246-/-ACTUALITÉS Du Samedi 05 Septembre 2015
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Septembre 2015 Septembre 2015
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Le passeport biométrique délivré au niveau des communes d’Alger à partir de lundi
le 05.09.15 | 17h08
Jusqu'ici, 44 sur les 57 communes de la wilaya d'Alger sont dotées de salles et de matériels (pour la photo numérique et l'enrôlement des empreintes digitales) nécessaires au bon fonctionnement du service du passeport biométrique.
L'opération pilote relative à la délivrance du passeport biométrique au niveau des communes d'Alger sera officiellement lancée lundi, a annoncé samedi le wali Abdelkader Zoukh.
"Conformément aux instructions du gouvernement, l'opération de délivrance du passeport biométrique sera officiellement lancée lundi dans la wilaya d'Alger par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales", a affirmé M. Zoukh lors d'une réunion sur la rentrée sociale tenue avec les Présidents des 57 APC de la wilaya.
Jusqu'ici, 44 sur les 57 communes de la wilaya d'Alger sont dotées de salles et de matériels (pour la photo numérique et l'enrôlement des empreintes digitales) nécessaires au bon fonctionnement du service du passeport biométrique, a souligné la wilaya dans un rapport sur "la modernisation du service public" présenté lors de cette réunion.
Dans une première étape, l’enrôlement des empreintes digitales et la prise de photos numériques se feront dans 16 communes d'Alger, avant d’être généralisée à toutes les communes de la wilaya, et aux communes importantes du pays, avait indiqué le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales Nourredine Bedoui en marge de sa récente visite de travail à Constantine.
Pour M. Zoukh, cette opération, qui rentre dans le cadre de la modernisation et la décentralisation des services de l'Etat et l'amélioration du service public, permettra d'alléger la pression sur les circonscriptions administratives et de lutter contre la bureaucratie.
Au service du passeport biométrique de la commune d'Alger centre,16 agents formés pour cette nouvelle tâche travailleront en deux brigades jusqu'à18h00 pour pouvoir recevoir jusqu'à 300 demandes par jour, selon un édile de cette commune.
APS
Reportage
Articles scolaires : Ruée vers le marché de M’dina Jdida à Oran
le 05.09.15 | 10h00
Cet immense marché est caractérisé ces jours-ci par les étals sauvages des vendeurs d’articles scolaires. Gommes, trousses, stylos, cartables, cahier d’écolier…
Des objets hétéroclites, de couleurs vives, qui happent l’intérêt des chefs de famille. Pour quelques billets, agglutinés autour d’une grande bâche grise, des hommes et des femmes font les emplettes de la rentrée, comme s’il s’agissait de choisir les bonnes grappes de raisins ou des figues saines. «J’ai un budget de 4000 DA par enfant, une fille et un garçon qui sont encore au cycle primaire.
Celle qui est en cycle moyen me coûtera quelque 5500 DA. Je peux mettre jusqu’à 10 000 DA pour les trousseaux de ma petite famille, pas plus. Je ne vis que grâce au crédit. Il m’est impossible de payer le mouton de l’Aïd, sauf si l’entreprise où je travaille avancerait les salaires ! Je suis allé deux fois à la plage cette année avec mes deux petits derniers. La maman et l’aînée, ça a été la maison et le ventilateur !» ironise Abdelhamid, la cinquantaine, qui dit toucher 35 000 DA le mois dans une petite entreprise privée. Il nous montre le sac en plastique bleu.
On y aperçoit des stylos à bille, des règles, des taille-crayons en forme de poupée et de jouet, des trousses en plastique transparentes à l’effigie de Barbie et de Spiderman, des gommes et des cahiers de différents formats et de pages. «J’achète l’essentiel du cartable en attendant la liste qui sera remise par les enseignants. Depuis toujours je viens à M’dina Jdida.
Ce n’est qu’ici qu’on peut trouver des stylos à 5 DA et des règles à 10 DA.» Certains articles connaissent une flambée des prix relative, allant parfois jusqu’à 15% de hausse par rapport à l’année dernière. Pour les accessoires (gommes, crayons, stylos, trousses, etc.), il y en a pour tous les goûts : des produits bas de gamme, bon marché, qui sont cédés de 10 à 100 DA, et des produits importés, qui se cèdent à 100 DA et plus. Le coût des tabliers, rose pour les filles et bleu pour les garçons, va de 300 jusqu’à 700 DA.
Les blouses de l’importation atteignent jusqu’à 1500 DA et plus. Même topo pour les cartables : on peut en trouver à 1200 DA, mais en trouvent également d’autres qui sont vendus à 4500 DA. «Afin de faire face à ce déferlement de dépenses, j’ai décidé de prendre les devants cette année. J’ai alors commencé à acheter les fournitures scolaires de mes deux filles dès le mois d’août.
Là, pour cette rentrée, je ne ferai que compléter en achetant les accessoires qui seront demandés par leurs maîtresses», nous explique Hocine, un père de famille, la quarantaine. Un autre nous dit : «Je préfère d’abord acheter les fournitures scolaires pour mon fils, et faire en sorte qu’il ne manquera de rien à l’école.
Quant au mouton, on verra plus tard. Mais ce qui est sûr, l’épanouissement de mon enfant à l’école passe en priorité.» Depuis une dizaine de jours, les magasins et autres librairies proposant des articles scolaires ne désemplissent pas. A titre d’exemple, à l’avenue Albert 1er, une grande surface dédiée à la papeterie et aux fournitures scolaires connaît une grande affluence. Il faut dire que le produit chinois est ici le plus prisé.
D’ailleurs, on ne pose même pas la question si le produit est chinois. Les prix pratiqués ici à M’dina Jdida ou à la rue marchande de La Bastille défient toute logique. Les marques les plus connues et les magasins ayant pignon sur rue ont beau alerter sur la toxicité des produits chinois ou de leur dangerosité, puisque ne respectant aucune norme, ce sont les articles qui se vendent le mieux parce qu’écoulés à des prix que beaucoup de salariés peuvent se permettre.
Il s’agit d’ailleurs d’un business qui s’est développé depuis plus de 20 ans. Une activité qui échappe à tout contrôle où aucune facture ni aucune traçabilité n’est possible. Un revendeur, installé dans le quartier de Saint Pierre, qui s’approvisionne à M’dina j’dia, et qui transforme, fin août et début septembre, une partie des étals de son épicerie en supérette des articles scolaires, se dit étonné lorsqu’on évoque la dangerosité de certains articles scolaires.
«Vous voulez dire que cette gomme ne doit pas être mangée par un enfant, que cette règle si elle se casse devient blessante voire mortelle…
bof, je crois qu’on a toujours eu ces articles. Moi je me rappelle avoir mangé de la gomme et on s’est disputé avec des compas… et alors ! Je suis là devant vous !» «H’na msakine ! (nous sommes des pauvres). Tu crois qu’on va acheter des cartables qui coûtent 7000 et 10 000 DA parce que c’est de la marque. Les gens qui ont les moyens se fournissent dans les magasins spécialisés et directement de France ou d’Espagne. Nous on achète de la rue et on étudie dans la rue.» Terrible sentence !
K. Arrache et Akram E. K.
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Le petit garçon syrien noyé enterré avec sa famille à Kobané
le 05.09.15 | 10h00
Le petit garçon syrien de trois ans, découvert mort sur une plage turque a été enterré, hier, avec son frère et sa mère dans une atmosphère de grande émotion dans la ville de Kobané, dans le nord de la Syrie. «L’enterrement a eu lieu en présence de centaines de personnes.
Tout le monde était triste et en pleurs», a déclaré à l’AFP un témoin, Mustefa Ebdi, un journaliste originaire de la ville, située à la frontière syro-turque. Abdallah Shenu, père du petit Aylan, «est encore en état de choc», selon ce témoin. Lors de l’éloge funèbre, il a dit qu’il était le «seul responsable de ce qui s’est passé» et qu’il ne blâmait personne, a ajouté le journaliste. Les trois victimes ont été enterrées dans le mausolée consacré aux «martyrs de Kobané». Le père a, à cette occasion, souligné que son fils était «parmi les nombreux morts» du conflit en Syrie et appelé à «trouver une solution à la tragédie» dans ce pays, selon M. Ebdi. «A quoi me sert la solidarité du monde ? J’ai perdu ce que j’ai de plus cher», a-t-il encore dit selon ses propos rapportés par le journaliste. Les corps de ses proches avaient été acheminés plus tôt depuis Istanbul vers le sud-est de la Turquie, frontalière de la Syrie, puis à Kobané. «Je n’ai plus rien à attendre de ce monde en tant que père qui a perdu ses enfants. La seule chose que je voudrais, c’est que le drame et les souffrances vécus en Syrie prennent fin», avait dit le père jeudi soir, cité par l’agence de presse turque Dogan. Il a ajouté espérer que le monde prenne ainsi conscience du sort des migrants, après ce drame qui a ému le monde entier.
Élan de solidarité
Le corps du petit garçon a été découvert mercredi sur une plage de la station balnéaire de Bodrum, en Turquie. Non loin, celui de son frère Ghaleb, 4 ans, et de sa mère Rihana, morts noyés avec neuf autres réfugiés syriens qui tentaient de rallier l’île grecque de Kos, porte d’entrée vers l’Union européenne, comme des milliers d’autres avant eux. Le père d’Aylan a raconté comment sa famille avait péri dans le naufrage de leur embarcation en pleine nuit. «Je tenais la main de ma femme. Mais mes enfants m’ont glissé des mains», a-t-il raconté à l’agence Dogan. La famille n’a cessé de fuir les combats en Syrie au cours des quatre dernières années, selon M. Ebdi.
Originaire de Kobané, elle habitait à Damas lorsque le pays s’est enfoncé dans les violences en 2011. «Ils ont quitté Damas en 2012 pour Alep» (nord), «et lorsque des combats s’y sont déclarés, ils sont partis à Kobané», a indiqué M. Ebdi. Mais la ville kurde a été prise pour cible par les djihadistes de l’Etat islamique (EI), qui ont tenté en vain de la conquérir à l’automne 2014, se heurtant à une forte résistance des Kurdes. La famille a alors déménagé en Turquie, selon le journaliste. Puis, lorsque le siège de Kobané par l’EI a pris fin en janvier, elle est retournée dans cette ville, espérant que le calme était revenu. Mais, en juin, les djihadistes ont lancé une nouvelle offensive. La famille a alors pris le risque de rejoindre l’Europe, via la Turquie, comme des milliers d’autres Syriens.
Rédaction Internationale
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