271-/-ACTUALITÉS Du Mercredi 30 septembre 2015
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CONTROVERSE ENTRE LE MINISTRE DE L’INDUSTRIE ET LE P-DG DE CEVITAL Le conflit qui oppose un membre de l’exécutif et un patron d’un grand groupe privé ne serait-il pas lié au contexte économique actuel du pays, marqué par une contraction des revenus et la problématique du financement des opérations de commerce extérieur ? Suite... |
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Actualité
«L'Algérie à la croisée des chemins»
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Le début du championnat est extrêmement difficile pour l’USM Blida qui est revenue, cette saison, en Ligue 1 après quatre...
International
Règlement du conflit syrien : Le péril Daech réconcilie Washington et Moscou
Si la lutte contre Daech paraît faire l’unanimité, il n’en est pas de même pour le rôle que doit jouer Bachar Al... La Centrafrique sombre à nouveau dans la violence
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a indiqué que ces attaques ont été déclenchées... En bref...
Culture
Elle avait annoncé à l'antenne la naissance de la République algérienne
Elle était la pionnière des speakrines de l’Algérie post-indépendance. Elle était... Dédié à Hervé Gourdel : Cycle de formation de guide de montagne
Damien Perry, formateur de professionnels de montagne, est attendu pour prendre part à ce cycle de formation
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Règlement du conflit syrien : Le péril Daech réconcilie Washington et Moscou
le 30.09.15 | 10h00
Si la lutte contre Daech paraît faire l’unanimité, il n’en est pas de même pour le rôle que doit jouer Bachar Al Assad dans le règlement de la crise. La tête du dirigeant syrien est toujours réclamée par les Occidentaux, qui le qualifient de «tyran».
Les lignes commenceraient-elles à bouger dans le traitement du conflit syrien ? Les résultats de la rencontre consacrée à la question, organisée lundi à New York en marge de l’Assemblée générale des Nations unies, le laissent penser. Face à l’enlisement de la crise et à la prolifération des groupes terroristes trs violents dans tout le Proche-Orient, les Occidentaux ne seraient plus contre le principe de composer avec les Russes et les Iraniens, les deux principaux alliés du président Bachar Al Assad.
La raison ? La coalition militaire pilotée par Washington regroupant une soixantaine de pays européens et arabes sunnites bombarde sans succès depuis une année les bastions de l’Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak. Pis encore, toutes les opérations militaires menées jusque-là n’ont pas empêché l’organisation terroriste d’élargir son territoire.
Au terme d’un entretien d’une heure et demie, lundi soir au siège de l’ONU, avec son homologue russe, le président Vladimir Poutine, le président américain, Barack Obama, a fait donc savoir clairement que «les Etats-Unis étaient prêts à travailler avec tous les pays, y compris la Russie et l’Iran», dans l’espoir de trouver une porte de sortie à la guerre qui a fait plus de 240 000 morts en quatre ans et demi.
La déclaration de M. Obama constitue un tournant dans la politique syrienne des Etats-Unis. Depuis 2011, les Américains se sont toujours opposés aux Russes sur le dossier syrien. Concrètement, l’idée mise sur la table par Moscou -et à laquelle souscrirait désormais Washington- consisterait, dans un premier temps, à mettre sur pied une nouvelle coalition internationale élargie pour combattre les terroristes.
Un consensus à construire
Faut-il s’attendre à une issue rapide au conflit syrien maintenant que tout le monde est conscient des risques que fait peser Daech sur le Moyen-Orient ? Pas dans l’immédiat, à en croire le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. C’est que les points de divergence sont nombreux entre Moscou et les Occidentaux. «Moscou et Washington vont continuer à se parler pour trouver un compromis dans le dossier syrien et la lutte contre le groupe Etat islamique.
Nous ne nous sommes pas mis d’accord sur des étapes en particulier», a déclaré hier le chef de la diplomatie russe à la télévision russe. «Des discussions entre les ministères de la Défense et ceuxs des Affaires étrangères vont avoir lieu pour rendre notre objectif commun (...), la destruction de l’organisation autoproclamée Etat islamique (EI), plus réalisable», a-t-il précisé. Si la lutte contre Daech paraît faire l’unanimité entre les grandes puissances, il n’en est pas de même pour le rôle que doit jouer Bachar Al Assad dans le règlement de la crise. La tête du dirigeant syrien est toujours réclamée par les Occidentaux, qui le considèrent comme un «tyran».
Pour Washington, le chef de l’Etat syrien devra partir dans le cadre d’une transition politique, même si le calendrier de sa sortie est négociable. «En Syrie, vaincre l’EI nécessite un nouveau dirigeant», a lancé M. Obama à l’ouverture d’un sommet en marge de l’assemblée générale de l’ONU consacré à la lutte contre le terrorisme. Aux yeux des Russes, M. Assad est, au contraire, un rempart contre les terroristes de l’EI. Pour marquer sa différence avec ses futurs «partenaires», M. Poutine a d’ailleurs soutenu que «ce n’est ni à Barack Obama ni à François Hollande de décider qui doit diriger la Syrie». Ceci pour dire que l’espoir, né lundi à l’ONU, de voir la crise syrienne connaître un début d’épilogue doit être tempéré.
Zine Cherfaoui
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Près de 40 morts et au moins 27 400 déplacés depuis samedi
La Centrafrique sombre à nouveau dans la violence
le 30.09.15 | 10h00
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a indiqué que ces attaques ont été déclenchées par l’assassinat d’un jeune homme musulman le 26 septembre dans la capitale, Bangui.
La Centrafrique replonge dans l’horreur. A Bangui, la capitale de ce pays frappé par des crises cycliques, près de 40 personnes ont été tuées dans les violences qui ont éclaté samedi et au moins 27 400 autres ont été déplacées en quelques jours. «Nous craignons que la violence que nous voyons à Bangui soit un retour aux jours sombres de la fin 2013 et de 2014, lorsque des milliers de personnes ont été tuées et des dizaines de milliers ont dû fuir leur foyer», s’est alarmé, hier, Leo Dobbs, un porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR).
Selon lui, au moins 27 400 personnes ont été déplacées «depuis samedi». Environ 10 000 d’entre elles se sont réfugiées dans le camp de l’aéroport M’Poko à Bangui, où se trouvaient déjà quelque 11 000 personnes. Comme cela ne suffisait pas, 500 détenus de la prison centrale de Ngaragba, à Bangui, se sont évadés samedi soir. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a indiqué que ces attaques ont été déclenchées par l’assassinat d’un jeune homme musulman le 26 septembre dans la capitale Bangui. Ban Ki-moon a souligné l’importance de l’engagement de la communauté internationale dans le soutien du processus politique en République centrafricaine en ce moment critique.
Face à ce regain de violence, la République démocratique du Congo a fermé lundi après-midi, et «jusqu’à nouvel ordre», sa frontière avec la Centrafrique, a déclaré, hier, le porte-parole du gouvernement congolais. La frontière est fermée «jusqu’à nouvel ordre» parce qu’il y a une «situation incontrôlable en Centrafrique et que nous devons protéger nos populations contre tout débordement», a déclaré Lambert Mende.
La RDC, elle-même en proie à une instabilité chronique dans l’Est depuis 20 ans, n’est pas un «déversoir de l’insécurité des autres», a ajouté le porte-parole du gouvernement joint par téléphone. Selon une source du Haut-Commissariat aux réfugiés de l’ONU (HCR), une trentaine de personnes sont arrivées lundi à la mi-journée à Zongo, ville de l’extrême Nord-Ouest de la RDC, séparée de Bangui par l’Oubangui, affluent du Congo qui marque la frontière entre la Centrafrique et la RDC sur près de 700 km.
A. Z.
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Après le drame du pèlerinage à la Mecque
Tension entre Riyad et Téhéran
le 28.09.15 | 10h00
Le royaume wahhabite a rejeté la demande de Téhéran de participer à l’enquête sur la bousculade qui a eu lieu à Mina, où 144 Iraniens ont perdu la vie.
La bousculade meurtrière survenue jeudi à La Mecque continue à alimenter la tension entre l’Arabie Saoudite et l’Iran. Un pic d’acuité qui s’ajoute aux divergences entre les deux pays sur les conflits régionaux, à savoir la Syrie, l’Irak, le Yémen et le programme nucléaire iranien.
L’Iran a exigé hier «des excuses» du royaume wahhabite, qui a rejeté la demande de Téhéran de participer à l’enquête sur la bousculade qui a causé la mort de 769 pèlerins, dont au moins 144 Iraniens. «Les dirigeants saoudiens, au lieu de renvoyer la balle, devraient présenter des excuses à la communauté islamique et aux familles endeuillées, accepter leur responsabilité dans ce terrible accident et remplir leurs obligations», a déclaré le guide iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, rapporte l’AFP. Et d’ajouter : «Le monde islamique a de nombreuses questions, la mort de plus de mille personnes dans cet accident n’est pas une petite affaire.»
De son côté, le président iranien Hassan Rohani a déclaré, lors d’une rencontre avec le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, que «malheureusement, Riyad ne fournit pas la coopération nécessaire pour enquêter sur la situation des disparus, transférer les corps des victimes et aider les blessés». Il a demandé aux Nations unies de «rappeler au gouvernement saoudien ses devoirs». Téhéran déjà a mis en cause les Saoudiens pour leur organisation jugée défaillante du pèlerinage et dénoncé leur manque de coopération.
Selon un bilan officiel fourni par l’Arabie Saoudite, 769 pèlerins ont été tués et 934 blessés.
Mais les responsables iraniens ont affirmé, ces derniers jours, que le bilan est bien plus lourd et approcherait les 2000 victimes. Un nouveau bilan provisoire des victimes iraniennes fait état de 155 morts, 48 blessés hospitalisés et 316 disparus, selon le président iranien de l’organisation du pèlerinage, Saïd Ohadi. Le précédent bilan était de 144 morts et 323 disparus. Répliquant aux critiques de Téhéran, le ministre des Affaires étrangères saoudien, Adel Al Jubeir, a indiqué, samedi à New York, que «les Iraniens auraient mieux à faire que d’exploiter politiquement une tragédie qui a touché des gens qui observaient leurs rites religieux les plus sacrés».
Il a affirmé que Riyad «rendra compte des faits à mesure qu’ils seront connus». Et de poursuivre : «Nous ne dissimulerons rien. Si des fautes ont été commises, ceux qui les ont commises seront tenus pour responsables.» Les responsables saoudiens ont attribué la tragédie à un manque de discipline des pèlerins. Pour le grand mufti du royaume, cheikh Abdelaziz Al Cheikh, «le sort et le destin sont inévitables». A son tour, le président du Conseil consultatif, Abdallah Al Cheikh, a indiqué que les pèlerins devraient respecter «les règles et les dispositions mises en place par les forces de sécurité» pour «préserver leur vie». Rappelons que le 11 septembre, la chute d’une grue sur la Grande Mosquée de La Mecque a fait au moins 107 morts.
Antécédents
Les relations entre Riyad et Téhéran sont tendues depuis l’avènement de la République islamique en 1979. Dans ce contexte, plusieurs tragédies se sont produites aux Lieux Saints, provoquant la mort de nombreux pèlerins. Pour n’en citer que quelques-uns, en novembre 1979, plus de 500 extrémistes armés se sont barricadé dans la Grande Mosquée, après avoir pris des pèlerins en otage. L’assaut, avec le concours du GIGN français, est donné le 4 décembre et fera plus de 300 morts dont 63 décapités.
En octobre 1982, du chef des pèlerins iraniens à La Mecque a été expulsé avec plus de 140 Iraniens, après des manifestations anti-israéliennes. Après le déclenchement de la guerre irano-irakienne, les pays du Golfe et l’Occident soutiennent le régime de Saddam Hussein pour affaiblir Khomeiny et l’empêcher ainsi d’exporter sa révolution islamique. En août 1985, quelque 150 000 pèlerins iraniens manifestent à La Mecque et lisent un message aux musulmans de l’ayatollah Khomeiny.
Plusieurs d’entre eux sont interpellés. En août de l’année suivante, les autorités saoudiennes interpellent 103 pèlerins iraniens à leur arrivée à l’aéroport de Djeddah pour «raisons de sécurité». Accusés aussi de transporter des photos de Khomeiny et des tracts, ils seront libérés le 28 août. Le 31 juillet 1987, des affrontements à La Mecque, entre les forces de police saoudienne et des pèlerins, font 402 morts. Le 2 juillet 1990, 1426 pèlerins meurent asphyxiés ou piétinés dans un tunnel reliant La Mecque à Mina.
Le 15 avril 1997, un incendie dans un camp de pèlerins à Mina fait 343 morts. Passons les bousculades d’avril 1998, mars 2001 et février 2003 qui se sont toutes produites durant la cérémonie de la lapidation de Satan à Mina, près de La Mecque, avec leurs lots de morts. Alors, à quoi servent les milliards de dollars que Riyad consacre aux travaux de réaménagement des Lieux Saints ?
Amnay idir
Coupe du Monde 2018 (préparation) Algérie:
première convocation de Jeannin,Tahrat et Benrahma
le 30.09.15 | 13h05
Le sélectionneur de l'équipe d'Algérie de football Christian Gourcuff a convoqué 26 joueurs en prévision des deux matchs amicaux des Verts contre respectivement la Guinée et le Sénégal en octobre au stade 5-juillet dans le cadre de la préparation pour les éliminatoires de la Coupe du Monde 2018.
Le coach national a convoqué pour la première fois le gardien Mehdi Jeannin (Clermont Foot/FR), Mehdi Tahrat (Paris FC) et Saïd Benrahma (OGC Nice). La liste est marquée également par la convocation de Brahim Boudebouda et le retour du gardien Mohamed-Lamine Zemmamouche (USM Alger).
Nabil Bentaleb (Tottenham) et Sofiane Feghouli (Valence), qui avaient déclaré forfait lors du dernier match de l'Algérie face au Lesotho (3-1) disputé le 6 septembre à Maseru dans le cadre des éliminatoires de la CAN-2017, effectuent leur retour en sélection.
L'Algérie accueillera la Guinée le 9 octobre à 18h00 au stade 5-juillet avant de croiser le fer avec les Lions du Sénégal le 13 octobre prochain à 20h30 également au stade 5 juillet (Alger), qui renouera à cette occasion avec les sorties des Verts après plusieurs années d'absence. Ces deux rencontres s'inscrivent dans le cadre de la préparation des partenaires de Yacine Brahimi pour le deuxième tour des éliminatoires de la Coupe du Monde 2018.
Au second tour des éliminatoires de la Coupe du monde 2018, l'Algérie affrontera le vainqueur de la double confrontation entre le Malawi et la Tanzanie.
Liste des joueurs convoqués:
Gardiens: Malik Asselah (CR Belouizdad), Azzedine Doukha (JS Kabylie), Mehdi Jeannin (Clermont Foot), Mohamed Lamine Zemmamouhce (USM Alger).
Défenseurs : Brahim Boudebouda (USM Alger), Hichem Belkaroui (Club Africain), Faouzi Ghoulam (SSC Naples), Abderrahmane Hachoud (MC Alger), Nacereddine Khoualed (USM Alger), Carl Medjani (Trabzonspor), Mehdi Tahrat (Paris FC), Mehdi Zeffane (Stade Rennais FC), Ahmed Kashi (Charlton AFC).
Milieux : Mehdi Abeid (Panathinaïkos), Nabil Bentaleb (Tottenham), Ryad Boudebouz (Montpellier HSC), Sofiane Feghouli (FC Valence), Riyad Mahrez (Leicester City FC), Walid Mesloub (FC Lorient), Saphir Taider (Bologne), Yacine Brahimi (FC Porto).
Attaquants : Ishak Belfodil (Beni Yas SC), Saïd Benrahma (OGC Nice), Baghdad Bounedjah (ES Sahel), Islam Slimani (Sporting Lisbonne), El Arbi Hillel Soudani (Dinamo Zagreb).
APS
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