129/-Acttualités du Dimanche 08 mai 2016
|
08 Mai 2016
*
|
|
|
|
Les caisses continuent de se vider La pression à la hausse des dépenses budgétaires du pays semble, depuis le début de l’année en cours, plus forte... |
Daech avance sur Misrata
Deux attaques surprises, opérées avant-hier contre les premières lignes de défense de Mistrata, ont permis aux forces de...
Sept terroristes abattus à Kerkera
Un sixième terroriste a été abattu dans la nuit de jeudi à vendredi à Kerkera, à plus de 70 km à...
La pluie fait des dégâts à Naâma et Tissemsilt
Plusieurs personnes ont été secourues et des véhicules ont été dégagés par les services de la protection...
8 jours de grève à partir du 8 mai
Le conseil national du Syndicat national des praticiens de santé publique (Snpsp), réuni en session extraordinaire jeudi à Alger, a...
Actualité
Chakib Khelil : Pari risqué et diversion
Du démon Khelil à l’ange Chakib ? L’ancien ministre de l’Energie et des Mines est passé en deux années... Louisa Hanoune à Sétif : «Chakib Khelil revient pour servir les compagnies américaines»
Lors d’un meeting organisé à la veille du 71e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945, Louisa Hanoune a rendu hommage à... Affaire El Khabar : Le coup de fil de Grine
«Omar Ourtilane ne doit pas mourir une seconde fois», a lancé hier la secrétaire générale du PT lors d’un... Ali Benflis à Kherrata : «L'Etat est tombé entre les mains des spoliateurs»
L’Etat-nation qui nous a été légué par les martyrs est fragilisé et vidé des valeurs qui ont permis...
Sports
Coupe de la CAF. MOB 0 - ES Tunis 0 : Les Béjaouis compromettent leurs chances
Stade de l’Unité maghrébine (Béjaïa) Arbitres: Malang Deiddhiou, Djibril Camara, El Hadji Malick Samba... Équipe Nationale : Pas de changement en prévision des Seychelles
La sélection nationale de football entamera, dans moins de deux semaines, ses préparatifs en prévision du déplacement... Partenariat Cevital-Slimani : Signature du contrat ce soir
Economie
Les caisses continuent de se vider
La pression à la hausse des dépenses budgétaires du pays semble, depuis le début de l’année en cours, plus forte... Gel de la production du pétrole : L'Iran se dit prêt à y participer
La compagnie pétrolière nationale iranienne NIOC a annoncé la volonté de Téhéran d’adhérer au... Quel impact sur l'Opep ?
En poste depuis 1995, le ministre saoudien du Pétrole vient d’être limogé par un décret royal. Le départ de Ali...
International
Sadiq Khan, musulman d'origine pakistanaise, élu maire de Londres
Impossible n’est pas anglais. Les Londoniens viennent d’administrer au monde une véritable leçon de démocratie et... Le gouvernement britannique réaffirme son soutien au principe de l'autodétermination
Le gouvernement britannique a réitéré, mercredi dernier, son soutien au principe de l’autodétermination du peuple...
Culture
Tartine production : Tranche de vie d'artiste
Créée en février 2012, basée à Chambéry et à Paris, l’association à caractère... Hommage au Cheikh Bouamrane : Une halte temporelle
C’est par une radieuse journée printanière du 23 avril 2016, plus d’un demi-siècle après qu’un lieu...
Dépenses publiques
Les caisses continuent de se vider
le 08.05.16 | 10h00
La pression à la hausse des dépenses budgétaires du pays semble, depuis le début de l’année en cours, plus forte que jamais.
Quoique la loi de finances 2016, basée sur une projection prudente des revenus des exportations, ait tablé sur une diminution des dépenses budgétaires de l’ordre de 9%, le ministère des Finances note déjà, pour les seuls mois de janvier et février 2016, une augmentation à près de 2040 milliards de dinars, contre 1222,6 milliards de dinars sur la même période 2015, soit une hausse de 66,85%.
Les chiffres que le ministère révèle montrent le poids grandissant des dépenses courantes de fonctionnement de l’Etat qui ont grimpé à 1256,5 milliards de dinars, contre 937,64 milliards de dinars en 2015, (+34%), alors que celles d’équipement sont montées à 783,5 milliards de dinars, contre 284,96 milliards de dinars (+175%).
La maîtrise du niveau de la dépense publique et la rationalisation de sa gestion que prône le gouvernement ne sont donc pas reflétées, du moins dans les résultats budgétaires de ces deux premiers mois de l’année. Bien au contraire, ces résultats montrent que l’on s’achemine, au bout du compte, vers un déficit du budget de l’Etat, puisque déjà pour les deux premiers mois de l’année, le Trésor public a enregistré un déficit de près de 1404 milliards de dinars, à fin février 2016, contre près de 413 milliards de dinars à fin février 2015, soit une hausse de près de 240%.
La fiscalité pétrolière recouvrée durant cette période s’est établie, quant à elle, à 321,67 milliards de dinars, contre 405,7 milliards de dinars, enregistrant une baisse de 20,7%, souligne la même source. Pour toute l’année en cours, la loi de finances 2016 table sur une fiscalité pétrolière budgétisée, basée sur un prix du baril à 37 dollars, de 1682,55 milliards de dinars.
La baisse des ressources du Trésor concerne également les ressources ordinaires, puisqu’elles ont reculé à 391,91 milliards de dinars, à fin février 2016, contre 488,73 milliards de dinars, à fin février 2015. Réunies, les ressources budgétaires pétrolières et ordinaires effectivement recouvrées ont été de 713,6 milliards de dinars, contre 894,43 milliards de dinars sur les deux périodes de comparaison, affichant ainsi une baisse de 20,2%.
Le solde budgétaire a été, de ce fait, déficitaire de 1326,36 milliards de dinars sur les deux premiers mois, contre 328,17 milliards de dinars, à la même période de 2015 (+304,2%). Globalement, le déficit du Trésor a ainsi atteint 1403,86 milliards de dinars, à fin février 2016, alors que la LF 2016 table sur un déficit du Trésor de 2452 milliards de dinars, sur toute l’année.
Pour rappel, le déficit global effectif du Trésor, en 2015, a été de 3375,1 milliards de dinars contre 3186 milliards de dinars en 2014 (+6%). Parallèlement à une fiscalité pétrolière budgétisée de 1722,94 milliards de dinars en 2015, les ressources ordinaires du Trésor ont augmenté à 2757,26 milliards de dinars, en 2015 (contre 2350 milliards de dinars en 2014), selon les données provisoires du ministère.
Sur les deux premiers mois de 2016, les prélèvements sur le Fonds de régulation des recettes (FRR) se sont établis à 665,67 milliards de dinars, précise la même source. Sur l’année 2015, les prélèvements sur le FRR avaient atteint 2886,5 milliards de dinars (contre 2965,67 milliards de dinars en 2014). Les recettes budgétaires effectivement recouvrées en 2015 ont atteint 4480,2 milliards de dinars (contre 3927,74 milliards de dinars en 2014).
Quant aux dépenses budgétaires, elles ont augmenté en passant à 7746,2 milliards de dinars en 2015 (contre 6995,76 milliards de dinars). Les dépenses de fonctionnements ont légèrement augmenté en 2015 à 4591,92 milliards de dinars (contre 4494,32 milliards de dinars) alors que celles d’équipement ont augmenté à 3154,28 mds DA (contre 2501,44 milliards de dinars).
La loi de finances complémentaire 2015 avait tablé sur des recettes de 4953 milliards de dinars et des dépenses de 7588 milliards de dinars.
Gel de la production du pétrole : L’Iran se dit prêt à y participer
le 08.05.16 | 10h00
La compagnie pétrolière nationale iranienne NIOC a annoncé la volonté de Téhéran d’adhérer au projet gel de la production de pétrole prévu, alors que le pays a atteint le niveau de production souhaité.
«Le chiffre souhaité par le ministre du Pétrole est atteint et nous pouvons rejoindre le plan pour le gel (de la production, ndlr) du pétrole», a souligné hier le directeur des relations internationales de la NIOC, Mohsen Kamsari, cité par des médias iraniens. Le responsable de la compagnie a cité le chiffre de 4,2 millions de barils par jour, en se référant aux estimations de l’Opep. L’Iran avait exprimé à maintes reprises sa volonté de rétablir son niveau de production de pétrole dans les mêmes proportions qu’avant les sanctions occidentales, environ quatre millions de barils par jour, un peu plus de la moitié étant destinée à l’export.
Cette position a été l’une des raisons pour lesquelles les pays fournisseurs ne sont pas tombés d’accord sur la possibilité de geler la production de pétrole lors d’une réunion à Doha, croit savoir l’agence russe Sputnik. Le même Kamsari a dit en revanche que la décision finale incombait au ministre. Réunis au Qatar en avril dernier, les producteurs pétroliers de l’Opep et hors Opep ne sont pas parvenus à s’entendre sur un gel de la production de chaque pays au niveau de janvier pour soutenir des prix en berne sur fond de rivalités entre l’Iran et l’Arabie Saoudite.
Dix-huit pays membres et non membres de l’Opep, dont les principaux producteurs — Arabie saoudite et Russie—, étaient représentés. Mais après six heures de tractations, le ministre qatari de l’Energie, Mohammed ben Saleh Al Sada, a annoncé que les pays concernés ont besoin de «plus de temps». Aucune date n’a cependant été fixée pour une nouvelle réunion.
Des divergences entre l’Iran et l’Arabie Saoudite avaient éclaté avant même le début des discussions, entraînant une décision de boycott de Téhéran. Un accord, négocié en février par l’Arabie, la Russie, le Qatar et le Venezuela, visait à geler la production de brut au niveau de janvier afin d’enrayer la surabondance de l’offre, jusqu’à ce que la demande reprenne au 3e trimestre de 2016.
En deux ans, le baril de brent est passé de 110 dollars à moins de 30 dollars en janvier dernier, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis 13 ans. La chute d’environ 60% des cours du brut depuis juin 2014 a été causée par une surabondance de l’offre, consécutive à une forte augmentation de la production de pétrole non conventionnel, dont le pétrole de schiste américain, et le refus par l’Opep en novembre 2014 de réduire sa production.
Par conséquent, les pays exportateurs ont perdu des centaines de milliards de dollars et accusé des déficits budgétaires ayant conduit à des mesures d’austérité.
H. L.
++++++++++++++
L’OPÉRATION N’A PAS CONNU LE SUCCÈS ESCOMPTÉ Malgré les taux d’intérêts de 5% et de 5,75% sur des délais respectifs de trois ans et cinq ans, jugés attractifs, la cagnotte accumulée par les banques à ce jour ne révèle pas un fort engouement des citoyens. La courte durée affectée à la préparation de cet emprunt obligataire a-t-elle Suite... |
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Consulter toute l'édition d'aujourd'hui
+++++++++++++++++++++
|
+++++ +
+++++++++++++++++++++++++++++++
|
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
|
|
|
|
<a title="Animated Pictures Myspace Comme |
A découvrir aussi
- ACTUALITES du Lundi 07 Mai 2012
- 327- Samedi 23 Novembre 2013
- 077-/-ACTUALITES du Mercredi 18 Mars 2015
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres