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ACTUAL ITES du MARDI 20 MARS 2012

 

 

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Déclarations contradictoires sur l'histoire de la guerre de libération: Cacophonie algérienne
Comme l’identité et la nature de l’Etat, l’histoire est aussi une question que l’Algérie indépendante peine...
 

De nombreux médicaments manquent à la PCH
La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) semble avoir épuisé tous ses stocks de médicaments destinés aux hôpitaux.

la rente pétrolière affaiblit la volonté de réforme
L a rente pétrolière bâillonne inexorablement toute velléité de réforme et toute volonté de projection et...

L'armée face à des mutineries dans les casernes du Nord
Alors que le gouvernement malien et les combattants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) se renvoient la balle en...

Radiographie des haines sordides
On ne crache pas impunément dans le bleu du ciel !» Cinglant rappel à l’ordre, voulu d’emblée par...

Actualité

Déclarations contradictoires sur l'histoire de la guerre de libération: Cacophonie algérienne
Comme l’identité et la nature de l’Etat, l’histoire est aussi une question que l’Algérie indépendante peine...

 

Radiographie des haines sordides
On ne crache pas impunément dans le bleu du ciel !» Cinglant rappel à l’ordre, voulu d’emblée par...

 

Une référence à la Déclaration du 1er Novembre, sans plus...
Les fondements de base de tous les partis politiques algériens demeurent, à ce jour, la Déclaration du 1er Novembre 1954.

 

Ces Français restés en Algérie après l'indépendance
Pierre Daum déconstruit, dans son livre-enquête Ni valise ni cercueil (Solin, Actes Sud), les discours convenus sur l’exil...

Sports

Les clubs en lice réagissent
Le tirage au sort des quarts de finale de la coupe d’Algérie de football a donné lieu à des matches au sommet. A commencer par...

 

L'Entente en Tanzanie sans dirigeants
En prévision de la rencontre devant l’opposer dimanche prochain à la formation tanzanienne, Simba, pour le compte du match aller du...

 

Une totale réussite
Le président de la Fédération algérienne de cyclisme, Rachid Fezioun, et son équipe ont réussi leur pari. Ils...

Economie

la rente pétrolière affaiblit la volonté de réforme
L a rente pétrolière bâillonne inexorablement toute velléité de réforme et toute volonté de projection et...

 

Révision de la loi sur les hydrocarbures : la taxe sur les profits exceptionnels sera maintenue
Le principe de la taxe sur les profits exceptionnels sera réaffirmée dans la révision de la loi sur les hydrocarbures, a...

 

Bourse d'alger : les étrangers dans l'expectative...
Le gouvernement a approuvé le programme de réforme du marché financier algérien, dont un de ses cinq axes porte sur...

International

56e anniversaire de la fin du protectorat en tunisie : une commémoration dans un climat tendu
Débarrassée de son ancien dictateur Ben Ali, la Tunisie est tombée dans les bras de Ghannouchi.

 

L'armée face à des mutineries dans les casernes du Nord
Alors que le gouvernement malien et les combattants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) se renvoient la balle en...

 

«Nous détenons 150 militaires que Bamako ne cherche pas à récupérer»
Très optimiste, le chef d’état-major militaire du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA),...

Culture

Théâtre régional d'Oran : Rashomon entre vérités, mensonges et pensées uniques
C’est au théâtre d’Oran que le TR Sidi Bel Abbès a présenté la générale de sa dernière...

 

Tlemcen célèbre ses arts à Alger
Tlemcen, ses arts, sa culture et son artisanat sont à l’honneur au Palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger.

 

Malgré les 30 milliards de dinars débloqués en novembre 2011

De nombreux médicaments manquent à la PCH

le 20.03.12 | 10h00

La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) semble avoir épuisé tous ses stocks de médicaments destinés aux hôpitaux.

Elle se trouve actuellement face à des difficultés financières pour un nouvel approvisionnement, malgré les enveloppes dégagées (30 milliards de dinars) par les banques sur instruction du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, en novembre 2011. Cependant, deux lignes de crédit devaient être ouvertes au niveau de la BNA et du CPA pour permettre à la PCH d’éponger toutes ses créances et de procéder à des importations immédiates de médicaments pour la constitution d’un premier stock de six mois à partir du 1er décembre 2011.

Dix milliards de dinars ont été alors versés aux producteurs locaux, 4 milliards de dinars pour le payement des factures dépassant une année auprès des fournisseurs étrangers et le reste de l’enveloppe a servi à l’ouverture des lettres de crédit pour reconstituer les stocks pour un semestre. Mais cela s’est avéré insuffisant pour assurer des stocks de six mois pour tous les produits dont les hôpitaux ont besoin. Ce qui rend donc la tâche très difficile pour la PCH, qui attend le budget alloué aux hôpitaux.

Par ailleurs, le ministre de la Santé, Djamel Ould Abbès, ne cesse de déclarer que le gouvernement a dégagé 54 milliards de dinars dans le cadre du budget 2012 pour l’approvisionnement en médicaments des hôpitaux, dont une partie (50%) sera attribuée à la PCH et 50% revenant au ministère de la Santé en cas d’urgence.

Comme il a aussi souligné que pour 2012, 21 milliards de dinars sont réservés à la lutte contre le cancer (11 milliards pour la PCH et 10 milliards pour le ministère de la Santé) et ce, lors de la journée du Snapo, en février dernier Où est donc passé tout cet argent ? Ou n’est-il pas encore réellement débloqué ?                  
 
 

Djamila Kourta

Santé publique : la grève des spécialistes suivie à 76%

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le 20.03.12 | 14h37 1 réaction

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La grève cyclique des médecins spécialistes qui a débuté ce mardi  a enregistré un taux de suivi moyen de 76%.

Les médecins spécialistes ont repris ce mardi 20 mars un nouveau cycle de grève  dans « la détermination », a estimé Dr Mohamed Yousfi, président du Syndicat national des praticiens spécialistes  de la santé publique (Snpssp) lors d’un point de presse qu’il a organisé aujourd’hui à Alger.

Le premier bilan fixe le taux de suivi au niveau national à 76%. La wilaya de Bouira et de Tiaret   viennent en tête avec un taux de 100%, Mostaganem 85%, Boumerdès 80%, Tizi Ouzou et Ain Defla 75% et Alger 70%.

Dr Yousfi a une nouvelle fois affiché son refus face à la politique des deux poids deux mesures pratiquée par le gouvernement. Il entend par là le fait que les syndicats du secteur de l’Education nationale sont constamment conviés à s’exprimer sur des questions les concernant contrairement à ce qui se fait pour le secteur de la santé.

Le syndicaliste a constaté dans le même cadre que la santé publique « n’est plus une priorité » des autorités depuis quelques temps.
Cette grève de trois jours se poursuivra mercredi et jeudi.  le syndicat a lancé un appel à une grève illimitée à partir du  1 avril.
 

Mina Adel
 

Ils étaient nombreux à croire en une algérie algérienne

Ces Français restés en Algérie après l’indépendance

le 20.03.12 | 10h00

 
 

Pierre Daum déconstruit, dans son livre-enquête Ni valise ni cercueil (Solin, Actes Sud), les discours convenus sur l’exil forcé des pieds-noirs l Pierre Daum est allé à leur rencontre.

Les chiffres : 200 000 Européens ont décidé de ne choisir «ni valise ni cercueil», mais bien de rester en Algérie, leur pays, après son indépendance. Le journaliste Pierre Daum explose la thèse des nostalgiques de l’Algérie française. Depuis un demi-siècle, les seules voix audibles sont celles des rapatriés de 1962, très présentes dans les médias et au travers d’associations très actives. «Aucune étude approfondie n’avait jusqu’à présent été entreprise sur le sort des Européens et des juifs restés en Algérie après 1962. Le livre de Pierre Daum constitue dès lors une grande première. De façon érudite et passionnante, l’auteur remet en cause plusieurs idées reçues à propos du départ des Européens d’Algérie. D’abord, bien sûr, celle de “l’arrachement” en quelques semaines de l’ensemble des membres de cette communauté», note Benjamin Stora dans sa préface.

Mêlant travail d’archiviste et de journaliste, Pierre Daum est parti à la rencontre des Français restés en Algérie. Certains partirent quelques années après 1962, d’autres des décennies plus tard et quelques centaines y vivent encore. Il en a tiré des portraits saisissants. Dans celui consacré au peintre Denis Martinez, ce passage croustillant : à un «artiste» qui s’étonne qu’il soit Algérien et qu’il ait gardé son nom, celui-ci réplique : «Cher monsieur, sachez que je n’ai pas choisi d’être Algérien, je suis Algérien. Comme tout le monde. Je suis né en Algérie, de parents et d’arrière-grands-parents nés en Algérie. J’appartiens à une réalité historique du pays. Je m’appelle Martinez, je suis Algérien et je vous emmerde.» Tout se résume dans ces lignes.


Mémoires d’enracinés


Assiya Hamza aborde sa rencontre avec les pieds-noirs restés en Algérie à travers sa quête d’identité. «Je suis française d’origine algérienne, et ma double identité, c’est ma richesse. Mais que ferais-je à l’heure du choix, si choix il devait y avoir ? Emettre une préférence reviendrait à renier mon histoire. Et aussi celle de la France. (...) Cette introspection m’a mené sur les traces des pieds-noirs qui ont choisi de rester en Algérie au lendemain de l’indépendance. Un million d’hommes et de femmes se sont arrachés à cette terre l’été 62, très peu ont refusé de partir.

J’ai voulu savoir pourquoi ils avaient, eux, renoncé à l’exil et résisté à l’exode. Qu’aurais-je fait à leur place ?» Beaucoup plus intimiste, son livre questionne, relève les émotions discrètes. Elle rencontre Eliette, une habitante de Kouba, qui «s’adresse à l’Algérie en disant «tu» ou encore le professeur Jean-Paul Grangaud, pédiatre à Beni Messous, qui parle de son amour à son pays avec des mots émouvants de simplicité.


Mémoires d’enracinés, Assiya Hamza, Michalon

Ni valise ni cercueil
Pierre Daum, (Solin, Actes Sud)

 

Rémi Yacine
 
 

Rébellion au Nord du Mali

L’armée face à des mutineries dans les casernes du Nord

le 20.03.12 | 10h00

 
 

Alors que le gouvernement malien et les combattants du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) se renvoient la balle
en s’accusant mutuellement d’être responsables de l’exode de 195 000 personnes, les combats font rage autour des derniers campements militaires encore entre les mains de l’armée officielle. Le président malien accuse le MNLA de «s’être jeté de manière unilatérale dans une guerre  ainutile» alors que son armée fait face à des mutineries dans les casernes du Nord.

La situation au nord du Mali s’enlise dans le chaos. Déjà, selon des chiffres de l’ONU, quelque 195 000 personnes ont fui la zone du conflit vers l’Algérie, la Mauritanie, le Niger et le Burkina Faso et vivent dans des conditions extrêmement difficiles eu égard à la configuration du terrain mais aussi aux moyens limités de la plupart des Etats qui les accueillent. Ces réfugiés laissent derrière eux une région sous l’emprise du crépitement des armes, des attaques à l’armement lourd et des opérations de représailles. L’entrée en action de «milices» armées par le gouvernement risque compliquer cette situation et de fermer la porte à toute issue politique à la crise.


L’entrée en action des milices


En effet, selon Bekaye Ag Ahmed Ahamed, chargé de la communication du MNLA, «de violents combats ont opposé nos combattants à la milice militaire malienne à Soudere, à 35 km à l’est de Tessit, dans le cercle d’Ansongo», précisant que cette milice a semé la terreur dans plusieurs campements et villages de l’Azawad, ces derniers jours, notamment dans le campement d’Ebang Imalane où «elle a dépouillé et terrorisé les populations civiles et dans un autre village non loin d’Ansongo, avant d’exécuter un homme et d’ en enlever un autre». Notre interlocuteur  avance un bilan de «15 miliciens tués, un capturé et reconnaît la perte d’un combattant et des blessures à un de ses compagnons d’armes».

Le chargé de la communication du MNLA ne manque pas de «mettre en garde» Bamako «contre toute autre agression» ayant pour cible «les populations civiles», et avertit que celle-ci «ne restera pas impunie».
Au même moment, de nombreuses mutineries ont touché des casernes du nord, d’où beaucoup de militaires ont rejoint la rébellion avec armes et bagages. Samedi dernier, la ville de Gao a vécu une journée particulière. Des dizaines de personnes ont marché vers le siège du gouvernorat au centre-ville, déserté par ses occupants, affirment des sources locales. Les manifestants scandaient des slogans contre «la guerre», «la partition du Mali» et «la tenue d’élection sans la paix».

Dans une déclaration lue à l’assistance, les initiateurs de cette manifestation dénoncent «le mutisme de l’Etat sur la réalité de la crise au nord» et déclarent à «Sarkozy, ATT (le président malien Amadou Toumani Touré) et autres potentats locaux, que notre terre ancestrale, léguée par les Sonni et les Askias, n’est pas à vendre». Ils s’indignent de «l’injustice dans la gestion des crises, au Nord, depuis 20 ans» et lancent à ceux qu’ils qualifient de «politicards sans scrupule» qu’ils refusent toute «élection sans paix». Ils réaffirment leur «adhésion à l’unité du Mali, en disant non à une autonomie quelconque de l’Azawad». Ils appellent tous les militaires «à ne pas transporter la guerre dans nos villes. Un coin du Mali attaqué, c’est le Mali tout entier qui est attaqué. Alors donnez-nous les moyens nécessaires pour défendre notre patrie. Après Ménaka, Aguel-hoc et Tessalit, Gao n’attendra pas pour organiser sa défense (…)».
En fait, les initiateurs de cette manifestation savent que le MNLA est en train de gagner du terrain. Ils sont conscients que l’élection des membres du Haut conseil des collectivités (une sorte d’élection communale), prévue le 25 mars  ne peut se tenir dans les conditions actuelles.


Election du HCC le 25 mars


Et la proposition du ministre de l’Intérieur et de l’Administration locale, Kafougouna Koné, de faire voter les grands électeurs dans les chefs-lieux de la région, est une preuve que l’Etat est incapable d’organiser le prochain scrutin et encore moins celui du référendum et de l’élection présidentielle prévus au mois d’avril prochain, même si ATT ne cesse de réaffirmer sa volonté de les organiser (entretien accordé le 16 mars au journal français Le Figaro), arguant du fait que «seulement 2 % de la population apparaît dans une situation de vote difficile. La crise ne doit pas déteindre sur les institutions. Quel que soit le résultat des discussions engagées d’ici là avec les rebelles, il faut qu’un président à forte légitimité puisse mener le dialogue». Visiblement, ATT refuse de prendre toute initiative de règlement de la crise. Sauf surprise de dernier moment, le président malien compte laisser à son successeur le soin de désamorcer cette bombe qu’est le nord du Mali.


Des arguments difficiles


Selon lui, cette rébellion n’est que la conséquence des évènements en Libye. Il a déclare au journal Le Figaro : «Le Mali subit les effets collatéraux de la guerre en Libye qui était devenue le magasin d’armes à ciel ouvert le plus important du monde, le moins cher et le mieux achalandé. A la chute du régime d’El Gueddafi, les ressortissants originaires du Mali qui avaient combattu pour l’ancien régime sont rentrés avec armes et bagages au pays de leurs ancêtres. Ces combattants aguerris sont près d’un millier. Ils sont équipés de véhicules blindés légers, d’artillerie, de canons antiaériens, de fusées SAM7, de mitrailleuses lourdes, de moyens de transmission, de munitions. Nous avons proposé d’installer ce contingent dans des zones de cantonnement en les aidant. Surarmé, le MNLA s’est jeté de manière unilatérale dans une guerre inutile.»

Des arguments difficiles à accepter sachant que les cadres de la rébellion des années 2000 et 2006 n’ont cessé de mettre en garde contre le refus de l’application des accords ayant mis fin aux soulèvements populaires. En janvier 2011, les mêmes cadres se sont réunis à Alger pour interpeller l’opinion internationale et les partenaires du Mali sur la situation qui prévaut au nord du Mali, et la nécessité de faire respecter les Accords d’Alger signés en 2006 par Bamako et les rebelles. Aucune réponse, alors que sur le terrain, les groupes terroristes de l’AQMI évoluaient en toute quiétude, multipliaient les enlèvements d’Occidentaux, négociaient le paiement de rançons avec la complicité des plus hauts responsables de l’Etat malien, devenus les «négociateurs attitrés» de la Présidence.
Les événements de la Libye ne sont pas les causes du soulèvement du 17 janvier 2012. Ils ont plutôt aidé à faire entendre des voix longtemps inaudibles. Malheureusement, ces voix sont celles d’une nouvelle génération qui ne croit plus aux mots, mais plutôt aux actions.

Ce qui rend la solution à la crise beaucoup plus difficile à trouver, d’autant que désormais celle-ci s’inscrit dans la durée étant donné que les deux parties campent chacune sur ses positions. L’été sera très chaud, surtout pour l’armée malienne confrontée à la multiplication des mutineries dans ses casernes au nord. La question qui reste posée est celle de savoir si cette institution sera capable de faire face à une rébellion aguerrie aux armes et au rude environnement désertique.
 

Salima Tlemçani
 
 
 
 

Les syndicats de l'éducation soumettront jeudi leur projet de statut finalisé à la tutelle

le 20.03.12 | 12h08

La finalisation du statut particulier des travailleurs de l’éducation n’a finalement pas eu lieu lundi 19 mars comme il était prévu lors d’une rencontre entre des syndicats de l’éducation avec le ministère de l’éducation et les responsables du secteur de la fonction publique ainsi que le ministère des Finances.

Contacté par téléphone, un membre de l’Union Nationale des travailleurs de l’éducation et la formation (UNPEF), nous confiera « nous ne sommes ni optimistes, ni pessimistes quant aux négociations qui ont eu lieu car aucune décision n’a été prise à l’issue de la réunion ». Avant de poursuivre « des restrictions dans le cadre du respect de la loi nous ont été imposées par la tutelle quant à nos revendications ».

« C’est surtout le conseil national qui aura lieu le 28 et 29 mars qui nous permettra de mieux cerner l’aboutissement éventuel de nos revendications». En attendant « jeudi 22 mars nous allons soumettre une lecture définitive de notre projet de statut au ministère ».

Par ailleurs notre interlocuteur n'écarte pas l'option de récourir à des actions de protestation dans le cas où leurs revendications ne sont pas prises en considération.

 

Hamida Mechaï
 


20/03/2012
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