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Aux sources de la gabegie budgétaire Résorber le déficit budgétaire sans mettre en péril la paix sociale. Le Premier ministre reconduit et sa future équipe...
L'«offensive» de Gaïd Salah Selon TSA, le chef d’état-major de l’ANP et vice-ministre de la Défense nationale, le général Ahmed Gaïd...
Le pouvoir en quête d'alliés Les démarches entreprises par Sellal pour faire participer des partis de l’opposition à la formation de l’Exécutif ont...
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Sports
Vers un remake de la CAN-2013 ? Le sélectionneur national Vahid Halilhodzic aura du mal à composer la préliste de 30 joueurs susceptibles de prendre part au Mondial...
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En difficulté financière, la Tunisie se tourne vers son voisin de l’ouest.
La visite de deux jours, achevée hier, du Premier ministre tunisien, Mehdi Jomaa, a été fructueuse. Elle a permis aux deux pays de renforcer une relation exemplaire.La visite en Algérie de Mehdi Jomaa, la deuxième depuis son installation en février dernier, a donné lieu à la signature de trois accords d’une extrême importance pour les deux pays. Le premier, paraphé hier au siège de la primature à Alger, en présence des deux Premiers ministres, porte sur un dépôt de 100 millions de dollars qu’effectuera la Banque d’Algérie à la Banque centrale tunisienne. Le deuxième accord porte sur un prêt qu’accordera l’Algérie à la Tunisie. Quand au dernier, paraphé, comme le deuxième, entre les ministres des Affaires étrangères des deux pays, il porte sur «un prêt non remboursable» qu’accordera Alger à Tunis.
Interrogés, les deux ministres, qui ont animé une conférence de presse à l’issue de la cérémonie, ont refusé de donner les montants. «Nous ne voulons pas gêner nos amis tunisiens», a répondu un cadre du ministère algérien des Affaires étrangères. Mais un membre de la délégation tunisienne a révélé que le montant des deux prêts est de 500 millions de dollars. Sans plus de détails. C’est d’ailleurs la deuxième fois que l’Algérie fait un geste de générosité envers son voisin de l’est, en proie à des difficultés financières depuis la révolution du Jasmin en 2010. En 2011, Alger avait accordé à Tunis un «prêt sans intérêt» de 100 millions de dollars. Mais à l’époque, la situation politique chez nos voisins n’était pas aussi claire que maintenant que la Constitution est adoptée et la loi électorale votée.
Bouteflika nomme les membres du nouveau gouvernement Sellal
le 05.05.14 | 15h35
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a nommé lundi les membres du nouveau gouvernement que dirige le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, annonce un communiqué de la présidence de la République.
"Conformément aux dispositions de l'article 79 de la Constitution, M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République et ministre de la Défense nationale, a pris, ce jour et après consultation du Premier ministre, un décret présidentiel portant nomination des membres du gouvernement", indique le communiqué de la présidence de la République.
Sont nommés Mesdames et Messieurs :
- Abdelmalek Sellal, Premier ministre
- Tayeb Belaïz, ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales
- Le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire
- Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères
- Tayeb Louh, ministre de la Justice, garde des Sceaux
- Mohamed Djellab, ministre des Finances
- Youcef Yousfi, ministre de l'Energie
- Abdessalem Bouchouareb, ministre de l'Industrie et des Mines
- Abdelwahab Nouri, ministre de l'Agriculture et du Développement rural
- Tayeb Zitouni, ministre des Moudjahidine
- Mohamed Aïssa, ministre des Affaires religieuses et des Wakfs
- Amara Benyounès, ministre du Commerce
- Amar Ghoul, ministre des Transports
- Hocine Necib, ministre des Ressources en eau
- Abdelkader Kadi, ministre des Travaux publics
- Abdelmadjid Tebboune, ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville
- Nouria Benghebrit, ministre de l'Education nationale
- Mohamed Mebarki, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique
- Nouredine Bedoui, ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels
- Mohamed El Ghazi, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale
- Dalila Boudjemaâ, ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement
- Nadia Labidi, ministre de la Culture
- Mounia Meslem, ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme
- Khelil Mahi, ministre des Relations avec le Parlement
- Abdelmalek Boudiaf, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière
- Abdelkader Khomri, ministre de la Jeunesse
- Mohamed Tahmi, ministre des Sports
- Hamid Grine, ministre de la Communication
- Zohra Derdouri, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication
- Nouria Yamina Zerhouni, ministre du Tourisme et de l'Artisanat
- Sid-Ahmed Ferroukhi, ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques
- Abdelkader Messahel, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé des Affaires maghrébines et africaines
- Hadji Baba Ammi, ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé du Budget et de la Prospective
- Aïcha Tagabou, ministre déléguée après du ministre du Tourisme et de l'Artisanat chargée de l'Artisanat
Par ailleurs, et en application de l'article 78 de la Constitution, Monsieur le président de la République, a nommé Monsieur Ahmed Noui, ministre secrétaire général du gouvernement".
APS
Le jeune immolé d'El Ménéa a rendu l’âme
le 05.05.14 | 14h36
Youcef Djâani a rendu l’âme, lundi matin, sur le tarmac de l’aéroport Moufdi Zakaria de Ghardaïa alors que les autorités sanitaires de la wilaya de Ghardaïa s’apprêtaient à l’embarquer pour y être transféré à l’hôpital des Grands brûlés de Douéra à Alger.
Il avait passé la nuit à l’hôpital Dr Tirichine de Sidi Abbaz à Ghardaïa après avoir été transféré dans la nuit de l’hôpital Colonel Châabani d’El Ménéa, à 270 km au sud est du chef lieu de wilaya.
Youcef Djâani, 35 ans, chômeur de son état s’est aspergé d’essence et s’est immolé devant le siège de la daïra d’El Menéa dimanche matin pour dénoncer la liste des heureux attributaires de logements affichée depuis 6 jours.
Cette liste de la discorde a entraînée depuis son affichage un large mouvement de protestations avec organisation d’un sit in permanent face à la daïra où des tentes ont même été dressées par les contestataires.
Il semblerait selon certaines sources que le geste désespéré de Youcef ait été exécuté suite à une altercation avec le chef de daïra d’El Menéa qui aurait sèchement rabroué la victime en lui répondant que s’il voulait s’immoler, il n’avait qu’à le faire.
D’autres par contre soutiennent que le chef de daïra n’a jamais reçu aucun d’entre les contestataires et ce serait au contraire ce refus de contact qui aurait incité le désespéré à passer à l’acte qui lui a coûté la vie.
Puissant séisme de magnitude 6 dans le nord de la Thaïlande
le 05.05.14 | 13h14 | mis à jour le 05.05.14 | 15h25
Des policiers dans la ville de Chiang Saen au nord de la Thaïlande, le 28 mai...
Un puissant séisme de magnitude 6 a secoué le nord de la Thaïlande lundi en fin de journée, faisant trembler des immeubles jusqu'à Bangkok et Rangoun, en Birmanie. Il n'y avait à ce stade aucune information sur des victimes ou des dommages importants. Le tremblement de terre a eu lieu un peu après 18H00 locales (11H00 GMT). Son épicentre se trouvait à 27 kilomètres de la ville thaïlandaise de Chiang Rai, dans une région montagneuse prisée des touristes étrangers, à la frontière avec le Laos et la Birmanie, selon le centre américain de surveillance des séismes, l'USGS. Le séisme était relativement peu profond, à 7,4 kilomètres. Alors que la nuit tombait sur la région, les autorités ont mis en garde contre des répliques. "C'est le plus puissant séisme à frapper le pays récemment", a commenté Burin Wechbunthung, sismologue au Département de Météorologie. "Il y a déjà eu cinq répliques et les habitants dans un rayon de 150 kilomètres de l'épicentre dans le district de Phan devraient être prévenus", a-t-il ajouté à l'AFP. La télévision thaïlandaise a montré des images de façades de bâtiments fissurées, de fenêtres brisées et de routes endommagées. Mais "à ce stade, il n'y a aucune information concernant des blessés ou des morts dans les 18 districts de (la province de) Chiang Rai", a déclaré Manat Khamtai, patron du Département de prévention des catastrophes à Chiang Rai. "L'électricité est toujours coupée dans le district de Phan", à l'épicentre du séisme, et "il y a des fissures sur les routes entre Chiang Rai et Chiang Mai", a-t-il ajouté. "C'était un gros séisme, ça a tremblé beaucoup pendant dix secondes et il y a eu plusieurs répliques", a raconté de son côté une habitante de Chiang Rai, Tuenjai Deetes. "On m'a dit que la tête d'une statue de bouddha d'un temple du district de Phan était tombée", a-t-elle ajouté.
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APRÈS HANOUNE ET BETATACHE, BELAÏD DÉCLINE L’OFFRE DE SELLAL L’impossible gouvernement d’union nationale
Après le FFS et le PT, c’est au tour du front El Moustaqbal de décliner l’offre du Premier ministre de rejoindre sa nouvelle équipe à laquelle il veut à tout prix conférer le statut de gouvernement d’union nationaleSuite...
La seconde rocade sud d'Alger devra coûter le triple du budget initial alloué à sa réalisation. Après avoir signé déjà quatre avenants au contrat de réalisation de cette rocade, l'Agence nationale des autoroutes (ANA) s'apprête à en signer un cinquième. Au quatrième avenant déjà, la facture des travaux avoisinait 87 milliards de dinars, et de facto, avec la signature du nouvel avenant, on atteindra sans aucun doute le montant d'un milliard de dollars. Pour une distance de 64 kilomètres et un budget aussi élevé, la seconde rocade autoroutière Zeralda-Boudouaou est de loin la plus chère au monde. Signé par Amar Ghoul en 2006, le projet de réalisation de cette infrastructure a été arraché par le groupement GOTERA, composé de l'espagnole OHL, la portugaise Texeira et les algériennes ENGEOA et ETRHB. L'Etat avait alloué un budget global de 37 milliards de dinars pour la réalisation de ce projet avec une partie convertible de 106 millions d'euros. Huit ans après, le projet n'est pas encore réceptionné définitivement et la facture global n'arrête pas d'augmenter. Pis encore, le tronçon de Meftah (PK 45-PK49) a subi des dégradations inadmissibles pour des entreprises de niveau international comme l'espagnole OHL. Le département des travaux publics, dirigé alors par Amar Ghoul, acceptera en 2011 d'effectuer des travaux supplémentaires pour le réhabiliter avec un budget nouveau alloué par l'ANA, alors qu'il devait être imputé à la société de réalisation qui a été défaillante. Avec le flegme dont il fait preuve depuis son arrivée à la tête du secteur des travaux publics, Farouk Chiali n'arrive plus à contenir les scandales hérités de la gestion chaotique de Amar Ghoul. Il délègue alors l'Agence nationale des autoroutes pour mener les négociations avec les sous-traitants avec une tendance constante de fuite en avant. Du coup, ce petit tronçon d'à peine 64 kilomètres est devenu sujet à des contentieux qui dépassent de loin ceux enregistrés dans la réalisation de l'autoroute Est-Ouest. Le Trésor public est saigné à blanc à travers les avenants qui n'en finissent pas. Le bricolage ostentatoire constaté sur plusieurs tronçons et ouvrages n'a à aucun moment incité les pouvoirs publics à regarder de près ce qui se passe sur ce projet. Cette situation a encouragé l'entreprise espagnole OHL à recourir à la justice pour réclamer plus d'argent auprès de l'ANA. Le contentieux porte sur plusieurs travaux n'ayant pas été commandés par le maître d'œuvre et les Espagnols estiment à plusieurs dizaines de milliards de centimes le montant de ces travaux. Certaines sources affirment que le directeur du projet de la deuxième rocade autoroutière a subi des pressions énormes de la part de son ancien ministre pour «régulariser» cette situation chaotique, même au détriment des intérêts de l'ANA. Hamid Boulares
C’est demain que se tiendra la conférence nationale organisée par le ministère de l’Education avec, comme ordre du jour, la préparation de la prochaine rentrée et la présentation des résultats de la commission de suivi des programmes. Ceci avec pour objectif la définition du seuil des cours à réviser en prévision du bac, initiative décriée par les syndicats du secteur.
F.-Zohra B. - Alger (Le Soir) A moins d’un mois de l’examen du baccalauréat, les parties concernées s’attelleront, dès demain, à étudier et définir le seuil des leçons à réviser pour l’examen. Le seuil sera ainsi défini selon l’avancement des programmes au niveau des différentes wilayas du pays. L’argument avancé par la tutelle concernant la nécessité du recours à la définition d’un seuil est notamment relatif au retard pris par les établissements scolaires dans l’avancement des cours, suite aux mouvements de grève. Instaurée il y a de cela quelques années par l’ancien ministre de l’Education, Boubakeur Benbouzid, la définition du seuil est devenue une tradition et donc, automatiquement, revendiquée par les candidats au bac. Les syndicats du secteur, pour leur part, refusent cette alternative et estiment que les élèves doivent réviser tous les cours. «L’instauration d’un seuil des leçons à réviser est une aberration et une erreur monumentale. Les élèves doivent normalement réviser tous leurs cours en prévision de l’examen. Pourquoi sanctionner aussi une wilaya qui a terminé son programme ?» a déclaré Meziane Meriane, coordinateur du Snapest. Pour le syndicaliste, il est urgent qu’une solution soit trouvée en remplacement de la question du seuil dans l’intérêt des élèves. Il posera aussi la question sur le cas de la wilaya de Ghardaïa où les cours ont été interrompus pendant plusieurs semaines. Pour Meziane Meriane, les autres wilayas qui ont avancé, notamment dans le rattrapage des cours, ne peuvent être alignées sur la wilaya de Ghardaïa qui, selon lui, doit bénéficier d’un bac spécial. Le syndicaliste précisera aussi que les élèves doivent réviser un maximum de cours en prévision de l’examen du baccalauréat. «Il y va de l’avenir de ces jeunes. D’autant que dans un certain nombre d’établissements il y a un laisser-aller inquiétant», explique Meziane Meriane. La conférence qui se tiendra demain verra la participation des directeurs de l’éducation des 48 wilayas ainsi que des représentants des syndicats du secteur. F.-Z. B.
Une aide financière importante vient d’être consentie par l’Algérie à la Tunisie, à la faveur de la visite de travail et d’amitié du Premier ministre tunisien, Mehdi Jomaâ à Alger. Chérif Bennaceur - Alger (Le Soir) Hier, sous l’égide du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et de son homologue tunisien, trois accords de coopération financière ont été ainsi entérinés. Il s'agit d'un accord de dépôt entre la Banque d'Algérie et la Banque centrale tunisienne, d'un montant de 100 millions de dollars américains, signé par le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Laksaci, et le gouverneur de la Banque centrale tunisienne, Chedli Ayari. En outre, deux protocoles financiers, le premier relatif à l’octroi d’un prêt à la Tunisie et le second portant sur l’octroi d’une aide financière non remboursable , ont été signés par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, et le chef de la diplomatie tunisienne, Mongi El Hamdi. Même si la valeur exacte du prêt et de l’aide non remboursable n’a pas été précisée, Ramtane Lamamra évoquant plutôt, lors d’un point de presse, des montants évolutifs, «ouverts» et à affiner, ce concours financier s’avère, ce faisant, opportun, à la satisfaction appuyée de Mehdi Jomaâ. Il permettra en fait à l’économie tunisienne, en situation de crise, de bénéficier de meilleures conditions de financement et de poursuivre son développement. De fait, cet appui financier tunisien, se contentera de le préciser le ministre algérien des Affaires étrangères, vise à consolider les capacités budgétaires et la balance des paiements de la Tunisie. Comme il s’inscrit dans le cadre de la coopération économique bilatérale que l’on assure durable, concrète, homogène et diversifiée, basée sur une vision d’intégration régionale, stratégique, et de rapprochement algéro-tunisien spécifique. Ainsi, la visite du Premier ministre tunisien a été l’occasion de faire le point sur l’avancement des projets de coopération, lancés notamment dans le cadre de la grande commission mixte bilatérale, réunie en février dernier à Tunis, et en particulier au niveau des zones frontalières. En outre, les opérateurs et investisseurs tunisiens sont invités à prendre des participations dans des projets d’investissements et des sociétés en Algérie, indique le Premier ministre tunisien. Par ailleurs, la partie tunisienne a décidé d’améliorer les conditions de passage des touristes algériens durant toute l’année et en particulier durant la période estivale. Des facilitations pratiques au niveau des points de passage et concernant les formalités douanières et autres ont été initiées au profit des touristes nationaux. Et ce dans la mesure où la Tunisie escompte d’accueillir 1 million de touristes algériens durant cette année 2014. Au-delà du volet économique, la visite de Mehdi Jomaâ a également traité du renforcement de la coopération sécuritaire et militaire. Cela même si le ministre algérien des Affaires étrangères s’en est tenu à une rhétorique toute diplomatique, en arguant que les deux parties sont «satisfaites» du niveau et de la qualité de cette coopération et que «les services concernés» dans les deux pays travaillent, en termes de coordination et échange d’information, en toute «confiance et unité de destin». C. B.
Les tireurs de Tiaret et d'Oran se sont illustrés aux épreuves de la coupe d'Algérie de tir sportif aux plateaux, disputées vendredi et samedi au stand de tir de Chenoua (Tipasa). Dans l'épreuve du trap, le trophée est revenu au tireur Ali Benali Mokhtar d'Oran devant Bilal Mohamed de Sétif et Abid Fouad de Tipasa. En double trap, le tireur Mokhtar Ould Mokhtar de Tiaret a pris la première place au classement devant Mechanef Mohamed d’Oum-El-Bouaghi et Cheikh Mohamed de Tiaret. La spécialité du skeet olympique a été dominée par Mohamed Fernane devant Necib Issam d'Alger et Mohamed-Amine Bencherif de Tiaret. Selon les organisateurs, le niveau technique de la compétition a été «appréciable» et les épreuves se sont déroulées dans de bonnes conditions. Cette compétition de deux jours, organisée par la Fédération algérienne de tir sportif, a connu une participation de 80 tireurs issus de dix ligues de wilayas : Alger, Boumerdès, Tipasa, M'sila, Batna, Sétif, Oum-El-Bouaghi, Djelfa, Tiaret et Oran, dans les spécialités du trap, double trap et skeet olympique. Les vainqueurs ont été récompensés par des trophées et des médailles lors d'une cérémonie de clôture, en présence du président de la Fédération algérienne.
L'USM Alger devra encore patienter pour le titre de champion d'Algérie de Ligue 1 professionnelle de football malgré son large succès contre le MC Oran (5-2), qui a coïncidé avec la victoire en déplacement de son dauphin l'ES Setif face à la JS Saoura (3-0), lors de la 26e journée disputée samedi. Les Usmistes savaient avant même d'entamer leur match contre le MCO que leur consécration est ajournée puisque leur poursuivant direct s'était imposé plus tôt à Bechar. L'USM Alger, sans forcer son talent, a scellé le sort de la partie en première période grâce à des réalisations de Sombo (7), Meftah (31 sp), Ferhat (40, 63) et Seguer (54). Avec cette victoire, la 18e de la saison, les hommes de Hubert Velud conservent leurs 11 points d'avance sur l'ES Setif qui est allée s'imposer contre la JS Saoura (3-0). Les Sétifiens ont attendu la seconde période pour faire la différence par Lagraa (47), Karaoui (65) et Nadji (86). Une victoire qui permet aux protégés de Madoui de consolider un peu plus leur deuxième place synonyme de participation à la Ligue des champions d'Afrique l'année prochaine. Mais attention à la JS Kabylie (3e) qui qui n'a pas encore dit son dernier mot, et qui compte un match en moins face au CA Bordj Bou-Arréridj mardi prochain. De son côté, le MC El-Eulma rejoint provisoirement le MC Alger à la quatrième place avec 41 points après sa difficile victoire contre le CR Belouizdad (1-0) sur une réalisation de Chenihi (56). En revanche, le CS Constantine a perdu toutes ses chances de disputer une compétition africaine la saison prochaine, après le nul concédé sur sa pelouse face à la surprenante équipe du RC Arbaâ (1-1). «Ezzerga» a ouvert la marque dès la première minute de la partie grâce à Bougaroua dont c'est la 9e réalisation de la saison, avant que Boulemdais n'égalise à la 36e minute.Les deux équipes se partagent ainsi la septième place avec 39 points. Dans le bas du classement, la JSM Béjaïa victorieuse à l'extérieur contre le CRB Aïn Fekroun (1-0) grâce à un but de Tatam (90+3) laisse la dernière place à son adversaire du jour. La JSM Bejaïa revient désormais à cinq longueurs du MC Oran et du CR Belouizdad, battus respectivement par l'USM Alger et le MC El-Eulma (1-0). A quatre journées de la fin, rien n'est encore joué pour éviter la relégation qui concerne au moins cinq équipes.
Courant mai et juin 2014, 1 400 logements publics locatifs devraient faire le bonheur d’un même nombre de familles entre résorption de l’habitat précaire (RHP) et demandeurs. Cet important quota est issu d’un programme de 8 000 logements publics locatifs (LPL) à réceptionner avant fin 2014 et 6 000 autres au courant de l’année 2015. «Effectivement, nous allons procéder à l’attribution de logements au profit des familles habitant certains bidonvilles. Seront également concernés par cette opération les demandeurs des différents quartiers des 12 communes que compte la wilaya. Les comités de quartiers seront sollicités pour nous aider à clarifier la situation des uns et des autres. Les attributions seront faites au prorata des populations de ces quartiers pour ne léser aucun», a affirmé le wali de Annaba Mohamed-Mounib Sandid. Il s’était exprimé lors de la réception offerte aux représentants de la presse, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la liberté d’expression. Le wali devait préciser que les noms des familles attributaires au titre du RHP, seront portés à la connaissance de tout un chacun au moyen des services de la wilaya. En ce qui concerne les demandeurs de logements, chaque bénéficiaire sera identifiable par affichage de sa photo pour éviter tout problème lié à des homonymes. Il devait ajouter, par ailleurs, qu’aussitôt évacuées par les familles, les bâtisses menaçant ruine à la vieille ville seront mises sous scellés. «Quiconque brisera les scellés sera pénalement poursuivi», a averti le wali. A une question sur le projet de la nouvelle route à double voie Pont Blanc-Zaâfrania-El Haffeur, dont l’une des études de faisabilité projetait de la réaliser sous forme d’un tunnel de plus de 1 000 mètres linéaires, le chef de l’exécutif de wilaya a indiqué que «l’idée de tunnel pour ce projet a été abandonnée. La raison est simple, dira-t-il, elle est liée à la durée de sa réalisation pouvant aller jusqu’à dix ans, alors qu’il y a urgence pour désengorger cet important axe routier. On a donc opté pour des échangeurs superposés de deux à trois niveaux». Alors que l’on parle d’études de faisabilité achevées du tramway de Annaba, Mohamed-Mounib Sandid a surpris les journalistes, quoique certains d’entre eux s’attendaient à cette décision, au vu des réticences d’une majorité de Bônois. En effet, le premier responsable de la wilaya a annoncé l’abandon de toute idée du passage du tramway sur le cours de la Révolution, lieu mythique de la ville, ou autres artères du centre-ville. Il a précisé que le terminus du tramway sera érigé sur le site de l’actuelle gare routière interurbaine Kouche-Noureddine, à proximité de la gare ferroviaire. Pour l’éradication des marchés informels, le wali a imputé la persistance du phénomène au manque de rigueur des Assemblées populaires communales qui, selon lui, n’assument pas convenablement leur mission. A. Bouacha
Par Kader Bakou Le mal du pays est une maladie dont on ne guérit jamais. L’exilé vit au passé, dans la nostalgie, son inséparable compagne. Même s’il réussit matériellement dans son pays d’accueil, il lui manquera toujours quelque chose pour savourer vraiment la vie. Tout lui rappelle son pays bien-aimé : une brise de vent «comme celle du pays», une journée pluvieuse ou ensoleillée, la température d’une journée de printemps, d’été, d’automne ou d’hiver. l’odeur d’une fleur qui pousse au pays ravive des souvenirs et des sensations aussi douloureux que délicieux. Une chanson entendue jadis au pays le fait rêver et chavirer d’émotion. L’exilé d’ailleurs se voit souvent en rêve dans son pays, dans sa maison, avec ses amis... Le réveil, pour lui, n’est que plus douloureux. «Dommage que c’était un simple rêve», se dit-il après chaque «voyage» nocturne au pays. On ne s’habitue jamais vraiment au mal du pays. Sa douleur, dans sa plus amère intensité, peut ressurgir à tout moment. La plus difficile à supporter et celle qui vous saisit lors d’un réveil en pleine nuit. Et là, seul, face à cette nostalgie, on se dit : après l’exil, il n’y a pas de vraie vie. K. B. bakoukader@yahoo.fr
Comment peut-on qualifier l’invitation officielle que vient de lancer Barack Obama à Abdekka pour qu’il se rende à Washington ?
Humour noir !
Ca semble les occuper à plein temps ! Là, encore, ces dernières heures, Tata Louisa y a joué ! Et annoncé publiquement son score. Quel score et quel jeu ? Celui de «qui passera combien de temps en tête-à-tête avec Abdekka ?» ! La leader du PT a affirmé qu’elle avait discuté 30 minutes avec le chef de l’Etat, en marge de sa prestation de serment. Parenthèse à ce propos : voilà un Président capable de tchatcher une demi-heure avec une dame et incapable de lire dix p’tits feuillets de son discours, quelques minutes auparavant. Bizarre. Parenthèse fermée. Avant Tata, Ouyahia, sur un plateau télé servi chaud, avait révélé avoir eu l’insigne honneur de dialoguer avec Boutef’ pendant près de 50 minutes. Et Sellal, quant à lui, ne rate pas une occasion pour nous jurer qu’il parle tous les jours avec le châtelain, au moins dix minutes, à chaque fois. Le jeu, c’est donc celui-là : compter le temps ! Celui de Boutef’, bien sûr. Du coup, cette impression irréelle. Celle de n’avoir plus du tout en face de nous des acteurs de la vie politique, des faiseurs d’opinion, des intervenants majeurs dans le projet de société en cours, mais plutôt des «composteurs du temps de parole présidentielle» ! Des pointeuses de la durée variable du dialogue mené par le châtelain ou supposé comme tel. Ces composteurs sont pourtant comme vous et moi. Des humains. En apparence. Mais à l’intérieur, ils sont dotés, en plus, d’une horloge particulière, spéciale. Elle ne remplit qu’un seul office. Afficher à l’intention de l’opinion publique, qui souvent s’en contre-fiche d’ailleurs, les performances langagières et discursives du chef de l’Etat. Ce comptage et cet affichage sont censés finalement remplacer les bilans de santé. La durée de l’échange entre Abdelaziz 1er et ses composteurs agréés devient par la force des choses le générique de son état de santé, le curseur de sa capacité vraie ou fantasmée de gérer et de tenir son rang. Cela donne des scènes cocasses d’une sorte de marché à la criée : «Moi, j’ai discuté avec lui 30 minutes ! Qui dit mieux ?» «Ben… moi, je dis que je suis de 30 minutes ta mise, et que je relance de 40 minutes pour voir !». Poker ? Poker menteur ? Est-ce vraiment important de le savoir, de faire la différence ? L’essentiel n’est-il pas plutôt ailleurs ? Pas dans les cartes de ce jeu de chronométrage malsain, mais plutôt dans la durée de vie de chacun de ces joueurs autour de la table des bombances ? Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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