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Actualités : La présidentielle 2014 sur les réseaux sociaux Pour qui votent les internautes ?
Pour beaucoup, l’issue de l’élection présidentielle du 17 avril prochain ne fait pas l’ombre d’un doute quant à la victoire du Président-candidat pour un quatrième mandat de suite, en dépit du tollé que sa candidature a sucité et continuera encore à susciter, plus d’un estiment que le véritable enjeu est dans l’après-élection
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Et pourtant, sur la Toile, et dans certains votes virtuels initiés par certains médias, la donne est tout autre puisque la tendance est lourdement inversée. Ceci, quoiqu’il est vrai qu’il faille prendre avec des pincette et beaucoup de précaution ce genre d’initiatives en l’absence dans le pays de culture y afférente et à l’imprévisibilité d’une opinion publique du fait de l’absence de tradition démocratique dans le pays. Ceci, en sus du fait que les partisans de tel candidat peuvent se révéler plus actifs sur la Toile que ceux de tels autres. Car dans bien des pays où la pratique démocratique est enracinée, les sondages et autres pronostics d’avant une quelconque échéance électorale sont rarement passés à côté, tant les résultats se sont le plus souvent retrouvés conformes aux prévisions des observateurs et autres instituts de sondage et médias. Pour revenir au cas de l’Algérie et en prévision de la présidentielle prochaine, et à suivre le sondage du confrère arabophone, Echourrouk, l’issue de ce scrutin est loin d’être celle que le commun des mortels lui prédestine. Et pour cause, l’ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, arrive largement en tête avec pas moins de 61,25% de votants parmi les internautes qui étaient jusqu’à hier, 11 293 à lui accorder leurs voix. Il devance de loin, de très loin même le Président-candidat qui ne récolte que 26,02% de votants qui étaient de l’ordre de 4 798. En troisième et quatrième positions pointent Abdelaziz Bélaïd et Ali Faouzi Rébaïne avec respectivement 7,55% et 2,85% de l’ensemble des internautes qui ont participé jusqu’à hier à ce vote «virtuel». La patronne du PT et le président du FNA arrivent en avant-dernière et dernière position avec respectivement 1,78% et 0,55% de votants. La même tendance est observée dans un autre sondage initié par une une de ces nombreuses chaînes off-shore avec, à chaque fois, l’ancien secrétaire général du FLN qui sort du lot. Mais indépendamment de ces sondages et autres votes virtuels, il faudra attendre l’heure de vérité, celle du 17 avril prochain en début de soirée. M. K.
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Actualités : La présidentielle 2014 sur les réseaux sociaux Pour qui votent les internautes ?
Pour beaucoup, l’issue de l’élection présidentielle du 17 avril prochain ne fait pas l’ombre d’un doute quant à la victoire du Président-candidat pour un quatrième mandat de suite, en dépit du tollé que sa candidature a sucité et continuera encore à susciter, plus d’un estiment que le véritable enjeu est dans l’après-élection
M. Kebci - Alger (Le Soir) - Et pourtant, sur la Toile, et dans certains votes virtuels initiés par certains médias, la donne est tout autre puisque la tendance est lourdement inversée. Ceci, quoiqu’il est vrai qu’il faille prendre avec des pincette et beaucoup de précaution ce genre d’initiatives en l’absence dans le pays de culture y afférente et à l’imprévisibilité d’une opinion publique du fait de l’absence de tradition démocratique dans le pays. Ceci, en sus du fait que les partisans de tel candidat peuvent se révéler plus actifs sur la Toile que ceux de tels autres. Car dans bien des pays où la pratique démocratique est enracinée, les sondages et autres pronostics d’avant une quelconque échéance électorale sont rarement passés à côté, tant les résultats se sont le plus souvent retrouvés conformes aux prévisions des observateurs et autres instituts de sondage et médias. Pour revenir au cas de l’Algérie et en prévision de la présidentielle prochaine, et à suivre le sondage du confrère arabophone, Echourrouk, l’issue de ce scrutin est loin d’être celle que le commun des mortels lui prédestine. Et pour cause, l’ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, arrive largement en tête avec pas moins de 61,25% de votants parmi les internautes qui étaient jusqu’à hier, 11 293 à lui accorder leurs voix. Il devance de loin, de très loin même le Président-candidat qui ne récolte que 26,02% de votants qui étaient de l’ordre de 4 798. En troisième et quatrième positions pointent Abdelaziz Bélaïd et Ali Faouzi Rébaïne avec respectivement 7,55% et 2,85% de l’ensemble des internautes qui ont participé jusqu’à hier à ce vote «virtuel». La patronne du PT et le président du FNA arrivent en avant-dernière et dernière position avec respectivement 1,78% et 0,55% de votants. La même tendance est observée dans un autre sondage initié par une une de ces nombreuses chaînes off-shore avec, à chaque fois, l’ancien secrétaire général du FLN qui sort du lot. Mais indépendamment de ces sondages et autres votes virtuels, il faudra attendre l’heure de vérité, celle du 17 avril prochain en début de soirée. M. K.
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Actualités : KERRY À ALGER Controverse autour d’une visite
L’annonce de la visite du secrétaire d’Etat américain, John Kerry, en Algérie, et en cette période d’élections présidentielles, a suscité moult interrogations dans la classe politique nationale. Un timing qui n’est pas, aux yeux de beaucoup d’observateurs, fortuit, sachant que l’émissaire américain était attendu en 2013 par les autorités du pays, mais qui a annulé sa visite à la dernière minute. Contactés, les candidats à la présidentielle d’avril 2014 livrent chacun son avis.
Abdelaziz Belaïd, candidat à la présidentielle : «Il ne faut pas voir la visite de John Kerry d’un point de vue négatif» «L’Etat ne doit pas cesser de fonctionner en période électorale, et je crois qu’il ne faut pas voir la visite de M.John Kerry d’un point de vue négatif. Si cela s’inscrit dans un esprit d’échange économique et social, soit dans un cadre bilatéral, nous n’avons pas à se plaindre. Or, si cette visite entre dans le cadre des élections présidentielles, nous ne sommes pas d’accord. Le peuple algérien est le seul à décider du sort de l’Algérie.»
Djelloul Djoudi, chargé de communication de la candidate Louisa Hanoune : «Les Américains veulent arracher des concessions sur les décisions souveraines de l’Algérie» «Nous dénonçons la visite de M.John Kerry, en cette période de campagne électorale pour les présidentielles d’avril 2014. Nous connaissons parfaitement les méthodes des Américains qui consistent à faire pression dans des contextes qu’ils jugent favorables pour arracher des concessions sur les décisions souveraines des Etats. Il ne faut pas oublier qu’il y a eu déjà, en 2013, l’annonce d’une visite du secrétaire d’Etat américain des Affaires étrangères, et qui a été annulée à la dernière minute. S’il revient, aujourd’hui, et en ce moment précis, cela démontre largement les intentions des Etats-Unis.»
Abdelkader Boudjouras, chargé de communication du candidat Moussa Touati : «Les Américains vont prendre leur part en échange d’un cautionnement du 4e mandat» «Notre avis au FNA quant à la politique étrangère de l’Algérie est connu, pour avoir toujours douté des décisions prises par les autorités du pays, lesquelles sont toujours soumises à une tutelle. Nous sommes conscients de ce qui fait courir les Américains, chez lesquels plus de 200 milliards de dollars de nos réserves de change sont placés, et qui veulent marchander avec un Président-candidat malade. Nous ne croyons pas, donc, que la visite de M.John Kerry soit motivée par des questions d’ordre sécuritaire, en cette période d’élections présidentielles. Les Américains vont prendre leur part du gâteau, en échange d’un cautionnement du quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika.»
Toufik Benalou, chargé de communication du candidat Fawzi Rebaïne : «Que vont donner nos gouvernants en gage de bonne volonté à ceux qui leur rendent visite ?» «Les vraies questions que nous nous posons sont : que vont donner nos gouvernants en gage de bonne volonté à ceux qui leur rendent visite en cette période électorale ? Est-ce que nos gouvernants bradent-ils nos richesses à ceux qui cautionnent une politique basée sur la rente et est-ce que enfin, nous avons des gouvernants honnêtes et patriotes pour défendre nos intérêts ?»
Madjid Bekouche, chargé de communication à la direction de campagne d’Abdelaziz Bouteflika : «Cette visite conforte l’Algérie en tant qu’îlot de paix et de stabilité» «L’Algérie, aujourd’hui, dans ce contexte politique caractérisé par des tensions régionales, est une destination particulièrement prisée par les intervenants occidentaux sur les grands dossiers régionaux, notamment les émissaires américains, dont celui imminent, M. John Kerry. Cette visite conforte l’Algérie en tant qu’îlot de paix et de stabilité dans la région et en tant que force régionale susceptible d’émettre des avis éclairés et constructifs sur ces dossiers. Elle conforte aussi la politique régionale de l’Algérie, menée d’une main de maître par l’actuel Président. Maintenant, et pour ceux qui établissent un rapport entre cette visite et la campagne présidentielle, nous considérons que ce sont des propos défaitistes de gens qui se préparent à la débâcle électorale au vu de ce qu’ils voient annoncer comme déclarations de soutien au candidat Abdelaziz Bouteflika et au vu des manifestations évidentes de sympathie pour notre candidat à travers tout le pays.»
Lotfi Boumghar, chargé de communication du candidat Ali Benflis : «Il est normal et indispensable que l’Algérie et les états-Unis entretiennent des relations» «M. Ali Benflis considère qu’il est normal et indispensable que l’Algérie et les Etats-Unis entretiennent des relations de coopération denses et confiantes. Le fait que cette visite intervienne dans le contexte électoral, qu’est celui de l’Algérie, aujourd’hui, n’appelle pas, a priori, des lectures particulières. M. Benflis sera attentif aux déclarations que fera le secrétaire d’Etat américain, au cours et à l’issue de sa visite et n’a pas de doute sur le fait que les Etats-Unis ne peuvent qu’appeler au respect du choix souverain du peuple et à l’instauration d’une véritable démocratie en Algérie. Cela dit, M.Benflis sait que c’est le peuple algérien qui doit choisir celui qui le représentera et c’est à lui seul qu’appartient ce pouvoir.» M. M.
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Sports : Handball : 20e Championnat d’Afrique des nations U21 L'Algérie prend la 4e place
Notre équipe nationale des U21(ex-juniors garçons) s’est classée en quatrième position de cette 20e édition des Championnats d’Afrique des nations de cette catégorie, après avoir perdu en match de classement, face à celle de l’Angola, hier au Complexe olympique de Nairobi, capitale du Kenya, sur le score de 29 à 25. C'est la seconde défaite du Sept algérien face au même adversaire après celle essuyée lors de la phase de poules (34-30). Pour rappel, cette rencontre s’est déroulée la veille de la finale de cette édition qui devait opposer l’Egypte à la Tunisie hier. Avant de se classer à cette place et rater le podium, les protégés du néo coach national Hasni Achour avaient été battus en demi-finale par les Tunisiens sur le score de 26 à 18. Neuf sélections ont participé au rendez-vous de Nairobi, à savoir l'Algérie, la Tunisie, l'Egypte, la Libye, l'Angola, le Kenya, la RD Congo, le Burundi et le Gabon alors que la Guinée a été exclue de cette compétition pour non-paiement des frais de participation. Quant au classement final, la Libye se place derrière notre pays suivie par le Gabon en 6e position, la RD Congo en 7e position, devançant l’ensemble national local à l’avant-dernière place laissant le Burundi fermer la marche. H. C.
Championnat national Superdivision messieurs (7e journée) La hiérarchie reste floue C’est ce qui ressort de cette étape, la septième de la phase aller du tour principal de la superdivision disputée avant-hier. En effet, aux rencontres reportées lors des précédentes journées se sont ajoutées deux autres, à cause de la participation de deux équipes en Coupe arabe qui se déroule actuellement en Tunisie. Pour cette étape, l’affiche du jour était programmée à la salle Laghouazi de Baraki où la formation locale a accueilli celle de Skikda. Ce duel a valu par une forte intéressante confrontation. Devant une assistance nombreuse, les débats ont été très disputés. Lors de la première mi-temps, les banlieusards l’ont dominé arrivant à la pause-citron avec un avantage de quatre longueurs. A la reprise, les visiteurs se sont secoués pour prendre le match à leur compte. Doucement mais sûrement, ils parviennent à renverser la vapeur et mener au tableau d’affichage. Subitement, une panne de courant, engendre un arrêt de la partie, ce que le président de la formation skikdie dénonce justement avec force. D’ailleurs, les présents se sont interrogés sur l’absence d’un groupe électrogène dans cette nouvelle salle. Après plus de dix minutes passées dans le noir, les joueurs reprennent la partie. «Refroidis» dans leur ardeur, les Skikdis ne peuvent retrouver leur débordante énergie, laissant les gars de Baraki niveler la marque et s’en aller construire un succès à l’arraché. Cette victoire leur permet de consolider leur fauteuil de leader en augmentant leur avance après la défaite de leurs dauphins sudistes d’El-Oued à Maghnia. Dans la poule A, les Pétroliers, tout en étant exempts, restent toujours le chef de file incontesté. Ils sont talonnés à quatre longueurs derrière par les Bordjiens. Ces derniers profitent de la participation d’Aïn Touta en Coupe arabe pour s’y installer. H. C.
Résultats
Groupe A CR Bordj Bou-Arréridj-HBC El-Biar 30-26 Exempt : O M’sila ES Aïn Touta-GS Pétroliers (reporté) C Chelghoum Laïd-GS Boufarik (reporté).
Groupe B CRB Baraki-JSE Skikda 25-23 CRB Mila-MC Saïda 19-22 O Maghnia-O El-Oued 25-22 Exempt : WO Rouiba.
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Sports : Coupe d'Algérie U21 (demi-finale) MC Oran-NA Hussein-Dey en finale
Le MC Oran et le NA Husseïn-Dey se sont qualifiés à la finale de la Coupe d'Algérie de football des moins de 21 ans aux dépens de l'AB Merouana et de l'USM Alger respectivement. Les jeunots oranais sont allés s'imposer sur le terrain de l'ABM (2-1). Leur attaquant Mounir Fakih, promu récemment en équipe fanion du Mouloudia qui lutte pour son maintien parmi l'élite, s'est illustré en inscrivant un doublé. Il confirme ainsi son sens du but après avoir réussi à frapper par trois fois lors des deux derniers matchs de son équipe première. Pour sa part, l'ABM n'a pas profité de sa supériorité numérique en deuxième mi-temps après l'expulsion du gardien de but adverse. L'USMA, qui a assuré le titre de champion de sa catégorie avant terme, est tombée à domicile. Ses joueurs voient ainsi leurs espoirs de s'adjuger le doublé s'évaporer. Les Rouge et Noir se sont inclinés aux tirs au but. Pourtant, ils menaient au score 2 à 0, mais les Husseïndéens ont réussi à remettre les pendules à l'heure, au grand dam des 3 000 fans usmistes environ qui ont garni les tribunes du stade Omar-Hamadi de Bologhine.
Coupe d’Algérie féminine U20 L'AS Sûreté nationale et l'AS Intissar Oran passent L'AS Sûreté nationale et l'AS Intissar Oran se sont qualifiées pour la finale de la coupe d'Algérie de football féminine de la catégorie U20, à l'issue des demi-finales disputées hier matin. L'équipe U20 de l'AS Sûreté nationale s'est imposée face à l'ASE Alger Centre, détentrice du trophée 2013, sur le score d'un but à zéro à Réghaïa, alors que l'AS Intissar Oran a éliminé l'USF Béjaïa sur le score de quatre buts à zéro au stade Opow de Béjaïa.
Résultats
ASE Alger Centre-AS Sûreté nationale 0-1 USF Béjaïa-AS Intissar Oran 0-4.
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Vous ne pouvez pas faire appel à nous, nous sommes déjà morts ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
La durée de validité du passeport passe à 10 ans. J’m’en fous ! Après le 17…
Je ne m’en servirai qu’une fois !
C’est le top ! A partir de Constantine, Sellal a lancé aux présents : «La génération postindépendance doit se préparer à prendre des responsabilités aux plus hautes fonctions de l’Etat.» Et le mec qui dit ça fait campagne pour le 4e mandat d’un homme qui flirte avec les 80 ans et n’arrive même plus à se faire entendre et comprendre par une paire d’oreilles pourtant complaisantes et plantées à quelques centimètres à peine de sa bouche. C’est une plaisanterie ! J’espère sincèrement qu’il s’agit d’une plaisanterie. Parce que sinon, c’est limite pervers ! Comment en appeler à la génération postindépendance lorsqu’on passe son temps à pousser un fauteuil roulant sur lequel est assis un Chibani qui lui-même passe le sien de temps entre le Val-de-Grâce et les Invalides ? Et puis, plus crûment, de quelle génération postindépendance Sellal parle-t-il ? Faut peut-être lui dire à Si Abdelmalek, l’informer : la génération postindépendance bouffe les pissenlits par la racine depuis des années déjà. Les enfants de 1962 meurent tous les jours de ces maladies fulgurantes que provoquent le stress, la perte de perspectives, la Hogra administrative, les diplômes qui ne servent plus à rien face au favoritisme ou encore les rêves tus, muselés et enterrés sous des couches de cancer, de crises cardiaques et de leucémies. Prenez juste les journaux et allez dans les pages nécrologiques. Là, vous y trouverez la génération postindépendance. Lassée d’attendre son«tour de gouvernance», elle s’en est allée précocement en prendre un autre, plus accessible, dans les cimetières. Les grabataires ont tué les postindépendance, M’sieur le directeur de campagne ! Et ceux parmi les postindépendance qui n’ont pas été tués, attendent qu’on vienne les achever, au moins par humanité. Alors, oui ! Libre à vous de faire campagne pour un octogénaire malade. C’est votre trip, et en bon démocrate, je m’interdis de vous interdire toute pratique sous prétexte qu’elle ne correspondrait pas à ma vision de la vie. Supportez donc qui vous voulez. Mais n’en appelez surtout pas à une génération sacrifiée, mutilée, atrophiée, laminée et assassinée par celui-là même dont vous poussez le fauteuil. Et souffrez juste que notre génération, celle des postindépendance osât, avant de plonger le deuxième pied dans la tombe, en appeler enfin à celle, post-88 pour vous dégager de là, ouvrir les fenêtres de la Maison Algérie pour en aérer un intérieur chargé de poussière et de naphtaline. Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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