300-/-ACTUALITÉS Du Mardi 27 Octobre 2015
|
|
Mardi 27 Octobre 2015 |
|
|
|
|
|
|
276 CAS RECENSÉS EN 2015
L’enlèvement du petit Amine, mercredi dernier à Dély-Ibrahim, met l’opinion publique face à une réalité atroce : en Algérie, la disparition des enfants est un phénomène présent, continu, contre lequel une vigilance de tout moment doit être requise pour éviter de rallonger Suite... |
||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
+++++++++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++++++++++++++++
++++++++++++++++++++
|
|
L'info en continu
Établissements publics : L'Etat impose une cure d'amaigrissement Après avoir laissé proliférer les EPA et les EPIC durant la période de l’embellie financière, le gouvernement... |
Un deuxième congrès de l'opposition d'ici décembre
Les partis et les personnalités de l’opposition structurés au sein de la Coordination pour les libertés et la transition...
Algérie télécom annonce le retour à la normale du le service de l'internet
Le câble de fibre optique endommagé au large d'Annaba a été réparé mardi vers 4 heures du matin et les...
Neuf accords signés et dix en attente
Un accord sur la mobilité des jeunes actifs, une convention de coopération pour la protection de la propriété industrielle,...
De nouvelles obligations pour le pharmacien
Le ministre de la Santé a annoncé que les gestionnaires seront soumis à des formations pédagogiques pour accompagner les...
Actualité
Algérie télécom annonce le retour à la normale du le service de l'internet
Le câble de fibre optique endommagé au large d'Annaba a été réparé mardi vers 4 heures du matin et les...
Établissements publics : L'Etat impose une cure d'amaigrissement
Après avoir laissé proliférer les EPA et les EPIC durant la période de l’embellie financière, le gouvernement...
Neuf accords signés et dix en attente
Un accord sur la mobilité des jeunes actifs, une convention de coopération pour la protection de la propriété industrielle,...
Georges Morin regrette des «lenteurs»
Paris abritera, aujourd’hui et demain, les journées de coopération franco-algérienne pour le développement local,...
Sports
L'USMA en regroupement à Aïn Benian
Le match nul concédé face au RC Relizane — samedi soir à Bologhine lors de la 9e journée du championnat —...
DRBT - ESS : Une première historique
Quatre jours après leur succès étriqué, mais très important, aussi bien pour le moral que pour le capital points, les...
ASO Chlef : L'équipe retrouve son équilibre
Après un début laborieux, l’ASO Chlef retrouve son équilibre et son efficacité en attaque, même s’il lui...
x |
Établissements publics : L’Etat impose une cure d’amaigrissement
le 27.10.15 | 10h00
Après avoir laissé proliférer les EPA et les EPIC durant la période de l’embellie financière, le gouvernement tente aujourd’hui de réduire leur nombre et de limiter leur création et leurs dépenses. Dans une instruction adressée aux ministres, Abdelmalek Sellal reconnaît une prolifération de ces établissements et fait état de l’existence de 56 000 organismes dont le sort est à étudier. La crise financière impose donc un nouveau reniement de sa propre politique au gouvernement. Il est à craindre que ces mesures ne touchent à des entités dont la mission est d’assurer un minimum de service public.
Le gouvernement veut remettre de l’ordre dans la jungle des établissements publics (EPIC et EPA). Après avoir laissé proliférer ces organismes budgétivores durant la période de l’embellie financière, l’Exécutif tente, en ces temps de vaches maigres, de réduire leur nombre, de limiter leur création et leurs dépenses. C’est ce que recommande le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, dans son instruction n°308 du 3 octobre 2015, adressée aux membres du gouvernement et aux responsables des établissements publics sous tutelle.
Dans ce document, dont El Watan a pu obtenir une copie, le premier responsable du gouvernement fait état d’une création excessive de ce genre d’établissements. «L’examen de la situation de notre cadre organisationnel fait ressortir l’existence de plus de 56 000 entités administratives, selon une étude de l’ONS, dont une majorité d’établissements publics à caractère administratif (EPA) ainsi que des centaines d’établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) qui dépendent totalement ou partiellement des budgets de l’Etat et des collectivités locales», lit-on dans ce document.
Ces établissements, rappelle le Premier ministre, ont consommé d’importantes enveloppes financières. Rien que pour l’exercice en cours, souligne Abdelmalek Sellal, l’Etat a dépensé 381,28 milliards de dinars pour aider 219 EPIC, EPST et établissements à gestion spécifique. «Cela nonobstant l’affectation partielle ou totale de taxes parafiscales pour certains établissements ou la rémunération au titre de la maîtrise d’ouvrage déléguée pour d’autres», ajoute la même source.
Cette situation devient sérieusement intenable pour le budget de l’Etat. «Cette prolifération, favorisée par l’embellie financière qu’a connue notre pays (…) doit nous interpeller au regard de la contrainte budgétaire actuelle, conjuguée à la faible performance du dispositif de suivi et de contrôle de ces établissements par la tutelle, exacerbée par le recours notamment au statut d’EPIC, pour des considérations beaucoup plus liées aux avantages qu’il offre en matière de salaires et de flexibilité dans l’exécution de la dépense que par la recherche de l’amélioration de la qualité, du coût des prestations et services publics mis à la disposition de la clientèle et des usagers», ajoute Abdelmalek Sellal dans son instruction.
Mettre fin aux postes de prestige et aux emplois de complaisance
L’on remarque à travers ce constat que le gouvernement savait qu’il y avait bien des dépenses inutiles et un gaspillage de deniers publics, sans pour autant agir pour y mettre un terme. Une situation caractérisée par la multiplication des postes de prestige et emplois de complaisance offerts à la clientèle du pouvoir. Abdelmalek Sellal décide, en cette période d’austérité induite par la baisse des recettes pétrolières, de revoir à la baisse le nombre de ces établissements. Pour cela, il a décidé d’aller vers un audit, confié à un groupe de travail institué auprès de son cabinet, chargé de réviser le cadre normatif régissant l’organisation et la gestion de ces établissements.
Parallèlement, Abdelmalek Sellal charge les membres du gouvernement, chacun en ce qui le concerne, de procéder à une évaluation des établissements sous leur tutelle, notamment les EPIC. «Cette évaluation doit se solder par des propositions de réajustement, de transfert et de fusion selon les cas, en prenant en considération la nécessité absolue d’assurer aux usagers un service et une prestation de qualité avec un coût rationnel et une gestion optimale du service public», note la même source.
Pour les EPA, le Premier ministre suggère un remodelage de leur fonctionnement en privilégiant la mutualisation des moyens, notamment des ressources humaines et financières. «Ces actions d’évaluation doivent être finalisées et les rapports et propositions y afférents transmis à mon cabinet au plus tard la fin du mois de novembre de l’année en cours», précise M. Sellal. Dans la foulée, il demande l’application de la rigueur budgétaire et de mettre fin au recrutement de complaisance en dehors des profils intéressant les corps de métier de ces établissements.
|
Algérie-Tunisie : L’obligation du permis de travail supprimée pour les ressortissants des deux pays
le 27.10.15 | 10h00
Désormais, les Algériens et les Tunisiens ne seront plus soumis à l’obligation d’obtenir un permis pour pouvoir travailler dans les deux pays.
C’est ce qu’a déclaré, hier, sur les ondes de la Radio Chaîne 3, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi. Les ressortissants des deux pays auront, donc, juste un document délivré par les wilayas. L’accord devait être signé hier à l’occasion des travaux de la 20e session de la Grande commission mixte algéro-tunisienne, coprésidée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et le chef du gouvernement tunisien, Habib Essid. Dans une déclaration faite à son arrivée avant-hier à Alger, le chef du gouvernement tunisien a affirmé que sa visite en Algérie était «une occasion pour renforcer la coopération et la concertation autour des questions politiques et économiques d’intérêt commun».
Les relations de coopération entre l’Algérie et la Tunisie dans le domaine de l’énergie ont «atteint un niveau d’excellence», ont affirmé le ministre de l’Energie, Salah Khebri, et le ministre tunisien de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, Zakaria Hamad, qui s’exprimaient à l’issue d’un entretien qui a porté sur l’évaluation de l’état d’avancement de la coopération énergétique bilatérale. «Le travail entre nos deux pays se poursuit dans de très bonnes conditions et nos relations sont excellentes», a déclaré M. Khebri à l’APS après cet entretien.
Les deux parties ont convenu d’établir des évaluations continues de la coopération bilatérale dans le domaine énergétique. Pour sa part, le ministre tunisien a indiqué que son pays était toujours intéressé pour développer la coopération énergétique avec l’Algérie. «Nous avons fait un suivi des décisions que nous avons prises lors de la dernière rencontre (en septembre dernier, ndlr). Tout va pour le mieux.
Nous sommes en train de concrétiser ces décisions et notre coopération est excellente», a souligné M. Hamad. Il a ajouté que les deux parties se penchent sur le développement de cette coopération dans différents volets : approvisionnement en gaz, renforcement des achats du gaz algérien et augmentation des capacités de stockage tunisiennes. En 2014, il a été convenu que l’Algérie alimente les villes frontalières tunisiennes en gaz naturel, notamment Sakiet Sidi Youssef, Tabarka et Aïn Draham dans un premier temps.
De même, il avait été mis en service, durant le même année, la 5e interconnexion électrique liant Annaba à Tunis d’une capacité de 400 kw. Cet ouvrage est accompagné d’un contrat commercial d’échange d’énergie (électricité) conclu en juillet 2015 entre Sonelgaz et la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG). Fin septembre dernier, les deux pays avaient affirmé, à l’occasion de la visite à Alger de Zakaria Hamad, leur volonté de renouveler les contrats d’approvisionnement de la Tunisie en gaz naturel algérien et l’élargissement des capacités de ce pays voisin de stockage du gaz liquéfié. Sur les questions qui préoccupent la sous-région, il y a une entente parfaite entre les deux voisins.
Le secrétaire d’Etat tunisien chargé des Affaires arabes et africaines, Touhami Abdouli, a souligné à son arrivée avant-hier à Alger «la convergence de vues» entre l’Algérie et la Tunisie concernant les questions d’intérêt commun et d’actualité. Dans une déclaration à la presse au terme de ses entretiens avec le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue arabe, Abdelkader Messahel, M. Abdouli a indiqué qu’«il y a une convergence de vues totale entre les deux pays sur les questions économiques, sociales et politiques d’intérêt commun, ainsi que les questions d’actualité, notamment les crises libyenne et syrienne».
C’est qu’a rappelé aussi Abdelkader Messahel qui a estimé, dans une déclaration rapportée par l’APS, que l’Algérie et la Tunisie «partagent la même vision» concernant «le règlement politique de la crise libyenne à travers la formation d’un gouvernement d’union nationale et le rôle de l’ONU dans le règlement de la crise». Selon lui, outre la situation en Libye, les deux parties ont évoqué «la lutte antiterroriste et la situation au Sahel». En somme, a-t-il encore souligné, les dix accords qui concernent la coopération bilatérale dans plusieurs domaines et les questions d’intérêt commun «permettront aux peuples algérien et tunisien de s’unir davantage, notamment dans le contexte régional actuel».
Algérie télécom annonce le retour à la normale du service de l'internet
le 27.10.15 | 11h10 | mis à jour le 27.10.15 | 12h35
Le câble de fibre optique endommagé au large d'Annaba a été réparé mardi vers 4 heures du matin et les services de l'internet sont rétablis, a appris l'APS auprès des services d'Algérie Télécom (AT).
"Algérie Télécom annonce le rétablissement et le retour à la normale du trafic et des services de l'internet depuis mardi à 4 heures", a indiqué le directeur de la communication d'AT, Abdelmalek Touati.
La remise en état du câble en question, qui relie Annaba et Marseille (France), a été effectuée par les équipes techniques, dont trois ingénieurs algériens d'AT, à bord du navire câblier Raymond Croze, à 13 km environ de la côte de Sidi-Salem, près d'Annaba, a ajouté cette source, précisant que le câble réparé sera remis à l'eau "dans la journée".
Par ailleurs, un procès-verbal à l'encontre du commandant du navire dont l'ancre est à l'origine du sectionnement du câble optique, est "en cours d'élaboration", a indiqué le commandant du groupement territorial des Garde-côtes, Abdelhakim Bouchbit, sans révéler l'identité du bateau en question.
APS
|
Certains ont déjà retiré leur ordre de versement
Le dilemme des souscripteurs au programme LPP
le 27.10.15 | 10h00
Au lendemain du lancement de l’opération de versement de la deuxième tranche du prix de leur logement, les souscripteurs au programme Logement promotionnel public (LPP) ne décolèrent pas. «Stop à l’arnaque», «Je ne suis pas riche» ou encore «Cadres algériens SDF», sont les slogans sur les banderoles brandies par une centaine de cadres et d’intellectuels souscripteurs à la formule LPP rassemblés, hier, devant la direction générale de l’ENPI à Alger.
«Nous sommes décidés à ne pas baisser les bras jusqu’à ce qu’on ait eu notre droit à un logement dans les mêmes conditions établies au lancement de cette formule», s’emporte Djamel, un des manifestants, médecin de son état. Il dénonce les deux poids, deux mesures de l’Etat dans le prix des logements des formules AADL et LPP. «Pour une différence de salaire qui ne dépasse pas les 10 000 DA, un logement LPP dépasse celui AADL de près de 10 millions de dinars. Contrairement aux déclarations de M. Tebboune, ministre de l’Habitat, nous ne sommes pas riches, le pouvoir d’achat se détériore et actuellement nous payons les loyers.
Alors une telle somme pour un appartement dont la qualité est encore à vérifier…», ajoute-t-il. Dans la foulée, une quinquagénaire, cadre dans une entreprise publique, revient sur le prix du mètre carré qui, selon elle, connaît une inflation selon «l’appétit» des responsables. «Le jour où nous avons témoigné notre volonté pour l’obtention de ces logement, nous avons fait confiance aux engagements officiels du ministre de l’Habitat sans nous douter qu’ils allaient se permettre une telle augmentation et nous obliger à nous y plier sous la menace de nous exclure de ce dispositif», s’insurge-t-elle avant de s’interroger sur la signification de la mention «public» dans le nom de la formule.
Une jeune ingénieure en informatique prend la parole et remet en cause les déclarations officielles des responsables du secteur, dont le ministre qui a clairement déclaré que le prix du logement est «raisonnable» par rapport à celui imposé par les promoteurs privés : «Comment peut-il dire cela alors que les prix sont presque similaires et si nous continuons notre démarche d’achat, nous n’aurons pas d’acte de propriété, même si nous payons la totalité du prix du logement.
La raison est que l’ENPI construit sur des terrains dont elle ne détient aucun acte. La plupart sont des terrains privés dont les propriétaires ont été expropriés. Nous avons l’impression que l’Etat cherche un désistement massif pour pouvoir céder ces logements aux barons de la mafia du foncie.» Les souscripteurs qui ont déjà retiré les ordres de versement sont des commerçants auxquels le problème de ressources financières ne se pose pas. «Ce qui n’est pas le cas des salariés comme nous. Nous sommes des citoyens qui ne demandent qu’un toit.
Nous n’appartenons à aucun courant politique et nous ne voulons nullement commencer un printemps arabe dans notre pays», rétorque un souscripteur lésé. Les souscripteurs à la formule LPP crient à la hogra, à l’injustice et au mépris que ne cessent de démontrer les autorités à leur encontre. Ils ne comptent aucunement se désister, encore moins abandonner leur cause ; ils veulent être traités comme tous les souscripteurs aux programmes de logement et non comme des richards qu’ils ne sont pas.
Pour rappel, les souscripteurs à cette formule ont déjà tenu plusieurs sit-in devant l’ENPI et le ministère de l’Habitat. Leurs principales revendications restent la révision du prix du mètre carré, la levée de l’obligation de crédit bancaire avec intérêt et la possibilité de payer selon un échéancier ou par un crédit sans intérêt, l’adoption des mêmes modalités de payement de la formule location-vente AADL, la révision à la baisse du montant de la deuxième tranche, la publication de la liste officielle de tous les sites du programme LPP afin de garantir toute la transparence dans l’affectation des logements, la définition des aspects techniques du «haut standing» annoncé et non défini dans le cahier des charges et enfin des réponses aux recours de plusieurs postulants et l’agrément du collectif, dont la demande est restée lettre morte à ce jour.
Asma Bersali
Coupure du câble sous-marin au large de Annaba
Un bateau battant pavillon panaméen à l’origine de l’incident
le 27.10.15 | 10h00
L’enquête, diligentée par les éléments du commandement des garde-côtes au lendemain de la coupure du câble sous-marin en fibre optique au large de Annaba, a identifié, hier en début de soirée, l’auteur de ce désagréable incident.
Il s’agit d’un bateau battant pavillon panaméen qui était en rade à 13 km au nord de la plage de Sidi Salem. Transportant une cargaison de blé pour l’OAIC, ce bateau était en attente d’un poste à quai au port de Annaba.
Son ancre, qui portait des traces de fibre optique, a endommagé une partie du câble s’étendant sur 100 mètres. Contacté, le commandant des garde-côtes affirme : «Le bateau ayant provoqué cet incident a été identifié suite aux données de l’Agence nationale de radio et navigation de la wilaya de Annaba. Nous avons également établi un procès-verbal qui sera déposé demain (aujourd’hui) chez le procureur de la République près le tribunal de Annaba.» Avant-hier, la direction d’Algérie Télécom a déposé une plainte contre X près le même tribunal.
Sur le plan des réparations, l’opération avance et les techniciens du bateau du consortium international Mecma sont sur la brèche. «Nous sommes à 75% des réparations et demain (aujourd’hui) nous espérons achever totalement le raccordement et le soudage des deux bouts du câble, si les conditions climatiques le permettent», explique une source proche de la direction régionale d’Algérie Télécom. Une information étayée dans la journée par Abdelmalek Touati, directeur de la communication d’Algérie Télécom et membre de la cellule de crise.
Le même responsable a déclaré à l’APS que la première phase qui a consisté à relier les deux bouts du câble sectionné étant achevée, les équipes sur place ont entamé l’opération de soudage, ce qui permet de maintenir la date d’aujourd’hui pour le parachèvement de l’opération de réparation. Force est de rappeler que, selon le commandant des garde-côtes, «le câble sous-marin en fibre optique qui raccorde Annaba à Marseille n’est pas mentionné sur nos cartes de navigation et le tronçon soupçonné avoir été sectionné par l’ancre d’un bateau s’étend sur 5 kilomètres».
C’est dire que les cartes de navigation maritime algérienne ne sont pas mises à jour. En 2009, un incident similaire s’était produit au large de Annaba où l’ancre d’un bateau en rade avait sectionné le même câble. L’opération de raccordement avait duré une semaine.
Gaidi Mohamed Faouzi
La doyenne tire sa révérence à 115 ans à Aïn Beida
le 27.10.15 | 10h00
Vendredi dernier, s’est éteinte en son domicile, sis au boulevard du sud (la Zaouia) à Aïn Beida, Debbache Yamina à l’âge de 115 ans. Selon son neveu Abderrazak, sa tante Yamina serait née en 1901au lieu de 1904 comme enregistré à l’état civil.
En effet sur son bulletin de naissance, Yamina est présumée née en 1904 au douar El Hassi dans la commune de Berriche. Quelques années après, Yamina quitte avec sa famille le douar pour s’établir dans la petite localité de Ksar Sbahi. Cependant, quand elle contracte un mariage avec LamraouiAllaoua (décédé en 1962) durant les années vingt, elle choisit de résider à Aïn Beida. C’est là qu’elle donna naissance à trois enfants, deux filles et un garçon.
Ce dernier malheureusement meurt en bas âge, alors que les deux filles grandirent et se marièrent dans cette ville. Toutes deux octogénaires aujourd’hui, elles ont donné naissance à une nombreuse progéniture, quatorze, selon un de ses petits fils. Abderrazak, en évoquant sa tante, nous fait savoir que malgré son âge avancé, sa tante n’a jamais perdu sa lucidité, parvenant même à appeler chacun de ses petits enfants pas son prénom.
Plus que cela, elle demandait après ceux qui sont absents ou en voyage. A la question comment Yamina a vécu, son neveu nous révèle que sa tante a eu toujours une vie simple, ne s’alimentant que de façon frugale et préférant les produits naturels à ceux manufacturés. D’où sans doute sa longévité. Sa mort serait due à la vieillesse et pas causée par quelque maladie que ce soit. Qu’elle repose en paix, elle qui a enjambé un siècle et vécu une partie d’un nouveau !
Baâziz Lazhar
|
|
|
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
L'actualité DERNIERE HEURE en photos |
|
ACTUALITÉS Du Mardi 27 Octobre 2015 ****/***
A découvrir aussi
- Actualité | mercredi 23 novembre 2011
- 364-Actualité | Lundi 30 décembre 2013
- 252-/-actualites du Vendredi 11 Septembre 2015
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres