aujourd'hui, un décalage entre la dynamique industrielle et le monde des affaires». Mission donc laborieuse quand on sait qu’il s’agira d’améliorer le positionnement du pays en matière de climat des affaires par la Banque Mondiale. Surtout que le tout prochain classement de cette institution interviendra dans quatre mois, en juin prochain. «Nous sommes en train de travailler sur ce dossier avec les organisations patronales, l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) en collaboration avec la Banque mondiale», précisera Rahmani et annonçant la création d’un fonds d’amorçage et d’accompagnement des sous-traitants. A noter que les études pilotes effectuées par le PME Algérie et qui ont fait l’objet, à l’occasion de présentation, concernent la fabrication de ressorts à lames et à boudins pour la suspension des véhicules, de pièces de décolletage pour l’industrie automobile et enfin les articles en caoutchouc pour automobiles. Des études dont le but est d’aboutir à une feuille de route opérationnelle (calendrier, objectifs et engagements). Aussi, ce même programme concernera vingt autres articles, comme l’annoncera Rahmani. M. K.
Le match Algérie-Bénin, comptant pour la 3e journée (Gr. 8) des éliminatoires de la Coupe du monde 2014, se jouera le mardi 26 mars au stade Mustapha- Tchaker de Blida à 20h30. En vue de cette sortie, les Verts entameront le 20 mars un stage bloqué au Centre technique national de Sidi-Moussa (Alger) qui s’étalera jusqu’au 26 du même mois, a précisé le coach national lors de l’émission sportive de la Télévision nationale, «Saâ Ryadha». Lors des deux premières journées des éliminatoires, l’Algérie s’est imposée devant le Rwanda (4-0), avant de s’incliner devant le Mali (2-1), en match délocalisé à Ouagadougou (Burkina- Faso). Après ce match face au Bénin à domicile, les Verts enchaîneront avec deux déplacements de rang, à Porto Novo (Bénin) et Kigali (Rwanda) en juin, avant d’accueillir le Mali en septembre. L’Algérie pointe à la 3e place au classement de son groupe, à une longueur du Bénin, leader avec 4 points.
La FIFA a confirmé hier que la technologie sur la ligne de but serait utilisée lors du Mondial-2014. Elle avait déjà récemment confirmé que ce système serait opérationnel pendant la Coupe des Confédérations 2013. Le GoalRef, qui utilise un champ magnétique et un ballon spécial, et le Hawk-Eye, basé sur l'utilisation de caméras comme au tennis, sont en concurrence sur ce projet. La FIFA a officialisé l'utilisation de la technologie sur la ligne de but pour la prochaine Coupe des Confédérations (au Brésil en 2013) et la prochaine Coupe du monde (également au Brésil en 2014). La Fédération internationale de football s'est en effet déclarée favorable à la GLT (Goal Line Technology) suite à l'expérience réalisée en 2012 lors de la Coupe du monde des clubs qui s'est tenue au Japon. Durant la Coupe du monde des clubs, la FIFA s'était servie de deux systèmes technologiques différents : GoalRef, qui utilise un champ magnétique et un ballon spécial, et Hawk-Eye, qui fait le bonheur des tennismen. Ces deux systèmes seront donc mis à contribution, mais la FIFA invite d'autres fournisseurs à proposer leurs services, la décision finale étant rendue en avril prochain. Le président de l'UEFA, Michel Platini, avait publiquement exprimé son désaccord sur la question en décembre dernier lors d'une conférence de presse. «Je préfère donner 50 millions (d'euros) au football de base, plutôt que pour une technologie utile pour un ou deux buts par an. S'il y a un arbitre derrière le but), s'il est à un mètre de la ligne et s'il a de bonnes lunettes, il peut voir si le ballon a franchi la ligne ou non», avait-il déclaré. Les appels d'offres pour 2013 et 2014 La Fédération internationale de football (Fifa) a lancé hier un appel d'offres pour la technologie sur la ligne de but pour la Coupe des Confédérations 2013 et le Mondial-2014 au Brésil, le recours à cette assistance étant entériné depuis juillet 2012. «Les deux fabricants de systèmes déjà sous licence ainsi que d'autres fournisseurs qui sont actuellement engagés dans la procédure de licence (et doivent avoir passé tous les tests avec succès) sont invités à soumettre leur offre», indique la Fifa dans un communiqué. «Les entreprises de systèmes intéressées seront invitées à participer à une visite d'inspection des sites de la Coupe des Confédérations, actuellement prévue pour la mi-mars. Une décision finale sera ensuite confirmée début avril», conclut la Fifa.
Le 26e derby kabyle ayant opposé, hier, au stade de l’Unité maghrébine de Béjaïa, à huis clos, la JSMB et la JSK, n’a pas connu de vainqueur. Les deux teams se sont finalement séparés sur un score de deux buts partout. Un résultat qui semble satisfaire les Canaris mais complique un peu plus les affaires du club phare de la Soummam qui n’arrive toujours pas à sortir la tête de l’eau.
La partie n’a pas mis beaucoup de temps à s’emballer. Le Béjaouis sèment la panique à deux reprises dans le camp des Canaris par l’entremise de Boukemacha (4’) et Mebarki (9’). Nullement impressionnés par cette entame en fanfare béjaouie, les partenaires d’Asselah ripostent dangereusement à la fin du premier quart d’heure par Messaâdia qui échoue lamentablement à donner l’avantage à son équipe. Multipliant les assauts, les hommes de Solinas réussiront enfin à trouver la faille à la 35’, grâce à Mebarki qui signe le premier but pour ses camarades. La joie des Vert et Rouge ne durera que quelques minutes puisque huit minutes plus tard, profitant d’une erreur de marquage, l’international Kabyle de la JSK, Belkalem, réussit à niveler la marque. Assommés par l’égalisation des Canaris, les Béjaouis commettent l’irréparable alors que l’on jouait l’ultime minute de cette première mi-temps pour permettre aux Jaune et Vert de reprendre le dessus. En effet, Messaâdia, qui exploite judicieusement une mésentente de la défense locale, double sans peine la mise. Au retour de la pausecitron, les coéquipiers de Zafour jettent toutes leurs forces dans la bataille pour essayer de renverser la vapeur. Deux minutes à peine se sont écoulées, lorsque sur un tir puissant des 20 m, Zeghli remet les pendules à l’heure. Dominant littéralement les protégés de Sendjak qui opèrent par des contres, les Béjaouis s’offrent plusieurs occasions de trouver le chemin des filets. Des opportunités franches que ni Derrag (60’) ou encore Zerrara (72) ne parviendront à concrétiser par manque de concentration et d’excès de précipitation dans le dernier geste. Les Béjaouis qui perdent ainsi deux autres points dans leur jardin s’enfoncent un peu plus dans le trou. A. K.
Résultats MC El-Eulma 0-0 CA Batna JSM Béjaïa 2-2 JSKabylie.
Au printemps 2012, Djemila Benhabib a effectué plusieurs voyages au Caire et à Tunis. Se mêlant à la population, l’auteure de Ma vie à contre-Coran a pris la température de l’après-printemps arabe saisissant à chaud les préoccupations de toutes ces femmes et ces hommes qui rêvent de lendemains meilleurs. En rencontrant et en discutant longuement avec des citoyens de divers statuts et couches sociales, elle note combien le chemin est encore long pour la liberté, la démocratie et la justice sociale, notamment pour la gent féminine. Au Caire, elle rencontre bon nombre de femmes soumises qui attendent un hypothétique golden boy qui les arrachera à leur vie terne et médiocre. L’obsession du mâle pourvoyeur. En contrepartie, on exige de la femme respect, fidélité et soumission… (page 42). Et quelques lignes plus loin, «prise entre son désir de liberté et ses fantasmes de servitude consentie, Amira cherche son colonel Delmare, son Charles Bovary ou encore son Alexis Karénine…» (p. 43). Elle évoque la pression du harcèlement sexuel masculin sur les femmes, qui, pour se protéger du regard du mâle prédateur, s’emmitouflent sous le voile. «Ce n’est pas tant par piété que par résignation que bien des femmes portent le voile. Elles doivent se résoudre à faire oublier leur corps… un mal profond gangrène la société égyptienne : le harcèlement sexuel… Ce n’est qu’en soustrayant leur corps au regard des hommes que les femmes peuvent envisager d’avancer ou, du moins, essayer de marcher. » (P. 59). Lors de son séjour à Tunis, Djemila Benhabib fait le même constat : les femmes se voilent afin de se protéger d’un voyeurisme masculin excessif «Dans les rues, les femmes ne passent jamais inaperçues. Leurs corps se remarquent, sont scrutés, découpés au scalpel par les regards insistants des hommes. On les examine soit pour les rabaisser soit pour les désirer. A leur passage, on siffle, on fait des commentaires, on chuchote des compliments, on débat de leurs formes, on hurle des psst, psst, ou on laisse éclater des rires sarcastiques.» (P. 132). Née en Ukraine d’une mère chypriote grecque et d’un père algérien, Djemila Benhabib a grandi à Oran. Installée au Québec en 1997, elle signe son premier ouvrage Ma vie à contre-Coran en 2009 (éditions Koukou) suivi en ce début d’année (2013) de L’automne des femmes arabes et Les soldats d’Allah à l’assaut de l’Occident. Djemila Benhabib a reçu le Prix international de la laïcité 2012 décerné par le Comité Laïcité 2012 décerné par le Comité Laïcité République. Sabrinal L’automne des femmes arabes, Djemila Benhabib, Editions Koukou, 2013, 138 P, 400 DA
Selon Benachenhou, Abdekka est très mal entouré. Mais alors, que faut-il faire ?
Changer Benachenhou !
Je ne suis pas franchement d’accord avec ceux qui reprochent à Abdekka de n’avoir parlé de l’assaut contre les tangos d’In Aménas et de n’avoir rendu hommage au travail de l’ANP qu’au bout de 32 jours. Désolé, mais il faut voir le bon côté des choses. Les bons côtés, car il y en a plusieurs. D’abord, ça prouve que Boutef’ réagit encore. Eh ! Oh ! C’est important de savoir qu’il est encore capable de réagir. Qu’il émet des signes vitaux, alors que certains, je vous le rappelle, avaient déjà rédigé les nécros et l’avaient quasiment enterré. Bien sûr, il y a ceux qui estiment que 32 jours pour une réaction, c’est beaucoup. C’est véritablement vouloir faire subir de vilaines choses aux mouches que de réfléchir de la sorte. Imaginez un peu que le châtelain n’ait réagi qu’au bout de 33 jours, et pas 32, hein ? Les gens se seraient aussitôt emparés de ce chiffre et l’auraient interprété chacun à sa manière. En premier, les islamistes ! Eh oui ! Les Frères Barbus auraient vite fait de dénoncer une réaction qui serait intervenue 33 jours après. Ils n’aiment pas le chiffre 33, les frérots ! C’est un nombre maudit chez eux, il leur reste souvent en travers du gosier, et beaucoup n’arrivent pas à l’avaler, même si bon nombre d’entre eux n’avaient pas dans le passé de contentieux particulier avec le chiffre 33. Et pour quelques-uns l’appréciaient même fort goulûment ! Mais c’est comme ça ! Aujourd’hui, une réaction au bout de 33 jours aurait pu déclencher des émeutes, des fatwas et peut-être même dégénérer et déboucher sur des mises en bière. Même chose paradoxalement si Abdekka était intervenu en faveur de l’ANP au bout de 31 jours et pas de 32. Là, des malins, parce qu’il y a toujours des malins du calendrier qui circulent en liberté, auraient aussitôt crié à la réaction intempestive, à la précipitation et auraient décelé derrière cette déclaration faite au bout de 31 jours une volonté manifeste de briguer un quatrième mandat ! Les gens sont comme ça ! De mauvaise foi. Ils voient des quatrièmes mandats partout. Même derrière 30 jours de silence complet et un 31e totalement dédié à un bel hommage aux militaires. Ici, comme nous n’aimons pas la mauvaise foi, comme nous ne sommes pas du genre à faire des procès d’intention sur les temps du discours, et comme nous détestons par-dessus tout anticiper sur les dates des élections, surtout les présidentielles, alors, nous nous contentons juste de poser des questions. Comme celle-ci : en Algérie, qui gère le calendrier ? Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
Mali: "la phase finale" de l'opération durera "un certain temps" prévient Paris
le 20.02.13 | 08h53
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a prévenu mercredi que "la...
Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a prévenu mercredi que "la phase finale" dans le massif de l'Adrar des Ifoghas, dans le nord-est du Mali, allait "durer un certain temps", alors qu'un légionnaire français et une vingtaine d'islamistes sont morts mardi dans des combats.
L'info en continu
Ce que l'enquête a révélé... Si certains avocats jugent l’affaire dite du «commerce des enfants» vide de toute preuve probante, d’autres estiment...
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USMA 1 - ESS 0 Les Usmistes ont stoppé le leader sur un penalty justement accordé par l’arbitre à la 4’ de jeu.
moments d'émotion A l’occasion de la promotion de son nouvel album, sorti aux éditions Belda, la chanteuse arabo-andalouse, Beihdja Rahal, donnera le vendredi...
hymne à la liberté La socialiste française, Martine Aubry, a dansé, lundi soir, au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi à Alger, sur le...
Prétendue altercation entre le Qatar et l'Algérie: "Allégation dénuée de tout fondement", selon le MAE
le 20.02.13 | 12h37
L'information sur une "prétendue altercation" entre l'ambassadeur d'Algérie au Caire, M. Nadir Larbaoui, et le ministre qatari des Affaires étrangères, M. Cheikh Hamad Ben Jassim Al Thani, reprise par certains quotidiens nationaux est une "allégation dénuée de tout fondement", a indiqué mercredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, M. Amar Belani, dans une déclaration à l'APS.
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