L'info en continu
Actualité
...
L'islam traditionnel mis à mal par les chouyoukh 2.0
Comment créer un islam national, respectueux de l’histoire et des traditions du pays, lorsque des questions du monde intime sont...
«Le code de la famille est un dispositif moyenâgeux»
Louisa Hanoune estime que si acquis il y a en Algérie pour le droit à l’égalité homme-femme, notamment le droit de vote...
Protestations à Béjaïa : L'autorail à l'arrêt depuis deux semaines
Les habitants de Beni Mansour ont fermé la voie ferroviaire Béjaïa-Alger, qui traverse leur localité, à l’effet de...
Face aux tortionnaires, elle ne voulait pas de la grâce
Cela fait cinquante ans qu’elle est dans le silence, il faut qu’elle en sorte un jour.» L’historien, qui était devant moi,...
Actualité
Seize personnes et deux sociétés au box des accusés
Après cinq années d’instruction judiciaire, le procès Sonatrach 1 s’ouvrira ce dimanche au tribunal criminel...
Louisa Hanoune interpelle Saïd Bouteflika
Pour Louisa Hanoune, Saïd Bouteflika «est responsable moralement et politiquement de ce qui se passe actuellement».
«Le code de la famille est un dispositif moyenâgeux»
Louisa Hanoune estime que si acquis il y a en Algérie pour le droit à l’égalité homme-femme, notamment le droit de vote...
Abderrazak Makri (MSP) : «Le quatrième mandat a un prix !»
Le président du MSP, Abderrazak Makri, n’a pas lésiné, hier, sur les mots pour tirer à boulets rouges sur le pouvoir,...
Sports
...
ES Sétif : Madoui-Khedaïria, le clash
Le refus du gardien Khedaïria de faire le déplacement de Banjul a ébranlé, hier, la sérénité du onze...
NAHD - RCA : Benyahia absent, Ouhadda revient
Affaire Fekir : Les précisions de Gourcuff
La dernière sortie de Nabil Fekir, joueur de l’Olympique Lyonnais, qui a finalement opté pour l’équipe de France, a...
International
Ils doivent se prononcer sur l'accord pour la paix au Mali : Les Touareg en conclave à Kidal
Les leaders des groupes armés touareg réunis au sein de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), des chefs traditionnels et...
Bogota multiplie les gestes de paix: Suspension des bombardements contre les FARC
L’armée a suspendu, hier en Colombie et pour un mois, ses bombardements contre la guérilla marxiste des FARC, un geste spectaculaire...
Brèves
Culture
***
4e Festival national du théâtre féminin : Voyage au-delà du quatrième mur
Le quatrième mur est brisé dans Ibn Battûta, la nouvelle pièce de la Franco-Algérienne Elsa Hamnane,...
Vu à la télé : Le bon grain et l'ivraie
Economie
L’islam traditionnel mis à mal par les chouyoukh 2.0
le 12.03.15 | 10h00
Comment créer un islam national, respectueux de l’histoire et des traditions du pays, lorsque des questions du monde intime sont réglées, non pas par l’imam du quartier, mais par un cheikh se trouvant à l’autre bout du monde ? C’est la problématique à laquelle est confronté le ministère des Affaires religieuses.
Qu’ils semblent loin les temps où les imams avaient valeur d’autorité incontestée ! Si certains tendent à croire que seul l’islam traditionnel pourrait être un rempart contre le développement de la doctrine wahhabite, les constats opérés sur le terrain démontrent à quel point l’islam de nos ancêtres est disqualifié aux yeux des fidèles de la génération 2.0.
Le fait est que l’essentiel de la formation des vieux sages reposait sur la mémorisation, et les références traditionnelles sont réduites (essentiellement Ibn Achir et El Kaâwani. «Aujourd’hui, le fidèle lui-même apporte des questions et des références que l’imam ne connaît pas. Nous avons désormais affaire à des gens qui en savent long sur la religion, car ils se documentent (…).
Quand on revient aux années 80’, nous avions quelques années d’indépendance et de démocratisation de l’écrit, nous avions créé une esthétique de la réception différente. C’est ce qui va disqualifier les vieux chouyoukh», explique Abderrahmane Moussaoui, anthropologue, lors d’une conférence sur le salafisme au Maghreb organisée par l’Inseg. Il ajoute : «Les nouveaux fidèles se sont ouverts à un champ plus large qui va provoquer des référents qu’ils ne comprennent pas. Il y a des gens qui vont faire des études, qui connaissent le Coran et plusieurs références, des citations d’auteurs anglais ou allemands.»
Très connectée, la nouvelle génération de fidèles surfe sur le Net pour muscler sa foi. Les chouyoukh du Net y gagnent ainsi en notoriété, concurrençant l’imam du quartier. «Les fatwas du monde intime et ce qui est de l’ordre du privé, ce n’est pas l’imam d’à côté qui les prononce, mais un autre établi à des milliers de kilomètres», fait remarquer Abderrahmane Moussaoui.
Le fait est, par ailleurs, que les critères qui définissent l’imam aujourd’hui ne sont pas ceux traditionnellement connus. La génération y a d’autres potentialités, comme la maîtrise des langues et celle des outils de communication. Le charme des imams tient aussi dans leur voix, décortique Moussaoui. Leur maîtrise de la langue fait qu’ils ne supportent pas les fautes de Coran ou les erreurs grammaticales. «Il y a une démocratisation de l’enseignement religieux qui a créé l’esthétique de réception. Ils sont devenus exigeants».
Absence d’autorité
Les quelques imams salafistes qui détiennent des blogs en Algérie, pour être reconnus, mettent en ligne des échanges avec les stars de la salafya comme autant de labels. Abderrahmane Moussaoui souligne que les pouvoirs publics algériens y voient de sérieux concurrents et les principaux obstacles à créer un islam national respectueux de l’histoire et des traditions du pays en harmonie avec des intérêts et les ambitions politiques. L’absence d’autorité de l’Etat sur ses imams est problématique, mettant en péril la souveraineté du pays. «Les khotbate (prêches) qui sont faites en Algérie sont parfois corroborées de l’extérieur, là ça pose problème», met en garde Abderrahmane Moussaoui.
Et de poursuivre : «Pour ces gens-là, ce pouvoir-là est obsolète. Ils ne le reconnaissent pas. Dans certains cas, des imams, employés du ministère des Affaires religieuses, appellent des salafistes étrangers pour savoir s’ils ont le droit de faire telle khotba édictée par le ministère.» A cela s’ajoutent des facteurs liés au marasme géopolitique actuel et à un sentiment d’humiliation qu’une partie de la population impute au monde occidental. «Il y a un sentiment de dépossession, diagnostique Abderrahmane Moussaoui. Il ne lui reste que cette identité».
Si les confréries ont été un creuset du terroir, elles ont perdu du terrain au lendemain de l’indépendance. «Tout ce qui faisait référence à la tradition était archaïque, il a été dévalorisé, explique encore Abderrahmane Moussaoui. Il y a aussi des politiques qui ont failli. L’histoire qui avance, la génération 2.0 ne peut pas revenir à la zaouïa. Il y a des réalités qui changent».
Amel Blidi
Comment la mouvance salafiste s’est enracinée en Algérie ?
le 12.03.15 | 10h00
Il y a une cinquantaine d’années, il était encore impensable qu’un courant salafiste puisse traverser les contrées d’Afrique du Nord tant le discours extrémiste véhiculé semblait contraire aux traditions locales. L’efflorescence du mouvement salafiste étant aujourd’hui admise dans la société algérienne, barbe-qamis et costard-cravate font partie du paysage urbain.
L’apparition des idées salafistes dans le Maghreb intervient au début du XIXe siècle lorsque le vent d’El Nahda, ce mouvement de renaissance qui ambitionnait de réformer l’islam mais pour qui la modernité pose problème, a traversé le monde musulman et, par là même, le Maghreb.
Plus tard, le lobbying initié par le royaume wahhabite au début des années 1960 pour court-circuiter ce qu’il considérait comme une «menace baâthiste» en Irak et en Syrie, et torpiller ainsi le leadership iranien, lui permit d’asseoir son dogme. L’ouverture de l’université islamique de Médine, véritable académie, école de management et de marketing de la doctrine wahhabite, constitue un tournant majeur puisque de nombreux Algériens y ont suivi un cursus en sciences islamiques, côtoyant ainsi les grands maîtres saoudiens.
«Ils sont accueillis, logés, on leur enseigne la maîtrise de la langue arabe et du fiqh, explique l’anthropologue Abderrahmane Moussaoui. Les plus grands fouqaha y enseignent leurs préceptes. L’enseignement de la langue est important, car elle constitue un outil de charme pour attirer les adeptes.
L’université saoudienne accorde aussi une bourse à ses étudiants et la majorité des Algériens qui y ont suivi des cours». Les étudiants algériens suivent des stages dans les grandes mosquées saoudiennes, enrichissant ainsi un curriculum vitae qui ne manquera pas d’impressionner leurs auditeurs une fois rentrés au pays. «Cela ajoute de la consécration à ces personnes quand elles reviennent chez elles», précise Abderrahmane Moussaoui.
La plus grande partie des salafistes algériens des années 1980 et 1990 en Algérie, explique-t-il, ont bénéficié de ces enseignements dans des conditions fort confortables. Dans leur biographie, les islamistes algériens citent les imams dont ils ont été les disciples avec force détails (notamment leurs échanges verbaux). Ils y décrivent quelque chose de «magique», donnant l’impression d’avoir été bouleversés par leur rencontre.
Fissuration du malékisme
Mais tous les islamistes algériens n’ont pas suivi ce parcours. Certains ont été embarqués dans le bateau salafiste un peu par hasard. Eux qui s’orientaient vers des études de lettres arabes, en Egypte ou en Syrie, ont été séduits par les discours des ouailles des grands maîtres saoudiens. Ils feront une sorte de «conversion interne» et se tourneront vers un cursus religieux auprès de prestigieux savants afin d’acquérir un savoir défiant les frontières et les traditions. «Certains, souligne Moussaoui, iront jusqu’à sauter la frontière sunnite pour tomber dans le chiisme. Il y a la fissuration du dogme malékite sous nos yeux».
Les Algériens seront au premier rang des candidats au djihad, notamment lorsque les troupes russes ont pénétré dans la terre «musulmane» d’Afghanistan. «A certains égards, l’épopée afghane a pu être considérée comme le début de la restauration de la maison de l’islam. Le premier martyr arabe en Afghanistan était un Algérien, ancien étudiant de Médine», souligne l’anthropologue algérien.
Lorsqu’un courant plus radical, la Salafiya Djihadiste, en rupture de ban avec l’Arabie Saoudite fait son entrée en jeu, notre pays est l’un des premiers à faire les frais d’une folie sans nom. Les partisans de la guerre sainte s’insurgent contre les régimes arabes et regrettent qu’au lieu de les combattre les dirigeants des pays musulmans continuent d’entretenir des relations avec les pays mécréants.
Si les armes se sont —relativement — tues, la salafiya dite «scientifique» ou «prédicative» tient une place non négligeable dans la société algérienne. Dans la terminologie des salafistes algériens, le mot «Sahoua» revient régulièrement, de la même manière que la «Nahda» était utilisée au siècle dernier. «On utilise toujours cette terminologie pour dire qu’il y a un sommeil, une léthargie qui ont besoin d’un réveil», glisse Abderrahmane Moussaoui.
Les choyoukh à portée de clic
Aujourd’hui, point n’est besoin d’aller jusqu’à l’université de Médine pour s’imprégner de l’idéologie salafiste. Il suffit d’écrire un message aux idéologues sur leur blog ou via les réseaux sociaux. «Lorsque les gens ont des problèmes, ils consultent les avis de théologiens via internet. Si l’imam de sa mosquée ne le satisfait pas, il ira sur internet en voir un autre», décortique Moussaoui.
Le courant «médian» de la salafiya jouit d’un succès certain dans l’Algérie actuelle. Privilégiant l’entreprise prédicative, ses adeptes militent pour le changement de la société par la propagation de la culture islamique. «Il s’agit d’un courant élitiste, maîtrisant la science des hadiths et les biographies des grands savants, qui vont servir à établir la véracité des faits et des dires salafistes, les maîtres disposent d’une connaissance encyclopédique qui écrase celui qui pose des questions», explique Moussaoui.
Il est ainsi possible de voir dans ses vidéos publiées sur le Net l’ex-représentant du FIS, Ali Benhadj, dans un extraordinaire numéro, où il fait étalage, avec grande pédanterie, de ses connaissances. «Lisez, lisez, c’est écrit noir sur blanc», harangue-t-il en montrant les livres qu’il aurait lus. «Il écrase les gens qui n’ont pas lu. C’est là une posture de la salafiya qui s’appuie sur la documentation. L’orateur veut ainsi démontrer qu’il a un savoir que les autres ne possèdent pas. En général, ils se limitent aux aspects religieux, en s’appuyant toujours sur ce qu’ils appellent une ''preuve'' scientifique», décortique Moussaoui. Parmi les représentants de ce courant en Algérie : cheikh El Ferkous et Abdelmalek Ramadani sont très populaires auprès des jeunes.
Amel Blidi
Béjaia : bloquée depuis 16 jours, la voie ferrée reprend du service
le 12.03.15 | 17h24
Le trafic sur la voie ferrée de la wilaya de Béjaia, reliant Bejaia à Béni-Mansour sur une distance de 85 km, a repris, jeudi, après une interruption "forcée" 16 jours durant par les habitants de la localité de Boudjellil, a-t-on appris auprès de la chef de gare de Bejaia.
"La navette entre Bejaia et Béni-Mansour a travaillé normalement, tout autant que les trains de marchandises. Et l'autorail venant d'Alger devrait rentrer en gare dès cet après- midi", a précisé Bariza Rachedi, se réjouissant de cette levée de blocus qui a occasionné de lourds manque à gagner pour la SNTF, aussi bien en terme de transport de voyageurs qu'en celui du fret ou en terme de désagréments pour ses usagers.
"16 jours durant, l'activité s'était réduite au stricte minimum", a-t-elle déploré, signalant que les motivations à l'origine de ce blocus "n'avaient rien à voir avec le transport ferroviaire".
Les actions de protestation ont causé, entre autres, la section d'un câble de fibre optique, la fermeture du siège de l'APC et la fermeture d'un chemin de wilaya menant à la localité.
Suite à ces protestations, les autorités locales ont arrêté des mesures concrètes, notamment l'engagement de deux entreprises de réalisation de routes pour hâter la modernisation d'un tronçon de voie conduisant de la localité vers les RN5 (Bouira), a indiqué à l'APS le président de l'APC, Tayeb Oulebsir.
D'autres engagements ont été pris pour résoudre des problèmes posés, notamment le cas des expropriations, intervenant dans le cadre du projet de dédoublement de la voie ferrée ou en rapport avec le raccordement du village au réseau de distribution publique de gaz.
La levée du blocus et du mouvement de protestation a donné par ailleurs l'opportunité aux équipes de manutention d'Algérie Télécom d'intervenir pour remettre en état la section sectionnée de la fibre optique, a signalé le même responsable.
APS
Transport : Le gouvernement mise sur le rail
le 12.03.15 | 10h00
Le programme national des transports ferroviaires vise la généralisation de la voie ferrée pour toucher les différentes régions du pays, a indiqué, hier à Adrar, le ministre des Transports, Amar Ghoul.
«Le programme national des transports ferroviaires s’assigne, entre autres objectifs, la généralisation des lignes ferroviaires pour toucher les différents coins du territoire national, en application du plan d’action du gouvernement visant le désenclavement, au travers des dessertes, toutes formules confondues, des différentes régions du pays», a souligné M. Ghoul lors d’une visite de travail dans cette wilaya.
Le ministre a expliqué que les nouvelles lignes ferroviaires «seront réalisées en fonction des normes techniques internationales et accompagnées de gares dotées des moyens logistiques et de signalisation modernes».
Selon l’Agence nationale des études et de suivi des investissements ferroviaires (Anesrif), les études de réalisation prévoient un réseau ferroviaire de 940 km devant relier Adrar aux wilayas de Ghardaïa et de Béchar. Il s’agit d’une ligne qui reliera, sur 350 km, Adrar à la commune de Beni Abbès (wilaya de Béchar) et d’une autre voie ferrée devant également relier, sur un tracé de 260 km, les villes d’El Ménéa (Ghardaïa) et Timimoun (Adrar), en plus d’une autre ligne projetée sur 230 km entre Timimoun et le chef-lieu de la wilaya, selon les explications fournies par les responsables de l’Anesrif.
Amar Ghoul a, à cette occasion, mis l’accent sur la nécessaire intensification des efforts de coordination et de concertation entre les différents services des wilayas concernées en vue de déterminer les tracés appropriés pour la réalisation des lignes, en tenant compte des spécificités géographiques et climatiques des territoires ciblés, notamment les régions inondables et à fort entassement de sable.
Le ministre, qui a passé en revue l’impact socioéconomique des futurs projets ferroviaires, notamment en matière de désenclavement des régions, d’amélioration des conditions de vie des populations et de création d’emplois, a annoncé que son département entend «lancer prochainement une étude de réalisation, dans l’extrême sud-ouest du pays, une nouvelle ligne ferroviaire qui reliera les wilayas de Tindouf et Béchar en vue de faciliter l’exploitation des ressources économiques dans cette région».
R. S.
|
|
ES Sétif : Madoui-Khedaïria, le clash
le 12.03.15 | 10h00
Le refus du gardien Khedaïria de faire le déplacement de Banjul a ébranlé, hier, la sérénité du onze sétifien.
Pour semble-t-il des problèmes aux adducteurs, le gardien aurait, à l’issue de la rencontre ESS- JSK, demandé a son coach de le dispenser du long et difficile déplacement en Gambie. Pour ne pas créer un prétécédent, Madoui appose un niet catégorique. Campant sur sa position, le joueur a renouvelé hier sa demande.
Celle-ci est une nouvelle fois refusée par son entraîneur, qui l’aurait invité à accompagner ses partenaires en Gambie où il sera pris en charge par le staff médical de l’équipe. La réponse du coach déplaît au néo-international affichant une fin de non-recevoir. Intervenant à un moment important de l’exercice, la position du joueur met en colère son coach. Celui-ci décide de se passer définitivement des services du joueur.
Cet incident, s’est répandu, telle une traînée de poudre, à travers les quatre coins de Aïn Fouara, où la direction du club affiche un silence de cathédrale. D’autant plus que nos tentatives de joindre le président Hamar, qui a été, nous dit-on, mis au parfum par son coach, n’ont pas abouti. Notons à toutes fins utiles qu’en plus de la défection du premier gardien, le libero du onze, Abdelghani Demmou, qui vient à peine de reprendre la compétition officielle, n’a pas fait le déplacement. Le malchanceux ex-joueur de l’USMH rechute. La mort dans l’âme, il sera contraint de céder sa place à Delhoum lors du dernier match de coupe.
Au lieu des 20 joueurs annoncés initialement, le champion d’Afrique, qui n’avait pas besoin d’un faux problème qui risque de porter un coup à la sérénité du groupe, s’est déplacé avec 18 joueurs, dont deux gardiens.
Kamel Beniaiche
La dernière sortie de Nabil Fekir, joueur de l’Olympique Lyonnais, qui a finalement opté pour l’équipe de France, a poussé le sélectionneur national, Christian Gourcuff, à sortir de son mutisme.
L’espoir renaît au sein du Mouloudia d’Alger, qui a quitté samedi dernier la peu enviable place de lanterne rouge du championnat, suite à son succès face à l’USM Bel Abbès.
On peut facilement imaginer comment a été accueillie à Chlef la qualification de l’ASO aux quarts de finale de la Coupe d’Algérie, obtenue mardi aux dépens de l’USM Alger, dans son fief de Bologhine.
mercredi 11 mars 2015