081-/-ACTUALITES DU Dimanche 22 Mars 2015
Dimanche 15 Mars 2015
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Dimanche 22 Mars 2015
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Dimanche 22
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الأحد 1 جمادى الآخرة 1436 ه
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Dimanche 22 Mars 2015
POUVOIR-OPPOSITION LE CONSEIL NATIONAL DU RCD EN A PRIS ACTE UNE FOIS DE PLUS : |
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Bouteflika et la presse : Confusion à la Présidence Maladresse ou manipulation du discours présidentiel ? Il s’est produit un fait rare dans les annales de la parole présidentielle.... |
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Bouteflika et la presse : Confusion à la Présidence
Maladresse ou manipulation du discours présidentiel ? Il s’est produit un fait rare dans les annales de la parole présidentielle....
«Il y a usurpation de fonction»
Le discours du président Bouteflika, lu le 19 mars à Ghardaïa par son conseiller, Mohamed Benamar Zerhouni, à l’occasion...
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Alexis Andres : « Plus de 11 millions d'Algériens ont aujourd'hui le français en partage. »
Alexis Andres est Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle et Directeur de l’Institut français d’Algérie.
«Plus de 11 millions d'Algériens ont aujourd'hui le français en partage»
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Bouteflika et la presse : Confusion à la Présidence
le 22.03.15 | 10h00
Maladresse ou manipulation du discours présidentiel ? Il s’est produit un fait rare dans les annales de la parole présidentielle. L’allocution prononcée par Benamar Zerhouni, le conseiller de la présidence de la République, au nom de Abdelaziz Bouteflika à l’occasion de la fête de la Victoire dans la ville de Ghardaïa, a été modifiée dans sa version francophone.
En effet, un passage – aux relents menaçants – concernant la presse a été ajouté insidieusement au texte original en arabe qui devait faire foi, et à l’insu du président de la République lui-même, affirment des sources dignes de foi. Un précédent grave qui renseigne sur le cafouillage qui règne au palais d’El Mouradia.
Si en effet le Président assume pleinement les attaques formulées contre l’opposition, «il est totalement étranger au passage sur la presse», confirment encore nos sources. Soit. Cela étant dit, le règne de Bouteflika est fait aussi et surtout de menaces permanentes contre la presse. Que s’est-il passé ? Et qui en est responsable ?
Une modification substantielle du texte de président de la République qui a suscité l’étonnement et l’inquiétude des professionnels de la presse, et a provoqué également un quiproquo au sommet. Dans la version francophone répercutée par l’Agence presse service (APS), on pouvait lire dans le message du chef de l’Etat : «Je constate que des pseudo hommes politiques, soutenus par une presse qui n’a aucun souci de son éthique professionnelle, s’évertuent, matin et soir, à effrayer et démoraliser ce peuple, à saper sa confiance dans le présent et l’avenir, ce peuple qui n’a pas accordé, et n’accordera pas, de crédit à leurs sornettes, ce peuple vaillant qui réprouve le mal et la déloyauté et méprise ceux qui s’y adonnent, ce peuple qui aspire à aller de l’avant et à investir l’énergie de sa jeunesse dans une dynamique nationale tous azimuts ayant pour finalité de construire et non pas de détruire.» Une attaque jugée excessive contre une presse qui ne fait qu’exercer son devoir d’informer l’opinion publique nationale sur ce qui anime la société.
Contexte hostile
C’est d’autant plus inquiétant que le passage concernant la presse intervient dans un contexte hostile, où des journaux indépendants subissent depuis des mois des attaques aussi viles qu’insidieuses visant à les faire taire. Difficile de croire à une imprudence à ce niveau de responsabilité, à moins que la parole présidentielle ait à tel point perdu de sa valeur.
En rajoutant ce passage à son discours, ceux qui mènent la guerre contre la presse cherchent-ils alors à se cacher sous le parapluie du Président pour poursuivre leur croisade contre les voix dissonantes ? En mettant cette phrase assassine, annonciatrice d’une campagne de répression, dans la bouche de Bouteflika, veulent-ils se donner une impunité présidentielle pour achever les dernières poches de la liberté ? Tout porte à le croire.
La tentative de «corriger l’imprudence» via l’APS par une dépêche, vendredi, en précisant que la fameuse phrase «dédiée» à la presse ne devait pas figurer dans le discours du Président ne fait que valider l’hypothèse selon laquelle le cercle présidentiel agit au nom du chef de l’Etat. Une usurpation de fonction. Si tel est le cas, Ali Benflis n’a pas eu tort de douter de l’identité même de l’auteur du discours du 19 mars.
Il est vrai que dans la tradition, ce n’est jamais le Président lui-même qui rédige ses discours, mais il fixe tout de même les grandes lignes et surtout il tient à les relire avant de les rendre publics. Manifestement, ce n’est pas le cas pour ce qui du discours de Ghardaïa qui a prêté au chef de l’Etat des propos graves qu’il ignore.
Qui sont alors les responsables de cette manipulation ? Les services de presse de la présidence de la République restent muets, entretenant la confusion et la suspicion. Un rectificatif n’est jamais suffisant pour réparer un tel dérapage, surtout quand cela émane de la plus haute institution de l’Etat.
Hacen Ouali
Une Journée dédiée aux victimes du terrorisme islamiste : Forte mobilisation contre l’oubli à Oran
le 22.03.15 | 17h16
A la veille de la Journée contre l’oubli, célébrée le 22 mars, le collectif «Plus jamais ça» a organisé, à Oran, une manifestation grandiose à la salle El Feth (ex-Pigalle) à laquelle a pris part une nombreuse assistance.
Mohamed Ghalem, professeur universitaire, a déclaré dans son allocution d’ouverture: «Si une société s’expose à l’oubli, c’est qu’elle a perdu sa personnalité et son identité et a contribué à brouiller son présent et son avenir». D’où la nécessité d’organiser, périodiquement, ce genre de commémorations en guise de piqûre de rappel. Malika Remaoun, présidente de l’Afepec et l’une des initiatrices de la célèbre marche du 22 mars 1993, a déclaré quant à elle que les femmes ont été la première cible de la sauvagerie intégriste.
«C’est, entre autres, pour cette raison, dit-elle plus loin, qu’on assume d’avoir appelé à l’arrêt du processus électoral qui allait mener les fascistes au pouvoir». Les journalistes ont également payé un lourd tribu pendant la décennie noire comme l’a rappelé Malik Cheklalia : «104 journalistes ont été assassinés entre 1994 et 1997».
D’ailleurs, en 1993, les islamistes avaient fait une fatwa qui stipulait : «ne pas faire de distinction entre ceux qui nous combattent par les armes et ceux qui nous combattent par la plume». Ahmed Sellali, frère du Mohamed Sellali, fondateur du mouvement des patriotes à Boufarik, a également pris la parole pour témoigner de l’enfer que subissaient les patriotes au jour le jour.
La cinéaste Amel Kateb a lu, pour sa part, une lettre émouvante de Zoukh Faredeheb, l’épouse de feu Faredeheb assassiné il y a une vingtaine d’années. Afin d’apporter une touche musicale, la lettre déclamée était accompagnée au luth par le musicien Oussama Benaïssa. En plus des témoignages, des lectures poétiques étaient au menu.
Djawed a lu «La voix» de Farid Aït Ali et «La mort est leur métier» de Brahim Hadj Slimane. Leila Kourich a déclamé, quant à elle, un très beau poème à la mémoire de la journaliste Amel Zouani, et «Algérie», le poème d’Assia Djebbar. Lors de la pause musicale, Mourad Bezzeghoud à la guitare a accompagné sa fille Samia pour reprendre les anciennes chansons de son groupe des années 70, «Venceremos» (nous vaincrons).
Abdellah Tamouh, l’ancien professeur de feu Bekhti Benaouda, a quant à lui, déclamé un extrait d’un long poème à la mémoire de son ancien élève. La fille de feu Abdelkader Alloula, Rihab, a également pris la parole en déclarant : «On est tous là contre l’oubli et l’amnésie. Aucune loi ne pourra effacer les crimes commis». Enfin, la commémoration s’est terminée en apothéose avec le groupe Democratoz qui a enflammé la salle avec des chansons coup de poing contre le régime.
Akram El Kébir
Rattrapage des cours : Les propositions du Cnapeste
le 22.03.15 | 10h00
La grève du Conseil national du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) a pris fin. Se pose déjà la question du rattrapage des cours perdus durant ce mois de débrayage. «Les négociations n’ont pas porté sur la question», a indiqué Larbi Nouar, porte-parole de ce syndicat.
Le Cnapeste souhaite reprendre langue avec le ministère de l’Education nationale pour discuter des mesures à prendre pour le rattrapage des séances perdues : «Nous avons des propositions, comme par exemple reprendre les cours à partir du mardi de la deuxième semaine de congé. Nous pouvons assurer des cours de rattrapage les samedis et les lundis.» Plusieurs initiatives sont présentées d’ores et déjà par le Cnapeste : «Il y a l’approche bureaucratique qui consiste à récupérer toutes les heures perdues, ce qui est impossible.
Et il y a, par contre, une approche psychopédagogique que nous privilégions. Celle-ci consiste, par exemple, à rassembler des cours qui touchent des sujets similaires. Il existe des matières, dont les cours se ressemblent et l’enseignant pourrait le cas échéant de choisir de faire seulement les applications des cours.»
Les statistiques fournies par le ministère de tutelle font ressortir que 23% des lycéens ont été diversement touchés par la grève. «Trois quarts des lycéens ont suivi normalement leurs cours et ont fait leurs compositions. Parmi les élèves touchés par la grève, il y en a qui ont passé certains examens.
Il y a également le cas des enseignants qui se sont déclarés grévistes alors qu’ils ont assuré normalement leurs cours. Quelque 26 000 enseignants ont suivi le mot d’ordre de grève. La courbe était descendante la dernière semaine, puisque mercredi et jeudi derniers, 10% des enseignants seulement ont débrayé», a précisé Farid Benramdane, inspecteur général de la pédagogie au ministère de l’Education nationale.
Selon l’inspecteur général, suivant les réalités de chaque wilaya, la prise en charge sera assurée «au cas par cas». «Il y a des wilayas où le taux de suivi était de 40%, d’autres de 20% et d’autres encore un peu moins.
La réalité est qu’au maximum 10 jours de cours ont été perdus. Il faut savoir que la grève est intervenue en même temps que les compositions qui ont démarré le 15 février. A cette date, 75% des cours avaient déjà été assurés, principalement au premier trimestre, qui est le plus chargé», estime l’inspecteur général. Plusieurs mesures sont mises en place pour faire face aux retards.
Les établissements resteront ouverts pendant les vacances pour accueillir les élèves des classes d’examen, particulièrement ceux de terminale. «Les proviseurs ont été instruits sur le protocole de reprise des cours bien avant la décision du Cnapeste», a assuré l’inspecteur.
Nadir Iddir
Le ministère de l’Education nationale appelle les élèves à reprendre les cours aujourd’hui
le 22.03.15 | 10h00
Le ministère de l’Education nationale a appelé hier les élèves touchés par la grève de certains enseignants à reprendre les cours la première semaine des vacances pour rattraper le retard. Le ministère de l’Education nationale a ainsi précisé, dans un communiqué cité par l’APS, que «les élèves qui ont été touchés par la grève de certains enseignants sont priés de reprendre les cours la première semaine des vacances (du dimanche 22 au jeudi 26 mars 2015) pour rattraper le retard». On ne sait si la démarche est concertée avec le syndicat qui a mené la grève jusqu’ici, à savoir le Cnapeste, et quel écho sera réservé à l’appel du département de Mme Benghebrit.
R. S
L’Algérie redevient déficitaire
le 22.03.15 | 10h00
Les effets de la spirale baissière des cours mondiaux du brut n’ont pas tardé à se faire ressentir sur la situation du commerce extérieur de l’Algérie.
Excédentaire sur plusieurs années, la balance commerciale, qui retrace le différentiel, en valeur, entre ce que le pays achète et vend à l’étranger, renoue désormais avec les déficits. Et cette tendance ne fait vraisemblablement que commencer. Sur les deux premiers mois de l’année en cours, révèlent ainsi les premières statistiques des services des Douanes, reprises hier par l’APS, l’Algérie affiche un déficit commercial de l’ordre de 341 millions de dollars, alors qu’à la même période de l’année écoulée, elle arborait un excédent de plus de 1,71 milliard de dollars.
Pays «quasi» mono-exportateur, avec des recettes en devises provenant à près de 98% des hydrocarbures, alors que le baril de pétrole a perdu près de 60% de sa valeur depuis juin, l’Algérie a ainsi vu ses exportations globales chuter de 28,6% sur les deux premiers mois de l’année, en comparaison à la même période de 2014, selon le bilan du Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS). Pour la période de janvier et février 2015, les exportations algériennes se sont ainsi chiffrées à 7,72 milliards de dollars, contre 10,82 milliards de dollars sur les deux premiers mois de 2014, soit une diminution en valeur de l’ordre de 3,1 milliards de dollars.
A l’origine de ce fléchissement, il y a bien évidemment la baisse de la valeur des exportations d’hydrocarbures, qui a pesé pour 94% du total des exportations algériennes durant la période considérée.
De 10,39 milliards de dollars en janvier et février de l’année dernière, la valeur des ventes algériennes en gaz et pétrole à l’étranger est passée à seulement 7,24 milliards de dollars sur la même période de 2015, reculant ainsi de 30,31%, soit 3,15 milliards de dollars, précise encore le CNIS.
Et c’est ainsi que le solde de la balance commerciale entame une nouvelle ère de dangereux déficits, alors même que les importations globales ont marqué une baisse de 11,44%, soit plus de 1 milliard de dollars, en janvier et février derniers, en s’établissant à 8,06 milliards de dollars, contre 9,11 milliards durant la même période de l’année passée. En somme, avec des achats à l’étranger pour un peu plus de 8 milliards de dollars et des ventes pour seulement quelque 7,7 milliards de dollars sur les deux premiers de l’année, l’Algérie recommence, pour ainsi dire, à dépenser désormais beaucoup plus que ce qu’elle gagne.
Sur l’ensemble de l’année écoulée, faisait d’ailleurs observer avant-hier le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Laksaci, l’excédent de la balance commerciale a chuté à son plus bas niveau depuis 1998, s’établissant à seulement 0,59 milliard de dollars à la fin de l’exercice, contre 9,73 milliards de dollars, à peine une année auparavant.
Une tendance des plus négatives qui, sauf redressement spectaculaire des prix du pétrole, risque de fortement s’aggraver dans les quelques mois à venir et même de remettre sérieusement en cause la solvabilité et le pouvoir d’achat extérieurs du pays.
Akli Rezouali
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MCA 1- ESS 0 Le Doyen s’accorde : un sursis
le 22.03.15 | 10h00
Pour le Mouloudia, c’était le match qu’il ne fallait pas perdre pour entretenir l’espoir. Le début de la confrontation était très timide entre les deux équipes sous grande pression après le lot de rumeurs qui a précédé cette rencontre. A la demi-heure de jeu, aucune action de but des deux côtés, mais une grande motivation côté algérois plus présents sur le terrain.
La mi-temps intervient sur ce score vierge. Au retour des vestiaires, Artur Jorge lance Aouedj au centre de l’attaque mouloudéenne. C’était bien vu, puisque dès la reprise, une longue transversale de Hachoud trouve ce même Aouedj qui d’un lob bien ajusté met le ballon au fond des filets. Un but que le Mouloudia préservera tout au long de la partie, qui fût émaillée de quelques incidents entre supporters. Mais cela n’empêche pas le vieux club algérois de résister jusqu’au coup de sifflet de l’arbitre et remporter ainsi une victoire utile qui lui permet de souffler en attendant la suite du parcours qui s’annonce assez difficile, à commencer par ce déplacement samedi à Tizi Ouzou.
A.H.
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RRobert Johnson, un bluesman d'enfer
Love in Vain", une bande dessinée sur Robert Johnson, légende du blues dans le Mississippi des années 30... Renaud Lefort et Johan Bodin sont allés à la rencontre de dessinateur Mezzo et du scénariste Jean-Michel Dupont !
FRANCE 24 |
Témoignage poignant d'un policier révoqué qui... par elwatanvideo
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