321-/-ACTUALITÉS Du samedi 12 novembre 2016
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السبت 12 نوفمبر 2016 م
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الأربعاء 12 نوفمبر 2016 م
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L'info en continu
Les Verts à l'assaut des Super Eagles
Algérie-Maroc : Sellal propose un « dialogue direct »
Tension sur le lait : Risque d'aggravation de la pénurie
Bab El Oued : Les séquelles Actualité
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«Une faille dans nos relations avec l'islam...»
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Les walis sous pression Sports
Les Verts à l'assaut des Super Eagles
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«On fera tout pour revenir avec un bon résultat du Nigeria» Economie
L'italien ENI maintiendra le rythme de ses achats en 2017
L'excédent de pétrole perdure
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Arrestation du directeur du journal d'opposition Cumhuriyet Culture
Imane Benrabie lauréate du prix du meilleur roman
Pour la préservation du patrimoine ancestral
Le gouvernement les réunira aujourd’hui à AlgerLes walis sous pressionle 12.11.16 | 10h00 Le gouvernement réunira aujourd’hui et demain les walis du...
L e gouvernement réunira les walis aujourd’hui au Palais des nations (Club des Pins) à Alger. A l’ordre du jour, «les préoccupations du citoyen, notamment l’amélioration de ses conditions socioéconomiques, la modernisation du service public et la relance du développement local». Cette rencontre, qui intervient dans un contexte de crise due à la chute des prix du pétrole et ses incidences, entre autres le tarissement de la rente qui alimentait autrefois l’économie, a visiblement pour objectif de trouver d’autres niches de revenus par le biais du développement local. Si la démarche consiste, comme le soulignait le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Mohamed Bedoui, à relancer «une importante tradition du travail de l’administration et du gouvernement à l’effet d’évaluer les activités des walis de la République et d’apporter les correctifs nécessaires», elle portera également sur les moyens et les mécanismes à mettre en place pour aller chercher, au niveau local, d’autres sources de financement afin de rééquilibrer un tant soit peu des déficits budgétaires qui risquent de s’aggraver encore plus avec les prix du pétrole qui peinent toujours à se redresser. C’est en ces temps de disette que le gouvernement Sellal va demander encore une fois, après l’avoir fait en 2015, aux responsables des collectivités locales d’aller vers «un surpassement de soi» pour contribuer à l’effort de développement national. Aujourd’hui, l’on va assurément entendre le même discours qu’il y a un an sur «le rôle des autorités locales, à leur tête les walis, et bien sûr les présidents des APC» et «l’importance de l’action des élus locaux dans la politique de développement économique». Mais comment l’Exécutif entend-il, via les walis et les élus locaux, réaliser un véritable envol économique ? Le pari s’annonce difficile et la tâche s’avère d’une inextricable complexité, même si le gouvernement a choisi la voie de la facilité en se tournant vers l’augmentation tous azimuts des impôts et autres taxes. Le ministre des Finances, Hadji Baba Ammi, a esquissé dans une récente intervention publique le nouveau rôle dédié aux présidents d’APC dans la collecte de l’impôt. Ce sont eux, disait-il, qui, grâce à leur proximité avec les entreprises, peuvent optimiser les rendements de la fiscalité locale. Et c’est de cela qu’il s’agit en réalité lorsqu’on parle de «l’amélioration des services publics et des différentes prestations pour la redynamisation du développement local et l’amélioration du quotidien du citoyen». Car le développement local suppose un nouveau cadre législatif, de nouvelles lois régissant la fiscalité et bien entendu une volonté politique prônant la décentralisation de la décision économique. L’on ne sait, d’ailleurs, pas comment un président d’APC, qui n’a même pas la prérogative d’attribuer un logement social ou une parcelle de foncier pour le lancement d’un investissement dans sa commune, peut se transformer du jour au lendemain en «acteur agissant» du développement local. Dans une contribution parvenue à notre rédaction, le professeur d’université et expert international, Abderrahmane Mebtoul, soutient à juste titre que «ce sont les pays qui ont développé des décentralisations réelles et non des déconcentrations, synchronisant gouvernance centrale et locale, qui ont le mieux réussi leur développement». Pour l’Algérie, ce n’est évidemment pas le cas. Avec une bureaucratie lourde et des responsables locaux totalement ligotés par le pouvoir central et complètement désarmés par les différents dispositifs législatifs, on voit mal l’amorçage d’un développement à partir de l’institution communale ou de wilaya. Quand bien même M. Bedoui pouvait le préconiser, en soutenant lors des réunions avec les walis des différentes régions du pays, l’été dernier, que les responsables locaux ne peuvent plus se contenter d’être de «simples exécutants mais doivent participer pleinement à la prise de décision et à l’élaboration de projets à haut rendement». Said Rabia
Absence de Bouteflika : Sellal attaque et rassurele 12.11.16 | 16h10 | © APS
Sellal devant le walis
Le président Bouteflika s’est adressé, à travers son Premier ministre Abdelmalek Sellal, aux walis de la République. Réunis, aujourd’hui samedi à Alger, les walis ont eu droit à des « encouragements » de la part du chef de l’Etat qui se trouve, depuis lundi dernier, dans une clinique à Grenoble (France). Il est attendu de ces « encouragements » de rassurer ceux, parmi les alliés du pouvoir, qui s’inquiètent à propos de l’absence du président et répondre, dans le même temps, à ses détracteurs. Une mission confiée au Premier ministre qui a lancé, lors de cette rencontre gouvernement-walis, que « la mise en oeuvre du programme du président de la République (…) peut déranger des habitudes, bousculer des vieux réflexes et contrarier des intérêts ». Farouk DjouadiMots-clés
Polémique de la semaine : Les larmes de Bahiale 11.11.16 | 10h00 Bahia Rachedi est invisible sur Facebook. Il a fallu qu’une vidéo soit postée sur l’espace bleu pour qu’elle apparaisse, fait le buzz et provoque une vraie fausse polémique. Elle prétend que «la délégation algérienne» aux 27ème Journées cinématographiques de Carthage (JCC) à Tunis a été «humiliée» par les organisateurs lors de la cérémonie de clôture, le 5 novembre. «On nous a installé au fond de la salle sur des chaises en plastique», a-t-elle protesté séchant ses larmes. Vague d’émotion sur la toile. Les tunisiens sont traités de tous les noms. Les autorités des deux pays réagissent. Le ministre de la Culture tunisien se déplace à l›aéroport de Tunis bouquet de roses en main. Bahia Rachedi s’invite à la chaîne sportive El Heddaf TV pour s’étaler sur ses prétendues mésaventures tunisoises. Mais, une mise au point des organisateurs des JCC met à nue la manipulation de Bahia Rachedi. Au fait, elle n’était même invitée par les JCC. L’équipe de Brahim Letaief, directeur des JCC, souligne que «cette grande dame de la télévision et du théâtre algériens» était présente en Tunisie à l’invitation de «Sfax, capitale de la culture arabe» à la faveur de la sortie du film «Saint Augustin» de Samir Seif. La production a demandé à ce que le film soit programmé à la faveur des JCC. Ce qui a été fait. «La grande maison des JCC a quand même pris à sa charge uniquement le transport et l’hébergement d’une partie de l’équipe du film, dont Mme Bahia Rachdi», est-il précisé. Selon les organisateurs, l’emplacement lors de la cérémonie de clôturé n’était aucunement choisi pour humilier la comédienne algérienne, laquelle était assise au même espace lors de la cérémonie d’ouverture sans protester. Le protocole des JCC donne priorité aux participants des films en compétition, aux jurys et aux têtes d’affiches. Bahia Rachedi n’était dans aucune de ces catégories. Pourquoi a-t-elle protesté alors? A Ennahar TV, elle a dénoncé le fait qu’elle soit hébergée dans un hôtel de classe moyenne alors que les autres invités étaient dans un palace 5 étoiles ! Comment peut-elle exprimer ce genre de reproches aux JCC alors que les organisateurs lui ont fait une faveur en la prenant en charge sans qu’ils soient obligés de le faire. Donc, au lieu de les remercier, elle les critique. Pire, Bahia Rachedi a inventé la présence d’une «délégation algérienne» aux JCC. Et, plus grave encore, elle a réduit l’Algérie à sa propre personne. Donc, au lieu de se distinguer par des films de qualité, par des idées artistiques et par des projets novateurs, certains artistes algériens, aveuglés par leurs caprices, adoptent la stratégie de la pleurnicherie, rien que pour «faire parler d’eux» et susciter la compassion. Fayçal Métaoui
Mondial-2018 (éliminatoires). Nigeria – Algérie, aujourd’hui à Uyo (17h00)Les Verts à l’assaut des Super Eaglesle 12.11.16 | 10h00 Les Verts lors de leur dernière séance...
Les Verts sont dos au mur. Aujourd’hui, à 17h00, à l’Akwa Ibom Stadium d’Uyo, ils devront se transcender pour espérer faire un bon résultat face au Nigeria, pour le compte de la deuxième journée des éliminatoires du Mondial 2018 (groupe B). Le nul du 9 octobre dernier au stade de Blida face au Cameroun (1 – 1), lors de la première journée, a propulsé la sélection nationale dans une «crise» qui a abouti au départ du coach serbe, Milovan Rajevac, ancien sélectionneur du Ghana, venu moins de trois mois auparavant. Au même moment, le Nigeria est allé chercher une victoire en Zambie (1 – 2). C’est dans ce contexte particulier qu’est arrivé Georges Leekens, qui a déjà entraîné l’Algérie 13 ans plus tôt. La mission s’annonce donc difficile, dans la mesure surtout où une défaite compromettrait sérieusement les chances de Mahrez et ses coéquipiers de se qualifier au Mondial russe. La pression est énorme sur le technicien belge qui, toutefois, s’est montré optimiste lors de la conférence de presse qu’il a animée le 1er novembre dernier. «Si j’avais estimé que l’Algérie n’avait pas ses chances d’aller au Mondial, je ne serais pas venu», avait-il affirmé. «Il y a un bon effectif», avait-il ajouté. Seulement, à l’occasion de son premier stage préparatoire pour cette importante empoignade, voilà que les Verts ont enregistré une multitude d’absences. Adam Ounas, convoqué pour la première fois, a renoncé au regroupement pour blessure. Une défection qui ne pose pas de problème fondamentalement. Mais la suite a été plus compliquée puisque Ghezzal, Boudebouz et Soudani sont déclarés forfaits pour les mêmes raisons. Le staff technique national a rappelé Hanni, dans un premier temps, pour remplacer Ounas, et puis Bounedjah, Benzia et Bennaceur. Mais l’hécatombe a continué. Ghoulem est également incertain pour sa part. Bendebka est convoqué, mais ce dernier n’a pas effectué le voyage au Nigeria. Une situation en somme compliquée pour Leekens forcé d’user de tout son génie pour trouver des solutions, surtout en défense. Pour dire que ce match face aux Super Eagles sera extrêmement difficile. Bien évidemment, comme l’a indiqué le sélectionneur lors de sa conférence de presse, le travail effectué sur le groupe est beaucoup plus d’ordre psychologique. Leekens n’avait pas le temps nécessaire pour bien préparer son équipe sur le plan tactique. Les quelques jours de stage passés au Centre technique national de Sidi Moussa seront-ils suffisants ? La réponse sera donnée aujourd’hui. Les Verts avaient promis, au lendemain du match face au Cameroun, et après s’être soulevés contre Rajevac, de revenir du Nigeria avec un résultat positif. Ils feront tout pour s’imposer, ou, au minimum, revenir avec le point du nul. Abdelghani AïchounÉliminatoires du Mondial-2018 :Nigeria 3 - Algérie 1le 12.11.16 | 19h24 | © http://dailypost.ng
L’équipe nationale de football s’est inclinée face au Nigeria (1 - 3), lors du match disputé, aujourd’hui samedi à Uyo (Nigeria), pour le compte de la deuxième journée des éliminatoires du Mondial 2018 (groupe B). Les buts des Supers Eagles ont été inscrits par Moses, à la 25e puis à la 92e minute et Obi Mikel ( 42e m). L’unique but des Verts a été signé par Bentaleb, à la 67e minute. Les chances de qualification de l’Algérie au mondial de Russie sont désormais compromises. Elwatan.com
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