ALGERIE. TAHAR MISSOUM ATTAQUE
algerie. TAHAR MISSOUM menace les ministres de sellal
يعود من جديد بخرجة مثيرة .. النائب البرلماني الطاهر ميسوم 2015 « Tahar Missoum, très « spécifique
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Sports : À qui profitent les dérapages de Miloud Hamdi ? Après Christian Gourcuff, c’est désormais au tour d’un autre coach, un Franco-Algérien celui-là, qui exerce dans le championnat local, de pointer du doigt le public algérois et plus précisément celui du MCA qu’il qualifiera de «déstabilisateur». |
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continue H. L. |
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Il évoque des limites au débat public : Ahmed Ouyahia veut bâillonner les Algériens
Ouyahia n’a pas épargné les partisans de la transition et ceux qui «veulent vendre le pays».
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Il évoque des limites au débat public
Ahmed Ouyahia veut bâillonner les Algériens
le 17.10.15 | 10h00
Ouyahia n’a pas épargné les partisans de la transition et ceux qui «veulent vendre le pays».
il a ainsi défendu que l’Algérie ne se dirige pas vers l’instauration d’un pouvoir militaire, dans une allusion claire aux déclarations de la secrétaire générale du Parti des travailleurs (pT), Louisa Hanoune, qui, il y a quelques jours, avait dénoncé «la militarisation de la vie politique».
Lors d’un discours prononcé à l’occasion de la tenue d’une rencontre de jeunes et cadres du RND, jeudi dernier, Ouyahia a évoqué les grands sujets qui ont animé la scène nationale ces derniers temps, notamment les nombreuses réactions qu’ont suscitées les changements au sein du DRS, l’arrestation du général Benhadid, les propos de Madani Mezrag, la mise sous scellés de la chaîne El Watan DZ...
Evoquant l’arrestation du général Benhadid, Ouyahia a déclaré qu’il ne défendra jamais ceux qui tentent de «casser» l’armée.
Une armée forte, a-t-il dit, qui a su protéger le pays du terrorisme et rester une institution au service du pays.
Il a aussi eu des mots durs à l’adresse de ceux qui ont égratigné le chef d’état-major. «Certains militaires, qui critiquent aujourd’hui l’armée, se bronzaient durant les années 1990 sous la protection des chars», a dénoncé Ouyahia, allusion faite à Benhadid et à d’autres officiers. «L’armée a protégé tout le monde et c’est aussi l’armée qui a protégé le pays de l’effondrement.
C’est grâce notamment à ses sacrifices que nous sommes aujourd’hui ici, libres de nous exprimer», a tonné le chef de cabinet de la Présidence, qui invite tout le monde à «se tenir tranquille».
Ahmed Ouyahia applaudit toutes les décisions prise par le pouvoir à l’encontre de Benhadid, mais il regrette la mise sous scellés d’une chaîne de télévision : «Cette chaîne est tombée sous le coup de la loi et doit assumer ses choix et ses décisions.
Nous soutenons et respectons la liberté de la presse, mais cela ne doit pas se faire au détriment de l’Algérie.» Plus direct, il appelle tout le monde à «maîtriser sa langue» : «L’Etat ne peut plus rester spectateur et les polémiques n’arrangent pas le pays.» Pour Ouyahia, il y a des limites qui ne doivent être franchies sous aucun prétexte.
Acculé par les journalistes, lors d’un point de presse, à s’expliquer sur «les deux poids deux mesures» dans le traitement des dossiers du général Benhadid et de Madani Mezrag, en liberté malgré les propos menaçants tenus a l’encontre du président de la République, Ouyahia s’est contenté de cette réponse : «Je ne commente pas une décision de justice.
Quant à cet ex-militant du FIS, je ne m’attarde pas sur son cas. Je ne veux pas lui faire de publicité, mais il a fait une première déclaration et il a eu une réponse de l’Etat. Il en a fait une deuxième où il s’est corrigé et c’est tant mieux.»
«Le DRS restera un appareil de l’état»
S’agissant du DRS, Ouyahia n’a pas caché son étonnement de voir certains éprouver, soudainement, de la «sympathie» pour ce corps de sécurité, accusé auparavant de jouer le rôle de «police politique» et ses éléments de «bouchers».
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Equipe Nationale : Gourcuff, un aller sans retour ?
le 17.10.15 | 10h00
Qui cherche à pousser Christian Gourcuff vers la sortie ? Qui a intérêt à déstabiliser le coach et, par ricochet, la sélection ? Il ne faut pas se tromper.
Ce qui s’est passé vendredi et mardi derniers à l’occasion des matchs amicaux face à la Guinée (1-2) et au Sénégal (1-0) est loin d’être un fait anodin ou la conséquence d’un mouvement d’humeur de supporters déçus par la prestation des Verts. C’est plus profond qu’un simple mécontentement populaire ou une colère passagère.
En conférence de presse après le match contre le Sénégal, Gourcuff a affirmé : «Il y a manipulation contre moi. Je commence à découvrir des choses que je ne voyais pas avant.» Ses propos confortent la thèse d’une machination pour l’éjecter du siège qu’il occupe depuis juillet 2014.
D’après une gorge profonde qui fait partie intégrante de l’entourage de la sélection, «depuis le voyage au Qatar, il y a une volonté évidente de mettre un terme à la présence de Gourcuff à la tête de la sélection.
Des relais se chargent de préparer le terrain à son débarquement en dissertant sur ses choix et options tactiques qui ont fini par atteindre leur objectif et le faire passer pour un mauvais entraîneur». L’erreur de l’entraîneur français est d’avoir fait confiance à tous ceux qui collaborent avec lui.
Les histoires de vestiaires, les relations quelquefois tendues avec certains joueurs, des images prises en séances d’entraînement, des propos tenus en cercle fermé répercutés instantanément sur des supports médiatiques sont l’œuvre d’individus qui vivent dans le groupe, la famille de l’équipe nationale. Ces agissements n’étaient pas innocents. Mieux, ils ont été suscités, encouragés.
Christian Gourcuff, au summum de la colère, a perdu une grosse part de la lucidité que tout le monde lui reconnaît. Il a prononcé des phrases très dures qui ont dépassé sa pensée. Gorge profonde souligne que «Gourcuff se sent trahi. C’est ce qui lui a fait mal. Il n’a pas vu le coup arriver parce qu’il faisait confiance aux individus qui gravitent dans l’entourage de la sélection». Depuis des années, c’est le mal de l’équipe nationale.
Rabah Saâdane et Vahid Halilhodzic, avant Christian Gourcuff, ont vécu l’enfer avec ces individus en service commandé. Difficile d’imaginer que Christian Gourcuff survivra à ce qui s’est passé mardi soir. Son sort semble bel et bien scellé, comme le confirme une gorge profonde, qui révèle : «Lors de la réunion du bureau fédéral tenue le lendemain du match Algérie-Sénégal, c’est-à-dire mercredi, le problème Gourcuff a été rapidement évacué à cause de la présence de présidents soupçonnés d’être à la base de fuites d’informations sur ce sujet.
Tout le monde a pris note des propos du coach, qui a annoncé son prochain départ. La voix autorisée de la Fédération, le président Mohamed Raouraoua, a lancé ‘trik sad tadi matrad’...» Fin de la lune de miel. Les journalistes et leurs commentaires seront une fois de plus utilisés comme alibis pour justifier le coup de poignard porté dans le dos du coach.
Le procédé a été utilisé avec Saâdane et Halilhodzic. Les confrères sont dans leur rôle d’analyser les matchs de l’équipe nationale, le rendement des joueurs. Ils peuvent se tromper sur leurs analyses comme les entraîneurs peuvent se tromper sur leurs choix et stratégies. Aucune des deux parties n’a le droit de faire monter l’autre sur l’échafaud. Ce rôle est l’apanage exclusif de ceux qui portent des coups par traîtrise.
17 octobre 1961- 17 octobre 2015
Le crime d’Etat face aux mains nues
le 17.10.15 | 10h00
Vérité et justice ! Aujourd’hui, comme durant les dernières années de la guerre d’Algérie, le mot d’ordre reste d’actualité alors qu’on commémore le 54e anniversaire de la manifestation algérienne réprimée dans le sang à Paris le 17 octobre 1961.
La nécessité de la reconnaissance de la responsabilité de l’Etat français dans ces «ratonnades» est au-delà d’une simple exigence morale car «on ne construit pas la démocratie sur des mensonges et des occultations», comme l’écrivent les signataires appelant à un rassemblement ce soir à Paris.
Le plus significatif des rassemblements en France se déroulera au pont Saint-Michel, à 17h30, en présence de personnalités, dont Anne Hidalgo, maire de Paris, sur le quai où une plaque avait été apposée par l’ancien maire de la capitale française, Pierre Delanoë, le 17 octobre 2001, quarante ans après la répression violente contre des Algériens qui avaient bravé, à mains nues, le couvre- feu pour revendiquer leurs droits à l’égalité et à l’indépendance.
Des milliers d’Algériens avaient été malmenés violemment sur ordre du préfet de police de l’époque, Maurice Papon, alors qu’on ne savait pas encore qu’il avait été l’un des rouages des arrestations de juifs durant la Seconde Guerre mondiale.
Les Algériens furent arrêtés, emprisonnés, parqués dans le Vél’ d’Hiv de sinistre mémoire, dans des conditions abjectes, torturés, certains renvoyés en Algérie. Les femmes, elles aussi, subirent, le lendemain, la vindicte policière.
Pour la création d’un lieu de mémoire
Au total, des centaines de personnes perdirent la vie, victimes d’une brutalité policière extrême. Certains furent retrouvés dans la Seine, sans que l’on en connaisse vraiment le nombre, minimisé par les autorités. Puis ce fut le mensonge d’Etat et le silence qui dura des décennies malgré les militants et des historiens qui maintenaient une lueur commémorative.
Jusqu’à une première étape prometteuse du maire de Paris en 2001 puis en octobre 2012, lorsque le président socialiste Hollande, élu depuis six mois, fit une déclaration malgré tout mesurée : «Le 17 octobre 1961, des Algériens, qui manifestaient pour le droit à l’indépendance, ont été tués lors d’une sanglante répression. La République reconnaît avec lucidité ces faits.
Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes.» Comme le signale l’appel du collectif à se rassembler à Paris, ces propos du chef de l’Etat français ne reprenent pas le terme de crime, que pourtant, durant 50 ans, les historiens ont largement démontré.
Quant à la responsabilité de l’Etat, rien ne transparaît. «Après un demi-siècle, il est temps que le président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d’Etat ; que l’Etat français reconnaisse sa responsabilité dans l’internement arbitraire, pendant la guerre d’Algérie, d’Algériens dans des camps ; que l’Etat français reconnaisse sa responsabilité dans l’abandon des harkis, les massacres et l’enfermement dans les camps en France en 1962…» Les signataires souhaitent que «la création d’un lieu de mémoire voué à cet événement, demandée dans la résolution votée par le Sénat en octobre 2012 qui reconnaissait elle aussi ce massacre, soit rapidement mise en œuvre par les autorités de l’Etat, de la ville de Paris et la région Ile-de-France».
A Saint-Denis, en souvenir d’une lycéenne
Aujourd’hui à 11h, un rassemblement aura lieu place du 17 Octobre, à la gare Saint-Denis. On procédera à l’inauguration d’un parc à la mémoire de Fatima Bedar, lycéenne retrouvée morte dans le canal de Saint-Denis.
Walid Mebarek
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cancer du sein
Le silence plus meurtrier que la maladie
le 17.10.15 | 10h00
Le cancer fragilise, mais le silence sur la maladie en est son plus redoutable complice.
C’est de ce silence que les femmes souffrent le plus, celui de ne pas pouvoir se confier à un proche, au mari, à ses parents, à ses enfants», lit-on dans la page prélude du 5e numéro des Indispensables de Waha, brochure de vulgarisation consacrée au vécu psychologique des femmes atteintes de cancer du sein, éditée par l’association Waha, d’aide aux malades cancéreux.
Dans cette brochure d’octobre 2015, Mme Cherifa Bouatta, professeure en psychologie clinique à l’université de Béjaïa et membre de l’Observatoire contre les violences faites aux femmes (Oviff), met l’accent sur l’incidence psychologique du cancer, une pathologie qui affecte non seulement le corps, mais également l’esprit, et ce, à travers une enquête sur la souffrance psychologique induite par le cancer du sein.
Une émouvante traduction de la désespérance psychologique vécue par 75 patientes, toutes atteintes de cancer du sein, âgées entre 36 et 73 ans, originaires de 9 wilayas de l’est du pays, dont Constantine, Aïn M’lila, Tébessa, Oum El Bouaghi, Skikda et Sétif.
La majorité de ces patientes résident dans la wilaya de Constantine (81,9%), sont femmes au foyer (53,2%), ont suivi des études secondaires (26%), et sont mariées avec enfants (77,9%), généralement plus de deux. L’étude s’articule autour d’un questionnaire visant à cerner les difficultés rencontrées par ces patientes depuis l’annonce du diagnostic, jusqu’à la réaction des proches, l’acceptation de la pathologie et le traitement (ablation du sein, chimiothérapie…).
Cette étude bouleversante de par les témoignages douloureux des patientes, met d’emblée en avant «un véritable problème concernant l’annonce du cancer». Si sur 75 patientes interrogées, 43 ont eu droit à une «annonce en douceur», 32 n’ont malheureusement pas été ménagées. Les termes employés par les médecins ont été qualifiés de «secs et durs», faisant ressortir le manque de précautions prises par certains médecins, bien que ces derniers n’ignorent pas «les conséquences que cette pathologie peut avoir sur la vie de la patiente, il s’agit d’une maladie très grave puisque le pronostic vital est engagé».
Un véritable séisme
Pour le Pr Bouatta, l’idée était de se pencher sur les émotions ressenties après cette annonce, sachant que dans notre société, le mot cancer est généralement associé à «la mort», à «maladie qui porte malheur» ou encore à «l’innommable».
Dans la vie de ces femmes, un véritable séisme s’est produit : 30 étaient choquées, 18 ont pleuré et 17 avaient peur de mourir. Sur ces 75 patientes, 46 ont tout suite pensé que leur vie était terminée et 11 ont eu peur de souffrir alors que les pensées de 9 autres étaient surtout pour leurs enfants.
Anéanties par le diagnostic, parfois par la brutalité de l’annonce, 58,4% des patientes ont estimé que leur vie a changé, et même beaucoup pour 24,7% d’entre elles. Le reste, soit 14,3% des femmes, préfère nier la réalité, «le déni étant un mécanisme de défense qui permet pour un moment à l’individu de ne pas prendre en compte une réalité trop douloureuse», lit-on dans la brochure.
Et pour cause : le cancer change l
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Film revenant sur La Nuit du 17 Octobre 1961... par Alliance-ANR-UDR-MDS+
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Des responsabilités au plus haut du gouvernement
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