333 -/-ACTUALITÉS Du Dimanche 29 Novembre 2015
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Dimanche 24 Novembre 2015
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Dimanche 29 Novembre 2015
الأحد 17 صفر 1437 ه
الأحد 29 نوفمبر 2015 م
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NEZZAR EN COLÈRE SUITE AU PROCÈS DU GÉNÉRAL HASSAN Nezzar n’a pas été avare en termes durs pour qualifier le verdict prononcé par le tribunal militaire d’Oran à l’encontre du général Hassan. Un procès et un verdict prononcé dans un contexte «où les turbulences sont constatées au plus haut niveau de l’Etat», prouvant ainsi que quelque chose va mal dans la maison Algérie. Le Président, interpellé sur cette affaire par le général Suite... |
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Le procès qui scandalise Indéniablement, le procès du général Hassan au tribunal militaire d’Oran restera dans les annales de la justice... |
«Le code de la famille, source de la violence»
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La sélection nationale espoir entamera aujourd’hui (16h), à M’Bour (Sénégal), son aventure dans la CAN-U23...
Cancer broncho-pulmonaire : Première cause de mortalité en Algérie
Le cancer bronchique a été l’un des thèmes abordés lors des 21es Journées médico-chirurgicales...
Le procès qui scandalise
Indéniablement, le procès du général Hassan au tribunal militaire d’Oran restera dans les annales de la justice...
Du Colonel Chaâbani au Général Hassan : L'absence d'un procès équitable
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Manifestement, le tribunal militaire s’est tout autorisé pour enfoncer le général Hassan.
«C'est une condamnation criminelle et infamante
Première vive réaction après la condamnation par le tribunal militaire d’Oran, jeudi dernier, à 5 ans de prison ferme...
USMA 2 - USMH 1 : Soustara s'est fait peur
Stade du 5 Juillet (Alger) -Arbitres : Houasnia, Tazrout et Boulekrinet -Avert. : Boudbouda (USMA) Buts : Segueur...
JSK 2 - ASMO 0 : Sur un doublé de Diawara
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Dérèglement climatique, la menace commune
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Culture
Karim Ziad et ses amis font la fête
Vendredi soir, Karim Ziad est venu avec ses amis pour animer le premier concert du 13e Festival international du jazz de Constantine (Dimajazz 2015)...
Affaire du général Hassan
Le procès qui scandalise
le 29.11.15 | 10h00
Indéniablement, le procès du général Hassan au tribunal militaire d’Oran restera dans les annales de la justice algérienne.
Me Aït Larbi l’assimile à celui qui a conduit à la condamnation du colonel Chaâbani, il y a 51 ans à Oran. Le général Nezzar va plus loin et qualifie la décision du tribunal militaire de «criminelle».
L’arrestation de cet ancien responsable de la lutte antiterroriste comme un grand criminel, sa condamnation à la peine maximale sans bénéfice des circonstances atténuantes, balayant d’un trait sa carrière de 51 ans d’actes de bravoure et d’abnégation pour la sauvegarde de la patrie, qui a fait de lui le gradé le plus décoré de l’armée algérienne, sentent le règlement de comptes et donnent au verdict un caractère de châtiment exemplaire aux éventuels contestataires.
Deux chefs d’inculpation — «infraction aux consignes» et «destruction de document» — ont suffi pour détruire une compétence dont le pays a grandement besoin pour faire face aux nombreuses menaces terroristes qui pèsent lourdement à nos frontières.
Arrêté par une escouade de gendarmes qui avaient encerclé son domicile dans la nuit du 27 août 2015, le général Hassan a été transféré à Blida en exécution d’un mandat d’arrêt, qui était sous la main du juge depuis des mois, durant lesquels le général a fait plusieurs voyages à l’étranger pour se soigner sans être inquiété à la frontière.
Déféré devant le juge, la constitution de l’avocat qu’il a choisi, bâtonnier de son état, a été rejetée par le président du tribunal, qui n’a notifié sa décision que des semaines après sans aucune explication. Encore une autre violation du principe du droit à la défense.
Nombreuses violations de la procédure
D’autres avocats arrivent et soulèvent de nombreuses violations de la procédure. La plus importante est celle d’entendre comme témoins d’anciens subordonnés du général en leur faisant prêter serment. Une violation qui aurait pu conduire à l’annulation de la procédure, mais cela n’a pas été le cas.
Quelques jours après le mouvement très controversé dans les rangs de la justice militaire, notamment des procureurs (d’Oran, de Béchar, de Constantine de Blida, pour ne citer que ceux-là), le général Hassan est déféré devant le tribunal militaire d’Oran pour y être jugé. L’audience s’est déroulée à huis clos à la demande du procureur.
Après une délibération de quelques minutes, le président, M. Boukhari, et ses deux assesseurs, des généraux des forces aériennes et terrestres, décident de faire évacuer de la salle la famille du prévenu, alors que la presse était interdite d’accès y compris aux alentours du tribunal. La décision tombe tard dans nuit.
Comme l’a qualifié un des avocats du général Hassan, Me Bourayou, le verdict est un véritable châtiment : «A travers le monde, dans ce genre de procès, même si l’on considère que le général est coupable — bien que ce ne soit pas le cas — la raison d’Etat prend toujours le dessus pour déroger un peu à la loi. Or, cela n’a pas été le cas.»
La convocation du général Toufik refusée
«Le tribunal a infligé non seulement la peine maximale, mais ce qui est grave, il lui a refusé toutes circonstances atténuantes. La seule chose qu’il a entendue, c’est notre demande de refuser les déclarations sous serment des témoins qui, dans leur majorité, n’ont pas vraiment été à charge. Ils n’ont rien établi de manière formelle», ajoute Me Bourayou.
Le tribunal a fait appel à des témoins dont les déclarations sont subjectives, alors qu’il a refusé la demande de convocation du général Toufik introduite par Me Aït Larbi. «En joignant cette demande au fond, nous avions compris qu’il allait la rejeter», déclare Me Tayeb Ahmed Touphaly, encore sous le choc du verdict.
Il précise toutefois qu’il garde l’espoir de voir le procès revenir après le pourvoi en cassation que la défense compte introduire auprès de la Cour suprême.
Force est de constater que par sa décision, le tribunal militaire d’Oran n’a fait que confirmer que le général Hassan est bel et bien une victime collatérale de la guerre féroce ayant opposé le clan de la Présidence au patron du DRS, le général Toufik.
L’incarcération et la poursuite du général Hassan ont été décidées pour pousser le premier responsable du DRS à la sortie, une sorte de sanction contre le fait que son département ait enquêté sur les affaires de corruption au centre desquelles se trouvent les hommes les plus proches du Président, à l’image de Chakib Khelil, ex-ministre de l’Energie, mais aussi des membres de sa famille.
Même la lettre que le général Toufik a envoyée au Président, plaidant la cause du général Hassan qui agissait sous ses ordres et, de ce fait, en assume toutes les actions, n’a pas eu de réponse. La machine de la vengeance a eu raison de l’homme qui a grandement participé à sauver le pays du péril terroriste.
Salima Tlemçani
Kamikazes au cœur de Paris : La France meurtrie
le
14.11.15 | 22h00
13e journée du championnat professionnel de Ligue 1 : L’USMA championne d’hiver
USMA 2 – USMH 1 : Soustara s’est fait peur
le 29.11.15 | 10h00
Stade du 5 Juillet (Alger)
-Arbitres : Houasnia, Tazrout et Boulekrinet
-Avert. : Boudbouda (USMA)
Buts : Segueur 12’, 42’ (USMA) - Younès 45+2’ (USMH)
USMA : Mansouri (Zemmamouche 64’), Meftah, Bedbouda, Khoualed, Benayada, Chafaï, Bouchema, Koudri (Baïtèche 72’), Segueur (El Orfi 64’), Ben Moussa, Nadji
-Entr. : Hamdi
USMH : Zeghba, Harrag, Boucherit, Aït Ouamar, Gharbi, Coumbassa (Khalfallah 79’), Benaldjia, Younès, Lebbihi, Meziane (Hattabi 64’), Bouguèche (Brahimi 85’)
-Entr. : Charef
L’USMA s’est imposée, hier, au stade du 5 Juillet, face à l’USMH sur le score de deux buts à un, portant ainsi l’écart avec son poursuivant direct à sept points. L’entame de la rencontre a été en faveur des Usmistes qui ont, dès la première minute, inquiété les Harrachis par l’intermédiaire de Meftah dont le tir est parti à côté.
La première action de l’USMH a eu lieu à la 7’ par Bouguèche. Mais c’est l’équipe de Soustara qui a réussi à ouvrir la marque par Segueur (12’), bien servi par Meftah. Le pressing opéré par les Usmistes a donné ses fruits à la 42’ lorsque le même Segueur double la marque, suite à un bon centre exécuté par le même Meftah. Les deux équipes allaient rentrer aux vestiaires sur ce score, mais le virevoltant Younès a réduit la marque quelques instants avant le coup de sifflet de l’arbitre (45+2’).
En seconde période, l’USMH a monopolisé le ballon se créant plusieurs occasions.
La plus nette d’entre elles est celle de Meziane qui s’est retrouvé seul face au gardien Mansouri, mais son tir n’a pas été bien ajusté. Younès a tenté, quant à lui, un tir des 25 mètres mais le ballon a atterri dans les mains du gardien et il y a eu aussi cette frappe de Hattabi (75’). La rencontre s’est terminée donc sur ce score de deux buts à
Ali Benflis : Epuration politique pour «crime de non-allégeance»
le 29.11.15 | 10h00
Ali Benflis s’est prononcé au sujet de l’affaire du général Hassan lors d’un regroupement de son parti, Talaiou El Houriyet, organisé hier à Oran à la salle Colisée.
Tout en restant prudent, l’ancien candidat à la présidentielle a estimé qu’une épuration politique pour «crime de non-allégeance» est en cours dans notre pays. «Je ne serais donc pas étonné personnellement que cette affaire ne soit qu’une des facettes de cette entreprise d’épuration politique», a-t-il déclaré.
Sa prudence est liée à l’idée selon laquelle «les pouvoirs publics ont entouré cette affaire de tellement de secret, de tellement de mystère et de tellement de non-dits qu’il est difficile pour qui ce soit de prétendre pouvoir porter sur elle un jugement informé et serein».
Cette situation l’a donc amené à exprimer seulement des sentiments qu’il a voulu partager avec l’assistance, formée en majorité de cadres et de militants de son parti. Pour lui, «l’opacité totale qui entoure cette affaire et l’absence de toute communication officielle à son sujet amènent naturellement à penser qu’il y a des arrières-pensées et des manipulations de la part du régime politique en place».
Un régime au sujet duquel il a longuement disserté pour concentrer des critiques déjà formulées ailleurs mais renouvelées avec insistance devant le public, hier. Selon M. Benflis, la vacance constatée au sommet de l’Etat aggrave, d’une part, certaines menaces telles l’agitation des groupes terroristes aux frontières (Libye, Tunisie, Mali) ou la crise économique porteuse tous les dangers et perturbe, d’autre part, le bon fonctionnement de l’administration.
«Les forces non constitutionnelles agissent et prennent des décisions à la place de celui à qui la Constitution donne ces prérogatives», indique-t-il en réitérant l’idée selon laquelle le centre du pouvoir n’est désormais pas identifié, ce qui laisse le champ libre à toutes les dérives, notamment la fraude électorale, un thème qui lui tient à cœur après ses deux tentatives malheureuses de briguer la magistrature suprême.
Ali Benflis estime que les dernières élections n’ont été organisées que pour maintenir au pouvoir un régime dépassé, avec un Président absent autant à l’intérieur du pays que lors des grandes rencontres internationales qui engagent pourtant l’avenir de la région, en évoquant les cas de la Libye et du Mali.
Même constat pour le projet de révision de la Constitution qui, selon lui, n’a été mis à l’ordre du jour que pour sauver le régime actuel et le maintenir en place. «Ce sera la Constitution du régime et non celle qu’attend le peuple algérien ou celle qu’exige la construction d’un Etat démocratique», estime M. Benflis en gardant l’espoir qu’un jour, le «nouveau contrat social» tant attendu se concrétisera au profit du pays.
En limitant dans le temps l’instrumentalisation de la Constitution à 16 ans, Ali Benflis ne vise visiblement que le règne de Bouteflika auquel il a pris part au début.
Néanmoins, il s’est gardé dans son intervention de venir avec un esprit de revanche ou de vouloir nuire à la stabilité du pays. «Bien au contraire !» affirme-t-il en étalant une définition idyllique de la pratique politique envisagée par son parti, mais à laquelle il manque un positionnement clair dans le combat d’idées qui caractérise le monde d’aujourd’hui.
Djamel Benachour
L’ancien parti unique n’arrive plus à mobiliser : le FLN fait feu de tout bois
le 29.11.15 | 10h00
Cuisant échec pour le FLN et son secrétaire général, Amar Saadani.
Des semaines après avoir appelé à la constitution d’un front pour soutenir le président Bouteflika, baptisé initiative pour le progrès dans la cohésion et la stabilité, l’ex-parti unique éprouve d’énormes difficultés à mobiliser la classe politique nationale.
Cela s’est confirmé à l’occasion de l’inauguration, hier à Alger, du siège devant accueillir cette initiative.
En effet, les premiers adhérents ne sont que des membres des organisations satellites du pouvoir, dont les représentants sont en quête permanente de positionnement en prévision de nouvelles échéances électorales.
Dans cette catégorie, il y a notamment la présidente de l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA), Nouria Hafsi, qui est également cadre du RND.
«Quand il s’agit du président Bouteflika, les chapelles politiques tombent», a-t-elle déclaré, pour justifier sa présence à l’initiative du FLN, alors que son parti n’a pas encore adhéré à la démarche.
Il y avait encore une autre proche du RND, en l’occurrence la secrétaire générale de l’Organisation des familles des victimes du terrorisme, Fatma-Zohra Flici.
Pour donner l’impression d’avoir largement mobilisé, le FLN n’a pas hésité à ameuter ses propres organisations de masse, à l’image de l’UNPA, dont le président Mohamed Alioui est aussi membre du bureau politique (BP). Nous avons également remarqué la présence du secrétaire général de l’ONEM, également membre du comité central (CC) du FLN, Tayeb Lhouari, et de Salah Souilah, secrétaire général de l’UGCAA, dont l’organisation est scindée en trois ailes.
Du côté des partis politiques, l’adhésion à la démarche du FLN reste également très minime.
Boudée par l’opposition et même par les deux partis proches du pouvoir, le RND et le MPA en l’occurrence, la direction de l’ex-parti unique a accueilli des responsables politiques, dont les formations ne pèsent pas lourd sur la scène.
Pour pallier toutes ces défections, le FLN fait appel à ses transfuges, à l’image de son ancien député et président du parti non agréé, El Fadhl, Tayeb Yenoun.
En tout cas, seulement 11 petits partis, dont le TAJ de Amar Ghoul qui s’est fait accompagner par son organisation de jeunes, RAJA, ont pris part à cette initiative pour l’instant. Présent sur place, le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, n’a pas pris la parole. Cette composante démontre que le FLN veut faire feu de tout bois.
Madjid Makedhi
Ligue 2 : Le CA Batna nouveau leader
le 29.11.15 | 10h00
Le Chabab de Batna est le nouveau leader du championnat de Ligue 2, à l’issue de la 13e journée disputée vendredi et samedi.
Réalisant la meilleure opération de cette journée, suite à leur victoire vendredi à Chlef face à l’ASO (1-2), les protégés de Rachid Bouarrata, qui avaient pris provisoirement la tête du classement vendredi, s’y installent désormais officiellement, à la faveur du match nul concédé, hier, par l’ancien leader, l’USM Bel Abbès, du côté de Béjaïa face à la JSMB (0-0). Une place de leader avec 25 points, à une unité de l’USMBA, désormais dauphin, pour le Chabab de Batna, qui reprend donc la tête du classement, qu’il avait cédée à la 5e journée à Bel Abbès.
L’USMBA, sous la conduite de son coach tunisien El Moez Bouakaz, cède ainsi son fauteuil au Chabab, après avoir été leader durant huit journées, prenant même une avance assez considérable, avant de concéder du terrain lors des quatre dernières journées du championnat, en enchaînant avec quatre matchs nuls, ne récoltant que 4 points sur les 16 possibles, faisant ainsi les affaires du CAB, qui en a récolté 14, ce qui lui vaut de reprendre les rênes du championnat de Ligue 2, à deux journées seulement du baisser de rideau sur la phase aller.
Tarek Aït Sellamet
K.Smail
Algérie Télécom • Bibliothèque numérique
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