263-/-actualites du Mardi 22 septembre 2015
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Mardi 22 Septembre 2015 الثلاثاء 22 سبتمبر 2015 م الثلاثاء 8 ذو الحجة 1436 ه
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DES MÉCANISMES POUR RENFLOUER LA CNR SONT À L’ÉTUDE Des mécanismes sont à l’étude pour rétablir les équilibres financiers de la Caisse nationale des retraites (CNR). C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), hier, lors d’une journée d’information sur les mesures de la loi Suite... |
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Le prix du pétrole va «certainement» rester au même niveau en 2016, voire en 2017 sur les marchés internationaux, selon...
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Economie
NCA Rouiba : Les indicateurs financiers en hausse
Le chiffre d’affaires de la NCA Rouiba a bondi de 3,53 milliards de dinars durant le premier semestre.
International
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Crise économique : Les experts accablent le gouvernement
le 22.09.15 | 10h00
L’ambiance était électrique, dimanche, lors de la rencontre qui a regroupé les experts du Conseil national économique et social (CNES) et les membres du gouvernement pour débattre de la crise et dégager les moyens de réduire son impact sur l’économie.
Des indiscrétions font état d’un échange plutôt houleux entre les participants qui ont eu à dresser un constat amer sur la situation et opposer un discours de vérité face à un gouvernement qui donne toujours l’impression de vouloir voiler la réalité par des déclarations «ampouleuses» à l’effet de se disculper de ses échecs cuisants.
Longtemps conforté par la hausse des prix du pétrole, le pouvoir politique se voit en effet acculé par une crise économique née de la dégringolade des cours du brut. Il va désormais à la rencontre des experts et analystes autonomes pour y faire face. Ceux-ci, cartésiens et pragmatiques, ont dit les quatre vérités à l’Exécutif et opposé leur rationalité à l’attitude volontariste du gouvernement qui a empreint la gouvernance économique de ces quinze dernières années.
La crise a affaibli le pouvoir politique, sommé désormais à écouter et à comprendre les experts. Réunis par les instances du CNES, lors d’une table ronde organisée à Alger, les experts, algériens et étrangers, n’ont pas usé de la langue de bois, encore moins d’habiles subterfuges, pour rappeler au gouvernement ses échecs, ses erreurs, ses errements, ses ratages et ses approximations en matière de prospective.
Une vérité d’abord, la désindustrialisation du pays et le manque d’investissements productifs lézardent les chances d’un redécollage rapide. Du côté des analystes des marchés pétroliers, ils ont exclu toute remontée des prix des cours à court terme. Face à ces deux indicateurs, le gouvernement n’a de choix que de se mettre à travailler sur les calculs basiques de dépense en fonction des recettes cumulées, à faire tourner les moteurs de croissance, à soigner sa rigidité face au changement, etc.
Les choix économiques sanctionnés
Pour les experts réunis dimanche dernier à Alger, la crise traduit en réalité la sanction des choix économiques pris ces quinze dernières années. L’économie a consommé plus de ressources qu’elle en a produites. Le gouvernement a été sérieusement interpellé sur ses choix économiques, sur sa responsabilité mais aussi sur sa capacité, sa réaction et sa volonté à mettre en œuvre les réformes suggérées. Contrairement aux idées simplistes que l’on tente de faire avaler, destinées à dissiper la brume des incertitudes qui planent au-dessus du pays, l’Algérie ne dispose d’aucun atout, voire d’aucune marge de manœuvre, à faire valoir face à la crise.
Depuis Montréal (Canada), Taieb Hafsi, professeur à HEC Montréal, qui a participé à la rencontre par le moyen d’une vidéoconférence, n’a pas mâché ses mots avant de les décocher à l’adresse de l’Exécutif. Omar Aktouf, professeur titulaire à la même institution, a fait de même, suivi par de nombreux experts, dont Youcef Benabdallah, chercheur au Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread), Ali Boukrami, économiste et ancien ministre, El Kadi Ihsane, économiste et journaliste… Tous ont sonné le tocsin.
Des experts étrangers, mobilisés à l’occasion, n’ont fait que rajouter une couche d’anxiété aux appréhensions éprouvées quant à une chute des prix de pétrole qui s’avère décidément de longue durée. Plusieurs réformes d’envergure, classées en ordre prioritaire, ont été suggérées par les participants à cette rencontre. Pour bon nombre d’entre eux, le gouvernement ne dispose d’aucune période de grâce. C’est dire que l’Exécutif en a eu pour son compte. Sa volonté politique à opérer le changement avant que le paquebot n’atteigne l’iceberg est mise à l’épreuve. Il y va éventuellement de la survie du régime politique actuel, responsable en grande partie de cette crise.
Ali Titouche
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Les raccourcis culpabilisateurs de l’Exécutif
le 22.09.15 | 10h00
Le gouvernement, qui s’est contenté depuis de longues années de distribuer la rente pour maintenir la paix sociale, semble découvrir aujourd’hui que les Algériens ne travaillent pas suffisamment.
Mettre un terme à des années d’assistanat ! C’est le chantier titanesque auquel veut, semble-t-il, s’attaquer le gouvernement. Baisse des recettes pétrolières oblige, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, invite les Algériens à changer «leur mentalité et leur regard sur le travail». S’exprimant, dimanche dernier à l’ouverture d’une rencontre organisée par le CNES sous le thème «Défi de la résilience à l’exigence de l’émergence de l’économie algérienne», il affirme qu’ «il y a une différence entre partir au travail et aller travailler».
Les Algériens doivent retrouver, selon lui, la vraie valeur du travail pour contribuer à «l’effort national» visant à atténuer les effets de la crise financière actuelle. Est-il facile de réhabiliter la valeur du travail en Algérie ? Quelle sera la recette du gouvernement ? La solution magique n’existe certainement pas. Et ce n’est pas une sinécure. Et pour cause, les tenants du pouvoir ont réussi, en l’espace de quelques années, à créer une société d’assistés, où les gens, attirés par le gain facile, fuient le travail et abandonnent les métiers. Surtout depuis les émeutes de janvier 2011.
Craignant l’arrivée des effets du Printemps arabe en Algérie, le chef de l’Etat et ceux qui l’entourent se sont précipités à annoncer des mesures socioéconomiques destinées aux jeunes chômeurs ; des facilités pour l’obtention de crédits dans le cadres des dispositifs Ansej, CNAC et Angem, ainsi que des recrutements massifs de jeunes dans des postes d’emploi «fictifs».
Suite à cette décision, des centaines de jeunes se sont rués vers les agences Ansej pour obtenir des milliards de dinars qui leur ont permis beaucoup plus à mener une vie de riches qu’à créer des entreprises viables. Certains d’entre eux ont, comme par miracle, la possibilité inespérée de rouler carrosse, sans pour autant trimer. En contrepartie de cette «générosité», les tenants du pouvoir ont gagné la paix sociale qui leur a même permis de valider tous leurs projets politiques, y compris un quatrième mandat pour un Président impotent.
Croyant que les prix du pétrole ne baisseraient jamais et que cette ressource est éternelle, les responsables du régime défendent même ostentatoirement cette distribution de l’argent public. D’ailleurs, le même Abdelmalek Sellal qui appelle aujourd’hui à «travailler plus», défendait, durant la campagne électorale pour la présidentielle de 2014, l’octroi de crédits aux jeunes, même s’ils en font un usage autre que la création d’entreprises. Bien sûr, son objectif était de convaincre les jeunes à voter pour le candidat dont il était le représentant, mais sa déclaration laisse des traces.
Elle est perçue comme un encouragement à la paresse des jeunes désœuvrés et une dévalorisation du travail pour les gens qui triment dans les chantiers et les champs. De plus, l’émergence, ces dernières années, de nouveaux riches ayant acquis leurs biens d’une manière douteuse a accentué la dévalorisation du travail. Voyant, autour d’eux, des individus qui sont devenus richissimes du jour au lendemain, des milliers de fonctionnaires sont découragés.
Et en guise de protestation contre cette injustice, ils se mettent à tricher dans l’exécution de leurs tâches. C’est ce même état d’esprit qui a conduit, à la fin des années 1980, à la destruction des entreprises publiques. Le même scénario se reproduit aujourd’hui. Il sera donc difficile de remettre l’Algérie au travail…
Madjid Makedhi
NCA Rouiba : Les indicateurs financiers en hausse
le 22.09.15 | 10h00
Le chiffre d’affaires de la NCA Rouiba a bondi de 3,53 milliards de dinars durant le premier semestre.
Le chiffre d’affaires de l’entreprise a connu une croissance de 5% durant les six premiers mois de l’année, capitalisant le succès de la gamme PET qui s’érige désormais en vrai moteur de croissance des ventes. Celles-ci ont connu une hausse de 23% au premier semestre 2015. En valeur, le chiffre d’affaires de la NCA Rouiba a bondi de 3,53 milliards de dinars à la même période, en dépit d’une conjoncture plutôt déprimante, marquée essentiellement par la hausse des importations et une parité dinar/euro défavorable.
Le bénéfice d’exploitation a crû de 7% durant les six premiers mois de l’année, soit de 496 millions de dinars en valeur. L’entreprise, cotée à la Bourse d’Alger, spécialisée dans la production de boissons fraîches à base de fruits, a, néanmoins, connu une baisse de 12% de son résultat net, due essentiellement à l’augmentation des dotations aux amortissements, à l’augmentation des charges financières liée principalement à la perte de change ainsi qu’à l’accroissement des intérêts sur emprunts bancaires relatifs aux actifs non encore productifs.
Cela étant, les indicateurs se maintiennent solidement au vert avec, au tableau, un bilan total qui s’est apprécié de plus de 800 millions de dinars par rapport au 31 décembre 2014. «Les capitaux permanents, représentant 69% du total du bilan, enregistrent une augmentation de
19% proportionnelle à l’accroissement des emplois permanents, ce qui confirme que la société finance ses investissements par des ressources stables», lit-on dans une note statistique diffusée par NCA Rouiba à l’issue d’une conférence tenue, hier, au niveau de ses installations à Alger.
L’entreprise mise sur la maximalisation de ses efforts en matière d’innovation et de compétitivité afin de conserver son statut de leader sur le marché national des boissons aux jus de fruits. Il s’agit aussi de faire face à une conjoncture pesante, marquée surtout par la baisse de la valeur de la monnaie nationale par rapport à l’euro et au dollar. NCA Rouiba vise désormais la position de champion maghrébin en rehaussant le volume des flux à destination de la Tunisie et de la Libye.
R. E.
Balance commerciale : 9 milliards de dollars de déficit
le 22.09.15 | 10h00
La balance commerciale a enregistré un déficit de 9,06 milliards de dollars durant les huit premiers mois de l’année 2015, contre un excédent de 4,32 milliards de dollars à la même période de 2014, selon le bilan des Douanes algériennes.
La situation économique du pays se détériore au fil des mois et de la baisse de ses recettes des exportations d’hydrocarbures, qui enregistrent une forte chute en volume et en valeur. Ainsi la balance commerciale a noté, sous le coup de cette dégringolade, un déficit de 9,06 milliards de dollars durant les huit premiers mois de l’année 2015, contre un excédent de 4,32 milliards de dollars à la même période de 2014, selon le bilan rendu public, hier, par les Douanes algériennes cité par l’APS.
Des chiffres alarmants qui viennent s’ajouter à ceux concernant la baisse continue des réserves de changes et les dotations du Fonds de régulation de recettes (FRR), rendus publics il y a quelques semaines par la Banque d’Algérie via sa note de conjoncture semestrielle. Des bilans moroses qui confirment la fragilité de la situation économique du pays qui risque de ne plus pouvoir financer, à court terme, ses importations.
Une sombre perspective qui pourrait se réaliser rapidement, puisque suite au déficit enregistré ces derniers mois, les exportations ont assuré la couverture des importations à hauteur de 74% à peine, durant les huit premiers mois de 2015 contre 111% à la même période de l’année écoulée. Dans le détail, de janvier à août derniers, les exportations se sont établies à 26,36 milliards de dollars contre 43,69 milliards de dollars à la même période de 2014, soit une chute de 39,67%, précisent les données du Centre national de l’informatique et des statistiques des Douanes (CNIS).
Quant aux importations, elles se sont chiffrées à 35,42 milliards de dollars contre 39,37 milliards de dollars durant la même période de l’année écoulée (-10,02%), ajoute la même source. Les exportations des hydrocarbures, qui ont représenté 94,51% du total des exportations durant cette période de référence, ont été évaluées à 24,91 milliards de dollars contre 42,29 milliards de dollars à la même période de 2014, enregistrant une baisse de 41,10%. Quant aux exportations hors hydrocarbures, elles demeurent toujours faibles avec près de 5,5% du volume global des exportations, soit près de 1,45 milliard de dollars. S’agissant de la structure des importations, les Douanes précisent qu’à l’exception des biens d’équipement agricoles qui ont augmenté de plus de 14% pour totaliser 470 millions de dollars, toutes les importations des autres produits ont reculé.
Les plus importantes baisses ont concerné les produits bruts avec des importations de 1,07 milliard de dollars (-19,32%), les produits alimentaires avec près de 6,41 milliards de dollars (-17,94%), les biens de consommation non alimentaires avec 5,94 milliards (-15,14%), le groupe des énergies et lubrifiants avec 1,64 milliard (-8,45%), les demi-produits avec 8,04 milliards (-7,66%) et les biens d’équipements industriels avec 11,84 milliards (-3,80%). Selon le CNIS, la Chine a maintenu sa première place à la tête des principaux fournisseurs de l’Algérie, avec 673 millions de dollars, suivie de la France (495 millions de dollars), l’Italie (384 millions de dollars), l’Espagne (338 millions de dollars) et l’Allemagne (281 millions de dollars).
Zhor Hadjam
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Il ne manquerait que l’aval de Sellal
Le premier circuit de Formule 1 d’Afrique bientôt à Tipasa
le 22.09.15 | 10h00
Bâtir le premier circuit officiel de Formule 1 d’Algérie et d’Afrique ! C’est le projet «fou» de Karim Kayouche, ce gérant de la SARL Bbike, distributeur exclusif des célèbres motos de marques japonaises (Suzuki, Kawasaki) mais aussi italienne (Ducati) et autrichienne (KTM).
Plus qu’un projet, le rêve n’est qu’à deux doigts d’être effectif. En effet, selon le concepteur de ce gros projet inédit en Algérie et même en Afrique, tout est fin prêt pour lancer les travaux. Il ne manquerait que l’aval de la wilaya de Tipasa pour le choix du terrain, dont une concession a été accordée à M. Kayouche, et surtout l’accord des services du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, pour démarrer les travaux et donner vie à ce projet original.
Passionné de sports mécaniques et plus particulièrement de moto dont il a fait son gagne-pain, M. Kayouche a côtoyé 4 années durant le célèbre circuit d’Imola en Italie à l’époque où il faisait ses études supérieures, assistant même au fameux Grand Prix de 1994 qui a vu le décès du pilote brésilien Ayrton Senna dans un accident. Nous l’avons reçu il y a quelques jours et il n’a pas négligé le moindre détail de ce projet.
Il s’explique : «Le projet en question est ficelé dans ses moindres détails. Je tiens à préciser que ce projet est mis en œuvre en étroite collaboration avec la Fédération algérienne des sports mécaniques (FASM) et son président Chihab Baloul, dont un partenariat existe depuis 2010 à ce jour. Un dossier approuvé et établi conjointement avec la FASM fut transmis au ministère des Sports. J’ai eu au préalable l’accord de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), car un circuit F1 est soumis à un cahier des charges des plus stricts.» Et d’ajouter : «La FIA nous a même conseillé un des bureaux d’études spécialisés et accrédités.
C’est un bureau allemand qui travaillera conjointement avec un bureau d’architectes algérien.» Tout étant ficelé, qu’est-ce qui manque pour que ce projet ficelé depuis maintenant deux ans voit le jour ? M. Kayouche nous répond : «Il ne reste que l’aval du wali de Tipasa et surtout celui du Premier ministre.» Document à l’appui, notre interlocuteur exhibe l’autorisation de la direction des Domaines de la wilaya de Tipasa pour la concession d’un terrain (350 hectares) pour 33 ans, renouvelable deux fois, non transférable et non cessible. «Le choix du terrain est fait. Le circuit se situera entre les communes de Nador, Hadjout et Sidi Amar.
Non loin du littoral et à quelques encablures de l’autoroute Alger-Cherchell. Une concession qui doit être approuvée par les services du nouveau wali de Tipasa, saisi par une correspondance il y a quelques jours ». Et d’ajouter : «Il reste aussi l’aval du Premier ministre, dans la mesure où c’est un projet colossal qui engage l’Etat algérien, surtout que le gros des investissements sera constitué de capitaux étrangers, ce qui ne devrait pas bloquer le projet, au vu de la situation économique et de la récession que connaît le pays.»
Montage financier de 300 Millions d’Euros
Ce premier circuit de Formule 1 est un projet colossal qui coûtera la bagatelle de 300 millions d’euros (30 milliards de dinars), selon M. Kayouche. Un investissement énorme qui ne posera pas de problème dans le financement du projet. «Ce ne sont pas les investisseurs qui manquent et j’ai eu l’aval de plusieurs firmes, notamment des concessionnaires autos, qui n’attendent que le feu vert pour le coup d’envoi du projet.
J’ai déjà préparé un montage financier pour ce projet qui, je vous l’avoue, suscite au plus haut point l’intérêt des investisseurs.» Un énorme investissement à la mesure de l’importance du projet, avec deux circuits, dont une piste principale de 5 km et des gradins de pas moins de 200 000 places, sans oublier les stands et autres annexes, dont un hôtel, pour une durée de réalisation estimée à 24 mois, le tout homologué aux normes de la FIA.
Rentabilité et tourisme
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