131-/-actualites du Mardi 12 Mai 2015
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Deux terroristes abattus à Ain Defla
Algérie-Maroc : « Il n'existe ni différend ni médiation », selon Messahel
Karim Tabbou à propos de l’agrément de son parti (UDS) : « C’est un empêchement purement politique »
Procès Khalifa : Yacine Ahmed, l’ex PDG de Digromed à la barre
Ahmed Benbitour : « l’Algérie a besoin d’une nouvelle race de responsables »
Tipasa : Mandat de dépôt contre 02 élus.
Prochaine visite de Hollande à Alger
Une semaine pour sensibiliser les citoyens sur les risques routiers, domestiques et marins
Cheikhs cathodiques et fetwas via les réseaux sociaux : Le ministre en appelle encore une fois à la responsabilité
El Oued : Le verdict de l’affaire Rachid Aouine reporté au 25 mai
Sports
EN Olympique : Dernière ligne droite avant la CAN-2015
Coupe du monde 2022 : Le Conseil de l’Europe ne lâche pas le Qatar
Affaire CCS-ESM : Sig a saisi le TAS
CRB : Le Chabab y croit
Sanction : Huis clos pour la JSK
Ligue des champions d’Europe : Le Bayern en quête d’un miracle face à Messi
Economie
Importations frauduleuses : Le gouvernement donne l’alerte
Des entreprises allemandes cherchent des partenaires en Algérie
Une autre campagne pour appeler les algériens à consommer national : Quand l’état ne donne pas l’exemple
Échec des réformes, libéralisation anarchique : La déferlante des importations lamine le produit algérien
Ahmed Lateb .expert industriel : «On ne peut pas rattraper le retard par des discours»
Le made in Bladi, un slogan sans mesures d’appui : La faiblesse de la logistique bloque la production nationale
2e édition d’Algé’Rire : comedy Pour le meilleur et pour le… rire
Ele s’est produite au TRC avec Jugurtha la troupe : «new theatre» des issers à la conquête de Cirta
les journées de la mode en algérie : Catwalk sort ses griffes
Mahrez Smaïl El Anka. Auteur-compositeur : «J’essaye de suivre les traces de mon grand-père»
Alhambra de Paris : Ali Amran en concert cet après-midi à 16h
Les scènes de Constantine et de Béjaïa vibrent au rythme de Trio Spalato
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le 12.05.15 | 14h31 | mis à jour le 12.05.15 | 15h42
Le président français, François Hollande, sera, bientôt, en visite à Alger.
C’est ce qu’a déclaré, ce mardi, le ministre français des affaires étrangères et du développement international, Laurent Fabieus, lors d’un point de presse à l’issue de sa visite en Algérie.
« À l’invitation de nos amis algériens, le président français envisage de venir prochainement ici. Il était là, il n’y a pas si longtemps, mais l’Algérie lui manque », a-t-il déclaré.
Le ministre Français et son homologue algérien, Ramtane Lamamra, ont salué la qualité des relations économiques mais aussi diplomatiques entres les deux pays.
Accompagné par le ministre français de l’Economie, Emmanuel Macron, et le représentant spécial pour les relations avec l'Algérie, Jean-Louis Bianco, M. Fabius effectue une visite de travail en Algérie dans le cadre de la réunion d'étape du Comefa.
Dans la matinée, les deux délégations ministérielles algérienne et française étaient présents à la cérémonie d'inauguration, à Annaba, de l’usine Cital pour l’assemblage et la maintenance de tramways, fruit d’un partenariat entre l’Entreprise de constructions de matériels et d’équipements ferroviaires (Ferrovial), l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) et la société française Alstom.
Cette réunion s’est soldée par la signature de six accords, dont 4 économiques. D’autres projets seront lancés prochainement dans le sud du pays. Fabius laisse aux autorités algériennes le soin de choisir les localités et les secteurs d’activité.
Laurent Fabius sera reçu cet après-midi, successivement, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et par le président Abdelaziz Bouteflika.
Un potentiel de 80 projets pour le prochain Comefa
Quelques 80 projets qui ont un potentiel et une chance d’aboutir sont recensés pour le prochain Comefa prévu pour octobre à Paris, a estimé Bachir DEHIMI, Président du Groupe Mécanique. Des projets qui concernent notamment l’industrie, transport, agriculture. Et de préciser : « C’est un potentiel que nous ne travaillons pas uniquement avec le partenaire français, pour nous premier venu, premier servi ».
Mina Adel
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Ahmed Benbitour : « l’Algérie a besoin d’une nouvelle race de responsables »
le 12.05.15 | 17h46
Ahmed Benbitour, ancien chef de gouvernement et membre de la Coordination pour les libertés et la transition démocratiques (CLTD), considère que les personnes qui tiennent les rênes du pouvoir en Algérie ne sont pas bien outillées pour faire face aux chamboulements induits par le développement spectaculaire des technologies de l’information dans le monde.
« L’Algérie a besoin d’une nouvelle race de responsables capables d’inventer de nouvelles politiques, dans ce monde marqué par une évolution sans précédent des technologies de l’information. », a affirmé Ahmed Benbitour, lors de son intervention à la conférence sur la transition démocratique organisée, ce mardi au siège d’Ennahda à Alger. Mais pour affronter les dangers de ce nouveau monde « il ne suffit pas de changer les personnes via des élections truquées. Il faut changer tout le régime politique ».
Selon Benbitour - qui a adopté les thèses situant l’Algérie dans « le grand moyen orient » - l’un des dangers apportés par le nouvel ordre mondial a trait à « l’effondrement des Etats-nations qui seront remplacés par des Etats construits sur des fondements ethniques ».
L’ancien chef de gouvernement de Bouteflika a affirmé, en outre, qu’on ne peut pas aller d’un régime totalitaire vers un système démocratique sans passer par une période transition ».
Rehabi : « l’opposition manque de documentation politique »
Intervenant à la même occasion, Abdelaziz Rehabi, ancien ministre, a estimé, lui aussi, que l’Algérie a besoin d’un période de transition pour opérer le changement politique souhaité. Il s’est référé, en ce sens, à l’expérience de l’Espagne où il était ambassadeur au moment de la mort du général Franco en 1975. Des pays de l’Amérique latine, à l’exemple de l’Argentine et du Chili ont vécu la même expérience, dans le sillage de la chute de leurs dictatures, dit-il encore.
Il pense, cependant, qu’en Algérie « l’opposition manque de documentation (nécessaire) à la mise en place d’une pensée politique ». Cette lacune pourrait être comblée à l’issue du prochain conclave de la CLTD, prévu le 6 juin prochain, espère Rehabi.
Farouk Djouadi
Procès Khalifa : Yacine Ahmed, l’ex PDG de Digromed à la barre
le 12.05.15 | 18h09
Ex PDG de Digromed, société publique de distribution du médicament, Yacine Ahmed, 64 ans, est accusé dans l’affaire Khalifa Bank : association de malfaiteurs, vol qualifié et abus de confiance. Relaxé suite au procès de 2007, il a été convoqué lors de l’actuel procès pour qu’il soit jugé de nouveau.
Face au juge ce mardi après-midi, il semble le plus « calé » par rapport aux autres accusés qui l’ont précédé. Spécialiste en Management, il s’est bien défendu lors de son jugement. « Actuellement, j’enseigne dans une université française. J’ai un diplôme universitaire algérien, un autre délivré par l’université de Bordeaux où j’étais major de promo, et un troisième délivré par HEC Montréal en 1976, répond-t-il au juge une fois devant la barre. Abordant son parcours professionnel, il arrive à Digromed où il était PDG. On est en 2001. 375 millions de DA de cette société ont été déposés à Khalifa Bank.
Le juge veut savoir pourquoi cette banque précisément. « Effectivement, on a placé 325 millions de DA, puis 50 millions à l’agence Khalifa Bank d’El Harrach ». Et de poursuivre : « Avant ce dépôt, notre argent était déposé au CPA mais on ne pouvait plus travailler avec cet établissement du moment où le fisc a bloqué tous nos comptes pour une erreur dont on n’était pas responsable. J’ai sollicité personnellement, et à travers un écris, le chef du gouvernement de l’époque. Ses décisions n’ont pas été exécutées. On avait, certes, d’autres comptes à la Cnma, mais les offres de Khalifa Bank étaient très alléchantes pour ce qui est du taux d’intérêts ». Il dit au juge qu’il a chargé son directeur financier pour mener une prospection. « On avait opté pour Khalifa Bank d’une manière légale, soit après l’avis favorable du conseil d’administration de notre entreprise », a-t-il insisté.
Le juge, Antar Menaouer, veut le piéger : « Aviez-vous demandé des rapports officiels concernant la santé financière d’El Khalifa Bank avant le dépôt? ». « Sincèrement non. C’est une banque agréée par la République Algérienne et ça nous suffisait largement. Puis, on n’a jamais demandé ce genre de rapports avec les autres banques comme le Cpa et le Cnma », a-t-il répliqué. Là, le juge donne l’exemple de la Sonatrach et dont les responsables auraient été plus prudents et n’ont pas déposé l’argent de cette société à Khalifa Bank. « Voilà un bon reflexe, non ! », lance le juge.
« La Banque d’Algérie n’a pas émis de réserves »
« Effectivement, je reconnais que nous n’avions pas eu ce réflexe à notre niveau. Mais le contrôle est l’affaire des instances concernées comme la Banque d’Algérie. Il n’y a jamais eu d’avertissement émanant de la banque des banques quant à l’aspect douteux de Khalifa Bank. Pis, nous avions une tutelle (SGP), laquelle n’a jamais émis de réserves concernant cette banque. » « Et cette convention avec Khalifa, c’était quoi au juste ?», veut savoir Antar Menouar.
L’accusé lui répond : « On avait un centre médico-social qu’on voulait rentabiliser. On avait établi une convention avec le groupe Khalifa pour leur offrir nos services. C’était dans l’intérêt de notre société ». « Et la convention avec KRG Pharma ? », l’autre question du juge. « Nous dépendions des importateurs privés de médicaments pour approvisionner le marché. On avait, avec eux, une marge bénéficiaire de 2% seulement. KRG Pharma nous accordait jusqu'à 50% de marge, c’était très alléchant », s’est-il défendu. Le PDG profite de son passage pour critiquer la manière dont le médicament est importé dans le pays, du moins à cette époque (début des années 2000). « Avec 300 m², des opérateurs pouvaient importer facilement le médicament. A Digromed, la superficie est beaucoup plus importante mais il nous a été interdit d’importer le médicament », a-t-il regretté.
Le dépôt d’argent et l’immobilier de l’accusé
Le juge, puis le procureur veulent savoir s’il y a une relation entre les biens immobiliers de l’accusé et le dépôt d’argent de Digromed chez Khalifa Bank. L’accusé lui fait savoir que la villa de Saïd Hamdine, l’appartement de Paris et d’Alger et le lot de terrain de Bordj El Kifan ont été acquis grâce notamment à des prêts bancaires et bien avant le dépôt d’argent de Digromed chez la banque de Abdelmoumen. « En 1985, Khalifa Bank existait-elle ? Une partie de mes biens a été acquise durant cette année », lance l’accusé au procureur de la république. Concernant l’octroi d’El Khalifa Bank d’une somme de 800 millions à l’accusé, ce dernier nie que cette somme soit une contrepartie du dépôt d’argent de Digromed chez la banque en question. « La somme de 800 millions de centimes représente mes services assurés aux travailleurs du groupe Khalifa. En tant qu’universitaire formateur, j’ai formé plusieurs travailleurs de ce groupe, notamment dans le domaine du Management. L’accusé regrette que les gendarmes et les juges d’instruction doutent de cela lors de l’enquête alors que la traçabilité « prouve mon innocence. Il y a la liste des personnes formées, leurs notes,… »
Les confidences de Yacine Ahmed
« Je vais vous faire une confidence monsieur le juge ». Voilà une phrase de l’accusé qui a provoqué un silence religieux dans la salle. Les présents s’attendaient à de graves révélations, genre citation de hautes personnalités du pays dans le procès…« Allez-y monsieur Yacine Ahmed », lui supplie le juge.
« Je suis considérablement affaibli. Je n’ai plus envie de penser à investir en Algérie. Quand la police vient chez moi, à 05 h00 du matin, et réveiller tous le voisinage, alors que je n’ai rien fait de grave, je vous laisse imaginer les conséquences de tout cela », a-t-il regretté.
EN Olympique : Dernière ligne droite avant la CAN-2015
le 12.05.15 | 10h00
La sélection nationale olympique, sous la conduite du Suisse Pierre-André Schurmann, attaque la dernière ligne droite de sa préparation, en prévision de son entrée en lice dans le 3e et dernier tour des éliminatoires pour la CAN-2015 de la catégorie (U23), qualificative pour les Jeux olympiques de Rio 2016.
A cet effet, et après une série de stages de préparation mensuels entamés depuis l’intronisation du Suisse au mois d’août dernier à la tête de la sélection, les Verts effectuent, depuis hier, leur dernier stage de préparation en Algérie, au Centre technique national (CTN) de la FAF à Sidi Moussa, qui sera ponctué, le 19 de ce mois, par une joute amicale face à la sélection olympique du Soudan, en regroupement à Alger depuis dimanche, pour préparer sa double confrontation face à la Tunisie (23 et 29 mai) comptant pour le 2e tour des éliminatoires de la CAN-2015 des U23.
Ainsi, la sélection nationale espoir, qui a multiplié les stages et autres joutes amicales depuis septembre, entame la dernière ligne droite de sa préparation par une rencontre avec le Soudan, et pour lequel le technicien Suisse a fait appel à 24 joueurs évoluant dans les deux paliers professionnels, mais avec une forte majorité de joueurs issus de l’ASM Oran et de l’ASO Chlef, représentés respectivement par 5 et 4 éléments.
Les Verts s’envoleront vers la Suisse, au mois de juin, pour un long stage avec trois joutes amicales en terre helvétique.
Puis, ils regagneront Alger et feront leur entrée en lice dans ces éliminatoires de la CAN-2015, en accueillant à Tchaker, le 19 juillet, le vainqueur de la double confrontation Cameroun-Sierra Leone, alors que la joute retour est prévue entre les 31 juillet et 2 août.
Un adversaire qui sera connu, pour rappel, le 29 de ce mois, dans une confrontation décisive pour les Verts, puisqu’elle sera qualificative pour la CAN-2015 qu’abritera le Sénégal (5-19 décembre), premier objectif assigné par la FAF au
Suisse Pierre-André Schurmann, qui aura la lourde mission, par la suite, de décrocher l’une des trois premières places lors de la CAN-2015 (U23).
Fin de saison pour Halliche
Le défenseur international algérien du Qatar SC, Rafik Halliche, sera indisponible pour six mois et ratera de ce fait les prochains rendez-vous de la sélection, en raison d’une blessure aux ligaments croisés du genou, contractée dimanche soir, lors du match de quarts de finale de la Coupe du Qatar.
Une longue absence qui posera des soucis au sélectionneur national, Christian Gourcuff, qui devra lui trouver un remplaçant dans l’immédiat, en prévision des deux prochains stages de la sélection du mois de juin, qui seront ponctués par un match face aux Seychelles, comptant pour la première journée du groupe J, des éliminatoires de la CAN-2015.
Tarek Aït Sellamet
Cheikhs cathodiques et fetwas via les réseaux sociaux
Le ministre en appelle encore une fois à la responsabilité
le 12.05.15 | 10h00
Emettre des orientations religieuses n’est pas le fait du premier venu.» Et Mohamed Aïssa, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, tente, depuis sa prise de fonction, de séparer le bon grain de l’ivraie. Invité, hier, du forum de la Chaîne I, le ministre a exhorté, une nouvelle fois, les personnes qui «prêchent en dehors de la mosquée» à plus de responsabilité.
«Il y a effectivement de nombreuses dérives dans le discours religieux, que cela soit sur le plateau des nouvelles chaînes privées, ou sur le web, sur les réseaux sociaux ou des sites internet, par exemple», déplore ainsi M. Aïssa. Ceux-là représentent, selon lui, un réel danger pour la société et pour le pays. «Nous ne savons rien d’eux, de leurs parcours et origines, de leurs influences et références, de leurs enseignements et formations.
Ils sont un réel risque pour ceux qui les écoutent», dénonce-t-il. «Que ceux qui activent en dehors des mosquées viennent vers nous, pour qu’ils soient formés et intégrés», invite le ministre, en insistant sur la nullité des avis émis çà et là. «Tout comme l’on ne peut pas acheter de médicaments chez un marchand de légumes, on ne peut pas obtenir de vraies réponses à ces questionnements par le biais de personnes non habilitées», poursuit-il, ajoutant que l’orientation se doit d’être responsable. «Il ne suffit pas de donner son avis sur son compte facebook. Il est exigé de produire un réel avis juridique, fruit d’une recherche scientifique documentée et construite, etc.», conclut-il.
De même, le ministre estime qu’un réel débat doit avoir lieu autour du discours religieux dans les médias. Concernant l’extrémisme et autres phénomènes de terrorisme international, le ministre déplore «les différentes atteintes à l’image de l’islam», dont pâtissent tous les musulmans, mais tout particulièrement ceux qui vivent en «Occident», où la pratique de ce culte est de plus en plus ciblée par une «guerre» qui ne dit pas son nom.
Raison pour laquelle il est indispensable de réagir, «mais en termes culturel, intellectuel et scientifique». «Un colloque sera de ce fait prochainement organisé en France, avec le concours du recteur de la Grande Mosquée de Paris et autres instances internationales et régionales. Son objet sera de faire connaître le véritable islam», annonce-t-il. Pour ce qui est du tant attendu projet du mufti de la République, le ministre réaffirme qu’il sera soumis au Conseil des ministres avant le mois de juin.
Ghania Lassal
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