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Ses membres sont désormais indésirables au Qatar
Sale temps pour la confrérie des Frères musulmans
le 15.09.14 | 10h00
En acceptant d’assouplir sa position sur le dossier des Frères musulmans, le Qatar montre bien qu’il cherche à «normaliser» ses relations avec les Etats du Golfe qui s’opposent clairement à sa voracité géopolitique.
Les Frères musulmans, l’association panislamiste, créée en 1928 à Ismaïlia par Hassan El Banna, et dont l’un des membres, Mohamed Morsi, avait réussi à prendre le pouvoir en Egypte après la chute du régime de Hosni Moubarak en février 2011, est assaillie de toutes parts. Après avoir été classés organisation terroriste par les autorités égyptiennes et saoudiennes qui se sont promis de les rayer durablement du jeu politique arabe, comme l’avait fait bien avant eux Gamal Abdel Nasser, les Frères musulmans viennent de subir un sérieux coup dur au Qatar.
Tamim Ben Hamad Al Thani, le nouvel émir de cette minuscule pétromonarchie du Golfe à peine aussi grande que la wilaya de Batna, a en effet signifié aux responsables de la confrérie établis dans l’émirat qu’ils étaient désormais persona non grata.
Le mouvement des Frères musulmans a lui-même confirmé samedi que sept de ses membres avaient été priés de quitter le Qatar par les hautes autorités du pays. L’information surprend dans la mesure où il n’est un secret pour personne que le Qatar est le principal protecteur et sponsor des Frères musulmans dans la région.
L’organisation qui dispose de solides relais dans tout le monde arabo-musulman a, en effet, bénéficié, lors des révoltes arabes de 2011 d’un soutien financier pratiquement illimité de la part de Doha. Ce soutien lui a permis d’ailleurs de prendre le pouvoir haut la main en Egypte et en Tunisie et de construire une imposante force politique en Libye. Les Frères musulmans sont également très présents en Algérie et au Maroc. Dans ce dernier pays, ils tiennent également les commandes du gouvernement.
En «investissant» dans la mouvance des Frères musulmans, il a aussi gagné au change puisqu’il s’en est servi pour étendre son influence, asseoir sa politique arabe et écarter des rivaux régionaux. Le colonel Mouammar El Gueddafi, Hosni Moubarak et Bachar Al Assad l’ont d’ailleurs vérifié à leurs dépens. Ces dernières années, l’ambition du Qatar était de devenir le centre politique du monde arabe. Autrement dit, le leader.
Le silence gêné du Qatar
Mais si les autorités qataries sont restées discrètes sur les raisons de cette expulsion qui ne dit pas son nom, la direction de la confrérie égyptienne s’est néanmoins dite persuadée que l’émir Tamim Ben Hamad Al Thani a agi sous la pression de membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), particulièrement de l’Arabie Saoudite et des Emirats arabes unis. Dans tous les cas, il ne serait pas étonnant de découvrir que c’est Riyad et Abu Dhabi qui ont effectivement pesé de tout leur poids pour obtenir l’expulsion de la bande au prédicateur controversé Youssef Al Qardaoui qui n’a cessé ces dernières années d’appeler, à partir de son exil doré, la rue arabe à se rebeller contre ses dirigeants.
Habitué des plateaux de la chaîne pro-islamiste Al Jazeera, Youssef Al Qardaoui avait même cautionné, durant les années 1990, le meurtre de civils en Algérie. Le soutien qatari aux Frères musulmans a, rappelle-t-on, déjà été à l’origine d’une grave crise diplomatique régionale en mars dernier. La crise a atteint un tel point que l’Arabie Saoudite, Bahreïn et les Emirats arabes unis ont dû rappeler leurs ambassadeurs en poste à Doha. Une fois de plus, les raisons sont à lier avec les prêches enflammés de Youssef Al Qardaoui contre Riyad, Abu Dhabi et Le Caire. Mais fondamentalement, la levée de boucliers de ces deux pays contre les Frères musulmans s’explique surtout par le fait que l’arrivée au pouvoir de la confrérie dans plusieurs Etats de la région constitue une menace pour leur propre survie.
Pressions accrues
C’est d’ailleurs pourquoi ils s’appuient sur les salafistes. Ceux-ci ne contestent pas les pouvoirs en place. Du moins pas pour le moment. En acceptant d’assouplir sa position sur le dossier des Frères musulmans, le Qatar montre bien qu’il cherche à «normaliser» ses relations avec les Etats du Golfe. Dans la foulée, l’émir Tamim Ben Hamad Al Thani, pour montrer sa bonne foi, pourrait aussi décider de clouer le «bec» à Al Jazeera, la fameuse chaîne de télévision que la famille royale qatarie utilise pour, il faut dire les choses par leur nom, déstabiliser des pays et étendre son influence dans le monde musulman.
En tout cas, l’Arabie Saoudite a clairement demandé à son voisin de changer la ligne éditoriale de la chaîne, qui a pris pour habitude de prendre pour cible la monarchie saoudienne. Les expulsions de Frères musulmans dont il est question aujourd’hui sont-elles suffisantes pour dire que les ponts entre le Qatar et les Frères musulmans sont définitivement coupés ? Ibrahim Munir, un membre de la confrérie islamiste installé à Londres, est persuadé du contraire. Il a d’ailleurs déclaré à ce propos à Reuters que leur départ ne signifiait pas une rupture des relations entre le Qatar et les Frères.
«Les autorités qataries ont dit à la confrérie qu’elles étaient soumises à de la pression et que les circonstances n’autoriseraient pas la présence de tous ces membres de la confrérie à Doha», a-t-il expliqué. Possible que cela soit vrai sur le long terme. Mais dans le contexte actuel, il semble que le Qatar a bien compris qu’il n’avait pas du tout intérêt à continuer à jouer avec le feu, surtout qu’il a en face un adversaire qui s’appelle l’Arabie Saoudite.Un adversaire disposant d’un effroyable pouvoir de nuisance et qui n’est pas près de renoncer à son statut de leader au Proche-Orient. Il est vrai que Riyad a les moyens financiers et militaires suffisants pour transformer à nouveau Doha en désert aride.
Zine Cherfaoui
Washington veut bâtir une coalition internationale pour combattre l’EI
Les Occidentaux à nouveau face au bourbier irakien
le 14.09.14 | 10h00
A travers la stratégie arrêtée, il apparaît clairement que les Etats-Unis craignent de s’enliser une nouvelle fois dans la région, alors qu’ils ne sont pas encore tirés d’affaire en Afghanistan.
Les efforts internationaux visant, selon la terminologie américaine, à «affaiblir» puis à «détruire» les terroristes de l’Etat islamique (EI), se sont multipliés cette semaine : le président français, François Hollande, était en Irak vendredi et John Kerry, le secrétaire d’Etat américain, a enchaîné depuis mercredi des visites à Baghdad, Amman, Djeddah, en Arabie Saoudite, et Ankara, avant d’arriver hier au Caire. Il y a rencontré le président Abdel Fattah Al Sissi et le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil Al Arabi.
Washington voudrait qu’en Egypte «les institutions religieuses se prononcent contre l’EI et en parlent dans leur sermon du vendredi», dans les mosquées, a expliqué un diplomate américain à l’AFP. Ce responsable du département d’Etat a aussi donné écho aux «inquiétudes (des Egyptiens) face aux djihadistes étrangers» combattant en Syrie et en Irak, l’un des dossiers brûlants de l’Assemblée générale des Nations unies dans dix jours. M. Kerry a parlé en outre avec ses hôtes du cessez-le-feu entre Israël et les groupes armés palestiniens de Ghaza, obtenu par Le Caire, et de la Libye.
Dans son offensive diplomatique pour bâtir une alliance mondiale contre l’EI, John Kerry avait obtenu jeudi à Djeddah l’engagement, y compris éventuellement militaire, de dix pays arabes, dont l’Arabie Saoudite, le Liban et l’Egypte. Dans cette «guerre» contre l’EI, comme l’a reformulé vendredi la Maison-Blanche, le général à la retraite John Allen, homme-clé des guerres en Irak et en Afghanistan, est le nouveau coordonnateur de la future coalition.
L’Iran écarté
M. Kerry était attendu hier soir à Paris, où il participera demain à une conférence sur l’Irak et la lutte contre l’EI. L’Iran, allié de Baghdad et ennemi de l’EI, n’a pour l’instant pas été invité. Et John Kerry s’y est dit opposé, en raison de l’implication militaire de Téhéran aux côtés du régime de Damas. L’Iran a répliqué en accusant les Etats-Unis de «violer la souveraineté des Etats, sous prétexte de lutter contre le terrorisme». Cette conférence de Paris, avec une vingtaine de pays attendus, «va permettre à chacun d’être beaucoup plus précis sur ce qu’il peut ou veut faire», selon un diplomate. Mais «on ne va pas dire qui va frapper, où et à quel moment», a-t-il prévenu.
Le président américain, Barack Obama, avait, rappelle-t-on, exposé le 10 septembre sa stratégie pour «affaiblir et, à terme, détruire» l’EI. Il avait annoncé une extension de la campagne aérienne en Irak et de possibles frappes en Syrie voisine. L’EI a pris de larges pans de territoire de ces deux pays, y proclamant un «califat». Au total, 1600 militaires américains seront déployés en Irak pour appuyer les forces armées irakiennes, en termes d’équipements, de formation et de renseignements. M. Obama s’est aussi engagé à doper l’aide militaire aux rebelles syriens modérés qui combattent à la fois le régime syrien et l’EI.
L’armée irakienne trop faible
Néanmoins, les Etats-Unis n’enverront pas de troupes au sol en Irak. Washington compte essentiellement sur les forces irakiennes et les milices qui les soutiennent pour combattre les djihadistes. A travers la stratégie arrêtée, il apparaît clairement que les Etats-Unis craignent de s’enliser une nouvelle fois dans la région, alors qu’ils ne sont pas encore tirés d’affaire en Afghanistan. Mais dans tous les cas, l’apparition de l’EI contrarie beaucoup la politique extérieure d’Obama, qui voulait absolument, lors de son élection en 2008, tourner la page d’une décennie de guerres en Irak et en Afghanistan.
Mais les lacunes de l’armée irakienne, patentes lors de la fulgurante offensive des djihadistes de l’Etat islamique en juin au nord de Baghdad, risquent de compliquer la tâche de la coalition internationale qui veut éradiquer EI. Depuis le début des raids aériens américains en août, la reconquête du terrain par l’armée a été d’ailleurs minime. Cette reconquête a été surtout le fait de quelques unités d’élite appuyées par des milices chiites, des Peshmergas kurdes dans le Nord et des tribus sunnites dans l’Ouest.
Autre problème : la dépendance de l’armée irakienne par rapport aux volontaires chiites peut continuer d’aliéner la minorité sunnite, alors que son soutien est crucial pour l’armée si elle veut reprendre du terrain à l’EI dans les zones majoritairement sunnites qu’il occupe. En outre, les désaccords de longue date entre Arabes et Kurdes pourraient poser des problèmes de coordination entre l’armée et les Peshmergas. Il semble clair que tant que tous ces problèmes cruciaux n’auront pas trouvé de solution durable, il ne faudra probablement pas attendre, dans l’immédiat, de grands résultats de la guerre déclarée à l’EI.
Zine Cherfaoui
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Fin de visite aujourd'hui du chef des armées Françaises en Algérie
Des secrets bien gardés
le 15.09.14 | 10h00
Même si elle était programmée depuis longtemps, comme l’affirment les autorités, la visite du général Pierre de Villiers est analysée à l’aune des derniers développements sécuritaires dans la région.
Le chef d’état-major des armées françaises quitte le pays après trois jours de discussions avec son homologue algérien, Gaïd Salah, et une escale à l’Ecole des unités spéciales de l’ANP à Biskra. Certains scoupçonnent des contrats dans le domaine militaire, d’autres évoquent des pressions politiques sur l’Algérie… La visite du chef d’état-major des armées françaises, le général d’armée, Pierre de Villiers, en Algérie et notamment à l’Ecole des forces spéciales de Biskra, n’a toujours pas livré ses secrets. L’hôte de l’état-major de l’ANP était accompagné notamment de ses deux conseillers diplomatique, et pour la région Afrique, et de l’attaché de défense de l’ambassade de France à Alger.
La visite intervient au moment où la France semble peser de son poids sur les pays de la région pour les amener à s’impliquer dans une opération militaire en Libye. Du côté officiel, la visite était «programmée depuis longtemps».
Elle intervient, nous dit-on, à la suite de «l’invitation» faite par le général de corps d’armée, et vice-ministre de la Défense, Ahmed Gaïd Salah, lors de la visite à Alger, du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en mai dernier. Durant cette visite, qui prend fin aujourd’hui, Gaïd Salah reçoit son hôte avec la double casquette. Celle de chef d’état-major de l’ANP, mais également de vice-ministre de la Défense. Selon nos sources, cette double fonction est une «aubaine pour la partie française, qui n’aura qu’un seul interlocuteur, de surcroît assez proche du Président. Il est important de préciser que la France a toujours eu du mal à se faire accepter dans le club fermé des fournisseurs de l’armée algérienne».
«Aujourd’hui, la France fait tout pour obtenir des marchés dans le domaine militaire, où la Russie a la part du lion, suivie de quelques pays européens, comme l’Allemagne ou l’Italie. Tout le monde sait que l’Algérie, de par ce qui se passe à ses frontières, a besoin d’équipements opérationnels sophistiqués de télécommunication, de brouillage et de détection, utilisés en général dans la lutte antiterroriste, mais également contre des incursions étrangères. La visite du chef d’état-major des armées françaises à l’Ecole prestigieuse de Biskra n’est en fait qu’une occasion pour parler des moyens qu’il pourrait vendre à son homologue algérien. Dans cette visite, ce qui intéresse la France, c’est d’obtenir l’accord de principe pour vendre des équipements et de ce fait, s’introduire dans le club des fournisseurs de l’armée algérienne, après en avoir été durant 50 ans, écartée… », ajoute-t-on encore.
D’autres sources averties ne sont pas de cet avis. Elles préfèrent placer la visite du général d’armée, Pierre de Villiers, dans le contexte régional. «Depuis des semaines, la France pèse de tout son poids sur les pays de la région pour les entraîner dans sa logique interventionniste en Libye afin de régler la situation chaotique qui y règne. Les Français savent qu’ils ne peuvent mener une opération militaire en Libye si les pays limitrophes continuent à s’y opposer. Lors de la dernière réunion tenue par ces derniers récemment, le principe retenu est justement de régler la situation en Libye par des moyens politiques loin de toute force militaire étrangère. Mais la France ne désespère pas et continue à plaider pour une action militaire impliquant les pays de la région, à leur tête l’Algérie... Ses actions de lobbying se multiplient et la visite en Algérie du chef d’état-major de ses armées en fait partie…», estiment nos interlocuteurs.
Mais, selon eux, du côté algérien, «il n’est pas question de cautionner l’intervention et encore moins de la soutenir ou de l’aider. Les Français le savent très bien tout comme ils savent que la position de l’Algérie peut faire boule de neige. Ils tentent par tous les moyens de faire pression sur elle sur le front politique mais également militaire. C’est dans ce contexte qu’il faut donc voir la visite du chef des armées françaises en Algérie. Que va-t-il ramener avec lui en France ? Nous n’en savons rien. Il faut attendre les prochains jours… », concluent nos sources. En tout état de cause, qu’elle «sente l’odeur» de contrats d’équipements militaires ou de pressions politiques externes, la visite du chef des armées françaises en Algérie augure d’une nouvelle ère dans les relations militaires entre l’Algérie et la France.
Salima Tlemçani
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