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Forum africain d’investissement et d’affaires : en l’absence de Cevital
Ouverture du Forum africain d’investissement et...
Le 1er Forum africain d’investissement et d’affaires s’est ouvert, aujourd’hui samedi, au centre international des conférences (CIC) à Alger. Plus de 800 hommes d’affaires venus de différents pays d'Afrique ont pris part à ce rendez-vous qui a enregistré quelque 2000 participants.
Ce premier jour du forum a été marqué par l’absence du plus important groupe industriel privé en Algérie, Cevital. Pourtant, le président du FCE, Ali Haddad, a affirmé récemment que Cevital est le « bienvenu » au forum. Le groupe de Issad Rebrab avait été empêché de participer au r Forum d’affaires Algéro-britannique organisé en mai dernier à Alger.
Le premier ministre Abdelmalek Sellal a tenu à préciser, dans son allocution d’ouverture, que ce Forum africain « n’est pas une rencontre politique ». Sellal a déploré le faible taux des échanges commerciaux interafricains qui ne représentent que 12 % du total des échanges du continent avec le reste du monde. « Cette extraversion est dangereuse » pour l’économie du continent, a indiqué Sellal en présence de la plupart des membres du gouvernement.
Pour sa part, Ali Haddad a invité la Banque africaine du développement BAD à accompagner les hommes d’affaires « dans la mobilisation des financements ». Le président du FCE a suggéré, par ailleurs, aux Africains d’engager des « négociations sérieuses avec les pays du Nord, au sujet du réchauffement climatique ».
Les travaux du Forum africain d’investissement et d’affaires prendront fin le 5 décembre prochain.
Farouk Djouadi
Mots-clés
CAN de handball : 3e défaite pour l’Algérie
le 03.12.16 | 10h00
L’équipe nationale féminine de handball senior a concédé, hier, sa troisième défaite devant la Tunisie 21-27 (mi-temps 9-14), lors de la 22e Coupe d’Afrique de handball qui se déroule à Luanda (Angola). Les joueuses algériennes ont confirmé leur inefficacité. Pourtant, les Tunisiennes n’étaient pas à la hauteur de leur statut de championnes d’Afrique. Après cet échec logique, les camarades de Sarah Azzi disputeront demain les quarts de finale face la formation de l’Angola. L’Algérie tentera de limiter les dégâts. Les Algériennes vont se contenter de la 7e ou 8e place, loin de l’objectif fixé.
Chafik Boukabes
Espagne (14e journée)
Barça-Real, un clasico qui «dépasse l’imagination»
le 03.12.16 | 10h00
Ronaldo - Messi, le duel «supersonique»
Des joueurs fantastiques pour un choc de légende : FC Barcelone et Real Madrid s’affrontent dans un clasico au sommet aujourd’hui (16h15) pour la 14e journée du championnat d’Espagne.
Et ce match de rêve «dépasse toute imagination», selon le président madrilène Florentino Pérez. Barça-Real, ce sont deux clubs parmi les plus riches au monde, voire les plus riches. L’équipe de Luis Enrique contre celle de Zinédine Zidane. Les deux derniers vainqueurs de la Ligue des champions. Lionel Messi face à Cristiano Ronaldo : les deux meilleurs footballeurs de la planète, avec respectivement cinq et trois Ballons d’or. L’énumération donne le tournis et la fièvre va monter au Camp Nou avant ce 233e clasico de l’histoire en compétition officielle.
Car avec 650 millions de téléspectateurs attendus, près d’un dixième de l’humanité aura les yeux rivés sur Barcelone, soit davantage que pour tout autre match de clubs. «C’est un match de dimension mondiale, que regardent des centaines de milliers de personnes, comme la finale de la Coupe du monde», s’est réjoui cette semaine Florentino Pérez dans un entretien à l’AFP. «C’est quelque chose qui dépasse toute imagination». Il n’y a certes que trois points en jeu. Mais il y a bien plus que ça, une certaine idée du beau à faire prévaloir entre Barcelone l’harmonieuse et Madrid l’audacieuse.
Le Real invaincu
Dans cette guerre des mondes, le Barça a plus à perdre que le Real. Avec 27 points, le dauphin catalan peut ainsi compter neuf unités de retard, un gouffre, à l’issue du choc contre son grand rival et leader au tiers de la saison. Rien de définitif, certes, mais ce serait un gros coup au moral pour l’équipe blaugrana et un gros coup de fouet pour son adversaire merengue, qui rêve de conquérir enfin la Liga cinq ans après son dernier sacre en 2012. «Quoi qu’il a arrive, ce ne sera pas déterminant», a prévenu mercredi l’entraîneur madrilène Zinédine Zidane.
«C’est un beau match contre un excellent adversaire, qui va sûrement nous faire souffrir. Il faut y être préparé». Son Real a l’air prêt : même si le Gallois Gareth Bale (cheville) manquera à l’appel, le retour en forme de Ronaldo est une garantie. Le Portugais, grand favori pour l’obtention de son quatrième Ballon d’or le 13 décembre, reste sur 8 buts inscrits lors des quatre dernières journées et s’avance au Camp Nou en meilleur buteur de la Liga (10 buts) devant Messi (9 buts). En outre, le Real de Zidane est invaincu depuis avril : il vient d’enchaîner 32 matches sans défaite toutes compétitions confondues, à deux longueurs du record absolu de l’histoire du club (34 matches en 1988-1989).
Le Barça inquiétant
Mais attention : un clasico éclipse ce genre de statistiques. Demandez au Barça, qui avait enchaîné 39 matches officiels sans perdre (record espagnol) avant de chuter 2-1 à domicile en avril dernier face au Real. «Le clasico, indépendamment de la forme de chaque équipe, est pratiquement imprévisible», a résumé un jour Andres Iniesta, recordman des apparitions dans cette confrontation au sein des deux effectifs actuels (33 matches). Le Barça a sans doute envie de se raccrocher aux paroles de son capitaine, ainsi qu’à son retour de blessure attendu aujourd’hui après plus d’un mois d’absence (genou).
Car sans lui, les Catalans n’ont gagné que deux de leurs six derniers matches toutes compétitions confondues et restent sur plusieurs performances inquiétantes. «Peu importe ce qui me préoccupe, nous devons affronter ce match. C’est toujours une rencontre spéciale pour tous les Barcelonais et je suis sûr que nous montrerons un autre visage», a promis Luis Enrique. L’entraîneur sait qu’une victoire barcelonaise relancerait le suspense dans cette Liga. Un scénario qui ne serait pas non plus pour déplaire au Séville FC (3e, 27 pts) comme à l’Atletico Madrid (4e, 24 pts), qui peuvent se rapprocher de la tête en battant aujourd’hui Grenade et l’Espanyol Barcelone.
Le clasico en chiffres
3,3 : La moyenne de buts par match lors des clasicos Real-Barça et Barça-Real en Liga. Au XXIe siècle, une seule de ces rencontres a fini sur un score nul et vierge (en novembre 2002).
10 : Le nombre de buts du meilleur marqueur de la Liga cette saison, le Madrilène Cristiano Ronaldo. Le Barcelonais Lionel Messi est deuxième (9 buts) devant un autre Barcelonais, Luis Suarez (8 buts). 21 : Toutes compétitions confondues, le record absolu de buts marqués dans les clasicos Real-Barça, propriété de Messi, devant l’ex-légende merengue Alfredo Di Stefano (18). Ronaldo est pour sa part troisième (16 buts).
24 contre 32 : Nombre de championnats d’Espagne remportés respectivement par le FC Barcelone et le Real Madrid depuis la création de la compétition en 1929. Soit, à eux deux, deux tiers de tous les titres attribués dans l’histoire de la Liga.
43 : Le nombre de clasicos disputés toutes compétitions confondues par l’ancien défenseur madrilène Manolo Sanchis, qui détient le record d’apparitions dans ce duel. L’ex-barcelonais Xavi Hernandez est deuxième (42 matches) et Andres Iniesta (33) figure en tête du classement parmi les joueurs évoluant actuellement au sein des deux clubs, devant le Madrilène Sergio Ramos (32).
114 : En années, l’ancienneté de la confrontation entre le Real Madrid et le FC Barcelone, dont le premier épisode s’est déroulé le 13 mai 1902. Le mot «clasico» est néanmoins assez récent : introduit par la presse, il a progressivement remplacé les traditionnelles appellations «Madrid-Barça» et «Barça-Madrid».
232 : Le nombre de clasicos disputés à ce jour entre le Real et le Barça en compétitions officielles. Les Madrilènes mènent de peu au nombre de victoires (93 contre 91) et 48 matches ont fini sur un score de parité.
650 : En millions, le nombre estimé de téléspectateurs attendus dans le monde entier pour le match d’aujourd’hui. La rencontre sera diffusée dans 185 pays et 650 journalistes sont accrédités.
679 contre 620 : En millions d’euros, les chiffres d’affaires respectifs du FC Barcelone et du Real Madrid pour la saison 2015-2016.
99 354 : En nombre de spectateurs, la capacité du Camp Nou, le stade du FC Barcelone, inauguré en 1957. Le Barça se targue de disposer du plus grand stade d’Europe.
AFP
RETOUR VERS L’ANCIEN FORMAT DES ÉPREUVES Bac : la réforme reportée
Les réformes du baccalauréat n’auront pas lieu cette année. La ministre de l’Education nationale qui a annoncé officiellement en novembre dernier le début des réformes pour le bac 2016-2017 avec la réduction des jours d’examen et du volume horaire des matières revient sur cette décision. La grogne des lycéens a fait reculer Benghabrit qui a annoncéSuite...
Un leader qui voyage mal, l’USMA de cette saison semble incarner parfaitement ce statut d’une équipe fragile loin de son temple fétiche d’Omar-Hamadi. Contrairement à la saison 2015-2016, et à la 13e étape du championnat qu’il avait dominé de bout en bout, les Rouge et Noir avaient tout d’un champion. Sur treize matchs, les coéquipiers de Seguer, aujourd’hui sociétaire du voisin du MCA, caracolaient en tête du tableau avec 30 points et ce, excusez du peu, après avoir aligné 5 victoires sur les 7 déplacements effectués. La suite, tout le monde la connaît : l’USMA a fêté son 7e titre avant d’aborder le dernier tiers du parcours. Aujourd’hui, les changements des staffs et des chamboulements au sein de l’effectif semblent avoir usé la machine de Soustara. Jeudi à Sidi Bel-Abbès, les poulains de Paul Put ont certes livré une prestation respectable sur le plan du contenu mais, au finish, ce sont les gars de la Mekerra qui ont empoché les points d’un match certainement le plus difficile que l’USMA a disputé en ce début d’exercice. Pour l’USMA, hormis les nuls ramenés lors des déplacements d’Oran (0-0) et de Tadjenanet (0-0) et les trois points du derby face au CRB, la saignée des points se poursuit au grand dam de ses fans déjà écœurés par les mauvaises performances de Koudri et consorts face au CA Batna (2-1) et surtout le derby perdu contre le MCA à Blida (2-1). La défaite de jeudi à Sidi Bel-Abbès ouvre la voie à de nombreuses interrogations. Concernant les choix des joueurs et des systèmes de jeu. Paul Put qui, à l’issue du match, évoquait les erreurs de concentration de ses défenseurs semble se trahir quand il affirme qu’il s’attendait à une telle réaction de la part de l’équipe belabbésienne. Une formation qui, chez elle, a mis à genoux des adversaires de calibre à l’exemple de l’ESS, le MOB ou encore le DRBT sans omettre de souligner qu’elle avait fait entrer le CRB en crise en l’emportant sur la pelouse du stade du 20-Août (Alger). Paul Put savait-il au moins que l’USMBA est une équipe dont la moitié des buts inscrits en championnat ont été marqués lors de la première demi-heure ? Avait-il consulté les statistiques des Rouge et Vert de la Mekerra auteurs de 12 réalisations (sur les 14 buts marqués en treize rencontres) dans leur fief du 24-Février ? Jeudi dernier, la preuve lui a été apportée par Balegh et Kourbia qui ont secoué les filets de Zemmamouche au bout d’une demi-heure.
Fragilité des défenseurs ou du système défensif ? Deux buts en un peu moins de vingt minutes ont mis fin aux espoirs des camarades de Chafaï par trop passifs devant un ensemble de l’USMBA apparemment plus volontaire, en tout cas déterminé à faire du temple du 24-Février une tour imprenable. Les coéquipiers de Balegh qui avaient lancé leur saison à domicile par deux parités face à deux clubs algérois (USMH et NAHD) avant de se faire accrocher par la JSS lors de la 7e journée, ont démontré une certaine maestria dans la possession et l’organisation. Et, surtout, une efficacité accrue devant la zone adverse. Zemmamouche qui n’a pas eu trop à s’employer durant cette virée belabbèsienne s’est finalement rendu compte de la fragilité de ses compères de la défense lorsque les joueurs de Si Tahar Chérif El-Ouazzani ont osé. Sur balle arrêtée puis sur un contre rapide qui laissera Meftah, Chafaï et autre Abdellaoui à quai. Paul Put qui espérait surmonter les absences de ses axiaux Benyahia et Khoualed en tablant sur une défense en ligne n’est certainement pas exempt de reproches. Ses choix sont contestables à plus d’un titre. En défense mais également dans la construction, lui qui a préféré «engager» d’entrée une ligne médiane (Benkhemassa, Koudri, Benguit et Sayoud) manquant terriblement d’impact physique. Benmoussa, qui occupait le long de la ligne du couloir gauche, semblait, de son côté perdu entre des tâches défensive et offensive. Devant, le seul Ghislain Guessan était tout simplement «bouffé» par les longilignes défenseurs Khali et Benabderrahmane. Le technicien belge se rendra compte de l’ampleur du désastre et opérera immédiatement les nécessaires changements en incorporant Andria et Beldjillali. Une redistribution des rôles qui provoquera la panique chez les locaux où Zenasni sera prié d’aller aux vestiaires à l’heure de jeu sans toutefois permettre aux Usmistes de remonter le terrain perdu. L’entrée de Bouderbal apportera, elle aussi, le plus souhaité dans l’animation. Seulement, ce jeudi, l’USMA semblait orpheline d’un attaquant de pointe en mesure de concrétiser, l’Ivoirien Guessan ayant perdu son self-control dès lors que les défenseurs Belabésiens ont fait office d’actes d’antijeu et d’agressivité devant lesquels l’arbitre de la rencontré est demeuré «insensible». M. B.
Qu’est-ce qui a manqué à Hollande pour briguer un second mandat ? Un peu…
… D’alacrité !
Ne me dites pas qu’il n’y a pas moyen de s’en sortir, d’amortir le choc de cette crise et de ce qu’elle va induire comme dégâts collatéraux. Il y a toujours moyen ! Il faut juste arrêter de tout critiquer tout le temps, et commencer par faire des propositions. Et moi, bon citoyen, citoyen modèle, citoyen conscient, vachement conscient qu’on nous attend au tournant que n’a pas construit Amar Ghoul, j’en ai des propositions. Prenez les élections. Celles qui viennent, les législatives. Je propose que l’on réutilise les bulletins du précédent scrutin. C’est un gain énorme en papier. Et puis, l’autre avantage, c’est de soulager les électrices et les électeurs d’un nouveau déplacement vers les bureaux de vote, donc de dépenses en transport, de tracas ménagers et domestiques, d’encombrements dans la circulation, lesquels induisent plus de monoxyde de carbone dans l’air, de particules de diesel, provoquant inéluctablement des ennuis de santé et, par conséquent, des trous supplémentaires dans la couverture sociale déjà pleine de trous ! Mais attention ! Là, avec cette proposition de reconduire les bulletins d’un ancien vote pour un scrutin à venir, je ne dévoile qu’un aspect infime de mon vaste et ambitieux plan d’austérité et de lutte contre la crise. Parce que, dans les faits, ma théorie économique peut être poussée encore plus loin. On peut aisément imaginer supprimer les législatives ! Oui, M’sieur ! Plus de scrutin du tout ! Donc, pas besoin de manutentionnaires pour aller chercher dans les archives de la République les vieux stocks de bulletins, ni d’agents électoraux pour un comptage des voix qui a déjà eu lieu et une économie substantielle en commission machin-chose de validation des résultats. Rien à consolider, puisque tout aura été déjà consolidé des années auparavant. Non, très honnêtement, et sans me prendre la grosse tête, je suis pas peu fier de ma théorie économique. J’émettrais bien une dernière proposition, le must des must, supprimer par décret les électeurs et par extension, le peuple ! Mais là, je cogite encore sur les détails, je peaufine. Et en attendant que je vous livre la mouture finale de mon projet ambitieux d’abroger la population, je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continu. H. L.
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