087-/-ACTUALITES Du Dimanche 27 mars 2016
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Pas nous bien SUR
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الثلاثاء 25 مارس 2016 م
Vendredi 25 Mars 2016
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Le niveau de leur liquidité ne cesse de baisser
La crise se propage aux banques
le 27.03.16 | 10h00
La crise financière et budgétaire, née de la chute des prix du pétrole, se propage désormais au système bancaire national, même si, de l’avis de nombre d’experts, ce dernier demeure encore solvable de par son niveau de capitalisation.
Cependant, indiquent des sources proches des milieux financiers — hormis la Banque extérieure d’Algérie (BEA), dont le portefeuille est encore fort de la présence de Sonatrach —, pratiquement tous les établissements de la place bancaire locale sont en proie à l’amenuisement accéléré de leur liquidité, c’est-à-dire de leurs ressources financières.
Un constat que corrobore d’ailleurs, très explicitement, le discours tenu la semaine dernière par le gouverneur de la Banque centrale devant les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN). Annonçant le retour des banques primaires, dès le mois d’avril prochain, au refinancement par le réescompte auprès de la Banque centrale, Mohamed Laksaci a ainsi mis en relief la tendance à la contraction des liquidités bancaires, constatée depuis le deuxième semestre 2014, à l’inverse de la situation datant de 2001, où les banques étaient en surliquidité.
Désormais, tranche le gouverneur de la Banque d’Algérie (BA), «les banques commencent réellement à recevoir leur part de choc externe», d’où la décision de revenir à «l’injection de liquidités dans l’économie» pour financer, selon ses dires, l’investissement et la PME.
Gelé depuis 14 ans au regard de la situation d’aisance et de surliquidité que connaissait jusque-là la place bancaire locale, le réescompte, c’est-à-dire l’octroi de financement par la BA aux banques primaires, refait donc surface, dans un contexte où le système financier dans son ensemble est appelé à diversifier ses ressources. Aussi, si le taux de réescompte — celui auquel les banques commerciales empruntent à la BA — devrait être révisé car figé à 4% depuis 2001, les taux pratiqués aux dépôts bancaires devraient également être améliorés pour capter davantage d’épargne.
Quoi qu’il en soit, bien que le recours au financement auprès de la BA s’apparente plus à «un retour à la normale», comme nous l’explique l’expert en finances Liès Kerrar, il n’en demeure pas moins que les banques de la place entrent effectivement en phase de tarissement rapide de leurs ressources. A fin septembre 2015, révèlent en ce sens les statistiques de la BA, la liquidité globale des banques s’est établie à 1828 milliards de dinars contre 2104,96 milliards à fin juin de la même année et 2730,88 milliards à fin décembre 2014.
Une baisse significative, que la BA impute essentiellement «au recul des dépôts du secteur des hydrocarbures en contexte de persistance du choc externe». C’est dire que la crise financière et budgétaire, qui du reste a pris une ampleur particulière depuis le début de l’année, commence effectivement à se propager au système bancaire.
Et c’est d’ailleurs en réaction à cette nouvelle situation que des exercices de simulation de risques, dits stress-tests, ont été menés au sein des banques. Une fois parachevés, vers la fin du mois en cours, ces tests permettront, selon la BA, de mesurer «le degré de résilience des banques face aux chocs externes» en contexte de baisse de liquidité.
Un contexte pour le moins défavorable que le Fonds monétaire international (FMI) n’a pas manqué de mettre en évidence dans sa dernière évaluation de l’économie algérienne, en appelant notamment la BA «à renforcer la gouvernance des banques publiques». Le secteur bancaire, relève en ce sens l’institution de Bretton Woods, «est dans son ensemble bien capitalisé et rentable, mais la persistance de faible prix du pétrole pourrait accroître les risques» sur sa solvabilité.
Akli Rezouali
20 champs d’hydrocarbures seraient en négociations
Sonatrach va-t-il généraliser le gré à gré ?
le 27.03.16 | 10h00
L’échec du quatrième appel d’offres pour les opportunités de recherche et d’exploitation d’hydrocarbures et la chute des recettes du groupe Sonatrach poussent-ils le groupe à contourner la lourdeur de la procédure réglementaire pour se tourner systématiquement vers le gré à gré ?
L’option serait en tout cas privilégiée et en voie d’être généralisée par Sonatrach dans ses contacts en cours avec ses partenaires, selon l’agence de presse Reuters, qui précise que pas moins de 20 champs gaziers et pétroliers seraient au centre de négociations avec l’italien ENI notamment. L’agence, qui cite des sources anonymes au sein du ministère de l’Energie, ajoute que les contrats en question concernent des champs de pétrole et de gaz au centre et au sud du pays, dont Ouargla, Adrar et Illizi, près de la frontière libyenne.
Dans le cadre de la campagne enclenchée par Sonatrach en vue de conclure de nouveaux contrats en dehors de la procédure de l’appel d’offres, selon l’agence de presse, le PDG du groupe, Amine Mazouzi, se rendra en Chine à la fin du mois pour des réunions avec les compagnies pétrolières chinoises Sinopec et CNPC, déjà en activité en Algérie.
Malgré l’attractivité du domaine minier algérien, la chute des cours du pétrole contribue à faire reculer les investissements des compagnies étrangères, qui sont découragées par ailleurs par la lourdeur des procédures, la bureaucratie et autres problèmes, ainsi que par le système bancaire archaïque, estiment les sources citées par Reuters.
Il est à rappeler que l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft) avait annoncé, par la voix de Sid Ali Betata, président du comité de direction, en octobre 2014, la préparation du cinquième appel d’offres pour les opportunités de recherche et d’exploitation d’hydrocarbures. Une annonce qui n’a été suivie d’aucune action tangible au vu des maigres résultats obtenus via le précédent appel d’offres et l’enchaînement des mauvaises nouvelles sur le front du pétrole, qui a perdu depuis juin 2014 plus de la moitié de sa valeur.
Alnaft, qui a signé seulement quatre contrats de recherche et d’exploitation d’hydrocarbures avec trois groupements internationaux, a qualifié les résultats du quatrième appel d’offres d’«à peine acceptables». M. Betata reconnaissait que «les leçons ont été tirées» et qu’elles vont «peser dans les consultations avec les compagnies partenaires pour le lancement du prochain appel d’offres».Des négociations qui n’ont donné, de toute évidence, aucun résultat tangible, poussant Sonatrach à chercher des chemins plus courts en vue d’arriver à conclure de nouveaux contrats d’exploration qui rehaussent l’attractivité du pays et permettent d’ouvrir de nouvelles perspectives financières dans la conjoncture morose actuelle.
Zhor Hadjam
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Éliminatoires CAN-2017
Après la large victoire de l’équipe nationale face à l’Éthiopie (7-1) : L’attaque crache le feu
le 27.03.16 | 10h00
La sélection nationale a étrillé son homologue éthiopienne, vendredi soir, en s’imposant sur le sacré score de 7 à 1 dans le cadre de la 3e journée des éliminatoires de la CAN-2017 (groupe J).
Cette victoire a non seulement permis aux camarades de Feghouli, sans doute l’homme du match avec deux réalisations, de consolider leur position en tête du classement, mais aussi de devenir la meilleure attaque lors de ces éliminatoires avec 14 réalisations inscrites en 3 matches (4 contre Les Seychelles et 3 contre le Lesotho, ndlr). Les joueurs ont gratifié le public par de belles phases de jeu, une grande maîtrise du ballon et un récital offensif.
Le score aurait pu être plus lourd, comme l’a affirmé le sélectionneur national, n’était le penalty raté par Brahimi. L’absence de certains éléments, à l’image de Soudani et Bentaleb, a obligé le patron des Verts à repositionner son compartiment offensif avec
Mahrez à droite et Feghouli dans l’axe, mais l’équipe nationale continue de dominer ses adversaires avec des scores larges, comme elle l’a fait face à la Tanzanie pour le compte des éliminatoires du Mondial 2018.
L’entraîneur national a reconnu que le début de la partie a été quelque peu difficile, mais par la suite les joueurs ont étalé leur potentiel technique individuel et collectif pour atomiser l’adversaire. «Nous avons mis du temps pour débloquer la situation, mais par la suite nous avons marqué des buts extraordinaires et les joueurs ont utilisé au mieux leur potentiel individuel», a déclaré Christian Gourcuff en fin de match lors de la conférence de presse.
Cette large victoire a aussi permis à des joueurs de soigner leur capital buts, comme Slimani qui a inscrit son 22e but sous le maillot national, et à Rachid Ghezzal d’ouvrir son compteur. En revanche, le compartiment défensif, en dépit de quelques défaillances, n’a encaissé que deux buts depuis le début des éliminatoires. Les joueurs doivent toutefois être plus vigilants au match retour, mardi. Le sélectionneur national sait que les choses seront différentes. «Je sais qu’au match retour, les conditions de jeu seront différentes à Addis-Abeba. On va quand même essayer d’adopter la même stratégie dans l’espoir d’enchaîner avec une autre victoire», a ajouté Gourcuff en conférence de presse.
Enfin, les Verts ont rapidement entamé la préparation pour le match retour avec une séance de décrassage hier. Ce matin, les coéquipiers de Ryad Mahrez effectueront une séance d’entraînement avant de s’envoler à destination d’Addis-Abeba dans l’après-midi.
Déclarations :
Yohannes Sahle (sélectionneur de l’Ethiopie)
«Malgré l’ampleur du score, notre équipe n’a perdu que trois points contre l’Algérie et l’espoir d’une qualification reste permis, surtout que nous aurons la possibilité de nous relancer dès mardi en recevant ce même adversaire chez nous. L’avantage du terrain et le soutien du public ont beaucoup aidé l’Algérie dans la réussite de cette large victoire, et j’espère qu’il en sera de même pour nous au match retour. En tout cas, cette lourde défaite n’affecte pas notre moral outre mesure. Il s’agit de notre premier revers dans cette phase de groupes, et pour l’instant, nous sommes toujours 2es.»
Yacine Brahimi :
«Nous avons dédié le premier but au coach, car Feghouli a ouvert le score au terme d’une belle action collective. Nous avons donc tenu à lui témoigner notre gratitude pour le travail qu’il a fait. Au final, nous l’emportons par 7 buts à 1, ce qui devrait nous mettre en confiance en prévision des autres matchs, à commencer par celui de mardi à Addis-Abeba.»
Slimane Mekhaldi
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Retour en grande pompe du rock dans le pays communiste
La Havane vibre au son des Rolling Stones
le 27.03.16 | 10h00
Les légendaires Rolling Stones ont soulevé, vendredi, une foule de plus d'un demi-million de personnes à La Havane, pour un concert historique et démesuré consacrant le retour en grande pompe du rock dans le pays communiste.
Pour ce concert gratuit sans précédent dans la cité sportive de La Havane, les Britanniques ont sorti d'emblée l'artillerie lourde, avec le classique Jumpin' Jack Flash, avant d'enchaîner avec l'hymne It's Only Rock 'n Roll (C'est juste du Rock 'n Roll), comme pour rassurer les autorités cubaines sur cette musique autrefois considérée comme «satanique».
Mick Jagger, chemise bordeaux et veste de paillettes multicolore, a aussitôt conquis ses fans par son habituel jeu de scène tonique, accompagné de ses compères Keith Richards, Ronnie Wood, Charlie Watts,et par le bassiste Darryl Jones.
Couples d'âge mûr, familles, touristes et beaucoup de jeunes : une foule hétéroclite était massée dans cette enceinte située près du centre-ville, qui était déjà aux trois quarts pleine plusieurs heures avant l'arrivée des Britanniques sur la scène. Des milliers de retardataires sont restés bloqués dans les rues alentour, mais profitaient tout de même d'un spectacle clairement audible plus d'un kilomètre à la ronde. D'ailleurs, les toits du quartier environnant la «Cuidad deportiva» étaient remplis de curieux profitant d'un point de vue exceptionnel sur le site. A l'intérieur, Arturo Noriega, fan venu des Etats-Unis, a confié à l'AFP qu'il s'agissait de «l'une des plus grandes expériences de (sa) vie».
«Je viens d'un pays qui est loin, mais les 5000 kilomètres ne m'ont pas empêché de venir voir les Rolling Stones. Je suis fan des Rolling Stones depuis qu'ils existent, vraiment je suis fan», s'est-il enthousiasmé. «Je suis ici depuis 8h, parce que ce concert est historique, ça va marquer l'histoire dans le monde, pas seulement à Cuba», clamait de son côté l'étudiante cubaine Meiden Betsy. «On n'a pas pu être parmi les premiers, mais d'ici, on ne va rien rater», se félicitait quant à elle Swnien Morera, jeune femme de 27 ans, cheveux et ongles bleus, qui a trouvé un espace non loin de la scène.
Ce show exceptionnel, programmé trois jours après une visite historique sur l'île du président américain, Barack Obama, avait été ajouté in extremis à la tournée «America Latina Ole» des Londoniens.
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Première édition du Printemps culturel d’Alger
L’écrivaine Rabéa Djelti présente son dernier roman
le 26.03.16 | 10h00
A la faveur de la tenue de la première édition du Printemps culturel, l’écrivaine et poétesse algérienne a présenté, jeudi dernier, au niveau de l’esplanade de Riad El Feth, son dernier roman intitulé Hanine bi naânaâ (Nostalgie à la menthe).
A la fois poétesse, écrivaine, traductrice et philosophe, Rabéa Djelti est revenue, avec toute la modestie qu’on lui connaît, sur la trame de son dernier roman. Ce roman a été finalisé au bout de deux ans d’écriture. Rabéa Djelti indique qu’elle s’est toujours inspirée de ses voyages et de ses rencontres multiples avec l’autre pour écrire ses romans.
Sa dernière publication, Nostalgie à la menthe — disponible au Liban et en Algérie (El Ikhtilef) —, met l’accent sur une histoire qui se passe à Oran, à Paris et à Damas. Ces trois villes qui se conjuguent dans son roman sont en fait les vraies escales de la vie de Rabéa Djelti en tant qu’étudiante, poétesse, professeur et être humain. «Dans ces trois villes où j’ai vécu, dit-elle, j’ai vu beaucoup de choses. J’ai vécu, par exemple, à Oran durant la décennie noire, à Damas pendant la guerre, et également à Paris.»
Le personnage principal de Nostalgie à la menthe est Dhaouia. Une jeune fille à la beauté impressionnante. Un beau jour, elle se rend compte qu’elle a des ailes. Ces dernières poussent à vue d’œil. Sa grand-mère Nouha se rend compte très vite du changement physique de sa petite-fille.
Quelque chose de grave va arriver sur Terre. Cette dernière va être engloutie par l’eau. Dans son roman, Rabéa Djelti indique que tout le monde va mourir. «Sauf qu’il y a un sixième continent qui est quelque part entre les astres où se retrouvent intellectuels, musiciens, physiciens et scientifiques, tels que Beethoven, Mozart, Socrate et Platon. Ces cerveaux qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes se retrouvent dans ce sixième continent que personne ne voit, sauf Dhaouia». Ces personnes qui évoluent dans
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