Actualités :
LE BONJOUR DU «SOIR» Moussa Hadj et Hadj Moussa
Par Maamar Farah Il y a quatre années de cela, nous accueillions l'élection d'Obama avec grande satisfaction après le règne de la terreur d'un certain Bush junior. Certes, le premier président noir de l'histoire des Etats-Unis n'appuie pas aussi rapidement que son prédécesseur sur la gâchette, mais dans le genre western, ce serait plutôt le pasteur du coin qui prêche la paix mais encourage la guerre ! Avant sa venue, il y avait un ou deux conflits qui traînaient et dont on savait qu'ils étaient perdus d'avance pour les Yankees, comme d'habitude, et l'éternelle question palestinienne... A l'heure où il remet son mandat sur le tapis, c'est la bouillabaisse de l'Atlantique au Golfe alors que, pour la première fois, un président américain reconnaît El Qods comme capitale de l'Etat d'Israël ! Voilà pourquoi, vue d'ici, cette élection paraît fade et sans relief : c'est l'Oncle Sam qui joue contre Sam l’Oncle et la victoire de l'un ou de l'autre n'apportera pas la paix aux peuples arabes dominés par un islamisme new look soutenu par Washington, et encore moins l'espoir pour les Palestiniens ! maamarfarah20@yahoo.fr «Le lion et le veau devraient se coucher côte à côte mais le veau ne dormirait pas beaucoup.» (Woody Allen)
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Actualités : TROIS JOURS APRÈS La campagne électorale peine à démarrer
Plus que durant les dernières élections législatives, l’ambiance qui caractérise la campagne électorale pour les élections locales du 29 novembre prochain est empreinte d’une cascade de couacs qui ajoutent un peu plus à une indifférence presque généralisée des populations à l’égard de ce scrutin qui les intéresse, pourtant, au plus haut point. M. Kebci - Alger (Le Soir) - Et pour cause, tous les partis ou presque crient à des retards tous azimuts enregistrés alors que la campagne électorale a consommé, hier, son troisième jour. Des retards qui ont fait qu’on était encore, hier, au niveau de la Commission nationale de surveillance des élections nationales, à la répartition du temps de passage des partis et autres listes indépendantes dans les médias lourds (radio et télévision). Encore que ce tirage au sort ne concernait que les trois premiers jours de la campagne déjà consommés et qui se poursuivra au gré de l’avancement de cette dernière. Des cafouillages immenses ont caractérisé cette opération du fait du grand nombre de partis en lice (52) et de celui des listes indépendantes et des alliances au nombre de 7, avec un temps de passage de 10 minutes concédé à tout le monde à raison de quatre passages, que ce soit à la radio ou à la télévision, en plus du quota d’unités de temps de passage que le tirage au sort octroiera à chacun des participants. La même contrainte du nombre a été derrière aussi l’opération d’attribution des numéros d’identification pour chaque parti, alliance ou liste indépendante en lice. Un numéro unique national concernant celui porté sur les affiches et pouvant varier d’une wilaya à une autre concernant celui lié à la campagne électorale proprement dite. Une phase qui n’a été achevée que vendredi dernier après plusieurs tirages au sort et qui est derrière le retard accusé par les uns et les autres dans la confection des affiches et autres supports de campagne comme prospectus et dépliants. Aussi, le retard enregistré dans l’installation des appendices locaux de la Cnisel, au niveau des wilayas et des communes, opération finalisée avant-hier seulement, selon Mohamed Seddiki, a fait que tous les partis n’ont pu, jusqu’à hier, initier une quelconque activité publique même si l’administration claironne avoir mis à la disposition de tout le monde pas moins de 4 313 structures d’accueil pour ce faire, entre stades, espaces publics et autres infrastructures. Mais pas que ces facteurs qui expliquent le cafouillage de cette campagne électorale. Nombre de partis politiques participent à ces joutes sans trop de conviction, manière pour eux de marquer juste leur présence et ne pas courir le risque d’un effacement pur et simple de la scène politique nationale. M. K.
Actualités : REJET DE LA TAXE CARBONE IMPOSÉE PAR L’UE Les compagnies arabes soutiennent la position de l’Algérie
Par la voix du P-dg de la compagnie aérienne nationale, l’Algérie réitère son rejet de la taxe carbone imposée par l’Union européenne à toutes les compagnies survolant son espace aérien. Les pays arabes prenant part à la 45e Assemblée générale de l'Organisation des transporteurs aériens arabes (AACO) s’alignent sur sa position en attendant l’arbitrage de l’IATA. Nawal Imès - Alger (Le Soir) - Les travaux de l’Organisation des transporteurs aériens arabes ont donné l’occasion à l’Algérie de réaffirmer son opposition à la décision de l’UE d’introduire une taxe applicable à toutes les compagnies. Mohamed Seghir Boultif, s’exprimant lors de l’ouverture des travaux de l’AACO, n’a ni plus ni moins appelé l’Union européenne à mettre fin à une mesure qui, dit-il, a été prise de manière unilatérale et en contradiction avec la réglementation régissant le transport aérien international et avec le respect de la souveraineté des pays. Une position que partagent les compagnies des pays arabes prenant part aux travaux de l’organisation. Son secrétaire général, Abdelouahab Toufaha, affirmait hier qu’il soutenait la démarche de l’Algérie. Il considère qu’en imposant la taxe carbone, l’UE portait atteinte à la souveraineté des pays et violait la réglementation régissant le transport aérien dans le monde. «Sachant que l’UE est une organisation politique, il revient donc aux gouvernements de réagir et de contester ces mesures et décisions d'ordre international. Les compagnies aériennes commerciales vont suivre après. Même si les positions des Etats ne sont pas toutes claires, il est bon de savoir qu’il existe un consensus international sur la non-conformité de cette mesure européenne», estime-t-il. Commentant les arguments liés à la protection de l’environnement développés par l’UE, le secrétaire général de AACO a affirmé que les compagnies aériennes membres étaient en mesure de prendre leurs responsabilités en matière de protection de l’environnement. D’ailleurs, un arbitrage a été sollicité, notamment par l’Algérie, auprès de l’IATA afin de démontrer le caractère arbitraire de cette mesure. Une action concertée qui doit ouvrir la voie à une plus grande coopération. C’est d’ailleurs le vœu du P-dg d’Air Algérie qui espère une coopération plus efficace entre compagnies pour faire face à un environnement de plus en plus concurrentiel auquel il faut faire face avec des décisions concrètes qui puissent permettre une amélioration des services aéroportuaires, comme la maintenance et une réduction de leurs prix. Les travaux de la 45e Assemblée générale de l'AACO doivent, à cet égard, offrir l’opportunité aux pays membres de trouver les meilleures voies et moyens pour arriver à mieux défendre leurs parts de marché au niveau international. Des solutions qui ne peuvent être identifiées sans volonté politique, affirme le secrétaire général de l'AACO, Abdelouahab Toufaha, qui affirme que le développement du transport aérien dans les pays arabes «exigeait une volonté politique de la part des Etats». Il estime prématuré de parler de bloc de compagnies aériennes arabes selon le modèle européen où les compagnies détiennent 25% du marché mondial tandis que la part de marché des compagnies aériennes arabes est passée de 3% en 2001 à plus de 10% en 2011. Une progression tant au plan domestique qu’à l’international en dépit des turbulences traversées par certains pays arabes. Les travaux de l’Assemblée générale de l'Organisation des transporteurs aériens arabes qui se sont poursuivis hier à huis clos prendront fin aujourd’hui. N. I.
Sports FOOTBALL LES TROIS POINTS POUR L'USMH ET 4 MATCHES À HUIS CLOS POUR LA JSS Un verdict et des interrogations MOHAMED ZEROUATI ANNONCE SA DÉMISSION «C'est une grosse injustice» MOHAMED LAÏB : «Je n'ai pas douté de la compétence de la CD/LFP» MÉMENTO Hogra !Sports : FOOTBALL LES TROIS POINTS POUR L'USMH ET 4 MATCHES À HUIS CLOS POUR LA JSS Un verdict et des interrogations
La commission de discipline de la LFP, présidée par Abdelhamid Haddadj, a tranché dans l’affaire du match JS Saoura-USM Harrach qui n’est pas allé à son terme suite à l’envahissement du terrain du stade de Béchar. L’arbitre de la rencontre, Abid Charef, ayant constaté «l’absence de sécurité», a décidé l’arrêt définitif de la partie alors que les Harrachis menaient au score (1-2). La CD de la Ligue de football professionnel a reçu toutes les pièces concernant ce dossier. Les membres de la commission ont même demandé (à qui ?) un complément d’informations à ce sujet. Ce complément a conclu à la responsabilité du club de la JSS dans ces graves dérapages sans épargner les Harrachis qui paieront, tout compte fait, une amende de l’ordre de 100 000 DA, «sans préjudice des indemnités financières qui seront demandées par le gestionnaire du stade au constat de dégradation de matériel». Quelque part, la commission de Haddadj reconnaît l’implication des fans d’El-Harrach dans ce qui s’est passé vendredi dernier à Béchar. Pourtant, à l’annonce du verdict, c’est la JSS qui paie le plus gros des pots cassés. Outre les points du match, la JS Saoura ayant été déclarée défaite sur tapis vert, est contrainte de disputer quatre matches à huis clos dont deux à l'extérieur, en plus d'une amende de 200 000 DA, a indiqué le P-V n°08 daté du 5 novembre publié, hier, sur le site de la Ligue de football professionnel (LFP). La JSS sera, par ailleurs, privée de l'indemnité due au titre des droits de télévision. Le verdict de la LFP, permet à l’USMH de partager à nouveau le leadership avec l'ES Sétif (20 points) alors que la JSS régresse à la 11e place (12 points). Le WAT et le MCO également pénalisés Si la décision de suspendre le terrain de Béchar pour deux matches (contre l’USMA et l’ASO) était attendue puisque consignée dans le barème disciplinaire notamment son point relatif à l’arrêt définitif des matches pour cause d’envahissement du terrain, la sanction complémentaire (huis clos à l’extérieur) est abusive. Le WAT et le MCO, à qui les gars de la Saoura rendront visite à l’occasion des 10e et 13e journées, n’ont pas à payer pour des incidents qui se sont déroulés à mille lieues de leurs stades respectifs (Akid Lotfi et Zabana en l’occurrence). A moins que Haddadj et ses pairs de la CD soient des visionnaires et imaginent un envahissement des terrains de Tlemcen et d’Oran par les fans de la JSS, cette sanction est inique puisqu’elle prive les deux clubs de l’Ouest, outre du soutien de leurs supporters, des recettes générées par ces deux rendez-vous contre le néo-promu. Autrement vu, les matches à huis clos à Tlemcen et Oran peuvent s’avérer une «compensation » concédée aux gars de la JSS dont l’équipe réussit parfaitement ses sorties à l’extérieur (victoire à Bordj Bou-Arréridj et deux nuls respectivement à El-Eulma et Batna). A propos de ce complément de sanction, le communiqué de la LFP ne donne pas d’explication, encore moins une référence réglementaire. Dans le barème disciplinaire révisé en juin 2012, l’article 72 point 2 traitant de l’envahissement de terrain entraînant l’arrêt définitif de la partie stipule, «un match perdu par pénalité au (x) club(s) fautif(s), deux matches à huis clos au (x) club (s) fautif (s), un (1) an de suspension ferme de toute fonction officielle pour le dirigeant fautif et cent cinquante mille dinars (150 000 DA) d’amende au (x) dirigeant( s) fautif (s). Le ou les club (s) fautif (s) seront privés de l’indemnité due au titre des droits de télévision». L’article suivant (73) traitant les «incidents graves» propose une aggravation de la sanction (match perdu, six matches à huis clos et 400 000 DA d’amende en sus de la privation du club fautif de ses droits TV). Le point 1 du même article évoquant «tous les incidents graves sans dommages physiques survenus et signalés sur la feuille de match et entraînant l’arrêt définitif de la rencontre» propose, quant à lui, «un match perdu par pénalité, quatre matchs à huis clos et 300 000 DA d’amende». L’on ne peut, alors, que soupçonner l’ijtihad (effort de réflexion) de la commission Haddadj soit une forme de règlement de comptes envers un club qui dérange. Ce n’est pas un hasard, en effet, que la JSS soit traînée dans la boue dans une affaire de graves violences de ses fans une semaine après les accusations livrées à l’opinion publique concernant une tentative de corruption de la part du président de la JSS de plusieurs joueurs du CA Batna. Une affaire qui risque, elle aussi, d’être noyée dans une enquête qui s’estompera dès lors que le boss de la JSS, Mohamed Zerouati, aura quitté le milieu du football. M. B.
Troubles à Béchar Des manifestations et troubles à l’ordre public ont eu lieu hier matin à Béchar, après l’annonce des sanctions infligées à l’équipe locale de la JS Saoura par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP), a constaté un journaliste de l'APS. D’importantes forces de maintien de l’ordre ont été déployées à travers plusieurs endroits de la ville pour rétablir l’ordre. «Aucune arrestation n’a été enregistrée pour le moment par les forces de l’ordre qui continuent à faire face à la situation», a indiqué un responsable de la Sûreté de wilaya.
Culture L’ARTISTE A ÉTÉ TRÈS ÉMU L’anniversaire de Ahmed Serri fêté par l’association El-Anadil L'ARTISTE PEINTRE TUNISIEN MONSEF SOUABENI «La démocratie en Tunisie est un acquis irréversible» Le coup de bill’art du Soir Ouled Fayet entre l’opéra et la décharge ACTUCULT
Culture : L’ARTISTE A ÉTÉ TRÈS ÉMU L’anniversaire de Ahmed Serri fêté par l’association El-Anadil
Ce fut lors d’une cérémonie infiniment émouvante, organisée par l’association musicale El-Anadil d’Alger, que le 86e anniversaire de maître Ahmed Serri a été célébré. Des moments d’allégresse mais surtout d’émotion ont été vécus, l’espace d’une soirée, par Ahmed Serri qui, en présence de ses amis et disciples, a soufflé ses 86 bougies sous l’intonation enthousiaste de «happy birthday to you» que lui ont agréablement chanté les élèves d’El-Anadil. Très touché, il ne pouvait rester indifférent à cet instant musical plein de saisissement et de surprise. Ahmed Serri contenait à peine ses larmes. Son élève Youcef Ouznadji, chef d’orchestre d’El-Anadil, et les membres de cette association ont su, à leur manière, comment rendre heureux un maître qui leur a tout donné. Mais avant, ce même orchestre, composé de 14 filles et 6 garçons, a interprété pour lui une série d’ enqilabatdont le nostalgique Ya assafi ‘ala ma madha (ô mon regret pour le passé), histoire de lui rappeler les moments fastes d’une jeunesse entièrement consacrée à la glorification de la musique chère à son professeur Abderrezak Fekhardji. Dans la même lancée, ils ont interprété des pièces musicales ayant une symbolique tout indiquée pour la circonstance. Sabri qalil hine noufakir (ma patience est chancelante lorsque je me remémore) est un autre inqilab dans le mode mezmoum fredonné par les interprètes. Heureux qu’il fût, Ahmed Serri, qui ne pouvait espérer mieux que cette angélique hommage, a savouré pleinement l’occasion. Un autre disciple, en la personne de Mahmoud Hadj Ali, lui interprétera une pièce lyrique du barde marocain Sidi Kaddour El’Alami intitulée Achqi ma hanani (ma passion m’a causé infortune et adversité). Il clôtura la soirée par une poésie très chère à Serri, à savoir la chanson ayant pour titre Men yebat eyra’î lehbab (celui qui languit à attendre les amis) du meftialgérois Mustapha Benkbabti, exilé en 1842 à Alexandrie par l’armée française et mort dans son exil en 1860. Il est à noter que Ahmed Serri est né le 3 novembre 1926 à Alger et vient de sortir une anthologie de la musique araboandalouse composée de 44 CD. M. Belarbi
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L’avenir est dans le garage ! |
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Par Hakim Laâlam Email : hlaalam@gmail.com |
Il est faux de déclarer que les prochaines élections n’intéressent pas grand monde. C’est même absurde ! Ce scrutin intéresse au plus haut point les …
…imprimeurs d’affiches !
Moi, ça y est ! J’ai décidé d’arrêter la chronique. D’arrêter le journalisme tout court ! Ou plutôt le «saltimbanquanisme ». Oh ! Il ne s’agit pas d’un coup de tête. C’est juste que ça ne peut plus durer. Ça ne nourrit pas son homme. Et de toutes les façons, c’est décidé, j’arrête parce que j’ai trouvé une voie de reconversion royale. Le truc infaillible qui était là, en face de mes yeux, et que je ne voyais pas. J’ai un garage. Je ne m’en servais jusque-là que pour y garer ma voiture. Logique, me direz-vous ? Pas si sûr ! Car la fonction «garage» a vachement évolué chez nous, et moi et ma naïveté étions à la traîne. Ainsi, mon local garage, je le loue à partir de demain à un parti politique. Attention, je cherche à me faire un peu plus d’argent que dans le journalisme, mais tout de même ! Mon garage, je ne le louerais pas à un parti islamiste. Jamais ! J’ai des principes, moi, Môssieur ! Et donc, je vais louer mon local à un parti démocratique. Comment ça «et après ?». Après la campagne et le vote ? Eh bien, je louerais mon garage durant le Ramadan. Y a un tas de personnes qui me verseraient un loyer faramineux pour que je leur loue mon local afin qu’elles y préparent des gâteaux du Ramadan. Un mois d’odeurs fortes de fritures et de nappages, ça ne me gêne pas ! Je fermerais mes fenêtres au-dessus du garage, et s’il fait trop chaud, j’achèterais un climatiseur avec l’argent de la location. Quoi, «le Ramadan ne dure qu’un mois» ? Mais je sais bien que le Ramadan dure un mois. J’en souffre assez de le savoir. Et qu’est-ce qui vient tout de suite après le Ramadan, gros malins ? L’Aïd. Le petit Aïd ! Petit Aïd, mais grands profits. Je le sais, puisque d’ores et déjà, une connaissance veut louer mon garage afin d’y vendre des vêtements et des jouets, produits très prisés en cette période. Bon, je vous l’accorde, c’est une location d’une semaine. Mais une semaine au prix fort. Et puis, après, y a le Mouloud ! Ah ! Le Mouloud ! Au minimum 15 jours durant lesquels mon local servira de point de vente pour les pétards et autres produits pyrotechniques. Ne vous inquiétez surtout pas pour le bruit, car entre-temps, avec l’argent de la location pour le petit Aïd, j’aurais fait installer un double vitrage isolant. Et puis, n’oubliez pas que j’ai la clim, achetée avec le fric de la location du Ramadan. Et ma voiture dans tout ça ? Où je la gare ? Mais je la vends ma voiture ! Que voulez-vous que je fasse d’une vieille guimbarde alors que je n’ai plus besoin de sortir pour aller travailler. J’ai juste à descendre de temps à autre quelques marches pour louer mon garage à un nouveau client. Rien à faire de la voiture ! Tiens ! A ce propos justement ! Je me demande s’il n’y aurait pas quelques concessionnaires intéressés par mon garage. Il ferait un excellent showroom ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue. H. L.
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