0061/-/ACTUALITÉS Du jeudi 02 mars 2017
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Algérie - Prévisions météo du jeudi 02 mars 2017
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ACTUALITÉ
La journaliste algérienne Samira Mouaki, blessée en Irak, de retour au pays
Air Algérie: des vols déroutés vers Constantine en raison du brouillard
Plus d’un million de naissances par an : La pression démographique de retour
Candidatures aux élections législatives du 4 mai prochain : L’argent fait son poids à Sétif
Candidatures aux élections législatives du 4 mai prochain : Déclassements, cafouillage et corvée des signatures à Béjaïa
Fatma Oussedik. Professeure de sociologie et chercheure au Cread : «La bombe à retardement c’est le fait que l’économie ne repose pas sur le travail»
Dr Bedrouni Mohamed. Professeur à l’université de Blida et démographe consultant au Centre d’études et d’analyses pour la population et le développement (Ceneap) : «Le baby-boom peut constituer une réelle bombe»
Moins nombreuses, les femmes vivent plus longtemps que les hommes !
Le cancer touche 0,2% de la population
L’Apoce a présenté des factures pro forma pour l’importation de produits : Hausse des prix et pratiques illicites
SPORTS
Election de la FAF : Raouraoua temporise
MOB - JSK : Un derby pour la survie
MJS : La loi 13-05 sera révisée
LFP – Sanctions : Huis clos pour trois clubs
FALA : Rabah Chebah reconduit pour un second mandat
RC Kouba : Bouzidi succède à Boudjaârane
ECONOMIE
Développement des énergies renouvelables : Pour un cadre réglementaire incitatif
Touffik Fredj. PDG de GE Afrique du Nord-Ouest : «Le potentiel photovoltaïque de l’Algérie est important»
Batistore/Jumia : Un service e-commerce est lancé
Transition énergétique : La BM met l’Algérie en demeure
Fiscalité pétrolière : Une baisse de 120 milliards de dinars
Mobile World Congress : Huawei dévoile le P10 et le P 10 plus
INTERNATIONAL
Affaires judiciaires du candidat François Fillon : C’est la «présidentielle qu’on assassine»
Discours du président américain devant le congrès : Pour une politique étrangère liée aux intérêts de la nation
Une réforme de l’immigration «au mérite»
Sahara occidental : Les syndicalistes espagnols hostiles à la tenue du Forum de Crans Montana à Dakhla
L’ONU dénonce les violences «atroces» dont ils font l’objet en Birmanie : Le massacre des Rohingyas continue
17e édition du Sahara marathon : Les Coureurs de solidarité pour un Sahara libre
CULTURE
Les pussy riot se lancent dans le théâtre à New York : Elles croquent la grande pomme
Vu à la télé : Circulez, il n’y a rien à voir… !
Un site internet opérationnel à partir de la mi-mars : Début des festivités du centenaire de la naissance de Mouloud Mammeri
Saddek El Kebir. Editeur, conteur, écrivain, producteur et réalisateur : «On veut même priver les enfants de ce film»
Danse
Ici et ailleurs, nouvel album du chanteur Idir : Sortie le 7 avril prochain
Plus d’un million de naissances par an
La pression démographique de retour
le 02.03.17 | 12h00
L’évolution des indicateurs démographiques n’a pas affecté la répartition de la population ces dernières années.
L’Algérie compte 41,2 millions d’habitants au 1er janvier 2017, avec un excédent naturel annuel moyen de 858 000 personnes, soit un taux d’accroissement annuel de 2,15%, selon les données de l’Office national des statistiques (ONS). Le recensement général de la population et de l’habitat effectué tous les dix ans — le dernier en date remonte à 2008 — constitue une source importante pour l’étude de la population et sa démographie. Durant la période intercensitaire (entre deux recensements), des études et des enquêtes sont réalisées pour suivre l’état de la population dans différents domaines (santé, emploi,…).
C’était attendu. L’Algérie compte 41,2 millions d’habitants au 1er janvier 2017, avec un excédent naturel annuel moyen de 858 000 personnes, soit un taux d’accroissement annuel de 2,15%, selon les données de l’Office national des statistiques (ONS). Le recensement général de la population et de l’habitat effectué tous les dix ans — le dernier en date remonte à 2008 — constitue une source importante pour l’étude de la population et sa démographie.
Durant la période intercensitaire (entre deux recensements), des études et des enquêtes sont réalisées pour suivre l’état de la population dans différents domaines (santé, emploi,…) Au 1er janvier 2016, l’Algérie comptait une population totale de 40,4 millions. 62,5% de la population algérienne est en âge d’activité (de 15 à 59 ans) contre 20,4% de personnes issues de la catégorie des -15 ans et les personnes âgées de +60 ans.
«La reprise de la natalité est un autre fait remarquable ces dernières années. Selon les données de l’état civil publiées annuellement par l’ONS, la natalité qui est un des principaux déterminants de la dynamique démographique a connu une augmentation continue depuis l’an 2000», souligne Nadia Djeraoune, sous-directrice de la prospective et de la veille démographique au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
«De 589 000 naissances vivantes en 2000, l’effectif est passé à 978 000 en 2012, enregistrant une légère baisse en 2013 pour reprendre et dépasser le million de naissances vivantes à partir de 2014, atteignant ainsi 1,040 million de nouveau-nés en 2015, soit une moyenne de 2800 naissances par jour, contre 2700 en 2014 et 2600 en 2013.»
La reprise de la natalité est due essentiellement au potentiel de reproduction contenu dans la structure par âge de la population algérienne, qui compte plus de 10 millions de femmes en âge de procréer (15-49 ans) et à la reprise de la nuptialité, dont le nombre des mariages dépasse les 300 000 par an, indique Mme Djeraoune, qui explique que le nombre des mariages augmente en raison de facteurs socioéconomiques favorables, tels que l’accès à l’emploi, au logement, l’amélioration des revenus.
Mariage, divorce : Stabilité malgré la baisse
La wilaya d’Alger compte le nombre le plus élevé de naissances vivantes avec 103 239 naissances en 2015, suivie de Sétif avec 52 949, puis d’Oran avec 43 389 naissances. La wilaya de Tindouf est en bas du classement avec seulement 1618 naissances. Mme Djeraoune estime que la carte des naissances vivantes «est fortement corrélée à la répartition de la population». Autrement dit, l’évolution des indicateurs démographiques n’a pas affecté la répartition de la population depuis des années.
Ce sont donc les mêmes villes qui subissent la plus grande concentration de population, et ce, depuis des décennies. Concernant la fécondité, les dernières données montrent une «stagnation de l’indice conjoncturel de fécondité autour de 3 enfants par femme en moyenne, ce qui correspond parfaitement au nombre d’enfants désiré par les couples algériens, selon les études réalisées dans le domaine», a précisé la même responsable.
Pour ce qui est de la mortalité, les services de l’état civil ont enregistré, en 2015, 183 000 décès, tous âges confondus, avec un taux brut de mortalité de 4,57‰ habitants, dont 23 150 décès d’enfants de moins d’un an, ce qui donne un taux de mortalité infantile de 22,3‰ (23,7‰ pour les garçons et 20,7‰ pour les filles). «Ce taux est en constante diminution depuis 2000», constate-t-on également.
Pour ce qui est de la nuptialité, les données de l’ONS montrent qu’après le pic de 2013, où les services de l’état civil ont enregistré 387 000 mariages, une baisse continue est observée en 2014 et s’est poursuivie avec un rythme soutenu pour atteindre 369 074 unions contractées en 2015, soit une baisse de 4,5% par rapport à 2014. Quant aux divorces, les données de l’état civil révèlent 59 909 ruptures d’unions en 2015, avec une baisse de 1,5% par rapport à l’année précédente.
Fatima Arab
Candidatures aux élections législatives du 4 mai prochain
L’argent fait son poids à Sétif
le 02.03.17 | 12h00
A quelques encablures des élections législatives du 4 mai prochain, les 31 partis et les 10 listes indépendantes ayant retiré les formulaires de candidature à Sétif, où l’on dénombre 959 281 électeurs, mettent les bouchées doubles pour finaliser les listes des 19 candidats titulaires et des 3 suppléants.
Ainsi, le RND qui n’a pas voulu attendre la bousculade du dernier moment, a ficelé sa liste. Proposée par le conseil de wilaya, celle-ci sera conduite une nouvelle fois par le tandem Boulifen-Dekhili (députés sortants). Le dossier du rassemblement n’englobant aucun «parachuté» d’en haut a été déposé ce samedi au niveau de la direction de la règlementation et des affaires générales (DRAG) de la wilaya. Au niveau de l’ex-parti unique, le flou persiste, alors qu’on parle de l’ex-maire de Sétif, Mohamed Dib comme tête de liste.
L’actuel président de l’Assemblée populaire de wilaya (APW), Hacen Ghoul, serait second. Selon certaines indiscrétions, aucun élu des huit sortants ne sera reconduit pour un deuxième mandat. La situation au sein de l’ANR (alliance nationale républicaine) ayant siégé à l’APN avec trois élus n’est pas claire. D’autant plus que Aïssa Aouabed, (vice-président de l’APW) qui devait conduire la liste vient, nous dit-on, de retirer sa candidature.
A cause de problèmes internes, se trouvant actuellement entre les mains de justice, le parti islamiste d’El Islah n’a pas tranché lui aussi. Certains militants ainsi que les deux députés sortants pensent se présenter sur des listes indépendantes. HMS, qui a décidé de ne pas reconduire Laouar Naâmane, aurait, quant à lui, opté pour Bouharoud, le P/APC de Djemila. on apprend par ailleurs que le MPA de Amara Benyounes a choisi Belayat et Sihamdi, un transfuge du RND. Taj, le parti de Amar Ghoul, s’est rapproché, quant à lui, de Omar Ahmine, ex-sénateur et transfuge du RND.
L’avocat Saâd Arous devrait, quant à lui, conduire la liste de Fedjr El Djadid. L’ex-président de l’ES Sétif, Abdelhakim Serrar, qui n’a pu obtenir une place au RND, est annoncé sous les couleurs d’un autre parti. N’ayant pas admis ni accepté le marchandage, pour ne pas dire le chantage de certains chefs de parti qui auraient exigé un bon pactole pour une pole position au classement, certains élus de partis ont carrément claqué la porte. «Dans un premier temps, les premiers de liste devaient mettre la main à la poche pour financer la campagne.
Cette décision est par la suite remise en cause par le chef du parti qui m’a demandé, par l’intermédiaire d’une tierce personne, plus de 15 millions de dinars rien que pour occuper la tête de liste. Pour des strapontins, des personnes n’ayant ni loi ni foi ont par contre casqué des centaines de millions. Pour ne pas laisser de traces, la transaction s’est faite en espèces.» Ce sont les déclarations faites sous le sceau de l’anonymat par un élu de l’APW qui a décidé de faire une croix sur la politique.
Tête de liste islamiste pour le FLN à Souk Ahras
Les sièges de la députation font languir un grand nombre de militants du FLN à Souk Ahras et l’on est déjà loin de cette cohésion de façade, des alliances tactiques et des arrangements conjoncturels d’il y a quelques mois. Le clash a eu lieu entre groupes rivaux. Et c’est au grand jour que le linge est déballé devant le public. Une guerre des communiqués, des doléances collectives adressées à l’état-major du parti d’Ould Abbès, des diatribes et joutes oratoires en passant par des rencontres propagandistes ou au contraire des campagnes de dénigrement par organes de presse écrite ou audiovisuelle interposés.
Le FLN avec sa composante actuelle est loin du consensus et ce sont ses têtes de groupes rivaux, parrainés dans leur majorité par des alliés influents, qui le disent sans ambages. Le dernier événement à avoir suscité de vives réactions au sein du plus vieux parti est, sans conteste, l’entrée fracassante d’un député de l’Alliance de Algérie verte, pressenti comme tête de liste, selon une missive adressée au premier responsable du FLN.
Nous y lisons notamment : «Nous avons affaire à un candidat dont les options idéologiques sont diamétralement opposées aux orientations historiques de notre formation et que nous savons opulent et bien introduit dans les milieux financiers(…)». Un cadre de ce même parti a déclaré à ce sujet que cette alliance hybride entre le FLN et une formation islamiste est l’expression d’une volonté délibérée à vider le parti de sa substance.
Les partisans de ce choix, estiment, quant à eux, que les textes relatifs au renforcement des assises du parti par des personnes jouissant d’ancrage populaire sont clairs à ce sujet. Entre celui qui s’y oppose et celui qui persiste, le parti est déjà mis à mal et les pôles influents affûtent leurs armes.
Kamel Beniaiche, Abderrahmane Djafri
UNE MARCHE À ALGER EST PRÉVUE POUR DIMANCHE On les appelait les Patriotes, terme de valeur expressément choisi pour désigner ces milliers de civils ayant décidé de prendre les armes pour résister au fléau le plus terrible qu’ait eu à connaître l’humanité et l’Algérie en particulier. Aujourd’hui, ces patriotes se sentent lésés, presque humiliés et surtout écartés d’une histoire pas encore écrite. Déterminés à se battre jusqu’au bout, ils maintiennent leur intention de marcher ce dimanche, 5 mars, sur Alger, pour faire Suite... |
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