323-/-ACTUALITÉS Du Lundi 14 novembre 2016
*******
Des pluies continues et assez marquées dans le centre du pays à partir de lundi
le 14.11.16 | 18h01
Des pluies continues et assez marquées parfois sous forme d'averses orageuses affecteront à partir de lundi après midi plusieurs wilayas du centre du pays, a indiqué l'Office national de météorologie dans un Bulletin météo spécial (BMS).
Ce bulletin qui concerne les wilayas de Chlef, Tipaza, Alger, Boumerdes, Tizi Ouzou, Médéa, Blida et Ain Defla, est valable du lundi à 15 heures au mardi à 15 heures au moins, précise la même source. .
Les cumuls attendus atteindront ou dépasseront localement 50mm, durant la validité du BMS.
APS
م الإثنين 14 نوفمبر 2016
-
|
|
Â
Â
Â
L'info en continu
Les économies arabes dans le rouge Le FMI a débloqué une aide au vu du déficit budgétaire de l’Etat égyptien, équivalent à 11% du... |
Les spécialistes dénoncent le recours abusif à l'amputation
3 millions de diabétiques, soit 12% de la population, enregistrés en Algérie en attendant les nouvelles données de...
Mise en conformité des constructions : Enième prorogation des délais
La nouveauté dans cette énième prorogation des délais de mise en conformité des constructions inachevées est...
«L'importation de plus de produits de large consommation est inévitable»
Abdelmalek Sellal demain à Riyad pour mettre fin à «la brouille»
Abdelmalek Sellal se rendra demain en Arabie Saoudite. La visite du Premier ministre algérien intervient après une brouille entre les deux...
Actualité
Les économies arabes dans le rouge
Le FMI a débloqué une aide au vu du déficit budgétaire de l’Etat égyptien, équivalent à 11% du...
Les saoudiens découvrent l'austérité
Le passage du baril de 100 à 40 dollars a poussé l’Arabie Saoudite à réduire ses dépenses dans un contexte...
Abdelmalek Sellal demain à Riyad pour mettre fin à «la brouille»
Abdelmalek Sellal se rendra demain en Arabie Saoudite. La visite du Premier ministre algérien intervient après une brouille entre les deux...
OPEP : Alger et Riyad optimistes
Le ministre saoudien de l’Energie a averti, hier à Alger, qu’il était impératif que les membres de l’OPEP...
Sports
Équipe nationale : L'unique scénario pour aller en Russie
Les chances des Verts d’aligner une troisième participation de suite à un Mondial se sont amenuisées, avant-hier, après...
MO Béjaïa : Sendjak prêt à rester, mais...
USM Bel Abbès : Encore des réglages pour Le coach
L’USM Bel Abbès a signé sa quatrième victoire de la saison en battant, samedi, pour le compte de la 11e journée de la Ligue...
Economie
Les carences du secteur agricole accentuent l'insécurité alimentaire
Des millions d’hectares de terre en jachère, d’autres mal exploités, certaines terres sont détournées de leur...
Engouement des opérateurs étrangers
Les investisseurs étrangers et nationaux se bousculent pour la grande concession.
«Aller vers une nouvelle approche basée sur les projets intégrés»
International
Trump promet d'expulser jusqu'à 3 millions d'immigrés clandestins
Culture
Pharaonique carrière
Raâfat El Hagan est mort. Mahmoud Abdelaziz s’en est allé. Il y a plusieurs semaines qu’il était hospitalisé en...
Romantisme avec des sonorités orientales
Il est étudiant en master de littérature anglaise. Il est âgé à peine de 23 ans et a du talent à revendre. Il a...
Baisse du prix du pétrole et instabilité politique
Les économies arabes dans le rouge
le 14.11.16 | 10h00
Le FMI a débloqué une aide au vu du déficit budgétaire de l’Etat égyptien, équivalent à 11% du PIB, alors que celui de la balance des paiements est de 7,5% du PIB.
L’Egypte, l’un des pays les plus peuplés du Monde arabe, est confronté à une grave crise économique doublée de troubles sociaux. Très dépendant de ses importations, le pays fait face à une pénurie de devises étrangères, sur fond de ralentissement des revenus tirés du canal de Suez et de la chute du tourisme depuis que le soulèvement populaire de 2011 qui a fait fuir de nombreux visiteurs et investisseurs étrangers.
Les réserves de devises ont ainsi diminué de plus de la moitié depuis 2011, passant de 36 milliards de dollars avant la révolution à 16,5 milliards en février dernier, et ce, malgré les aides apportées ces deux dernières années par les puissantes monarchies du Golfe, qui se sont élevées à quelque 20 milliards de dollars.
La pénurie de devises étrangères a fait exploser les prix, provoquant des pénuries de sucre, de riz, d’huile, de lait infantile ou encore de médicaments. La semaine dernière, la Banque centrale égyptienne a décidé de laisser flotter librement sa monnaie, provoquant une dépréciation de 50% par rapport au dollar. La décision de la Banque centrale s’inscrit dans le cadre des réformes liées à l’obtention d’un prêt pour soutenir l’économie égyptienne.
La croissance en berne
Plus de deux mois après la signature d’un accord préliminaire, le FMI a lancé vendredi dernier une bouée de sauvetage à l’Egypte en lui accordant une ligne de crédit de 12 milliards de dollars. Une aide nécessaire au vu du déficit budgétaire équivalent à 11% du PIB et de celui de la balance des paiements qui est de 7,5% du PIB. Une première tranche dudit prêt va être immédiatement débloquée, mais les autres versements restent conditionnés à l’application de mesures d’austérité impopulaires.
Sous la pression du FMI, le gouvernement égyptien a déjà lancé un douloureux programme de réformes, qui prévoit notamment une baisse drastique des subventions publiques, qui représentent 7,9% des dépenses de l’Etat, allouées notamment à l’électricité et au carburant. A cela s’ajoute l’instauration d’une TVA et le gel des emplois de fonctionnaires.
L’obtention de cette nouvelle ligne de crédit intervient dans un contexte des plus difficiles pour le gouvernement, confronté au risque de manifestations de masse dans un pays où 27,8% de la population vit sous le seuil de pauvreté et où l’inflation atteint 14%, selon des chiffres officiels. Arrivé au pouvoir après la destitution par l’armée de l’islamiste Mohamed Morsi en 2013, le président Abdelfattah Al Sissi a dû monter au créneau pour défendre des réformes «difficiles mais inévitables».
Fin 2012, le FMI et l’Egypte avaient conclu un préaccord pour un prêt de 4,8 milliards de dollars assorti de réformes économiques. Mais les discussions avaient été interrompues quelques mois plus tard, en pleine vague d’instabilité politique dans le pays qui a abouti à la destitution de Mohamed Morsi par l’armée en juillet 2013. La croissance économique du pays — qui est aussi parvenu à obtenir 6 milliards de dollars de financements en faisant appel aux marchés financiers — reste par ailleurs morose et devrait ralentir à 3,8% cette année, contre 4,2% en 2015, d’après le FMI.
Hocine Lamriben
|
|
+++
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
 +++
Â
A découvrir aussi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres