074-/-ACTUALITES DU Dimanche 15 Mars 2015
Dimanche 15 Mars 2015
Dimanche 15 Mars 2015
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Eclipse solaire partielle vendredi 20 mars en Algériele 15.03.15 | 16h45 Une éclipse solaire partielle se produira vendredi 20 mars en Algérie où plus de 50% du disque solaire sera occulté (degré d'obscuration) dans le nord du pays, indique dimanche le centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué. A Alger, l'éclipse débutera à 09h06 (premier contact) et le maximum de l'éclipse aura lieu à 10h10 avant de se terminer à 11h19, note la même source, précisant que les horaires pour les autres villes en Algérie sont disponibles dans le site du CRAAG (www.craag.dz). En revanche, l'éclipse sera totale au nord de l'Europe où sa trajectoire passera entre l'Islande et l'Ecosse, sur les Iles Féroé et le Spitzberg. Pour rappel, une éclipse se produit lorsque la lune s'interpose entre la terre et le soleil de manière à cacher une partie (éclipse partielle) ou la totalité du disque solaire (éclipse totale). APSUn tremblement de terre de 4,5 degrés dans la wilaya de Batnale 15.03.15 | 13h15 Un tremblement de terre d'une magnitude de 4,5 degrés sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistré dimanche à 12h22 (heure locale) dans la wilaya de Batna, a indiqué le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué. L'épicentre de la secousse a été localisé à 23 kilomètres au nord-ouest de Merouana, a précisé la même source. APS
Thon rouge : L’Algérie veut pêcher la totalité de son quota
le 15.03.15 | 10h00
Campagne de pêche au thon rouge en Méditerranée
Treize armateurs ont postulé pour la campagne 2015 de pêche au thon rouge, dont le quota attribué à l’Algérie a été revu à la hausse par la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (Cicta).
Selon le chef de cabinet du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques cité par l’APS, les armateurs intéressés ont eu des informations sur «l’enjeu, l’importance et la sensibilité de cette pêche internationale, d’autant que l’Algérie tente de récupérer progressivement son quota initial de pêche perdu au fil des ans au profit d’autres pays mieux nantis en moyens humains et matériels». L’Algérie, qui jouissait avant 2010 d’un quota initial de 680 tonnes, soit 5% du total des captures admissibles (TAC) en Méditerranée et en Atlantique-est, dispose cette année de 370 tonnes, après avoir réussi à pêcher 243 tonnes en 2014. La Cicta, réunie en novembre dernier à Gênes (Italie), avait décidé l’augmentation du quota annuel de l’Algérie et maintenu son droit à recouvrer, progressivement, son quota initial. Une décision qui a été obtenue difficilement cependant par l’Algérie, qui a dû faire un véritable forcing auprès de la Cicta pour arracher ses droits, selon le ministère de la Pêche. L’Algérie doit maintenant prouver ses capacités sur le terrain, en pêchant la totalité de son quota 2015, comme elle l’a fait en 2014. Ce n’est qu’à cette condition qu’elle verra son quota progresser pour atteindre 460t en 2016 et 543t en 2017. «Il est très important de capturer la totalité de ce quota pour prouver à la Cicta les capacités de pêche de l’Algérie et renforcer, ainsi, les arguments de l’Algérie pour la préservation de ses quotas et, partant, restituer la totalité de notre quota historique», souligne M. Neghli dans une déclaration à l’APS. Il précise que le ministère de la Pêche «a pris des mesures strictes, qui doivent être appliquées à la lettre». Ce même responsable note qu’il a été demandé aux 13 thoniers de mobiliser les membres de leurs équipages pour effectuer, en avril prochain, une formation dans les techniques de pêche de ce thonidé qui sera assurée par ce département ministériel. De surcroît, l’Algérie doit répartir son quota entre les armateurs selon les règles de la Cicta, c’est-à-dire en fonction de la dimension du navire. «Avant que notre quota soit augmenté, l’Algérie dérogeait à cette règle, du fait que les quantités de pêche permises étaient réduites par l’ancienne quote-part», relève le même responsable. Afin de maximiser les chances de capture, les pouvoirs publics encouragent les armateurs à se constituer en groupes de pêche. Le processus de participation des armateurs à cette campagne de pêche prévue pour mai prochain sera «très sélectif», étant donné «la délicatesse de l’opération du fait de son caractère international» et l’enjeu qu’elle représente pour l’Algérie qui est toujours en quête de rétablir son quota initial qui était de 5% du total des captures admissibles (TAC) en Méditerranée et en Atlantique-est. Il s’agit, entre autres, de veiller à ce que les caractéristiques techniques prescrites par la réglementation en vigueur soient «scrupuleusement» respectées, pour garantir l’opérationnalité des navires. Par ailleurs, M. Neghli fait savoir qu’un arrêté ministériel régissant l’exploitation du thon rouge va être promulgué afin d’y inclure les améliorations enregistrées dans cette activité. A rappeler que le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques avait décidé, en 2010, d’exclure les exploitants étrangers des campagnes de la pêche de thon rouge dans les eaux sous juridiction algérienne, en réservant cette activité exclusivement aux thoniers algériens. Il s’agit maintenant de former ces armateurs et de les aider à honorer les engagements de l’Algérie, qui avait réussi l’année écoulée à pêcher la totalité de son quota, bien avant la fin de la campagne prévue le 24 juin 2014, avec la participation de huit armateurs scindés en trois groupes.
Zhor Hadjam
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La ministre de l’éducation nationale annonce une batterie de mesures
Le plan antigrève de Mme Benghebrit
le 15.03.15 | 10h00
Conférence de presse de Mme Benghebrit, hier, au siège du...
Les candidats à l’examen du baccalauréat pourront ainsi bénéficier à partir d’aujourd’hui de plusieurs «dispositifs d’accompagnement».
Confrontée à la persistance de la grève lancée par le Cnapest-e, Mme Benghebrit a décidé de mettre en œuvre plusieurs mesures. Les élèves des classes de terminale pourront ainsi bénéficier, à partir d’aujourd’hui, de plusieurs «dispositifs d’accompagnement» : cours télévisuels (mardi de 19h30 à 20h30 ; samedi de 8h30 à 9h30 et de 19h à 20h10) ; mise à la disposition des élèves des cours scénarisés de l’ONEFD (http://www.onefd.edu.dz/) sur CD avec accès à la plateforme de l’Office pour les évaluations et autres ressources. Un code d’accès sera également communiqué aux élèves pour leur permettre de suivre les cours sur le site de l’ONEFD», précise Mme Benghebrit, en faisant remarquer que l’évaluation menée par ses inspecteurs pour les 1er et 2e trimestres fait ressortir que le taux d’exécution des cours est de 70 à 75%, contre 55% pour la même période de l’année dernière. Le ministère de l’Education nationale compte renforcer la «responsabilité pédagogique» de l’équipe dirigeante au sein de l’établissement, selon les situations diversifiées d’une classe à une autre, d’un établissement à un autre et d’une wilaya à une autre. «L’équipe pédagogique de l’établissement a toute la latitude de réaménager et réguler le rythme et la progression de l’apprentissage. Les directeurs pourront faire appel à des enseignants, des stagiaires des ENS en fin de cycle, des retraités et aussi aux parents pour accompagner les élèves», suggère Mme Benghebrit, qui compte également sur le «soutien» des parents des élèves dont les enseignants sont en grève, pour obliger les enfants à rejoindre les classes et ainsi leur permettre de travailler dans l’enceinte de leur établissement. «Le secteur connaît des rumeurs persistantes. Les élèves doivent suivre les mesures du ministère et ne pas prêter attention aux rumeurs. Le bac blanc sera maintenu», affirme en substance Mme Benghebrit, précisant que 10 jours de cours ont été perdus, vu que la grève est intervenue lors des examens et des corrections. Faire appel au «partenaires sociaux» serait-il une manière détournée de remplacer les enseignants grévistes, ce qui met le département de l’Education nationale en porte-à-faux avec la loi ? La ministre s’en défend et affirme que les dispositifs pris en faveur des élèves de terminale sont des «mesures d’accompagnement» et non de remplacement, comme le soutiennent les syndicalistes grévistes, qui continuent de recevoir des mises en demeure pour leur grève qui en est à sa quatrième semaine. Ponction mais pas licenciement Selon la ministre, malgré un PV signé conjointement après 10 heures de négociations le 8 mars 2015, le Cnapest-e a maintenu sa grève illimitée. «Sur les revendications présentées en quatre points, ce sont en réalité 14 revendications qui sont énoncées. Certaines ont été prises en charge par nos services (gel des postes de promotion, effet rétroactif, médecine du travail et corps en voie d’extinction), d’autres sont en porte-à-faux par rapport à la réglementation (promotion automatique, retraite après 25 ans de service), d’autres encore ne relèvent pas de nos prérogatives», explique Mme Benghebrit, en signalant que le Cnapest-e est dans une situation d’exercice abusif du droit de grève. Rappelant la nécessité d’avoir la compétence pour toute négociation, la ministre juge que «des syndicats ont besoin de formation». «Il y a des prédispositions négatives de la part de ce syndicat», estime-t-elle, en appelant avec insistance les enseignants à lire le PV signé par les deux parties pour se faire une idée juste et ne pas prêter attention aux rumeurs. Le ministère ira-il vers le licenciement des enseignants récalcitrants ? Mme Benghebrit affirme compter sur le sens de la responsabilité des enseignants pour reprendre les cours et éviter l’impasse dans laquelle risque de se retrouver l’école, si le mouvement de grève se poursuit. «Des ponctions sur salaire sont engagées. Nous aurons aussi, suivant les fiches transmises par les directeurs, à revoir la prime de rendement. Notre souhait n’est pas le licenciement, mais de voir les enseignants revenir dans leur classe», signale-t-elle.
Nadir Iddir
L’opposition s’est jointe à la mobilisation des manifestants : Rejet du gaz de schiste à Ouarglale 15.03.15 | 10h00 Des citoyens venus de plusieurs régions du pays, des manifestants antigaz de schiste, des membres de la CLTD, de la CNDDC et d’associations se sont rassemblés, hier à Ouargla, pour dénoncer l’exploitation de gaz de schiste et commémorer l’historique marche des chômeurs du Sud, en mars 2013. Très tôt par cette belle journée de printemps, la placette de l’APC de Ouargla était très exiguë pour contenir les milliers de citoyens venus de diverses régions du pays pour rejoindre les animateurs du Mouvement populaire contre l’exploitation du gaz de schiste. La manifestation a été organisée à l’initiative de la Coordination nationale de défense des droits des chômeurs (CNDDC) et d’une douzaine d’associations de la wilaya, rejointes dernièrement par la Coordination de la transition et des libertés démocratiques (CTLD), dont les membres ont passé la nuit sur les lieux afin d’assurer le bon déroulement du rassemblement. L’événement se veut également le symbole de la célébration du 14 mars 2013, quand les chômeurs du Sud ont réussi la grande manifestation appelée «Milyonia». Le succès de la mobilisation a été au rendez-vous ; curieux et badauds ont participé à l’événement malgré les multiples barrages des services de sécurité filtrant tous les accès menant au chef-lieu de la wilaya de Ouargla. L’opposition politique était aussi de la partie. Des représentants des partis composant la CLTD ont marqué leur présence de manière très active. A l’image de Djilali Soufiane de Jil Jadid, Mohcine Belabbas (président du RCD), Ahmed Adimi (représentant de Talaîou El Houryet de Ali Benflis), des représentants locaux du MSP et du parti de Djaballah, à l’instar des animateurs du mouvement RAJ, du comité des chômeurs et des familles des disparus. Confortés par ce soutien populaire venant de Ouargla, les leaders de l’opposition n’y ont pas été avec le dos de la cuillère pour vilipender le pouvoir. Très virulent, le président du RCD, Mohcine Belabbas a déclaré : «In Salah a émis des messages de résistance et d’intransigeance, mais ce pouvoir ne sait pas lire les messages.» Ahmed Adimi qui s’exprimait, lui, au nom du Pôle du changement, a souligné : «Nous sommes au début de la concrétisation de ce qui reste du message des chouhada : l’Etat démocratique.» Cette action commémorative de l’historique marche des chômeurs du Sud, en mars 2013, est organisée sous le signe du soutien aux citoyens d’In Salah qui sont dans la rue depuis trois mois pour contester l’exploitation du gaz de schiste. Un rassemblement qui a tenu toutes ses promesses. Les slogans n’ont donc pas dérogé à la règle imposée par les trois mois de contestation à Sahat Somoud : «A bas le gouvernement de la fitna et le parlement des complots», «Non aux commis de l’impérialisme», «14 mars, Milyonia de la dignité et de l’abrogation du gaz de schiste». «La Milyonia constitue sûrement pour ses organisateurs un grand défi après les derniers événements qui ont secoué la scène nationale», affime Nadhir Boukhetta, un des organisateurs de la manifestation. «Ce rassemblement constitue un tournant décisif tant du point de vue de la contestation contre l’exploitation du gaz de schiste que de celui du rapport de force avec le pouvoir. Il a réussi à créer une véritable symbiose de toutes les composantes de la société civile et de la classe politique de l’opposition», analyse un autre manifestant. Aujourd’hui, l’opposition a donné ses preuves à partir de la capitale du Sud algérien. Du côté du mouvement populaire antigaz de schiste, Abdelmalek Ibek, un de ses animateurs les plus actifs, a tenu à saluer les leaders de l’opposition pour ce déplacement très significatif. «Nous sommes fiers d’avoir réussi à mobiliser toutes les franges de la société algérienne contre la dangereuse exploitation du gaz de schiste», a-t-il déclaré avec une grande émotion. Les participants se sont dispersés dans le calme à la mi-journée et les animateurs du mouvement antigaz de schiste ont fait la promesse de continuer le combat jusqu’à la satisfaction de la revendication du moratoire. Moussa Naït Amara
El Watan avec APS
Ligue des champions. MCEE 0 - Asante 0 : Babiya mal récompensé…le 15.03.15 | 10h00 ![]() L’état déplorable de la pelouse du stade Messaoud Zeghar a considérablement gêné l’évolution des joueurs, notamment les Eulmis qui devaient faire le jeu et porter le danger dans la surface des Ghanéens. Lesquels ont entamé la partie avec le traditionnel 4-5-1. Un tel dispositif a accentué les difficultés pour les hommes d’Aït Djoudi, qui ont éprouvé du mal à trouver le moindre espace pour bousculer l’adversaire, défendant et attaquant en bloc. Bien organisés sur le terrain, les Ghanéens ont posé beaucoup de problèmes aux Mouloudéens, pénalisés par la pelouse qui ne leur a pas permis de développer leur jeu habituel. Après avoir bien géré une bonne partie de la première mi-temps, les Ghanéens sortent de leur coquille et vont, à travers des tirs, taquiner Ousserir. La pause-citron permet au coach eulmi de recadrer ses troupes, qui reviennent avec de bonnes intentions, même si les camarades de Traoré ne lâchent pas prise. La méforme du maître à jouer du onze, Derardja, l’absence de Hamiti et d’Oussalah ont été ressenties par les Mouloudéens, ne faisant pas de différence entre vitesse et précipitation. Ce qui a fait l’affaire des Ghanéens, au point physiquement. Pour booster le rendement de son équipe et éventuellement ouvrir la marque, Aït Djoudi opère des changements qui ne ramènent pas le résultat escompté, au grand dam du public eulmi, venu en nombre.
Stade Messaoud Zeghar (El Eulma) CAN-2015 U23 : Le Sénégal remplace la RD Congole 15.03.15 | 10h00 Réagissez La 2e édition de la Coupe d’Afrique des nations des moins de 23 ans (olympique) aura lieu au Sénégal du 5 au 19 décembre 2015, et non plus en RDC qui s’est officiellement désistée de l’organisation de ce tournoi. C’est ce qu’a annoncé la CAF, hier, ajoutant que le Sénégal a accepté de suppléer la RDC. Cette décision a été prise vendredi soir, suite à l’accord donné par les autorités sénégalaises d’organiser la CAN-2015 des U23, après l’audience accordée par le président sénégalais, Macky Sall, au patron de la CAF, Issa Hayatou, présent à Dakar en marge de la CAN-U20 qui se déroule actuellement en terre sénégalaise. Le président Macky Sall a répondu favorablement à la demande formulée par son hôte, celle de voir le Sénégal accueillir en décembre 2015 la Coupe d’Afrique des moins de 23 ans, qualificative pour les Jeux olympiques de Rio 2016. Un tournoi qui concerne la sélection olympique algérienne, drivée par le technicien suisse André Pierre Schurmann, qui devra d’abord composter son billet pour cette CAN-2015, cet été, à l’occasion du troisième et dernier tour éliminatoire, car exemptée des deux premiers tours.
Arabie Saoudite : Washington met en garde contre des attaques dans l’industrie pétrolière
le 15.03.15 | 10h00
Les Occidentaux travaillant dans le secteur pétrolier en Arabie Saoudite risquent des attaques, dont des enlèvements par des groupes «terroristes», a averti l’ambassade des Etats-Unis à Riyad sur son site, cité par l’AFP.
L’ambassade «dispose d’informations selon lesquelles (...) des individus associés à une organisation terroriste pourraient viser des Occidentaux travaillant dans le secteur pétrolier, dont peut-être des Américains travaillant (...) dans la province orientale», indique l’ambassade, parlant de «risques d’attaques et d’enlèvements». Le communiqué ne cite pas le nom du groupe ni ne donne de détails sur la nature des éventuelles attaques. Cet avertissement intervient alors que l’Arabie Saoudite participe à la coalition antidjihadiste menée par Washington qui fait, depuis septembre 2014, des raids aériens contre les fiefs du groupe Etat islamique (EI) en Syrie et en Irak, suscitant des craintes quant à d’éventuelles représailles. Quatre attaques ont visé des Occidentaux depuis octobre en Arabie Saoudite. La dernière date de février quand deux Américains, employés d’une firme sous contrat avec la Garde nationale saoudienne, ont été visés par des tirs dans l’est du pays. En décembre, les autorités ont arrêté trois partisans de l’EI soupçonnés d’avoir tiré sur un Danois, le blessant à Riyad. Le Danemark fait aussi partie de la coalition. Depuis 2011, des manifestations et des accrochages avec les forces de sécurité ont eu lieu dans les zones chiites du royaume, coûtant la vie à une vingtaine de personnes. Plusieurs Occidentaux ont été tués dans le royaume dans une vague d’attaques d’Al Qaîda entre 2003 et 2006.
Rédaction Internationale
les Retombées de la guerre civilele 14.03.15 | 10h00 En Syrie, la population continue de vivre des atrocités. L’Algérie accueille depuis quatre ans des réfugiés. Des familles ont été en effet obligées de se débrouiller pour sécuriser leurs enfants. On se souvient des déplacements en masse de Syriens qui sillonnaient les grandes villes à la rechercher d’un gîte, ou demandant l’aumône pour subvenir à leurs besoins. L’essentiel, pour eux, était de trouver un endroit pour ne plus subir les bombardements du régime et les exactions des groupes autoproclamés «révolutionnaires». Des militants associatifs algériens, mettant de côté tout calcul, n’agissant que par esprit humanitaire, avaient pris la responsabilité d’aider, avec les moyens du bord, les familles syriennes. Ces dernières avaient investi principalement les grandes places publiques – square Port Saïd, parc Sofia ou place des Martyrs, à Alger. Des mois plus tard, sous la pression médiatique, les autorités ont été obligées de prendre les devants. Des camps de réfugiés ont été ouverts pour offrir un «toit» provisoire aux familles, particulièrement celles accompagnées d’enfants. Globalement, il n’y avait pas de problème de scolarité, la langue arabe aidant leur insertion. A Alger, par exemple, le centre de colonies de vacances de Sidi Fredj est occupé par des familles syriennes, qui y sont prises en charge. Générosité des Algériens Cependant, il subsiste toujours des familles qui, faute d’information ou autres raisons, continuent à faire la manche sur les routes. L’une d’elles occupe présentement le rond-point de Dély Ibrahim, en direction d’Ouled Fayet. Composée de six personnes, elle est originaire d’Alep. La mère, la cinquantaine, raconte sans hésiter le calvaire : «Notre ville est bombardée. Les groupes terroristes de Daech n’épargnent personne. Ils tuent. Ils égorgent. Ils condamnent aux pires châtiments quiconque ne partage pas leur vision. J’ai dû fuir avec mes trois enfants vers l’Algérie. J’attends que mon mari et mes quatre filles me rejoignent. Ils sont actuellement à la frontière turque. Ils essayent de récolter le maximum d’argent pour acheter les billets d’avion. Notre famille est déchirée, mais nous gardons espoir qu’un jour, nous puissions nous réunir de nouveau.» Au cours de la discussion, une voiture s’arrête, une dame, donne une pièce de monnaie ; la mère syrienne accepte. Mais nous dormons le plus souvent dans la rue. Je voudrais poursuivre ma scolarité…» Nous n’acceptons pas qu’une de nos femmes apparaisse sur un journal. Pouvez-vous demander à votre collègue de détruire la photo ?» Peu après, mis en confiance, il raconte à son tour : «Alep est démolie. Il ne reste de la ville que les ruines. Il sera impossible de la reconstruire. Nous avons été obligés de venir ici. Nous avons jugé que l’Algérie est le meilleur pays pour être en sécurité. L’absence de visa nous a facilité les choses. Et je remercie les Algériens qui sont d’une gentillesse incroyable. Ils aident sans arrière-pensée. Pour le moment, nous devons juste régler le problème du logement. Les dinars que nous récoltons servent à payer l’hôtel, mais ce n’est pas toujours suffisant. Nous avons demandé une prise en charge au HCR. L’organisation nous a certifié que notre cas sera réglé dans quelques jours. Mais rien de concret pour le moment.» Même constat du côté de Bois Des Cars, à Dély Ibrahim. Une famille et quelques femmes demandent aux automobilistes quelques dinars. Nous accostons l’une d’elles, une jeune femme au visage terrassé par la tristesse. «Je suis d’Alep. Actuellement, j’habite à Boufarik», précise-t-elle, ajoutant qu’elle n’est pas mariée. A quelques mètres, des femmes de sa famille mendient. Bsikri Mehdi
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