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Actualités : ELECTIONS LOCALES Abstention prévisible pour communes sinistrées
Quel comportement aura l’électeur face à l’urne avec laquelle il a rendez-vous ce jeudi pour renouveler les Assemblées communales et de wilaya ? C’est la grande question qui entoure ces élections locales. Les partis participant au scrutin estiment tous avoir réussi une bonne campagne électorale, même ceux qui ont toujours la hantise de la fraude. Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) -L’optimisme est singulièrement affiché chez le FLN. Abdelaziz Belkhadem, son secrétaire général, renvoyé de la fonction gouvernementale, a promené un peu partout son bâton de pèlerin pour plaider la cause de son parti qui ne se porte pourtant pas au mieux, laminé qu’il est par une profonde crise interne. Partout où il a eu à faire entendre sa voix de héraut, Belkhadem a chuté sur une note d’optimisme : remporter au moins 1 000 communes. C’est de bonne guerre électorale, sauf que sur le FLN pèse un lourd soupçon de fraude. Des bulletins de vote à l’estampille du parti ont été mis en circulation alors que se déroulaient encore la campagne électorale. Des spécimens ont été saisis notamment à Chlef et à Souk Ahras. Les deux commissions de surveillance du scrutin, la CNISEL et la CNSEL, ont été alertées. A leur tour, elles ont transmis au département de l’intérieur qui dit avoir diligenté une enquête. La direction du FLN, elle, a accusé les redresseurs du parti qui, par ailleurs, ne se sont pas fait entendre durant la campagne électorale. Contrairement aux partisans de la sauvegarde du RND qui, eux, ont tenté de gêner Ahmed Ouyahia totalement investi, lui aussi, dans les joutes électorales après son renvoi du gouvernement. L’ancien ministre de la Santé, Yahia Guidoum, qui a étrenné tout récemment le mouvement de sauvegarde du parti, a ferraillé à déstabiliser Ahmed Ouyahia. Ce dernier s’est montré imperturbable, se permettant même de se gausser des tentatives de ses adversaires. Les islamistes, jadis très entreprenants au moment des campagnes électorales, se sont fait discrets. Fait inhabituel chez eux, mais qui pourrait s’expliquer par les implosions répétitives qu’ils ont eu à vivre. Des crises organiques qui leur ont inspiré de se fédérer en coalition. Sans trop de succès, cependant. Durant toute la campagne électorale, ils ont fait piètre figuration. Les nouveaux venus sur la scène politique, qui, pour confectionner des listes, ont ouvert leurs listes aux nomades politiques, ne sont pas parvenus à marquer les joutes. D’aucune façon, d’ailleurs, hormis qu’ils ont été incapables d’animer les plages horaires qui leur ont été réservées au niveau des médias audiovisuels, à la radio notamment. La singularité de cette campagne électorale a confiné aussi dans la radicalité dans la position et dans le discours du RCD. Le parti, qui avait fait l’impasse sur les élections législatives, jugeant qu’il ne servait à rien de prétendre à une représentation dans un parlement qui n’en est pas un, a néanmoins privilégié le travail de proximité qui permet de palper les réalités du terrain. Le FFS, de son côté, confronté à une inégalée dissidence interne, a travaillé à remobiliser sa base militante déroutée par l’accusation de compromission avec le pouvoir, portée de l’intérieur même du parti, à la direction nationale. Le parti a clos sa campagne électorale par une rencontre avec le Premier ministre Abdelmalek Sellal. Il passe, de ce fait, pour le seul parti à jouir d’un tel privilège à la veille du scrutin. Un scrutin pour lequel le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, a prédit un taux de participation oscillant entre 40 et 45%. Un scrutin sur lequel pèsent également des appréhensions de fraude électorale. Et l’affirmation de Sellal lors de sa rencontre avec le FFS n’est pas pour dissiper ces craintes. Le Premier ministre aurait affirmé que le fichier électoral n’est pas totalement assaini. S. A. I. Actualités :
LE BONJOUR DU «SOIR» Louisa et le puissant député
Par Maamar Farah Grosse bagarre entre Louisa Hanoune et Tliba Baha Eddine, député FND d'Annaba (on dit qu'il est passé au FLN, au mercato d'automne), un personnage dont on ignorait tout jusqu'à son apparition, lors des législatives, à la tête d'une immense fortune. Durant la campagne électorale, il distribuait argent et parfum tiré à son nom, aux jeunes. Il a lancé une promotion immobilière sur un espace vert stratégique. Trop proche de la route et empêchant toute future infrastructure facilitant la circulation, cette construction a nécessité la destruction de plusieurs arbres et a mis en danger les villas situées plus haut. On le dit protégé par un ponte du régime. Aujourd'hui, Louisa Hanoune, pour avoir osé dire tout haut ce que beaucoup d'«hommes» pensent tout bas, se retrouve au centre d'une abominable campagne de dénigrement qui touche même à son honneur. C'est une honte que la classe politique se taise et ne défende pas un membre de sa famille contre cette terrible et ignominieuse excroissance d'un système qui a perdu toute notion de morale ! maamarfarah20@yahoo.fr «Après la Syrie, les terroristes et les mercenaires s'occuperont de l'Algérie. En retardant l'intervention militaire, ne leur donnons-nous pas le temps de se renforcer en troupes et en armes au Nord-Mali ?» Tata Aldjia
Actualités :FINANCEMENTS CONFORMES ہ LA CHARIA اa revient plus cher que les crédits conventionnels
Il y a une forte demande en Algérie pour des raisons «culturelles et cultuelles », selon le SG d’Al Baraka, Hideur Nacer. Même si, de l’aveu de ce banquier, le coût des prêts qu’accordent les banques dites islamiques ou les «financements conformes à la charia», pour reprendre l’expression d’usage, est plutôt supérieur à celui des produits conventionnels. Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - Les crédits à intérêts (riba) sont prescrits selon certaines interprétations de la loi islamique (charia) et certains banquiers se sont lancés dans un créneau qui s’avèrerait rentable à savoir, le leasing ou la location-vente. «La quasi-totalité des produits conformes à la charia sont des dérivés de ces deux formules», a expliqué M. Hideur hier lors de la conférence qu’il a animée au forum du quotidien DK News. Ainsi, les banques islamiques conçoivent les crédits qu’ils accordent comme de simples transactions commerciales dont elles achètent des valeurs et les revendent à leurs clients suivant un échéancier. Elles tirent des bénéfices de ces opérations financières comme tout commerçant. Et cette marge bénéficiaire, comment est-elle calculée ? M. Hideur a précisé que «c’est sur la base du taux d’intérêt appliqué par la banque». En clair, le coût du prêt est le même, si ce n’est supérieur à celui que propose une banque conventionnelle : «Etant donné que nous assumons seuls les risques moyennant le paiement d’une police d’assurance et que nous n’exigeons pas le règlement de pénalités de retard, nos financements sont un peu plus chers mais généralement, ils se situent au même niveau que les produits conventionnels». Comparaison : «Pour l’achat d’un bien immobilier, une banque conventionnelle prête à son client avec des intérêts dont il assume seul les risques. Sauf qu’il est le propriétaire de son logement hypothéqué en guise de garantie. Le taux d’intérêt appliqué engendre un coût qui est réparti sur des mensualités. Or, une banque islamique achète ce logement et assume les risques. La banque ne transférera la propriété au bénéficiaire qu’une fois la totalité du prêt remboursée. Le bénéfice de la banque est calculé sur la base du taux d’intérêt et le montant à rembourser est réparti sur des mensualités». Idem pour les opérations de commerce extérieur dont les factures sont également libellées au nom de la banque. Le principe est que la banque achète et revend. Al Baraka Algérie, copropriété du Groupe bahreïni Al Baraka Bank (56%) et la Banque de l’agriculture et du développement local (44%) s’est implantée en Algérie en 1990. Elle s’est adaptée à la législation sur la monnaie et le crédit qui ne prévoit pas, tout comme la réglementation fiscale, des dispositions spécifiques aux produits conformes à la charia. «Elle n’est pas si contraignante non plus même si nous continuons à solliciter le législateur algérien à introduire de nouvelles dispositions qui prend en charge les spécificités de nos produits», a déclaré M. Hideur. Pour soigner son image de marque, Al Baraka a, néanmoins, offert ses services au ministère des Affaires religieuses pour jouer l’intermédiaire dans la distribution des crédits sans intérêts qu’accordent le Fonds de la Zakat aux pauvres (4 500 crédits pour un montant de 75 milliards de centimes depuis 2006). «Nous gérons cette opération d’El Kard Hassan, à titre gracieux», a-t-il conclu. L. H. Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
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Actualités
Sports FOOTBALL IL DEVRA FORMALISER SA VENUE CHEZ LES VERTS Ghoulam ce samedi à Alger LIGUE 1 (MISE À JOUR) L'USMA sur le podium TOGO Brouille entre la FTF et Adebayor FOOTBALL BALLON D'OR-2012 Qui avec Messi parmi les trois finalistes ? COUPE DU MONDE DES CLUBS 2012 La technologie sur la ligne arrive LE WEEK-END DU FOOTBALL EUROPÉEN (EN HEURE ALGÉRIENNE) HANDBALL EN VUE DU 23e MONDIAL-2013 Les Verts entament leur 3e stage à Alger ATHLÉTISME : CHALLENGE NATIONAL DE CROSS-COUNTRY Le départ, samedi, à Djelfa TENNIS : COUPE DAVIS 2013 Djokovic, le retour CYCLISME Le Tour de Californie 2013 prendra une route Sud-Nord FORMULE 1 Le Finlandais Bottas désormais titulaire chez Williams Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
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Sports : LIGUE 1 (MISE ہ JOUR) L'USMA sur le podium
L'USM Alger s'est imposée devant le MC Oran par (1-0), mi-temps (0-0) en match retard de la 12e journée du championnat professionnel de Ligue 1 de football, disputé mardi au stade Omar-Hamadi de Bologhine (Alger). L'unique but de la partie a été inscrit par Noureddine Deham (83'). Cette victoire permet aux Rouge et Noir de remonter à la 3e place avec un total de 23 points, à trois longueurs du leader l'ES Sétif, alors que le MCO reste 15e, ex وquo en compagnie du WA Tlemcen (8 points).
Classement
Sports : FOOTBALL BALLON D'OR-2012 Qui avec Messi parmi les trois finalistes ?
Qui accompagnera Lionel Messi parmi les trois finalistes du Ballon d'Or 2012 ? La Fifa et France Football répondront aujourd’hui depuis Sao Paulo, au Brésil, qui accueillera le tirage au sort de la Coupe des Confédérations samedi, et le match d'ouverture du Mondial-2014. L'Argentin Messi, 25 ans, triple Ballon d'Or en titre, est bien sûr encore une fois grandissime favori pour le titre qui sera décerné le 7 janvier à Zurich après votes des journalistes, capitaines des équipes nationales et sélectionneurs. Il deviendrait le premier joueur à récolter quatre Ballons d'Or. Il avait déjà rejoint Michel Platini pour en avoir gagné trois de suite (Johan Cruyff et Marco van Basten en ont également glané trois, mais pas consécutifs). «La Puce» (La Pulga), son surnom, continue d'avancer à pas de géant dans l'histoire du foot. La semaine dernière, le lutin de Barcelone a rejoint le grand Ruud van Nistelrooy, aujourd'hui retraité, au classement des buteurs en Ligue des champions (depuis 1992-1993, à partir de la phase de groupes), avec 56 unités. «Leo» occupe ainsi avec le Néerlandais la 2e position de ce classement, à 15 longueurs seulement de Raul (71 buts), en préretraite au Qatar. Le record de l'Espagnol pourrait tomber dans deux saisons au rythme où va l'Argentin... Aux côtés de Messi, il y aura certainement Cristiano Ronaldo, son grand rival du Real Madrid. Messi et Ronaldo sont «deux monstres hyperdoués», comme l'a souligné l'Ivoirien Didier Drogba récemment dans France Football. Le but de Zlatan ne suffira pas Ronaldo n'a pas eu de chance. A 27 ans, le Portugais au physique de play-boy est tombé dans la mauvaise génération : celle de Messi. Il marque 46 buts dans le championnat espagnol la saison passée ? Messi le devance avec... 50 buts ! «CR7» est pourtant un joueur fantastique, parfois desservi par son image de diva capricieuse. Comme cette saison quand il a étalé au grand jour son spleen au Real, ce qui est passé pour une tentative de revalorisation de son salaire, malgré ses démentis. Mais l'ancienne star de Manchester United a aussi porté sa sélection portugaise jusqu'en demi-finale de l'Euro- 2012, pour échouer aux tirs au but face à l'Espagne. C'est, d'ailleurs, cette nation qui devrait logiquement fournir le 3e finaliste, tant la «Roja», championne d'Europe en 2008 et 2012, championne du monde en 2010, domine la planète foot. Iker Casillas, capitaine du Real et de la sélection espagnole, a déjà annoncé dans France Football que son partenaire en club et équipe nationale, Sergio Ramos, serait sa «première option». Ce qui a fâché Ronaldo dans le vestiaire madrilène. Mais les lauriers iront plus sûrement aux architectes du jeu espagnol et barcelonais, les maîtres à jouer Andres Iniesta (désigné meilleur joueur de l'Euro-2012) et Xavi. Le dernier finaliste devrait être un de ces deux-là. L'attaquant suédois Zlatan Ibrahimovic a, certes récemment envoûté les fans de foot du monde entier avec un quadruplé contre l'Angleterre en amical, dont un retourné hallucinant. Mais ce geste du joueur du Paris SG, nominé dans les 23, ne devrait pas suffire. En 2002, l'année de sa volée somptueuse en finale de la Ligue des champions contre le Bayer Leverkusen, Zinedine Zidane avait fini 4e du Ballon d'Or...
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Culture EN LIBRAIRIE LA FEMME DU CAÏD DE FATÉMA BAKHAÏ Une dame libre 40e FESTIVAL D'ANGOULÊME La bande dessinée algérienne à l’honneur Le coup de bill’art du Soir Bourgeois de tous les pays... ACTUCULT
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Par Kader Bakou Lors d’une rencontre à Alger sur la musique andalouse, un des participants a salué le rôle de la «bourgeoisie» algéroise et algérienne dans la préservation de ce patrimoine. Au lendemain de l’indépendance, les Algériens appelaient «bourgeoise» toute famille riche ou ayant un mode de vie «gawri» (français ou européen), et «civilisée» toute femme qui ne porte pas le haïk (voile). Sous le socialisme, les «bourgeois» et la «bourgeoisie» sont devenus des cibles de choix pour les intellectuels de gauche. Le film Si Belgacem El Bourgeoisi, une adaptation libre de la pièce Le bourgeois gentilhommede Molière, tourne en dérision cette «classe» sociale et ceux qui essayent coûte que coûte d’en faire partie. Puis, plus rien, on n’entend plus parler des bourgeois et de la bourgeoisie, peut-être dissoute dans la politique égalitariste suivie une quinzaine d’années par notre pays. Selon de vieux Algérois, «la bourgeoisie» algéroise n’a pas disparu jusqu'à aujourd’hui. A l’instar de la noblesse française, elle essaye de préserver son mode de vie, sa culture, ses valeurs et ses coutumes. Ses membres qui se considèrent comme des «Algérois d’origine», vivent «entre eux» un peu à l’écart du reste de la société. Ils auraient même un accent et un parler particuliers et on les reconnaît, dit-on, au «D» qu’ils prononcent «T». Etes-vous un bourgeois ? K. B. bakoukader@yahoo.fr
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On est jeuuuuudi ! Sortez de vos tombes ! |
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Par Hakim Laâlam Email :hlaalam@gmail.com |
Bulletin d’alerte météo pour ce jeudi. Fortes pluies et averses de grêle exceptionnelles. Risque de chutes de neige et avis de cyclone de force 7. Soyez prudents.
Evitez de sortir entre 8h et 21 heures !
Seddiki, le patron à blanc de la Commission de surveillance des locales, me donne toujours l’impression d’avoir une guerre de retard. Hier encore, il m’a confirmé cette impression bizarre en se plaignant du fait que des «morts figuraient sur le fichier électoral». Eh ! Oh ! Seddiki, faut te réveiller, mon grand ! Ce n’est pas un scoop, des morts qui figurent juste sur un fichier électoral. C’est même un truc complètement dépassé. Chez nous, les morts n’en sont plus au stade de la figuration simple. Non seulement, ils figurent sur le fichier des votants, mais en plus, tiens-toi bien mon Seddiki, ils voooooooooooooooootent ! Et je trouve quelque part ingrat que toi et toute l’opposition de ce pays ne rendiez pas assez grâce et hommage au régime de bananes qui nous gouvernent. Oui, hommage et grâce pour cette prouesse médicale, cette première scientifique. Ressusciter les morts ! Qui n’en a pas rêvé un jour ? Toute l’œuvre d’Allan Edgar-Poe tourne autour de ce fantasme divin. Le docteur Frankenstein y a consacré toute sa vie, écumant cimetières et laboratoires de fortune pour réaliser ce rêve. Des écrivains, des peintres, des plasticiens, des artistes de tous bords salivent leur trace à l’idée de devenir immortels à travers la pérennité et l’universalité de leurs œuvres. De grands criminels voulant marquer leur passage sur terre d’une empreinte indélébile se sont échinés à devenir des serial-killer, juste pour que l’on continuât à parler d’eux bien après leur mort. Piètres tentatives ! Pâlottes gesticulations à côté de l’immense exploit des gens du Palais. Nous recensons les morts, nous les ramenons de trépas sans labo ni œuvre picturale majeure, et nous les faisons revivre le temps d’une plongée dans l’urne et d’un scrutin. Va faire mieux, si tu peux ! Et quoi de meilleure que cette ambiance si particulière aujourd’hui jour de vote, dans les écoles ? Des vivants côtoyant des morts. En parfaite harmonie patriotique. Pour le bien du pays des morts-vivants ! Dans la queue pour verser son obole à l’urne, zombies et quidams palabreront à qui mieux-mieux, les premiers ne pouvant s’empêcher de faire remarquer aux seconds «qu’avant, c’était tout de même mieux». Et les seconds acquiesçant poliment, la contradiction aux morts ne faisant pas partie de notre culture post-funéraire. Non, Monsieur Seddiki ! Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas là de fraude ni de profanation des tombes. Non ! Nous sommes bien… au-delà, si j’ose dire ! Avec ces morts électeurs, nous consacrons le stade suprême de la démocratie. Nous l’étendons du règne des vivants à celui des macchabées. C’est le nirvana ! Œuvrons ensemble à mener le pays droit devant. Vers où, ne me le demandez pas. Du moins pas pour l’instant, car là, je cherche ma carte d’électeur. J’ai dû l’oublier au cimetière, ce matin en sortant de ma tombe ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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