0018-/-ACTUALITÉS Du Mercredi 18 Janvier 2017
الاربعاء 18 جانفي 2017 م
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الاربعاء 20 ربيع الثاني 1438 ه
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ACTUALITÉ
Intempéries : au moins 140 établissements éducatifs fermés à Bejaia
Intempéries: 34 routes nationales et 64 chemins de wilayas obstrués à travers le territoire national
Plainte des islamistes contre Nezzar à Genève : Le tribunal suisse classe l’affaire
Boycotte des élections législatives : Le parti de Benflis dénonce les déclarations de Bedoui
Fortes chutes de neige à l’est du pays : Mobilisation générale pour secourir les populations isolées
Les partis de l’opposition refusent de céder à la menace
Secte Ahmadiya : Arrestation de sept membres à Alger
Consultations gouvernement-syndicats : Main tendue ou dialogue conjoncturel ?
Les syndicats de l’éducation maintiennent la pression
La présidence instruit les services de sécurité : Ali Benhadj interdit de quitter Alger
SPORTS
CAN-2017 : Les trois changements de Leekens
Adversaires des Verts demain : Les Tunisiens se préparent dans la discrétion
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1re journée de l’Algérie, la Tunisie et du Maroc : Les trois équipes maghrébines débutent mal
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ECONOMIE
BNA-Métro: Signature d'une convention pour l'installation des Terminaux de paiement électronique
Abdelghani Mebarek DG de l' ANDPME : « 23 PME pour 1000 habitants mais beaucoup reste encore à faire »
Rupture d’approvisionnement en gaz en France : Engie évoque l’arrêt des livraisons algériennes
Selon le secrétaire général de l’OPEP : Le marché pétrolier sera stable en 2017
Salon Djazagro : 740 exposants attendus
Marché pétrolier : Le schiste américain revient en force
INTERNATIONAL
Mali: plus de 80 morts dans un attentat kamikaze à Gao
Italie : La constante solidarité avec les Sahraouis
Bruxelles alerté sur la spoliation des ressources naturelles de la RASD
Côte d’Ivoire : Nouvelles mutineries dans plusieurs villes
Rétrocession de deux îlots à l’Arabie Saoudite : La justice égyptienne annule la décision
Conférence de paris pour la paix au Proche-Orient : La solution à deux Etats pour mettre fin au conflit israélo-palestinien
CULTURE
« Netherworld » de la troupe tunisienne Clandestino : Demasquer les mascarades
Le spectacle avance masqué et c’est dommage pour les performances techniques et celles des comédiens
Nouvelle scène française : Joyce Jonathan en concert a la salle atlas
La pièce syrienne Al nafidha au Festival du théâtre arabe à Oran : Une petite lueur dans le noir
Représentation de la pièce El Ors el moutawahich (Jordanie) : Les noces de la cruauté
Festival du théâtre arabe : Les non-voyants à l’honneur
Concert de Farid Khodja à Ibn Zeydoun : Quand l’histoire est racontée avec des rythmes andalous !
Plainte des islamistes contre Nezzar à Genève
Le tribunal suisse classe l’affaire
le 18.01.17 | 10h00
Après avoir obtenu victoire dans trois procès en France, l’ancien ministre de la Défense nationale, Khaled Nezzar, réussit à faire débouter deux plaintes déposées à Genève par d’anciens militants du FISdissous installés en Suisse. La justice helvétique a ordonné, hier, le classement de la procédure, après cinq années d’instruction, pour «faute de preuve».
Le général à la retraite Khaled Nezzar vient de gagner le procès intenté contre lui, le 20 octobre 2011 à Genève, par deux anciens militants du FIS dissous, Ahcène Kerkadi et Seddik Dadi, refugiés en Suisse et représentés par l’ONG Track Impunity Always (Trial). Dans un communiqué rendu public hier, Khaled Nezzar déclare : «Les plaignants, actionnés par les mêmes cercles anti-algériens à partir de certaines capitales européennes, avaient été poussés à mener une action de propagande ‘retentissante’, alors que leurs méfaits continuent à discréditer l’islam et à jalonner les soulèvements dans les pays arabes.
Ces activistes croyaient pouvoir, ainsi, réussir un coup d’éclat pour rattraper l’échec cuisant qu’ils avaient essuyé devant les juridictions françaises à Paris, quinze ans plus tôt. Le procureur fédéral a, en effet, prononcé une ordonnance conformément à l’article 319 du code de procédure pénale suisse, qui stipule que ‘le ministère public ordonne le classement de la procédure lorsque aucun soupçon justifiant une mise en accusation n’est établi ; lorsque les éléments constitutifs d’une infraction ne sont pas réunis ; lorsque des faits justificatifs empêchent de retenir une infraction contre le prévenu ; lorsqu’il est établi que certaines conditions à l’ouverture de l’action pénale ne peuvent pas être remplies’.»
Ainsi, après une instruction qui aura duré cinq longues années, au cours desquelles le tribunal de Berne a entendu de nombreux témoins à décharge, dont l’ancien procureur du tribunal militaire de Blida, le colonel Belgacem Boukhari et le général à la retraite Merzak Maïza, qui ont été auditionnés en 2015, les plaignants ont été «déboutés faute de preuves». Ciblé en tant qu’ancien ministre de la Défense nationale, Khaled Nezzar était accusé par les deux anciens militants du parti dissous d’avoir été à l’origine des actes de torture qu’ils auraient subis en 2003 et en 2008.
En homme d’Etat, il a répondu à toutes les convocations de la justice helvétique, et ce, depuis son interpellation le 20 octobre 2011 par la police, à Genève, pour être entendu par le procureur fédéral suisse à la suite des deux plaintes des ressortissants algériens, appuyées par une autre de Trial. Après une longue instruction, les allégations des plaignants vont s’avérer infondées, et le tribunal a décidé hier de «classer l’affaire faute de preuve». C’est la troisième fois que le général Khaled Nezzar obtient une victoire contre ses détracteurs, tous des militants de l’ex-parti dissous et fervents défenseurs du «qui tue qui ?» soutenus par des milieux hostiles à l’Algérie républicaine, celle qui s’est dressée seule contre le terrorisme islamiste.
En juillet 2002, le parquet de Paris avait classé «sans suite» la plainte déposée par neuf islamistes installés en France contre l’ancien ministre de la Défense nationale pour «tortures et traitement inhumains et dégradants» en raison de «l’absence d’élément grave ou concordant reposant sur le général Nezzar au regard de cette plainte». Il en est de même pour une autre plainte déposée en 2001 par un ancien du parti dissous, qui avait quitté la prison en 1995 avant de débarquer en France en l’an 2000.
Salima Tlemçani
Elections législatives : Les partis de l’opposition face au spectre de la fraude
le 17.01.17 | 10h00
Depuis l’avènement du multipartisme, boycotter ou participer à une élection n’a jamais empêché le système de se maintenir au pouvoir en usant et abusant de la fraude.
Une élection en Algérie n’est jamais une opération normale, c’est même un acte volontaire d’usurpation de la volonté du peuple. Un détournement organisé de la volonté populaire. Cet état de fait ne peut toutefois pas empêcher un parti politique de participer à une élection.
L’absence de liberté et la fermeture de l’espace public au débat et à l’organisation des citoyens offrent une légitimité aux formations politiques de jouer la carte électorale afin de maintenir ce lien organique avec une base en attente de changement ; de bénéficier d’espaces pour la mobilisation des citoyens autour de leurs projets ; de se garantir des ressources leur permettant de survivre.
Il est difficile toutefois pour les formations politiques d’entrer dans le jeu électoral tout en ayant des réserves sur sa transparence. Depuis l’avènement du multipartisme, boycotter ou participer à une élection n’a jamais empêché le système de se maintenir au pouvoir en usant et abusant de la fraude. Ce procédé, hérité de l’époque coloniale, continue de servir au pouvoir d’outil de maquillage des résultats des élections et fabriquer des majorités artificielles et acquises.
Le défi qui se pose aux partis politiques est de convaincre les électeurs, en cette année d’austérité financière, d’aller aux urnes au risque de voir leurs voix passer à la boîte magique de la fraude. Mais l’abstention sanctionnerait plus l’opposition que le pouvoir. Ce dernier, qui est entièrement responsable de la situation sociale et économique catastrophique, se sert de l’absence des électeurs pour faire voter même les morts et multiplier les votes des corps constitués. Le non-accès au fichier électoral laisse d’ailleurs planer le doute sur la transparence des élections.
Le spectre de la fraude pèse donc sur la prochaine échéance électorale comme il a plané sur les précédentes. Les partis politiques ne cessent d’ailleurs d’alerter sur les conséquences d’une énième usurpation des voix des électeurs. Le FFS avait commencé en émettant des réserves sur la démarche de désignation du président de la Haute commission nationale de surveillance des élections.
«Une véritable représentation sociale et politique du peuple algérien passe par une mobilisation de l’ensemble des compétences et énergies nationales dans un cadre institutionnel démocratique enfin capable de mettre les ressources matérielles et immatérielles de l’Algérie au service des Algériens», avait écrit le FFS dans sa réponse à la présidence de la République.
Le Parti des travailleurs alerte quant à lui sur les risques que peut engendrer une autre fraude électorale : «Ces élections législatives vont être décisives pour le pays. Soit elles vont être l’occasion pour notre pays de prendre le chemin de la démocratie, de la paix, du progrès et du développement en respectant la volonté du peuple (…), soit ces élections vont plonger le pays dans l’instabilité et l’inconnu.»
Une élection ne se réduit pas à un duel partis-pouvoir, elle engage la relation entre gouvernants et gouvernés. Si les gouvernants veulent maintenir le confort que leur procure le statu quo en raflant illégitimement les voix des Algériens, comment et quand se manifestera la volonté des gouvernés ?
Nadjia Bouaricha
GAZ ALGÉRIEN VERS LA FRANCE Un litige entre la Sonatrach et les acheteurs français a conduit à une baisse des livraisons algériennes en GNL (gaz naturel liquéfié), qui a eu un impact direct sur la production de l'électricité dans l'Hexagone. Hier, l'exploitant français du réseau de gaz, GRTgaz, a carrément accusé la Sonatrach d'avoir annulé plusieurs commandes destinées à l'approvisionnement de ses stocks tout en évoquant une situation de force majeure en Suite... |
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