235/-ACTUALITÉS Du Mardi 25 Août, 2015
*****
/********
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
UN UNE DES |
|
|
|
+
|
L'Exécutif poursuit sa fuite en avant Pendant que les indicateurs financiers du pays s’enfoncent dans le rouge, Abderrahmane Benkhalfa, ministre des Finances, fredonne la même... |
«Nous sommes dans une situation prérévolutionnaire»
Inoxydable, Louisa Hanoune poursuit son offensive contre «la montée violente de l’oligarchie qui s’empare des leviers de...
Rentrée scolaire et chute du pouvoir d'achat : Les familles en payent le prix
Encore une fois, les budgets des familles sont mis à rude épreuve.
Ratissage de l'armée à Skikda : un quatrième terroriste abattu
La traque enclenchée par les éléments de l’ANP pour retrouver et anéantir le groupe terroriste qui opérait dans...
Marché automobile : Forte baisse des importations de véhicules
Le montant des importations des véhicules a reculé de 27,02% de janvier à fin juillet 2015 pour s’établir à...
Actualité
L'Exécutif poursuit sa fuite en avant
Pendant que les indicateurs financiers du pays s’enfoncent dans le rouge, Abderrahmane Benkhalfa, ministre des Finances, fredonne la même...
«Un recours à un ajustement de la balance des paiements auprès du FMI est possible»
Le brent chute à 43 dollars
Les prix du pétrole poursuivaient hier leur dégringolade, plombés par un regain d’inquiétude sur la vigueur de la...
Plombé par la chute des cours du brut : Le dinar poursuit son érosion
La valeur de la monnaie nationale continue à se déprécier à mesure que s’accentue la baisse des cours pétroliers...
Sports
Ligue 1 (mise à jour). USMA-ESS : L'Entente en quête d'un sursaut ...
Après avoir quitté la scène africaine sur une grosse déconvenue, le champion d’Afrique et d’Algérie en...
Abdelkader Aouissi, une légende de l'arbitrage africain
DRB Tadjenanet : L'apprentissage commence !
Economie
Les problèmes agricoles vus par les agriculteurs
On ne parle pas assez d’eux, de leurs exploits et de leurs préoccupations. Pourtant, ils sont d’un grand apport pour...
Une main-d'oeuvre qui se raréfie
International
Crise de la péninsule coréenne : Séoul et Pyongyang entre tension et nécessité d'un compromis
Les deux Corée ont entamé, hier, leur troisième jour de pourparlers pour parvenir à une issue à la crise qui mine...
Turquie : Erdogan active en faveur des élections anticipées
Accusé de vouloir gouverner seul, le président turc Recep Tayyip Erdogan a lancé le processus pour convoquer de nouvelles...
Crise malienne : la médiation internationale appelle les belligérants à revenir à leurs positions
La médiation internationale pour la paix dans le nord du Mali appelle les groupes armés, qui se sont récemment affrontés dans...
Culture
«Je suis à la recherche du rasoir utilisé par le barbier de Karl Marx»
Mohamed Arezki Himeur est un homme qui a plusieurs cordes à son arc. Journaliste-reporter depuis les années 1960, M. Himeur n’a pas...
De nouvelles idées pour une seconde vie
Le 48e Festival national du théâtre amateur de Mostaganem (FNTMA), qui aura lieu du 27 août au 2 septembre 2015 à la maison de...
|
le 25.08.15 | 10h00
Encore une fois, les budgets des familles sont mis à rude épreuve.
A deux semaines de la rentrée scolaire, la folie des dépenses et la quête de la bonne affaire ont déjà commencé. Magasins de vêtements ou d’articles scolaires sont déjà bondés.
Avec des enfants qui refusent de croire que les vacances tirent déjà à leur fin et des parents qui grimacent dès qu’on leur annonce les prix, Alger s’anime. Une situation qui se généralise peu à peu à travers les 48 wilayas du pays.
Des produits pour tous les goûts
«SVP, Monsieur, ce cartable plaît à ma fille, mais mon fils ne partage pas mon goût. Je l’ai ramené pour qu’il choisisse lui-même», lance un père à l’entrée d’un magasin Techno, à Alger- Centre.
Le petit garçon, à peine six ans, avance d’un pas sûr vers le rayon des sacs à dos pour lycéens, en choisit un qui dépasse largement sa taille.
Le responsable du rayon met plus d’une demi-heure pour le convaincre qu’il est encore petit pour ce genre de cartable. A l’autre bout du magasin, une petite fille prépare sa première rentrée à l’école.
Devant son papa émerveillé, elle dresse une liste de désirs. Des couleurs flashy, un cartable Barbie ou Dora viennent en tête de ses conditions pour entrer à l’école. «C’est ma fille unique, je ne peux que céder à ses caprices», déclare le papa.
Ce n’est pas le cas pour Zahra, Mélissa et Riad, trois enfants obligés de n’acheter que le nécessaire et le moins cher. Le père, qui a tendance à céder à leurs caprices, a préféré les laisser sortir avec leur maman, plus rigoureuse en termes de finances et d’économie.
Il faut dire, la qualité des articles scolaires exposés, cette année, n’encourage pas seulement les enfants à aller à l’école, mais aussi les grands. Une panoplie de choix qui fait craquer les plus économes des parents.
«Dans ce genre de situation, l’unique solution est de se fixer un budget et de ne pas dire oui trop rapidement.
Nous sommes leurs parents, c’est à nous de leur acheter les outils nécessaires et de ne pas succomber à la tentation de leur faire tout le temps plaisir», indique une maman.
Bien que très riche en qualité et en variété, la large panoplie d’articles scolaires exposés dans les magasins est loin d’être abordable en matière de prix. Toujours dans les magasins Techno, les prix sont assez différents de ceux des années passées.
Inflation
Mis à part les produits locaux, une augmentation des prix est constatée dans la majorité des rayons. D’après les vendeurs, la chute de la valeur du dinar et l’augmentation du taux de change de la devise sont responsables de cette hausse. «Nous devons jongler avec nos salaires pour pouvoir acheter toutes les fournitures et habiller nos enfants», se plaint une maman de trois jeunes écoliers.
Les prix des cahiers vont de 50 DA (96 pages) et atteignent les 150 DA pour celui de 288 pages. Le prix des classeurs peut atteindre les 300 DA. Celui des trousses oscille entre 100 et 400 DA.
Pour les crayons de couleurs, selon la qualité et le nombre d’unités dans la boîte, il faut sortir de 50 jusqu’à 400 DA.
Quant aux tabliers, ils sont cédés à des prix qui vont de 850 à 1500 DA. Toutefois, les produits qui battent les records en termes de prix sont les cartables et les sacs à dos.
Pour un sac à dos ordinaire de qualité moyenne, les parents sont obligés de débourser pas moins de 2500 DA. Pour un produit de meilleure qualité, les prix peuvent arriver jusqu’à 6000 DA.
Une somme qui va au-delà de la capacité de nombre de familles, déjà excédées par les dépenses du mois de Ramadhan, de l’Aïd El Fitr et des vacances.
Le pire, pour les ménages, dont le pouvoir d’achat est bien plus qu’érodé, est l’arrivée de l’Aïd El Adha deux semaines après la rentrée. Un coup dur difficile à surmonter pour les familles qui n’ont qu’une seule ressource et plusieurs enfants scolarisés.
Faire des économies ailleurs
Pour faire quelques économies, plusieurs familles n’hésitent pas à sortir de la capitale et à aller chercher la bonne affaire ailleurs. C’est le cas de Fatima et de ses deux sœurs qui, à chaque occasion, se rendent à Blida. Pour elles, les produits y sont plus variés et le rapport qualité/prix largement à la portée des petites bourses.
En effet, la ville des Roses est depuis toujours la destination préférée des familles désirant se procurer des produits à des prix abordables. Les marchés de Bab Errahba, de la rue Abdallah ou de la rue d’Alger grouillent de monde en ces journées précédant la rentrée scolaire.
Cependant, bien qu’ entre le marteau et l’enclume, plusieurs parents sont prêts à casser leur tirelire, pourvu que leurs enfants réussissent. La plupart d’entre eux ne cachent pas leur inquiétude quant à cette rentrée qui commence sur fond de polémique. La nouvelle politique de réforme du secteur entreprise par la ministre de l’Education nationale, ne plaît pas à tout le monde.
Asma Bersali
Alors que le pétrole chute à 43 dollars le baril
L’Exécutif poursuit sa fuite en avant
le 25.08.15 | 10h00
Pendant que les indicateurs financiers du pays s’enfoncent dans le rouge, Abderrahmane Benkhalfa, ministre des Finances, fredonne la même rengaine, se refusant à mesurer mathématiquement l’indice de résilience de l’économie du pays au choc pétrolier.
Invité hier, dans les studios de la Radio algérienne (Chaîne III), le ministre des Finances oppose un optimisme démesuré par moments quant aux moyens dont dispose le pays pour faire face à la chute des cours du pétrole.
Hier, alors que la déroute des prix du brut s’accentuait, chutant à 43 dollars le baril sur la place de cotation londonienne, Abderrahmane Benkhalfa estimait que l’impact sur l’économie algérienne n’est point «frontal».
Selon lui, les pays affectés par la chute des prix du pétrole s’insèrent dans deux catégories distinctes : ceux qui reçoivent le choc de manière frontale faute d’une épargne institutionnelle et ceux qui sont moins exposés à ce choc, les moins endettés, disposant d’une épargne pour y faire face, à l’image de l’Algérie.
Allusion faite aux réserves de changes dont dispose le pays, lesquelles n’ont, pourtant, pas résisté à la débâcle des marchés pétroliers, se contractant en conséquence à 159,918 milliards de dollars à fin mars 2015 contre 193,269 milliards de dollars à fin juin 2014, date de l’amorce d’un périlleux effondrement des cours du brut.
A l’allure où vont les choses, il est permis de parier sur le retour à l’endettement extérieur, si les prix du pétrole venaient à se maintenir obstinément autour des 50 dollars le baril.
Pour le ministre des Finances, «nous ne sommes pas encore dans une étape où il faut rechercher des financements ailleurs».
Après plusieurs mauvais chiffres sur l’état de résilience de l’économie algérienne face au choc pétrolier, le gouvernement fait encore le choix de taire l’alarme, s’enlisant dans une politique à faible rendement économique, voire destructrice de richesses. Mais concrètement, que peut-on enfin faire pour sauver les meubles ?
Absence d’arguments
Sans convaincre, le ministre des Finances suggère quatre axes de travail sur lesquels s’appuie, paraît-il, la politique du gouvernement : «Rationalisation des dépenses, réduction des niveaux de consommation et de gaspillage de l’énergie, redynamisation de l’investissement et mobilisation des acteurs économiques et des citoyens autour de l’impératif de croissance.» Parallèlement à cette approche retenue, sans être accompagnée de coupes budgétaires dans les faramineuses poches de transferts sociaux et de subventions, l’Exécutif mène une campagne de séduction auprès des fortunes qui prospèrent dans les circuits informels de l’économie. Objectif : optimiser la mobilisation des ressources.
«Dans cette marge de manœuvre dont nous disposons, nous ferons en sorte que dans les années à venir, nous devrions recycler tout l’argent qui est recyclable.» L’Exécutif n’hésitera pas non plus à tailler dans le budget des ménages, à coup de mesures fiscales (taxe foncière, relèvement de la taxe de collecte des ordures, de l’impôt à l’acquisition de véhicules neufs, dévaluation du dinar…).
Mais le retour de bâton risque d’être sévère sur l’économie. Il faut s’attendre à ce que, à court et moyen termes, les indices de consommation et de production soient tirés vers le bas, tandis que celui de l’inflation retrouve ses moments de gloire vécus en 2012.
Cependant, pour le ministre des Finances, l’heure n’est pas encore aux mesures de rupture, encore moins aux arbitrages douloureux.
«La marge de manœuvre n’est pas réduite par rapport à d’autres pays et le choc n’est pas frontal comme ce fut ailleurs. Nous avons une marge de manœuvre et, pendant ce temps qui nous est imparti, il faut optimiser au maximum les moyens pour faire face à la situation», se contente-t-il de dire, s’obstinant dans son idée que le feu n’est pas encore en la demeure.
Ali Titouche
Louisa Hanoune charge le chef de l’état
«Nous sommes dans une situation prérévolutionnaire»
le 25.08.15 | 10h00
Inoxydable, Louisa Hanoune poursuit son offensive contre «la montée violente de l’oligarchie qui s’empare des leviers de pouvoirs politiques, économiques et diplomatiques».
Présidant la clôture de l’université de son parti, hier à Zéralda, la secrétaire générale du Parti des travailleurs a usé d’un discours tonitruant qui marque l’amorce d’un tournant dans la tactique de lutte de son organisation.
Désormais, la patronne du PT s’adresse au peuple et invite les militants de son parti à se «préparer pour une insurrection populaire en vue d’une rupture radicale avec le système du parti unique».
Pour Louisa Hanoune, c’est «le gouvernement lui-même qui prépare les conditions d’une explosion révolutionnaire à travers le choix d’une politique d’austérité ravageuse pour les travailleurs et les classes populaires». Mme Hanoune s’en prend vertement au chef de l’Etat l’accusant de «ne pas avoir tenu ses engagements politiques et économiques».
Pis, selon elle Bouteflika a couvert les dérives de l’oligarchie. «Seize mois après la présidentielle, le président de la république n’a pas tenu ses engagements. Son silence devant les dérives dangereuses de l’oligarchie est un signe d’approbation. Qui ne dit pas mot consent !» dégaine la secrétaire générale du PT. Estimant qu’il n’est plus «utile de s’adresser au président de la République car toutes nos interpellations n’ont pas trouvé de réponses. L’oligarchie bénéficie des garanties au plus haut sommet du pouvoir. Il y a une complicité», dénonce-t-elle.
Elle met en demeure : «Cette dérive comporte de la violence, du terrorisme, c’est un processus de dislocation. Bouteflika peut-il permettre de poursuivre ce processus mortel pour la souveraineté nationale ?» Une interrogation qui révèle tout son désespoir de voir ressurgir un sursaut à l’intérieur d’un système «obsolète devenu un danger mortel pour le pays».
Tant va la cruche à l’eau qu’elle se casse. Louisa Hanoune, qui a longtemps mis en garde contre les risques d’une insurrection, estime que le pays «n’est plus à l’abri d’une explosion révolutionnaire. Oui, c’est probable. Nous sommes dans une situation prérévolutionnaire. Il peut y avoir une accélération des événements. Il est urgent de rendre la parole au peuple», tranche-t-elle.
En s’adressant aux militants de son parti, Mme Hanoune les invite «à se tenir prêts. Nous devons être prêts pour encadrer le combat des travailleurs dans le cas où il se transforme en un processus révolutionnaire ; et au cas où les conditions politiques imposent des élections anticipées, nous devons être prêts également pour trouver des solutions nationales et parer à toute tentative d’une solution étrangère».
Et c’est dans ce sens qu’elle a appelé à «la mise en place des comités populaires pour préserver les acquis sociaux et défendre l’Algérie parce qu’elle risque de disparition en tant que nation. Il est de notre devoir en tant que parti d’aider à encadrer la mobilisation populaire en faveur d’une rupture avec le système dont la corruption et le siphonage de l’argent public sont érigés en mode de gouvernance».
Elle assume un changement dans la tactique de son parti. «Si sur le plan stratégique notre position est réaffirmée, nous avons changé de tactique. S’adresser au Président n’est plus utile, il n’y a plus de répondant. Nous devons trouver d’autres moyens de lutte», préconise-t-elle. Louisa Hanoune estime que si l’Etat ne tire pas les leçons de ce qui se passe dans le monde arabe, en Syrie notamment, «le pays connaîtra des catastrophes.
Dire que cela ne va pas nous arriver et que nous ne sommes pas concernés est une erreur. Attention, attention et attention… le front intérieur est fragile politiquement, socialement et économiquement. Il faut des réformes politiques audacieuses», avertit-elle.
La périlleuse politique d’austérité
Inflation : Le rythme annuel s’établit à 5% en juillet
le 25.08.15 | 10h00
Le rythme d’inflation annuel s’est stabilisé à 5% en juillet 2015, soit au même rythme qu’en juin dernier (contre 4,8% en mai et 4,5% en avril), a annoncé hier l’Office national des statistiques (ONS), cité par l’APS.
Ce rythme annuel ainsi enregistré indique l’évolution de l’inflation sur la période allant entre août 2014 et juillet 2015 par rapport à celle allant d’août 2013 jusqu’à juillet 2014. La croissance des prix à la consommation s’est élevée, quant à elle, à 3,7% en juillet 2015 par rapport au même mois de l’année 2014, ajoute la même source.
En outre, l’indice des prix à la consommation, qui sert à calculer l’évolution du rythme annuel de l’inflation, a enregistré une légère baisse de 0,1% par rapport au mois précédent. Par ailleurs, l’indice brut des prix à la consommation de la ville d’Alger a affiché une croissance négative de -0,7% par rapport au mois précédent, a précisé l’ONS, rappelant que le mois de juillet 2014 a été marqué par «une hausse modérée» de 0,1%. Cette évolution négative, qui intervient après deux hausses consécutives de 0,4% et 0,5%, «traduit les variations des prix selon les catégories de produits», note l’ONS. Ainsi, les biens alimentaires ont observé une baisse de 2,5% induite particulièrement par la chute des prix des produits agricoles frais (-5,5%).
En dehors des légumes, qui inscrivent une croissance de 1,7%, les autres produits affichent des baisses, notamment la viande de poulet (-7,8%) et les fruits (-27,5%). Pour leur part, les prix des produits alimentaires industriels se caractérisent par une croissance de 0,5% avec des relèvements pour les pains et céréales (+1,3%), les huiles et graisses (+0,1%). Parallèlement, les prix des produits manufacturés ont connu une croissance de 0,4%, tandis que les services ont évolué de 2,2%.
Rédaction Économique
Ligue 2 (Mise à jour). CABBA-MCEE : Chaud derby des Hauts-Plateaux
le 25.08.15 | 10h00
Le Mouloudia d’El Eulma et après sa désillusion en Ligue des champions d’Afrique où il a concédé, samedi dernier, sa cinquième défaite de rang, retrouvera la compétition nationale, ce soir, avec un périlleux déplacement qui l’attend à Bordj Bou Arréridj : le derby des Haut-Plateaux face au CABBA, en match retard de la 2e journée du championnat de Ligue 2.
Les poulains de Cherif Hadjar, dont l’avenir à la barre technique eulmie est étroitement lié au résultat de ce derby, aspirent à aligner un bon résultat après le succès enregistré lors de la première journée face au MC Saïda (3-2), eux qui affichent leur ambition de jouer l’accession. Mais la mission de Babiya ne sera pas aisée face aux Criquets d’El Hadi Khezzar, d’autant plus que le CABBA, un sérieux prétendant pour l’accession, est en quête de son premier succès après la défaite concédée à Bou Saâda en match de la première journée du championnat de Ligue 2, dénotant ainsi l’importance et surtout l’enjeu de ce derby qui s’annonce palpitant.
Tarek Aït Sellamet
Mardi 25 Août, 2015 Mardi 25 Aout 2015 الثلاثاء 10 ذو القعدة 1436 ه الثلاثاء 25 أوت 2015 م Mardi 25 Août, 2015 @belprof++ ++
|
|
+
-- @belprof++
Mardi 25 Août, 2015 Mardi 25 Aout 2015 الثلاثاء 10 ذو القعدة 1436 ه الثلاثاء 25 أوت 2015 م Mardi 25 Août, 2015 @belprof++ ++ ++++
++++++++++++++++++++++++++++++
David Rudisha wins men's 800m final | IAAF World Athletics Championships BEIJING 2015
A découvrir aussi
- Actualité | jeudi 9 février 2012
- Actualité | Lundi 28 Avril 2014
- 131-/-actualites du Mardi 12 Mai 2015
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 5 autres membres