139-/-ACTUALITES DU Mercredi 20 Mai 2015
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Mercredi 20 Mai 2015
الأربعاء 20 ماي 2015 م
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الأربعاء 02 شعبان 1436 ه
الأربعاء 20 ماي 2015 م
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Séisme d’une magnitude de 3,7 à Hammam Melouane (Blida)
le 20.05.15 | 14h13
Un séisme d’une magnitude de 3,7 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistré, ce mercredi 20 mai à 09h36, dans la localité de Hammam Melouane, à l’est de Blida.
La secousse, ressentie dans la région est de Blida ainsi que dans les localités de la capitale situées non loin de Hammam Melouane, n’a pas fait de dégâts, fort heureusement.
Selon la protection civile, l’épicentre de ce tremblement de terre est situé à 4 kilomètres au nord ouest de Hammam Melouane. Signalons que des séismes répétitifs frappent Hammam Melouane et sa région depuis plus d’une année.
Mohamed Benzerga
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Cacophonie autour du remaniement du gouvernement
«Un signe de fin de règne», selon l’opposition
le 20.05.15 | 10h00
La cacophonie qui a caractérisé le remaniement du gouvernement et le rectificatif opéré lundi dernier confirment le profond malaise dans lequel patauge le régime algérien. «C’est un signe de fin de règne pour le système. Cette étape se manifeste notamment par l’aggravation de la crise qui gagne l’institution présidentielle», affirme Abdelaziz Rahabi, ancien ministre de la Culture et de la Communication.
Selon lui, cette crise apparaît aussi dans le fonctionnement du gouvernement et des partis qui gravitent autour du pouvoir. «Aujourd’hui, il n’y a pas de discours gouvernemental. Les partis du pouvoir ne sont plus dans le gouvernement et ne sont plus dans l’Exécutif. Aujourd’hui aussi, le gouvernement est flottant», ajoute-t-il. Les partis politiques d’opposition développent aussi la même analyse.
Ceux qui ont réagi, hier, au remaniement du remaniement du gouvernement opéré par décret présidentiel n’ont pas lésiné sur les qualificatifs pour désigner cette «cacophonie» au sommet de l’Etat. «La cacophonie qui a marqué ce remaniement est, selon toute vraisemblance, l’épilogue d’un affrontement clanique qui va sans doute connaître d’autres rebondissements», déclare Youcef Aouchiche, chargé de communication au Front des forces socialistes (FFS). Selon lui, l’Algérie a besoin de changement à tous les niveaux, «mais ce remaniement est inutile et absurde». «On ne change pas pour changer. Ceux qui disent que le nouveau gouvernement est purement technocratique ont tort. Car tout gouvernement est chargé d’une option et d’une orientation politique, économique et sociale.
Et cette option est restée la même», dit-il.
Le RCD estime, pour sa part, que «cette manière de faire prouve toute la faillite du pouvoir et atteste désormais de l’impotence et de l’incapacité du chef de l’Etat à assurer le minimum dans la gestion des affaires de la nation». «Remanier en moins de cinq jours un gouvernement remanié en touchant même aux postes de souveraineté mérite de figurer dans un Guinness du ridicule.
Ceci ne peut arriver qu’en Algérie, un pays non gouverné, devenu la risée des nations», précise Athmane Mazouz, chargé de communication au RCD. Selon lui, la question de «qui gouverne en Algérie est maintenant sérieusement posée». «Elle est posée avec un désordre institutionnel qui frise le burlesque, avec notamment la confusion qui demeure entière malgré ces réaménagements pour se retrouver avec deux ministres des Affaires étrangères et deux ministres de l’Energie (...). Aujourd’hui, les Algériens ont une autre preuve de la déchéance et de l’impasse qui minent la nation», soutient-il.
«Le pays en danger»
De son côté, le président de Jil Jadid, Soufiane Djilali, affirme que «désormais, le désordre induit par le 4e mandat du président Bouteflika est arrivé à la plus haute institution du pays». «La présidence de la République est devenue comme un moulin ouvert, où il n’y a pas de chef et de décideur. C’est un signe de fin de règne. Monsieur Bouteflika est devenu un générateur de désordre et cela devient dangereux pour le pays», lance-t-il. Pour lui, «les conséquence de ce désordre pourrait s’avérer plus grave pour le pays».
Dans le même sens, le président du MSP, Abderrazak Makri pense que «ce remaniement prouve que le régime a perdu la boussole». «Il est maintenant confirmé, même chez les sympathisants du pouvoir, que le pays vit une situation de déliquescence réelle de la structure du pouvoir. Ces hésitations démontrent que des groupes de pression internes et externes ont pu prendre le centre de décision qui est peut-être mis entre les mains des personnes que la Constitution n’autorise pas à intervenir dans la décision», écrit le premier responsable du MSP dans un commentaire posté sur sa page facebook, précisant que le pays «traverse une situation dangereuse».
Madjid Makedhi
Le département des Finances contraint à la rigueur
Des arbitrages douloureux à opérer…
le 20.05.15 | 10h00
Des revenus pétroliers en forte régression, des liquidités bancaires en diminution, des poussées inflationnistes qui menacent, une croissance économique en berne et surtout des réserves de changes et des équilibres macroéconomiques qui commencent à chanceler. Pour le nouvel argentier du pays, Abderrahmane Benkhalfa, l’enjeu d’instaurer les conditions d’une rigueur budgétaire et d’une rationalisation des dépenses publiques sera, de fait, une urgence incontournable et non plus un simple choix fortement recommandé mais pas obligatoire, comme ce fut le cas du temps du pétrole cher.
A peine un an après le début de la dégringolade des cours du brut, l’opulence et l’aisance sont bel et bien finies et le tableau de bord de l’économie nationale affiche déjà des voyants presque tous au rouge. Pour la première fois depuis 2000 et après quatorze années d’excédents du compte courant, la tendance à l’accumulation soutenue d’avoirs extérieurs s’est inversée en à peine quelques mois, les réserves de changes baissant d’un coup de plus de 15 milliards de dollars rien que sur les derniers mois de 2014.
Les statistiques de 2015, non encore dévoilées par la Banque d’Algérie, seront, elles, sans doute bien plus alarmantes. En attendant, le Fonds monétaire international (FMI), dont les prévisions, faut-il le rappeler, sont basées sur les données officielles des institutions algériennes, a déjà donné le ton à travers son dernier rapport publié en avril passé.
Le Fonds évoque en effet des perspectives économiques très moroses pour l’Algérie, avec notamment une aggravation du déficit de la balance des comptes courants à -15,7% du PIB en 2015 contre -4,3% l’année dernière, un taux de chômage qui passera de 10,6% à 11,8%, une inflation qui galopera à 4% et, enfin, un taux croissance économique médiocre d’à peine 2,6%.
Au creusement du déficit du compte courant — qui, bien entendu, sera synonyme d’une évolution «proportionnellement défavorable» des réserves officielles de change — s’ajoute la difficulté de maintenir un train de dépenses publiques dont l’équilibre dépend d’un baril à au moins 111 dollars, selon une estimation du FMI, alors que les prévisions les plus optimistes excluent toute remontée des cours du brent à plus de 80 dollars.
Dès lors que le budget de l’Etat pour 2015 s’autorise un déficit de plus de 22% du PIB, il devient donc évident, au vu de l’actuel contexte de crise de la rente pétrolière, que le département des Finances n’aura d’autre choix que d’opérer des coupes budgétaires et ce, probablement, dès la toute prochaine loi des finances complémentaire. L’autre option — qui consiste à diversifier en accéléré les sources de financement de l’économie — n’est bien évidement pas réaliste.
Aussi, entre les budgétivores transferts sociaux, les quelque 25 milliards de dollars de subventions implicites et les programmes massifs d’équipements publics, le nouvel argentier du pays aura nécessairement à assumer des arbitrages très douloureux. Et entre les besoins politiques de maintenir une paix sociale des plus précaires et ceux, pragmatiques de sauvegarder la viabilité de l’économie nationale à moyen terme, Abderrahmane Benkhalfa aura sans doute fort à faire pour concilier les extrêmes.
Akli Rezouali
Notre pays blacklisté pour carence dans la lutte antiterroriste : Hostilité saoudienne contre l’Algérie
le 20.05.15 | 10h00
Un journal saoudien a révélé que le ministère des AE du royaume wahhabite envoyé une note à ses structures, leur demandant de surveiller certains pays. Ces pays, dont l’Algérie, ne respecteraient pas les règles édictées au niveau international «pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme».
Après avoir empêché le passage d’un avion algérien en partance pour le Yémen, l’Arabie Saoudite récidive dans ses attaques contre l’Algérie. A en croire le journal saoudien Makkah, le ministère des Affaires étrangères de ce pays a envoyé une note aux autres départements ministériels pour leur demander de surveiller particulièrement certains pays qui ne seraient pas en conformité avec les règles internationales de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Selon le journal saoudien Makkah, la note des services diplomatiques saoudiens distingue deux catégories de pays ; l’Algérie figure dans le groupe de ceux qui ne «respectent pas» les règles du Gafi (Groupe d’action financière) chargé notamment de contrôler la conformité des règles édictées par des Etats en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Ce groupe comprend des pays comme la Syrie, le Yémen, le Pakistan, le Myanmar, l’Ethiopie et la Turquie.
A l’exception de la Turquie, tous ces pays vivent dans l’instabilité politique. La note des AE saoudiennes est suivie par une autre directive du département du Commerce et de l’Industrie, qui recommande notamment le «durcissement des conditions d’identification des clients afin de connaître l’identité du véritable bénéficiaire, avant toute transaction avec les personnes physiques ou morales dans les pays qui présentent une faiblesse dans leurs dispositifs ou n’appliquant pas les recommandations du Gafi contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme» ; elle recommande également de «se conformer scrupuleusement aux notes d’avertissement établies par le Gafi, aux résolutions du Conseil de sécurité ou de la commission chargée de l’application du chapitre VII de la Charte des Nations unies en la matière».
Litige autour du Yémen
Au niveau du ministère algérien des Affaires étrangères, on préfère temporiser. Le département de Ramtane Lamamra n’a toujours pas réagi. «Nous avons lu l’information dans la presse. Nous sommes en train de vérifier la véracité des faits par les canaux diplomatiques», indique-t-on du côté du plateau des Annassers. Si elle se vérifie, cette note saoudienne n’est pas la première attaque que les Saoudiens orientent vers l’Algérie. Il y a deux mois, un avion d’Air Algérie a été empêché par les autorités de ce pays de traverser son espace aérien en vue d’aller au Yémen voisin.
Le récit précis fait à El Watan par le pilote de l’avion a poussé le ministère algérien des Affaires étrangères à démentir l’existence de «toute crise» avec l’Arabie Saoudite. Mais les faits semblent prouver le contraire. Et si une rivalité a toujours existé entre les deux pays depuis plusieurs années déjà, le refus de l’Algérie de participer à la coalition arabe qui a attaqué les milices houthies au Yémen a fini par exacerber les tensions entre Riyad et Alger.
L’Arabie Saoudite n’a visiblement pas pardonné à l’Algérie son autonomie de décision à l’intérieur de la Ligue arabe.Car en dehors de ces luttes politiques, l’Arabie Saoudite est loin d’être un exemple dans la lutte contre le terrorisme. Pis, le pays du roi Selmane est même pointé du doigt par plusieurs observateurs internationaux qui l’accusent de financer directement le terrorisme.
Une accusation formulée récemment par le représentant de la Syrie aux Nations unies : El Djaâfari a carrément indiqué que Riyad «finance et fait la promotion du terrorisme». Preuve en est que les premiers responsables des groupes terroristes, notamment Al Qaîda, sont d’origine saoudienne. Face à cela, l’Algérie n’a jamais réagi publiquement. Elle a toujours épargné l’Arabie Saoudite.
Ali Boukhlef
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MO BéJAïA : Les Crabes visent la Ligue des champions
le 20.05.15 | 10h00
Même s’ils sont assurés de disputer une compétition africaine la saison prochaine (Coupe de la CAF) après avoir remporté la Coupe d’Algérie, les Crabes du MOB visent plus haut, en lorgnant sur la Ligue des champions, et se fixant désormais comme objectif de décrocher la deuxième place qu’ils occupent actuellement avec 41 points.
Le point du nul glané face aux Usmistes samedi dernier sur le terrain de Bologhine a permis aux capés de Abdelkader Amrani de conserver leurs chances intactes pour achever la saison sur le podium, d’autant plus qu’ils auront à évoluer sur leur propre terrain ce week-end, en recevant un relégable, le MCE Eulma. Revenant sur le match face à l’USMA, le coach du MOB a déclaré : «C’est un précieux point que nous avons ramené de notre déplacement dans la capitale car, ce n’est pas facile de manier une équipe comme l’USMA chez elle.
Certes, nous aurions pu faire mieux, si nous avions bien exploité les occasions créées, mais je crois que ce point nous permettra de rester dans la course au podium. Nous jouerons à fond nos deux derniers matchs face au MCEE et l’USMBA pour faire le plein et terminer la saison sur une bonne note.» Cependant, si les Béjaouis se préparent avec un moral au beau fixe, le staff technique est appelé à composer son onze en l’absence de pas moins de quatre éléments pour diverses raisons.
Il s’agit de Dehouche qui s’entraîne en solo, Mebarakou (blessé), Aguid (suspendu) ainsi que Ferhat qui n’est pas encore prêt. Ce qui contraindra le staff à procéder à quelques changements.
L. Hama
Nouvel album de Meriem Beldi : La nouba zidane à l’honneur
le 20.05.15 | 10h00
La chanteuse arabo-andalouse, Meriem Beldi, vient de gratifier les mélomanes d’un quatrième album intitulé La nouba zidane, sorti aux éditions Papidou. Installée en France depuis 2004, Meriem Beldi est spécialisée dans le chant andalou depuis quelques années déjà.
Elle a basculé dans l’univers de la musique andalouse alors qu’elle avait juste cinq ans. Ce sont ses précieux parents qui l’ont initiée à cette musique savante. Elle se souvient qu’elle a assisté à un concert de musique arabo-andalouse à l’âge de six ans avec sa mère, sous la direction du chef d’orchestre constantinois Farid Bensensa.
Le destin a voulu que ce monsieur soit son chef d’orchestre quelques années plus tard. Actuellement, Farid Bensensa est le chef d’orchestre d’El Mossilia située à Paris, à Saint-Denis.
près avoir suivi une formation de plusieurs années au niveau de l’association El Mossilia, elle décide d’intégrer l’association El Sendoussia sous la houlette du chef d’orchestre Noureddine Saoudi. Elle participe en 1998 à l’exposition universelle de Lisbonne, au Portugal. Ses maîtres incontestés sont Sid Ahmed Serri, le regretté Sid Ali Benmerabet, Farid Bensensa et Nassereddine Benmerabet.
Ainsi, après neuf ans d’absence de la scène artistique — vie de famille oblige —, Meriem Beldi revient sous les feux des projecteurs avec un troisième opus riche de treize chansons, interprétées selon les mouvements traditionnels de la nouba.
Parmi les langoureux titres chantés, on retrouve, entre autres, Ahaba Qalbi (inqilab zidane), Bi dimam el hawa (msedar), Ya ma abdaou (b’taïhi), Mata nastarihou (derdj), Qoum y a nadim (insiraf). L’album en question contient un istikhbar intitulé Wa Mim Qalou, peignant la beauté ineffable du jardin d’un palais royal de l’Alhambra, à Grenade, en Andalousie. Jamais chanté auparavant, ce poème est signé par Ibn Zamrak.
Ce grand poète est devenu vizir du roi, à l’époque de l’Andalousie médiévale. La nouba zidane se targue également de contenir des déclamations faites par Meriem Beldi. En effet, l’intro est constituée d’une moitié istikhbar et d’une seconde moitié de déclamations. Meriem Beldi signale que «cela n’a jamais été fait dans un enregistrement de nouba jusqu’à présent. Il y a aussi le jeu. On entend les subtilités de chaque instrument. Il y a un jeu qui est différent en sachant que j’ai gardé bien sûr la nouba telle qu’elle est.
J’aime innover, apporter ma touche personnelle, sans pour autant penser à moderniser la musique andalouse. Je l’ai personnalisée par mon interprétation, sachant que chaque voix est différente. On ne peut pas moderniser une nouba. On ne peut pas y toucher. Je l’ai laissée telle qu’elle est. La seule particularité, comme je l’ai dit, c’est l’istikhbar que j’ai rajouté et une déclamation».
Nacima Chabani
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