282-/-actualites du Mardi 04 Octobre 2016
Mardi 04 octobre 2016
الثلاثاء 4 أكتوبر 2016 م
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Un pas vers l'économie numérique Le e-paiement permet de développer une approche inclusive de l’économie informelle, créer un écosystème... |
Réunion de l'Icso: les élections ne changeront rien en Algérie
Les partis de l’opposition peinent à dépasser la phase des constats.
85 harraga interceptés au large d'Oran et de Beni Saf
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Probable révision de certaines mesures fiscales
Le chef de l’Etat présidera, cet après-midi, un Conseil des ministres dont l’ordre du jour sera consacré, entre...
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Economie
Un pas vers l'économie numérique
Le e-paiement permet de développer une approche inclusive de l’économie informelle, créer un écosystème...
Effectif dès aujourd'hui
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«Il faut aller rapidement vers la généralisation du e-paiement»
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Bouteflika préside une réunion du Conseil des ministres
le 04.10.16 | 16h55
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, préside ce mardi à Alger une réunion du Conseil des ministres.
Plusieurs projets de lois seront examinés et adoptés lors de cette réunion, notamment le projet de Loi de finances pour 2017, le projet de loi portant règlement budgétaire pour l'exercice 2014 et celui de la santé.
Le Conseil des ministres examinera également un nouveau texte de loi modifiant et complétant le Code des douanes et un projet de loi relative au système national de métrologie.
D'autres dossiers économiques relatifs aux secteurs de l'énergie et des ressources en eau seront également au menu de cette réunion.
APS
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Lancement du e-paiement aujourd’hui
Un pas vers l’économie numérique
le 04.10.16 | 10h00
Le e-paiement permet de développer une approche inclusive de l’économie informelle, créer un écosystème favorisant l’émergence d’un tissu de start-up et de PME innovantes.
En quelques semaines, l’Exécutif a changé de position sur la modernisation des moyens de paiement, un concept monétique et financier longtemps confiné dans sa plus simple expression, faute de volonté politique. Il tente, cependant, aujourd’hui d’ouvrir la porte du e-paiement aux grands facturiers, prédisposés à offrir des solutions digitales à leurs clients détenteurs de cartes interbancaires. Ainsi, sur la question du paiement à distance, la posture du gouvernement semble évoluer, tant il s’agit de réduire la pression d’un phénomène socioéconomique : l’usage excessif du cash.
Bien qu’une importante partie de la population ne soit pas bancarisée, des services alternatifs sont possibles, dont les comptes de monnaie électronique associés à un numéro mobile que les opérateurs de téléphonie peuvent proposer. D’autant que l’introduction de la téléphonie mobile de quatrième génération joue en faveur d’une numérisation à plus grande échelle de l’économie.
Testé dans plusieurs pays, ce service permet à la population non bancarisée d’accéder à une panoplie de solutions digitales, dont le transfert d’argent et le paiement des factures. Pour ainsi dire, le lancement officiel du e-paiement, prévu dès aujourd’hui, vise, en premier lieu à montrer la voie et, ensuite, à libéraliser plus largement l’usage des moyens de paiement modernes. Il y a quelques mois, le gouvernement se montrait excessivement réticent à l’idée de dématérialiser les moyens de paiement.
Face à la prolifération pathologique de l’informel, à l’usage excessif du cash et aux statistiques effarantes sur les fortunes en monnaie fiduciaire en circulation en dehors du réseau bancaire, le gouvernement a probablement reçu, entre temps, l’expertise des spécialistes. Ainsi, il semble se rendre à l’évidence selon laquelle le développement des modes de paiement électronique porte les enjeux et les avantages sur lesquels repose l’impératif d’une économie numérique.
Pour donner une première réponse à cet enjeu, les grands facturiers, les banquiers, les organismes financiers et monétiques ainsi que leurs ministères de tutelle se réuniront aujourd’hui pour plaider les avantages du e-paiement. Sur le terrain purement économique, le e-paiement permet de développer une approche inclusive de l’économie informelle, créer un écosystème favorisant l’émergence d’un tissu de start-up et de PME innovantes, développement de nouveaux relais de croissance, etc.
e-paiement pour les grands facturiers
Dans une économie où 50% des transactions se font dans les circuits invisibles qui, selon d’autres statistiques, accaparent 1700 milliards de dinars de la monnaie fiduciaire, l’inclusion de cette économie informelle se pose en besoin pressant. La création d’une monnaie électronique et le développement du commerce à distance pourraient être l’une des clés de voûte pour mieux contrôler la traçabilité de tous les contribuables.
Depuis plusieurs années déjà, la recherche d’une solution pour l’économie souterraine patine faute d’une volonté politique et d’une adhésion de tous les acteurs concernés. Le e-paiement a été l’une des pistes sur lesquelles plusieurs pays africains et sud-américains ont travaillé pour réduire la pression du cash et son usage.
Le gros chantier du e-paiement et du e-commerce était jusqu’ici presque irréalisable tant il était question de faire bouger un système bancaire qui évoluait à pas de tortue, de le déplacer sur le terrain de l’innovation et d’en découdre avec le vieux mammouth de l’administration aux réflexes pour le moins moyenâgeux. Les blocages dont a souffert l’avant-projet de loi sur le e-paiement et le e-commerce dans les travées des différentes administrations en sont une parfaite illustration.
Le lancement fragile, dès aujourd’hui, du e-paiement, dédié uniquement aux grands facturiers dans sa phase inaugurale, en attendant l’évolution législative tant espérée, intervient dans un contexte de diminution des liquidités bancaires. Lequel contexte plaide, aujourd’hui plus que jamais, pour une inclusion des activités informelles et leur bancarisation. La création d’une monnaie électronique en est une solution parmi d’autres. Elle permet au moins la transparence à travers la réduction du transactionnel et la lutte contre certains fléaux, dont la fausse monnaie.
Ali Titouche
Le projet de loi de finances sous la loupe du Conseil des ministres
Probable révision de certaines mesures fiscales
le 04.10.16 | 10h00
Le chef de l’Etat présidera, cet après-midi, un Conseil des ministres dont l’ordre du jour sera consacré, entre autres points, à l’examen de l’avant-projet de loi de finances 2017.
Ce projet de loi de finances, décrié pour sa batterie de taxes et restrictions budgétaires, sera-t-il remanié et relu sous la loupe d’un Président mécontent des excessives augmentations prévues pour 2017 ? C’est ce que disent des sources tablant sur une révision de certaines mesures contenues dans le projet de loi présenté par Abdelmalek Sellal. Si révision il y a, le gouvernement Sellal verra la confiance du Président, dont il jouissait jusqu’alors, bien affectée. Un revers qui mettra le Premier ministre sur la sellette ?
On l’ignore, mais ce qui est certain, c’est que le maintien des dispositions fiscales consignées dans le projet de loi de finances représenterait une sérieuse atteinte à la stabilité sociale et fragilisera donc davantage la confiance des citoyens envers leurs gouvernants. La perspective de finir une année 2016 difficile et de passer à une année 2017 encore plus pénible pour les ménages aura un impact certain sur la situation politique.
Pour rappel, le projet de loi de finances 2017 prévoit dans son escarcelle une augmentation de 2% de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). Une hausse qui se fera sentir sur les prix des biens et marchandises. Il est aussi question, entre autres mesures fiscales, selon le texte proposé par le gouvernement, une hausse des taxes sur les véhicules d’occasion et sur la location de logement. Une nouvelle imposition des produits énergivores sera aussi introduite.
Ainsi, les produits fonctionnant à l’électricité et au gaz seront imposables d’une taxe variant de 30 à 60%. Le projet de loi de finances, tel que présenté, prouve à n’en point douter que le gouvernement a choisi la voie de la facilité en relevant les niveaux d’imposition touchant aux ménages et au secteur productif, au lieu d’apporter une alternative à la dépendance aux hydrocarbures pour faire face à la crise.
Un challenge qui semble difficile à relever pour un Exécutif qui n’a cessé de prôner le recours à une nouvelle politique économique qui n’aura eu pour seule traduction que l’érosion du pouvoir d’achat des citoyens. A noter que le Conseil des ministres a aussi à son ordre du jour l’examen du projet de loi sanitaire et un projet de statut pour le secteur des Douanes.
N. B.
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