178-/-ACTUALITES DU DIMANCHE 28 JUIN 2015
Dimanche 28
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الأحد 28 جوان 2015 م
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Actualité
Effroi et colère
Daech est dans nos murs.» Au lendemain du «carnage terroriste de Sousse», qui a coûté la vie à 37 personnes, les... «Nous ne sommes qu'au début de la lutte»
«L’attentat était prévisible», estime l’ancien officier de l’armée tunisienne, qui met en garde contre... La Tunisie en guerre contre le terrorisme
Au-delà du bilan de l’attentat de Sousse, autorités et citoyens s’interrogent aujourd’hui en Tunisie sur les moyens de... Relever le défi de la paix
La scène mondiale a donné vendredi dernier, encore une fois, la représentation générale de la crise aiguë qui...
Sports
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Ligue des champions d'afrique : Le MCEE chute face à Al Merrikh
Coupe de la CAF : Bounedjah marque et quitte l'ES Sahel
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Economie
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La presse tunisienne et les attentats de Sousse
Effroi et colère
le 28.06.15 | 10h00
Daech est dans nos murs.» Au lendemain du «carnage terroriste de Sousse», qui a coûté la vie à 37 personnes, les titres de la presse tunisienne ne manquent pas de mots pour exprimer l’effroi, mais aussi la colère.
«L’attentat d’hier, un véritable carnage commis de sang-froid, est venu comme pour nous réveiller de notre torpeur et nous ouvrir les yeux sur une réalité cruelle et crue, la maison est en train de brûler pendant que certains regardent ailleurs», peut-on ainsi lire dans l’édito du journal La presse de Tunisie, titré «Au-delà de la torpeur…».
Et si la Tunisie est frappée une nouvelle fois durement, c’est encore une fois «au cœur» que le coup est porté. C’est ainsi une atteinte «à la stabilité du pays et à sa sécurité, à son économie et à un secteur névralgique, le tourisme qui, encore une fois…», rappelle la publication.
Et c’est avec effroi que l’on se rend à l’évidence que «le pays est menacé de toutes parts». «On ne peut plus se voiler la face, l’hydre hideuse essaime dans nos murs et des innocents viennent de tomber. L’heure est grave», assène Le Temps, dans un commentaire au titre sans équivoque «Les chacals ont frappé».
«Parce que, tout en voyant venir, nous n’avons pas pu éviter, qu’après le Bardo, un nouveau drame se reproduise, juste sous nos yeux», poursuit-on dans cet article plein de colère et d’émotion. «Le constat s’impose aujourd’hui hélas ! La folie meurtrière de Daech et sa nébuleuse, toutes appellations confondues, ne recule devant rien», affirme encore Le Temps. «On peut le dire : les salauds ont fait mouche... Mais pour ce faire, il fallait qu’il y ait eu des complices sur place, qui ont dû leur baliser largement le chemin.
Ce n’est pas possible autrement. Il y a eu une faille», s’alarme-t-on. Le journal Essabah, dans son édition en ligne, affirme, quant à lui, que «le terroriste voulait tuer le chef de la sûreté de la région de Sousse, mais celui-ci», au lieu de tendre l’autre joue, «a rendu deux gifles».
«Des services de renseignement défaillants ?»
Mais si l’on félicite la réaction des services de sécurité, d’autres publications pointent du doigt, dans leurs colonnes, les défaillances supposées des services de renseignement et antiterroristes. Ainsi, la presse de Tunisie rappelle l’alarmisme de certains, lorsque, au lendemain de la révolution, la Direction de la sûreté de l’Etat (DST) a été dissoute. «Il a fallu attendre près de deux années pour que les officiers du renseignement reprennent leurs activités. Mais certaines sections n’ont pas repris.
Il s’agit plus précisément de la section chargée de la collecte d’informations ayant trait à tout ce qui touche au tourisme», dit-on. Et le lien est ainsi vite établi.
Et si, au fil des heures, on en apprend «davantage sur l’auteur de l’attentat», c’est aussi sur «les carences de nos services antiterroristes», estime-t-on sur le site d’information Kapitalis. Décortiquant le compte facebook du terroriste présumé, la publication électronique dément formellement les déclarations du chef du gouvernement, Habib Essid, qui avait déclaré que «rien ne laissait prévoir que Seifeddine Rezgui était un terroriste potentiel».
Ainsi, le compte en question «laisse transparaître une personnalité entièrement vouée au djihad et prête à passer à l’acte». «Tout ceci aurait dû mettre la puce à l’oreille des services antiterroriste», déplore-t-on dans Kapitalis, qui estime que ces nombreux éléments «trahissent l’incompétence des services antiterroriste (…). Quels gâchis !» conclut-on.
Ghania Lassal
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Mesures sécuritaires renforcées
La Tunisie en guerre contre le terrorisme
le 28.06.15 | 10h00
Au-delà du bilan de l’attentat de Sousse, autorités et citoyens s’interrogent aujourd’hui en Tunisie sur les moyens de juguler le terrorisme. L’attentat d’El Kantaoui révèle que désormais le terrorisme est dans la cité.
Les condamnations fusent de toutes parts suite à l’attaque terroriste qui a coûté la vie à 39 personnes, dont cinq Tunisiens. On déplore également 38 blessés. Un état-major de crise a été formé à la présidence du gouvernement. Les réunions se poursuivent pour prendre les décisions qui s’imposent, comme l’a annoncé le président Béji Caïd Essebsi, depuis le lieu de l’attentat de Sousse.
Les principales décisions prises avant-hier, le soir même de l’attentat, sont : l’appel à l’armée de réserve afin de renforcer la présence sécuritaire dans les zones à risques, la mise en place d’une unité de sécurité touristique armée le long des côtes et au sein des hôtels, la fermeture des 80 mosquées hors contrôle, la prise de mesures nécessaires contre tous les partis et associations œuvrant contrairement aux principes de la Constitution – Habib Essid a indiqué que la présidence du gouvernement a constitué un dossier concernant les dépassements de Hizb Ettahrir –, ainsi que l’appel à tous les partis politiques, afin de leur faire part de l’importance de l’unité nationale dans les circonstances actuelles.
Le gouvernement tunisien s’est senti dans l’obligation de serrer davantage l’étau autour des terroristes. Il s’agit maintenant de «renforcer les campagnes de vérification contre toute personne suspectée de terrorisme, en collaboration avec le ministère public», a déclaré le chef du gouvernement tunisien, qui passe à la vitesse supérieure, comparativement aux réactions suite à l’attaque du musée du Bardo le 18 mars dernier.
«Il a fallu toutes ces victimes pour que la Tunisie commence à croire à l’implantation de terroristes parmi nous et à prendre, enfin, les mesures devant être prises depuis des mois, surtout après l’attaque du Bardo», regrette Samir Taïeb, le secrétaire général du parti Al Massar, qui appelle à l’application «immédiate et avec la rigueur requise de ces mesures».
De telles mesures n’ont pas fait l’unanimité par le passé, notamment après l’attaque du Bardo. Les représentants du parti islamiste d’Ennahdha s’étaient alors dressés contre la fermeture des mosquées illégales. Il y a même eu une manifestation devant les locaux du ministère des Affaires religieuses pour lui imposer d’assouplir ses décisions. «Voilà le résultat de cet assouplissement», déplore une source dudit ministère.
Enquête
Par ailleurs, les hôteliers n’avaient pas demandé de renforcer davantage la sécurité. La propriétaire de l’hôtel visé par l’attentat, Zohra Driss, députée de Nidaa Tounes à l’Assemblée, estime qu’«il ne s’agissait pas de mettre une patrouille devant chaque hôtel».
Résistant au choc, elle n’est pas résignée : «Ne baissons pas les bras, ne nous résignons pas à la fatalité du terrorisme, rebondissons !» a-t-elle dit sur France 24, quelques heures après le drame.
En parallèle à ces mesures, les autorités tunisiennes continuent leur enquête sur l’attaque. Elles ont déjà identifié le terroriste, Seifeddine Rezgui, un diplômé de l’ISET de Kairouan, âgé de 23 ans, originaire de Gaâfour (gouvernorat de Siliana) à une centaine de kilomètres au sud de Tunis.
Une descente chez sa famille a permis de trouver des documents sensibles, selon une source proche de l’enquête. Les parents du terroriste ont été emmenés, avant-hier, à la brigade antiterroriste pour être interrogés sur leur fils.
Quelques heures avant l’attaque, le terroriste a posté sur sa page facebook des phrases pouvant signifier une attaque des «loups solitaires», appellation signifiant les terroristes agissant seuls.
A un autre niveau, l’Allemagne et la Grande-Bretagne ont dépêché en Tunisie des délégations pour collaborer avec les Tunisiens dans l’enquête et la prise en charge des victimes. La Grande-Bretagne a envoyé une équipe importante formée de diplomates, d’enquêteurs et de personnel d’assistance.
Le Premier ministre britannique, David Cameron, s’est même adressé aux citoyens après la réunion du dispositif Cobra de lutte antiterroriste, pour les prévenir sur d’éventuelles nouvelles victimes.
Pour sa part, l’Allemagne a envoyé un enquêteur de l’Office fédéral de police criminelle, BKA, pour aider à déchiffrer les circonstances de l’attaque.
Par ailleurs, les unités sous-marines de la Protection civile ont retrouvé le téléphone portable du terroriste, qui révélera sûrement ses dernières communications et son carnet d’adresses.
Touristes divisés
Des touristes algériens, rencontrés sur le boulevard Boujaâfar, à Sousse, quelques heures après l’attaque terroriste, ont insisté sur «le devoir» de continuer à visiter la Tunisie et d’y passer les vacances pour les Algériens qui ont l’intention de voyager. «Nous n’avons pas peur. Une attaque terroriste peut survenir n’importe où dans le monde avec l’internationalisation du phénomène», a expliqué Bouzid Méliani, étudiant de Annaba. «Il ne faut pas oublier que la Tunisie n’a jamais fermé ses frontières aux Algériens, y compris au plus dur de la décennie noire en Algérie», a renchéri sa mère Fella, 55 ans, qui vient en Tunisie depuis une quinzaine d’années.
Chez les Européens, la réaction est plus réservée. C’est plutôt la consternation, voire l’horreur, qui se lisait sur tous les visages, notamment du côté de la station balnéaire d’El Kantaoui, où se situe l’hôtel, cible de l’attentat. Près de 2200 touristes ont déjà quitté les hôtels de cette station, dans la nuit de vendredi à samedi, selon Saloua Kadri, responsable régionale de l’office du tourisme.
Dix vols ont ramené 1600 Britanniques chez eux et 4 autres vols ont rapatrié 600 Belges à Bruxelles. «J’aime la Tunisie. J’y suis venue une dizaine de fois. Mais, là, je suis sous le choc. Je ne peux pas rester. Je reviendrai peut-être un jour», dit Annette, 46 ans, originaire de Bruges, avant de prendre l’avion.
Mourad Sellami
Repère
Le syndrome algérien
le 28.06.15 | 10h00
La déclaration de Mme Michèle Alliot-Marie, ancienne ministre française de la Défense, proposant au régime de Ben Ali, au milieu des troubles qu’avait connus la Tunisie lors du printemps du Jasmin, une aide logistique de matraques, de masques de protection contre les gaz lacrymogènes et autres moyens de répression des manifestations, avait choqué les démocrates tunisiens car venant d’un responsable d’un pays qui se targue d’être la patrie des droits de l’homme.
L’appel solennel lancé à la suite de l’attentat meurtrier de Sousse par les autorités tunisiennes à la communauté internationale et principalement à la France pour aider la Tunisie à combattre le terrorisme qui frappe tragiquement le pays laisse penser que le scénario vécu par l’Algérie est en passe de se répéter pour la Tunisie.
Il n’y a que le discours politique qui a changé. Alors que l’Algérie fut soumise à un implacable embargo sur les achats d’armement doublé d’une duplicité avec l’islamisme qui avait bénéficié d’un soutien politique et financier, la Tunisie de la révolution du Jasmin avait été dans les discours officiels des capitales occidentales chaleureusement saluée comme le modèle démocratique à suivre pour la région.
Ce qui s’est passé avec l’attaque du musée du Bardo, il y a quelques mois, et ce vendredi, avec le massacre de Sousse, indique bien que le soutien promis aux Tunisiens ne dépasse pas le stade des professions de foi.
La marche de solidarité avec le peuple tunisien organisée au lendemain de l’attaque terroriste du musée du Bardo et à laquelle avaient pris part des personnalités étrangères, dont le président français François Hollande, s’est révélée n’être qu’un show politico-médiatique destiné à soigner la cote de popularité des dirigeants occidentaux en mal dans les sondages.
Aucun geste concret ne semble avoir été fait par ces pays pour venir en aide à la Tunisie, quand on voit la facilité avec laquelle les groupes terroristes opèrent dans ce pays. L’armée et les services de sécurité tunisiens n’ont ni les moyens, ni la formation, ni l’expertise nécessaires en matière de renseignement et de lutte antiterroriste pour faire face à la menace terroriste. Une menace interne, mais qui a des ramifications externes en relation avec l’Etat islamique, qui rendent autrement plus complexe encore la donne sécuritaire dans ce pays.
Le président tunisien, Béji Caïd Essebsi, l’a bien compris, appelant les Tunisiens à l’unité nationale et à compter d’abord sur eux-mêmes pour faire face à la situation difficile dans laquelle se trouve le pays.
Par calcul politicien, la victime du terrorisme – même s’il s’agit d’un ressortissant européen – déplorée dans les pays pauvres ne bénéficie pas de la même compassion et du même élan de solidarité que l’attentat terroriste commis sur le sol d’une capitale occidentale. L’actualité tragique de ces dernières 24 heures nous fournit la preuve tangible que la bourse et la cote des victimes du terrorisme sont proportionnelles à la puissance du pays visé.
Une victime peut valoir, comme on l’a vu avec le dernier attentat en Isère, en France, plus que la quarantaine de victimes tombées en Tunisie, quand on voit l’émotion suscitée dans l’Hexagone au niveau politique et de l’opinion publique comparée au traitement médiatique et politique réservé aux autres attentats terroristes commis en Tunisie, Koweït et en Somalie au cours de ce vendredi sanglant. La menace terroriste est planétaire, mais les moyens de lutte ne sont pas partagés partout où le besoin se fait sentir.
Si le terrorisme continue de frapper avec une telle facilité, c’est précisément parce que les égoïsmes nationaux ont encore la vie dure. On continue à croire, à tort, que la sécurité des Etats s’arrête aux frontières nationales. L’attentat de Sousse est venu rappeler que les intérêts nationaux peuvent être menacés partout, pas uniquement sur le sol du pays ciblé. La notion de territorialité n’existe pas pour les terroristes.
Omar Berbiche
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Attentat en Isere (France) : Les musulmans lyonnais appelés à un rassemblement silencieux dimanche soir
le 27.06.15 | 16h27
Les responsables des principales instances musulmane de Lyon et sa région ont appelé à un rassemblement silencieux devant la Mosquée de Villefontaine ce dimanche soir à 18h.
Ce moment de solidarité intervient après l’attentat survenu à Saint-Quentin-Fallavier pour «condamner avec la plus grande fermeté l’attentat diabolique perpétré en plein mois de Ramadan à l’usine Air Products qui a fait un mort».
Les signataires de l’appel sont Kamel Kabtane, recteur de la grande mosquée de Lyon ; Laid Bendidi, président du CRCM Rhône Alpes et Azzedine Gaci, recteur de la mosquée de Villeurbanne.
Ils indiquent que « loin de nous laisser indifférents et nous diviser, cet acte criminel doit continuer à nous unir contre l’obscurantisme et le terrorisme dont les musulmans sont les premières victimes à travers le monde ».
Pour exprimer le « rejet de l’idéologie de la peur », ils appellent l’ensemble des citoyens à participer à cette manifestation, avenue Lemand à Villefontaine.
W.M.
Malgré les pressions israéliennes
Accord historique entre le Saint-Siège et les Palestiniens
le 27.06.15 | 10h00
Le Saint-Siège et les Palestiniens ont signé, hier au Vatican, un accord historique sur les droits de l'Eglise catholique dans les Territoires, qui mécontente Israël, dont le gouvernement se refuse toujours à signer un traité équivalent.
Ce texte a été paraphé au Vatican par le secrétaire pour les Relations avec les Etats, le prélat britannique Paul Richard Gallagher, et par le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad Al Maliki.
Même si le Vatican parle d'«Etat de Palestine» depuis début 2013, à la suite d'un vote de l'Assemblée générale de l'ONU, les Palestiniens constatent que cette signature équivaut à «une reconnaissance de facto» de leur Etat. Le ministère israélien des Affaires étrangères a «regretté cette mesure précipitée», qui «nuit à la perspective de faire avancer un accord de paix» et «porte atteinte aux efforts internationaux visant à convaincre l'Autorité palestinienne de revenir à des négociations directes avec Israël». «Israël étudiera ses implications sur la coopération future avec le Vatican», a-t-il encore souligné.
Selon des sources proches du dossier à Rome, le Saint-Siège a dû résister à de fortes pressions d'Israël, visant à empêcher cette signature, qui a menacé de faire capoter les négociations en vue d'un accord similaire entre le Vatican et l'Etat israélien.
Somalie: des dizaines de morts dans l'attaque d'une base de l'UA par les Shebab
le 26.06.15 | 16h06
Des dizaines de soldats ont été tués vendredi en Somalie dans l'attaque par les islamistes shebab d'une base de la force de l'Union africaine (UA) tenue par un contingent de l'armée burundaise, ont affirmé des témoins, parlant de violents combats et de corps jonchant le sol.
"Les combats ont été les plus violents jamais observés dans la zone, les combattants shebab ont pris complètement le contrôle de la base et tué de nombreux soldats", a déclaré à l'AFP Alinur Mohamed, un chef local du village de Lego, à une centaine de kilomètres au nord-ouest de la capitale Mogadiscio.
Des témoins ont parlé d'au moins 50 morts, mais l'attaque a eu lieu dans une région difficile d'accès et aucun bilan officiel n'a encore été fourni. Les shebab avaient affirmé vendredi matin s'être emparé de cette base de l'UA, avoir fait "des dizaines" de morts et capturé des armes. Ils avaient aussi assuré que leur drapeau flottait désormais sur la base.
Dans un communiqué, la Force militaire de l'Union africaine (Amisom), qui épaule l'embryon d'armée somalienne contre les shebab, avait confirmé une "attaque en cours" à la base de Lego, sans préciser si elle avait fait des morts. Selon des habitants, le raid a commencé avec une attaque-suicide à la voiture piégée sur l'entrée de la base, avant que des dizaines de miliciens armés de mitraillettes et de lance-grenades ne donnent l'assaut.
Les shebab, à la tête d'une insurrection armée depuis 2007, attaquent régulièrement les cibles institutionnelles et intensifient traditionnellement leurs actions durant le mois de jeûne musulman du ramadan.
Mercredi, au moins six personnes ont été tuées dans la capitale somalienne dans un attentat-suicide au véhicule piégé, revendiqué par les islamistes et visant un convoi de l'ambassade des Émirats arabes unis.
AFP
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Transport aérien : la ligne directe Alger-Genève inaugurée
le 28.06.15 | 13h37 Réagissez
Une ligne directe et régulière reliant Alger à Genève a été inaugurée samedi par la compagnie aérienne suisse Swiss (ex.Swissair), ont indiqué les responsables de cette compagnie lors d'une conférence de presse animée samedi soir à Alger.
Cette compagnie aérienne suisse, née après le rachat d'ex.Swissair par la compagnie allemande Lufthansa, revient en Algérie après vingt ans d'absence, opérera trois vols par semaine sur cette ligne (mardi, jeudi et samedi).
Selon le directeur général de Swiss, M. Lorenzo Stoll, l'un des objectifs du retour de sa compagnie en Algérie est de satisfaire non seulement la demande de la communauté algérienne en Suisse, dont le nombre est assez important, mais aussi celle des Suisses désirant se déplacer en Algérie."C'est parce que nous avons senti un trou dans nos destinations que nous avons décidé d'ouvrir cette ligne", selon le même responsable qui a précisé que les dirigeants de cette compagnie aérienne ont jugé "très important" d'ouvrir un ligne vers Alger pour être l'une des "passerelles" vers l'Afrique.
Présente à cette conférence de presse, l'ambassadrice suisse en Algérie, Mme Muriel Kohen Berset, a estimé que l'inauguration de ce vol allait permettre d'augmenter et de faciliter le flux des communautés entre les deux pays, en particulier les hommes d'affaires.
Pour sa part, le président de la chambre d'industrie algéro-suisse, M. Allain Rolland, a souligné l'importance des relations économiques entre l'Algérie et la Suisse, estimant que cette ligne allait contribuer à les promouvoir davantage. Il a également avancé que l'ouverture de cette ligne pourrait encourager le développement du secteur du tourisme en Algérie.
APS
MAZ
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