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Depuis le début des années 1980, toute la communauté européenne a harmonisé son régime horaire en fonction du système «heure d'été, heure d'hiver », aux fins d'économiser l'énergie en réduisant l'éclairage en début de soirée. L'Algérie qui est un pays doté d'un grand capital soleil, où la journée commence généralement très tôt et se termine très tard, pourquoi n'a-t-elle jamais songé à la question ?
Mehdi Mehenni - Alger (Le Soir) - Pourtant, en adoptant l'heure d'été, l'Algérie profiterait d'une part d'une heure de clarté supplémentaire le soir, et économiserait d'autre part une heure d'utilisation de la lumière artificielle. Le principe consiste tout simplement à ajuster l'heure locale officielle, en ajoutant généralement une heure par rapport au fuseau horaire pour une période allant du printemps jusqu'à la fin de l'été ou le début de l'automne, ce qui a pour effet de repousser l'heure à laquelle on voit le soleil se lever et se coucher. Mais avant d'engager tout débat, il y a une question qui se pose d'elle-même. Si en France, par exemple, c'est le ministère du Développement durable qui prend en charge cette transition horaire, en Algérie l'institution qui a en charge la gestion du «temps» reste méconnue. Si jamais l'Algérie est confrontée à un problème d'énergie et sera à l'occasion appelée à faire des économies et par conséquent adopter le système de l'heure d'été, qui est habilité à intervenir dans de telles circonstances ? Estce le ministère de l'Environnement, de l'Energie, de l'Intérieur, du Travail… ? La question reste posée, mais pour l'instant, seules les heures de travail sont définies et c'est la Fonction publique qui en a la charge. Est-ce par rapport aux grandes réserves d'énergie dont jouit l'Algérie et que certains pensent inépuisables, que les pouvoirs publics estiment que le temps des crises et des pénuries est encore loin et que la question n'est pas encore d'actualité. Il reste également que les complications qu'entraînerait ce système dans la révision et la réorganisation des horaires des différents secteurs et institutions (transport, hôpitaux, heures de réception, heures de prière…) peuvent en être à l'origine.
Ce qu'en pensent les Algériens
Si la question du décalage horaire «été-hiver» n'a jamais été abordée officiellement en Algérie, il reste toutefois que les citoyens commencent à s'y intéresser et à débattre de la question dans plusieurs forums sur le Net. Certains pensent que si cela permet de profiter le plus possible de l'éclairage naturel, l'initiative est bonne. Mais à condition que nos voisins immédiats soient également à l'heure d'été-hiver. Il y en a même qui pensent que la question touche surtout l'avenir des générations futures. Ainsi, certains d'entre eux estiment que la génération actuelle risque de pomper toutes les réserves d'énergie et ne rien laisser aux générations futures. En dehors de toutes autres considérations écologiques ou politiques, l'Algérie, qui est l'un des pays les plus nantis en énergie solaire exploitable et rentable, aurait eu un intérêt économique à exploiter ce gisement solaire gratuit, les bénéfices et les avantages étant énormes et nombreux. D'autres ne partagent pas le même avis et pensent plutôt que du point de vu du rythme biologique humain, l'initiative pourrait avoir des effets négatifs sur la santé. Car, le temps que mettra l'organisme humain à s'adapter au rythme de l'heure d'été, quelques mois après le système horaire revient à la normale et du coup, le corps se retrouve complètement déstabilisé. Quant au principe de faire des économies d'énergie, certains croient qu'il faudra plutôt les chercher ailleurs. «A quoi sert un changement horaire dont le but est de réduire la consommation de l'énergie, si très souvent l'éclairage public demeure allumé pendant la journée dans plusieurs avenues de la capitale et autres régions du pays», a souligné un internaute.
Ceux qui sont pour le décalage horaire
Les promoteurs de l'heure d'été estiment que malgré tout ce que l'on reproche à ce système, le décalage horaire reste une question de «nécessité» et non pas de «choix», étant donné que l'intérêt réside dans les économies d'énergie qu'elle est censée permettre afin de profiter plus tard de la lumière solaire pendant la période estivale. En France, par exemple, l'heure d'été a été instituée à partir de 1975, suite au choc pétrolier qu'a subi le pays une année auparavant. Le but principal est de faire correspondre au mieux les heures d'activité avec les heures d'ensoleillement pour limiter l'utilisation de l'éclairage artificiel. 250 000 tonnes de pétrole auraient été économisées grâce à ce changement d'heure. Deux estimations réalisées entre 1996 et 2006 évaluent l'économie d'énergie entre 0,7 et 1,2 milliard watt heure (TWh), chaque année. Depuis le début des années 1980, toute la communauté européenne a harmonisé son régime horaire avec le changement d'heure, alors que celui-ci est appliqué au Royaume-Uni et en Irlande depuis la Première Guerre mondiale, et en Italie depuis 1966. Pour faciliter les transports, les communications et les échanges au sein de l'Union européenne, il a été décidé d'harmoniser, par directive du Parlement européen et du Conseil, les dates de changement d'heure. Depuis 1998, pour l'ensemble des pays de l'Union européenne, le passage à l'heure d'été a lieu le dernier dimanche de mars à 2 heures du matin, et le passage à l'heure d'hiver le dernier dimanche d'octobre à 3 heures du matin. Le régime de l'heure d'été consiste à ajouter 60 minutes à l'heure légale au cours de la période estivale (de fin mars à fin octobre). Le même système a été adopté depuis des années, dans plusieurs Etats des Etats-Unis, ainsi que dans différents pays de l'Amérique latine.
Ceux qui sont contre
Indépendamment des effets néfastes qu'aurait le décalage horaire sur la santé de l'être humain, beaucoup d'économistes s'accordent à dire que son intérêt économique reste à prouver. Dans un rapport adressé par un groupe de sénateurs français à l'Union européenne, il est mentionné que «l'énergie économisée dans les pays européens serait de 0,3 % du total consommé dans l'UE chaque année. Depuis plusieurs années, de plus en plus de voix s'élèvent, dans l'opinion publique mondiale, contre ce dispositif. Plusieurs pays ont abandonné le système de l'heure d'été après l'avoir pratiqué (la Chine, le Maroc, l'Islande, le Queensland en Australie...). Ce sont les scientifiques qui ont déclenché cette méfiance populaire en publiant des textes selon lesquels ce décalage aurait des influences notables sur les performances quotidiennes et le comportement de l'être humain. Selon un groupe de scientifiques allemands, les critiques essentielles, en matière de santé publique portent sur «la modification brutale des rythmes biologiques, occasionnant des troubles du sommeil, de l'appétit, de la capacité de travail, voire de l'humeur, lors des changements horaires et notamment pour le passage à l'heure d'été où le temps de sommeil est amputé d'une heure». D'ailleurs, expliquent-ils : «Les récentes découvertes scientifiques sur la mélatonine, hormone du sommeil, montrent que l'avancement de l'heure ne serait pas parfaitement neutre : le retard apparent de la luminosité entraverait la sécrétion naturelle de cette hormone produite par le cerveau sous l'effet de l'obscurité». Les personnes les plus exposées à ces risques sont les enfants et les personnes âgées. Selon un groupe de sénateurs français contre le procédé du décalage horaire, «19 % des médecins font état d'une augmentation de la consommation de médicaments, et singulièrement de tranquillisants, au moment du changement d'heure», bien qu'aucune étude scientifique pour le moment ne puisse l'attribuer à ce seul facteur. D'après une étude suédoise, le passage à l'heure d'été augmente le risque de crise cardiaque, tandis que le passage à l'heure d'hiver réduit légèrement ce risque. Cette étude, menée par des chercheurs de l'Institut Karolinska de Stockholm et publiée dans la revue de médecine américaine New England Journal of Medicine, montre que pendant la semaine qui suit le passage à l'heure d'été, où les montres sont avancées d'une heure, le nombre d'infarctus augmente de 5 %. Selon cette étude, faite à partir d'une base de données où sont recensées toutes les crises cardiaques survenues en Suède entre 1987 et 2006, ces variations du nombre d'infarctus sont étroitement liées aux effets du changement d'heure sur les habitudes de sommeil et les rythmes biologiques. Chez les animaux, se sont pratiquement les mêmes symptômes qui ont été diagnostiqués, à l'exemple des vaches qui connaissent une baisse de la production laitière en passant de l'heure d'hiver à l'heure d'été. Quant aux répercussions qu'aurait le décalage horaire sur l'environnement, le rapport du groupe de sénateurs français, se basant sur des études scientifiques, affirme que le passage de l'heure d'hiver à l'heure d'été entraîne une augmentation de la concentration maximale en ozone, en moyenne 10 %, et nettement plus pour certaines villes, à l'exemple de Paris. «Dès lors que les déplacements automobiles de la mi-journée ont lieu autour de 14h (soit midi heure solaire), et, surtout, que les migrations du soir se produisent à une heure où le rayonnement solaire reste intense, il n'est pas illogique de supposer que le décalage horaire contribue à la pollution», est-il mentionné.
M. M
Comme chaque année, l'association Sirius d'astronomie a rendu publiques les données relatives à la vision de la nouvelle lune du mois de Ramadan. Ainsi, selon les prévisions scientifiques de Sirius, le croissant de lune ne sera pas visible le mardi 10 août lors du coucher du soleil.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - «La conjonction du mois lunaire correspondant au début du Ramadan 1431 aura lieu le mardi 10 août 2010 à 4h8, heure d'Algérie, ce qui rendra impossible l'observation du croissant lunaire d'Algérie ce jour-là lors du coucher du soleil. En effet, la lune se trouvant directement au-dessus de l'horizon après le coucher du soleil et pour une période si courte (5 mn à Alger) que, de l'avis unanime de la communauté astronomique, ce croissant sera rigoureusement invisible à l'œil nu et même à l'aide d'instruments optiques. Toute prétention d'avoir vu le croissant le mardi soir ne peut être que rejetée et considérée comme erronée», note l'association dans un communiqué de presse rendu public hier. Selon les données astronomiques, la nouvelle lune ne sera visible qu'à partir du continent sud-américain. Ainsi, l'Association Sirius d'astronomie annonce que le mois de Ramadan débutera le jeudi 12 août 2010. «Impossibilité de l'observation visuelle du croissant lunaire le mardi 10 août. Il découle de l'impossibilité de l'observation visuelle du croissant lunaire le mardi 10 août à partir de toutes les localités d'Algérie, que le 1er du Ramadan ne pourra donc être le mercredi 11 août. La complétion du mois de chaâbane à 30 jours impose dès lors que l'on débute le mois de jeûne le jeudi 12 août à la grâce de Dieu. La seule possibilité pour que l'on débute le Ramadan le 11 août est sur la base de l'occurrence de la conjonction avant le coucher du soleil et non sur la base d'une visibilité directe qui, encore une fois, est impossible astronomiquement (…) Ces considérations sont valides pour l'Algérie ainsi que pour tous les pays pour lesquels le 29 chaâbane est le 13 juillet, soit la plupart des pays arabes. Pour les pays tels que le Pakistan et le Maroc, le mois de chaâbane a débuté le 14 juillet, le 29 chaâbane étant le 11 août, et vu que la visibilité du croissant devrait être aisée ce jour-là, ils devraient toutefois commencer le mois de jeûne avec nous, soit le 12 août. Notons que ces données sont en parfait accord avec les rapports et communiqués sur le sujet émanant des différentes instances scientifiques dans le monde.» L'Association Sirius tient toutefois à préciser que «seul le Comité des croissants lunaires du ministère des Affaires religieuses est habilité à émettre la fatwa sur la date effective du début du Ramadan».
T. H.
Actualités
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CHANGEMENT HORAIRE ÉTÉ-HIVER
L’Algérie toujours bloquée |
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Depuis le début des années 1980, toute la communauté européenne a harmonisé son régime horaire en fonction du système «heure d’été, heure d’hiver », aux fins d’économiser l’énergie en réduisant l’éclairage en début de soirée. L’Algérie qui est un pays doté d’un grand capital soleil, où la journée commence généralement très tôt et se termine très tard, pourquoi n’a-t-elle jamais songé à la question ? Suite... |
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POULETS ET VIANDES CONGELÉS IMPORTÉS
Les importateurs tentent de rassurer |
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L’Algérie a déjà réceptionné les premiers arrivages de la viande indienne importée. 4 200 tonnes de viande blanche congelée sont déjà sur le marché. Pour écouler leurs produits, les importateurs de viande rouge et les producteurs avicoles tentent de rassurer le consommateur sur leur conformité. Lesquels ont visiblement encore du mal à convaincre. Suite... |
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ASSASSINAT DE TOUNSI
Une instruction étalée sur la place publique |
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Le contenu du dossier de l’enquête de police, comme celui du dossier de l’information judiciaire ouverte dans l’affaire dite «Ministère public contre Oultache», sont depuis le cinq juillet dernier jetés sur la place publique. Les avocats de la partie civile et ceux de la défense se sont en effet, presque concomitamment et avec un sens avéré de la communication, répandus en déclarations et interviewes sur les conditions dans lesquelles se sont déroulées l’enquête et l’information, pour en souligner ses insuffisances et lacunes, lesquelles seraient multiples et sérieuses. Suite... | |
L’Algérie a déjà réceptionné les premiers arrivages de la viande indienne importée. 4 200 tonnes de viande blanche congelée sont déjà sur le marché. Pour écouler leurs produits, les importateurs de viande rouge et les producteurs avicoles tentent de rassurer le consommateur sur leur conformité. Lesquels ont visiblement encore du mal à convaincre.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Les 260 tonnes de viande congelée indienne réceptionnée par l’entreprise Sotracov ne seront mises à la consommation qu’après l’aval de l’Institut Pasteur et des services vétérinaires relevant du ministère de l’Agriculture et du Développement rural. C’est ce qu’a affirmé hier le P-DG de cette entreprise M. Djahid Zefizef, qui a animé une conférence de presse conjointe avec le P-DG du groupe industriel ONAB. M. Zefizef, est toutefois confiant par rapport à la conformité de ce produit. L’opérateur, qui envisage de mettre à la disponibilité du consommateur la viande indienne à quatre jours du mois de Ramadan, a souligné «qu’en plus de la convention sanitaire conclue entre les deux pays qui encadre l’importation de la viande à partir de l’Inde, le groupe Sotracov a défini un cahier des charges rigoureux reprenant une série d’engagements auxquels doit souscrire tout partenaire potentiel notamment concernant l’agréage du cheptel, l’abattage selon le rite musulman, le ressuyage, le désossage et la découpe, le conditionnement et la supervision de l’opération par les agréeurs du groupe». Pour rappel, la viande congelée indienne sera distribuée à travers les points de vente relevant des filiales du groupe et par le réseau de franchisés. 4 000 tonnes seront importées durant tout le mois de Ramadan et le prix variera selon les parties entre 410 et 560 DA le kilo. De son côté M Boukersa P-dg de l’ONAB, entreprise d’aviculture, qui alimentera le marché avec 4 200 tonnes de poulets congelés, a souligné que 80% de la marchandise sont produites par l’entreprise. «Il ne s’agit pas d’une ponction sur le marché» a-t-il précisé. Le poulet sera cédé à 250 DA le kilo. Cher ? Non, de l’avis de cet opérateur qui soutient que cette opération est destinée en premier aux citoyens à bas revenus. Selon M. Boukersa, le poulet congelé devrait coûter plus cher que le frais pour cause des coûts supplémentaires du stockage, de congélation et de transport. Ce dernier estime que cette politique de congélation n’est nullement à l’origine des flambées des prix du poulet. Puisque, argue-t-il, en juillet de l’année passée, le prix moyen du poulet était de 292 DA le kilo pour ensuite atteindre 330 DA au mois d’août de la même période. Actuellement son prix est de 310 DA. L’ONAB, qui a décidé d’investir dans la grande distribution, produit 20 000 tonnes de poulet par an sur une production nationale de 300 000 tonnes /an «dont 70% proviennent de l’informel ». L’objectif est d’atteindre 60 000 tonnes /an.
S. A.
En dépit de la baisse enregistrée dans les échanges matinaux d’hier, les cours du pétrole se sont maintenus, à Londres comme à New York ou en Asie, à un niveau proche de 82 dollars.
Le recul de la monnaie américaine devant les autres devises comme l’euro et le yen japonais a enflammé le marché et gonflé le prix du baril qui s’installe progressivement au-dessus de son «seuil de résistance» (80 dollars). La conjoncture favorise les achats de matières premières libellées en dollars et l’or noir a gagné plus de cinq dollars en l’espace des quatre dernières séances. Or, la valeur du pétrole résiste à cette glissade du billet vert grâce, notamment, à l’augmentation des commandes des investisseurs munis d’autres devises. Une tendance haussière presque sans conséquence sur le pouvoir d’achat des pays exportateurs, ceux qui commercent avec les fournisseurs européens ou asiatiques surtout, même si les cours remontent ce seuil de résistance. «L’euro a franchi la barre de 1,32 dollar pour atteindre un nouveau point haut en trois mois, tandis que le billet vert est tombé en matinée sous le seuil des 86 yens pour la première fois depuis novembre 2009. La livre sterling a regagné elle aussi du terrain pour avoisiner 1,60 dollar, un niveau qu’elle n’avait plus atteint depuis février, à la faveur de solides indicateurs économiques au Royaume-Uni et d’annonces de fusionsacquisitions », indique le Dow Jones. Un affaiblissement favorisé, analyse le même indicateur, par «les craintes d’un nouvel assouplissement de la politique monétaire aux Etats- Unis». Les analystes cités par l’agence Algérie presse service (APS) prévoient plutôt «le maintien de taux d’intérêt extrêmement bas pour plus longtemps et un dollar plus faible». Hier, sur la place de Singapour, rapporte l’AFP, les cours du brut ont baissé, tout en restant au-dessus des 82 dollars le baril. «Dans les échanges asiatiques matinaux, le baril du Light Sweet Crude pour livraison en septembre a cédé 14 cents à 82,41 dollars le baril, tandis que celui du Brent de la mer du Nord, à échéance identique, a perdu 8 cents à 82,60 dollars le baril», précise-t-on. Idem pour le marché londonien, selon l’APS, où «les prix du pétrole ont connu une légère baisse en début d’échanges européens, après avoir enregistré lundi et mardi d’importantes hausses qui leur ont permis de monter au-delà de 82 dollars, au plus haut depuis début mai». Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre s’échangeait à 81,82 dollars, en recul de 82 cents par rapport à la clôture de la veille. Le «Brut Léger Texan» pour la même échéance a cédé 66 cents et se vendait à 81,89 dollars sur la place newyorkaise (Nymex). Il avait engrangé sur les quatre dernières séances plus de 5 dollars (soit plus de 7 %), soutenu notamment par une forte glissade de la monnaie américaine et des résultats trimestriels d’entreprise de bonne tenue. La série «d’indicateurs défavorables aux Etats-Unis — baisse plus forte qu’attendu des commandes industrielles et repli des promesses de ventes de logements en juin —, n’a cependant pas freiné mardi l’ascension des cours du brut».
L. H et Agences
Sports
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Les filles toujours en stage |
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Quatre filles de l’équipe nationale féminine : Chérifi Naziha, Maharzi Manal, Boumaâraf Nouzha et Bouaârfa Malika sont toujours en stage de préparation à l’hôtel du 5-Juillet (OCO). Suite... |
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FORMULE 1
Fernando Alonso plus motivé que jamais |
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Fernando Alonso a été clair au lendemain de sa deuxième place décrochée au terme du Grand Prix de Formule 1 en Hongrie dimanche dernier : Ferrari doit désormais devenir la meilleure équipe pour remporter le championnat cette saison. Suite... |
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Plusieurs clubs de Premier League convoitent l'Algérien Yebda |
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Le milieu international algérien Hassan Yebda pourrait prolonger son aventure en Premier League de football la saison prochaine, «Hassan possède des contacts en Angleterre, puisque Everton, Fulham, Blackburn et Aston Villa se sont renseignés sur le joueur algérien du Benfica Lisbonne (championnat portugais de 1re division)», a déclaré Karim Yebda, frère et agent du joueur, au journal The Sun, précisant toutefois, qu'aucune approche concrète n'est cependant à signaler. Suite... |
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Sunderland veut se faire prêter Joe Hart |
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Le gardien de but international anglais de Manchester City, Joe Hart, prêté la saison dernière à Birmingham (1re div. anglaise), pourrait cette fois atterrir à Sunderland 1re div. anglaise), selon Steve Bruce, le manageur des Black Cats. Suite... |
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TROYES
Bezzaz retrouve le terrain |
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L'international algérien Yacine Bezzaz (29 ans), souffrant d'une rupture des ligaments croisés, a normalement repris le chemin de l'entraînement avec Troyes, club promu en Ligue 2. Suite... |
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Morientes vers Chypre ? |
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Fernando Morientes n'a pas encore pris sa retraite. S'il a résilié son contrat le liant à l'OM, l'attaquant espagnol a bien l'intention de poursuivre sa carrière. Suite... |
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LIGUE 1
Niang : «L'OM va respecter mon choix» |
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Décidé à quitter Marseille, Mamadou Niang estime, dans un entretien à L'Equipe, que ses dirigeants, décidés à le garder, lui doivent cette reconnaissance. «Je pense avoir rendu au club tout ce qu'il m'avait donné», argumente le précieux attaquant. Suite... |
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Monde
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Le Darfour au menu d'un entretien Béchir-Kadhafi à Tripoli |
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Le président soudanais Omar el-Béchir a discuté hier avec le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi de la situation au Darfour, peu après son arrivée à Tripoli pour une visite officielle de deux jours, a rapporté l'agence libyenne Jana. Suite... | Culture
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UN ÉTÉ BIEN AU SHOW
Toutes divas et tous crooners… |
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Effet du village audiovisuel planétaire, les Algériens et les Algériennes connaissent bien Gokhan Tepe à travers la série TV turque Elveda derken (Lahadhat wadaâ). Aussi, ils (surtout les ados) ont accouru pour le voir à l’œuvre au Festival de Timgad puis au Théâtre de verdure de Sidi Fredj. Suite... |
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FESTIVAL DE RAÏ DE SIDI-BEL-ABBÈS
L’heure des bilans |
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Le stade des Trois-Frères- Amarouche qui a abrité la 3e édition du Festival national de raï était plein à craquer lors de sa 5e soirée avec la production de cheb Abdou qui a enflammé le public en puisant dans son répertoire, notamment les chansons de Ki endir oua dir leh, Ballak ballak, Appel masqué et bien d’autres tubes. Suite... |
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ACTUCULT |
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CASIF DE SIDI FREDJ
-Aujourd’hui à 22h, concert de Réda Sika et Farouk Mediterano
-Vendredi 6 août, à 22h, concert de Sadek El-Marrakchi et cheb Hassen Suite... |
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La 49e wilaya ! |
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Nouveau rebondissement dans l’affaire de l’otage français
mort au Mali. Il n’aurait pas été assassiné par Al Qaïda. Mais
aurait succombé à une bavure commise…
…par des hélicoptères français
Non ! Tous les chantiers lancés en Algérie ne sont pas en souffrance. Certes, le tramway ne sera finalement pas livré avant 2012 comme le révèle Le Soir d’Algérie, mais cela ne veut pas dire que les autres projets n’avancent pas dans cette Algérie des grands chantiers ouverts par Abdekka. Et je ne parle pas comme ça, en l’air, à la légère. Non ! J’ai des preuves que des projets avancent. Et sont même sur le point virgule d’aboutir. Enfin… j’ai une preuve : CLUB DES PINS 2 ! Aaaaaaaah ! Le beau chantier que voilà ! Pas de retards ! Pas de malfaçons. De la belle ouvrage ! Qui a dit que nous ne pouvions pas aller jusqu’au bout de nos réalisations ? C’est donc fait ou presque. Après CLUB DES PINS 1, l’Algérie se dote de CLUB DES PINS 2. Encore un beau et immense portail fermé au nez de 35 millions d’Algériennes et d’Algériens, moins quelques-uns d’entre nous qui ont le nez naturellement creux. Encore de longues queues en été pour espérer trouver son nom griffonné sur une liste que consultera d’un œil torve un gendarme terrassé par la chaleur et l’humidité. Encore des bolides-discothèques slalomant entre les résidences avec piscine et des jetskis fendant l’écume et les baigneurs. Encore des «saluuuuut Coco ! T’as vu mon 4X4 Cayenne ? C’est papa qui me l’a offert pour ma… 6e !». Encore ce jeu tellement mignon et sympa des enfants de résidents qui kidnappent l’un des leurs, le torturent dans l’une des villas pour le jeter ensuite, presque mort dans un fossé. Encore des tours et des miradors que l’on surélève de peur que la bave des gueux du dehors ne submerge les anciennes clôtures décidément conçues trop basses par les architectes. Encore Foufou, Fafa, Fifi et Fanfan en virée nocturne chez leur gentil dealer, parce qu’il faut bien surmonter le spleen et le stress d’un coucher de soleil sur CLUB DES PINS, à quelques jours seulement du Ramadan. Encore de ces bruits de basse-cour en provenance des jardins gazonnés «alors, et toi ? Omar est maintenu après le dernier mouvement ? Moi, Rachid a eu une promotion, et nous allons passer aux villas 7 pièces. Parce que tu sais, avec la 2e femme de ménage, une couchante, on commençait à être à l’étroit dans la villa 6 pièces». Encore et encore. Et y a pas de raison de s’en arrêter là. Après CLUB-DES-PINS 2, il faudra vite lancer les 3, 4, 5…. Jusqu’à en faire une wilaya. En bonne et due forme. La wilaya du Club des Pins. Laquelle sera bien évidemment flanquée à sa frontière administrative de la seule plaque possible : «La wilaya des Clubs des Pins, 1, 2, 3, 4 et suivants ne vous souhaite pas la bienvenue». Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
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